%%%% File: tex-insert.tex -*-LaTeX-*- %% %% Created on 23 Jan 1995 %% Last modified on 23 Jan 1995 %% %% <<>> %% \documentclass{lifia-th} % pour la figure \usepackage{epsfig} \makeindex \begin{document} \title{Voici un exemple de \\ version finale} \author{W. Pfister} \jury{% \begin{tabular}{ll} ce jury \\ se présente & sous forme \\ \\ de & tableau \\ \\ à deux colonnes & alingées à gauche \end{tabular}} \maketitle % pour une numérotation romaine \frontmatter \tableofcontents \listoffigures \listoftables \listofexamples % retour aux numéros arabes \mainmatter \chapter{Introduction} intro de l'intro. kjlhkjhkjhksjf lkj lskjhdf skjhs ksjhfs skuihse skjhsd sdkjhsda dskjha askljh da. Dans les sections suivantes, nous allons présenter le contexte scientifique dans lequel nous nous plaçons. En particulier, nous proposons quelques hypothèses méthodologiques qui ont guidé notre recherche. \section{L'Intelligence Artificielle Distribuée} L'intelligence artificielle distribuée (IAD) est devenue une domaine de recherche bien établie depuis les dernières années. Tandis que la métaphore d'intelligence utilisée dans les approches classiques de l'intelligence artificielle (IA) est basée sur le \emph{comportement individuel}, celle utilisée dans l'IAD est basée sur le \emph{comportement social}. En ce qui concerne les objets principaux d'investigation, l'IA s'occupe principalement de la \emph{répresentation et manipulation de connaissances}, et l'IAD s'occupe prioritairements de la \emph{répresentation et manipulations des intéractions}. Une telle approche est désirable pour résoudre des problèmes qui sont gros et complèxes, dont il est nécessaire d'utiliser la connaissance des divers domaines differentes, et qui parfois nécessite d'un traitement physiquement distribué. Du point de vue computationel, les avantages d'une telle approche sont le contrôle de la complexité, la dégradation gracieuse, le support à l'évolution et la replicabilité. \section{Et une section} lkjlkj sflkjsd slkjs slkjlfsd sdlkjdl. \part{La prem's} Voici un texte qui est placé entre la partie et son premier chapitre. \chapter{Le prem's~: accentué} L'intro du premier chapitre. Et le paragraphe suivant. kjhlkjd psdoiufsdojf lksdhjfksljdfh kjhdfksd ksjhdf jshkdf skdjfh ksdjfhsk jshkf kjshf. Ouf, plus d'une ligne ! \section{The one} Et hop ! Et le paragraphe suivant. kjhlkjd psdoiufsdojf lksdhjfksljdfh kjhdfksd ksjhdf jshkdf skdjfh ksdjfhsk jshkf kjshf. Ouf, plus d'une ligne ! \subsection{Là, on descend ...} Nous sommes dans la sous-section. Et le paragraphe suivant. kjhlkjd psdoiufsdojf lksdhjfksljdfh kjhdfksd ksjhdf jshkdf skdjfh ksdjfhsk jshkf kjshf. Ouf, plus d'une ligne ! \subsubsection{encore ...} Et maintenant la sous-sous-section. Et le paragraphe suivant. kjhlkjd psdoiufsdojf lksdhjfksljdfh kjhdfksd ksjhdf jshkdf skdjfh ksdjfhsk jshkf kjshf. Ouf, plus d'une ligne ! \paragraph{un petit paragraphe ...} Qui en fait en fait plusieurs ... Et le paragraphe suivant. kjhlkjd psdoiufsdojf lksdhjfksljdfh kjhdfksd ksjhdf jshkdf skdjfh ksdjfhsk jshkf kjshf. Ouf, plus d'une ligne ! \subparagraph{et un alinéa pour finir~!} Bon, ici nous allons mettre quelques petites citations pour voir les environnements. {\tt verse} \begin{verse} Waterloo, Waterloo, Waterloo, morne plaine, \\ Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine, \\ Dans ton cirque de bois de coteaux de vallons, \\ La pâle mort mélait les sombres bataillons. \end{verse} {\tt quote} \begin{quote} S'il est une chose bien jolie, c'est de mettre une belle citation ! La seule différence entre {\tt quote} et {\tt quotation} est que les paragraphes ne sont pas indentés. Et je le prouve~! \end{quote} {\tt quotation} \begin{quotation} {\bf -472} Triomphe des {\em Perses} d'Eschyle. C'est le siècle où la littérature grecque est à son apogée~: la tragédie, institution sociale à Athènes (concours organisés par l'État), prend le relais de l'épopée. L'éloquence, la philosophie et l'histoire acquièrent leur forme définitive. (Le Robert, éd. 1993) \end{quotation} \begin{theorem} Il peut-être prouvé que faire une thèse est utile. \end{theorem} \begin{proof} Ça est une preuve très dure, une fois, mais ça peut être fait. Il suffit de considérer que sinon, personne ne nous financerait ;-) jhgkjhg kjhgkjhgk jhgkjhgkj jhgkjhg jhgkjhgkj jhgkjhgkj jhgkjhgkj kjhgkjhg jhgkjhg kjhgkjhgk jhgkjhgkj jhgkjhg jhgkjhgkj jhgkjhgkj jhgkjhgkj kjhgkjhg jhgkjhg kjhgkjhgk jhgkjhgkj jhgkjhg jhgkjhgkj jhgkjhgkj jhgkjhgkj kjhgkjhg jhgkjhg kjhgkjhgk jhgkjhgkj jhgkjhg jhgkjhgkj jhgkjhgkj jhgkjhgkj kjhgkjhg jhgkjhg kjhgkjhgk jhgkjhgkj jhgkjhg jhgkjhgkj jhgkjhgkj jhgkjhgkj kjhgkjhg jhgkjhg kjhgkjhgk jhgkjhgkj jhgkjhg jhgkjhgkj jhgkjhgkj jhgkjhgkj kjhgkjhg \end{proof} Mais nous pouvons aussi définir le thésard ``moyen''~: \begin{definition} Nous appelerons {\em thésard moyen} un thésard tel que ... moi. \end{definition} \begin{corollary} Donc il n'y a pas de raisons de désespérer \end{corollary} \begin{remark} Mais pas non plus d'espérer ... \end{remark} \begin{proposition} Tout cela nous plait \end{proposition} \begin{example}{Premier exemple} Je l'aurai :-) \end{example} \section{Juste pour voir avec les figures} Et si nous mettions une petite figure~? \begin{figure}[hbtp] \begin{center} \leavevmode\epsfbox{f-exemple-rdpe-inhib.ps} \end{center} \caption{Un réseau à arcs inhibiteurs \label{f-exemple-rdpe-inhib}} \end{figure} La figure \ref{f-exemple-rdpe-inhib} n'est-elle pas jolie ??? \chapter{On va en faire un autre} Eh oui, il faut bien placer une table~! \section{Et voici une section~!} Mais je veux vérifier qu'une table dans la première section est vraiment gènante... \section{La section de la table ...} Alors avec son paragraphe et la table \ref{table1}. \begin{table}[h] \label{table1} {\em Ceci est la table du $1$~:} \begin{tabbing} 1 fois 1 \= 1 \\ 1 fois 2 \> 2 \\ 1 fois 3 \> 3 \\ 1 fois 4 \> 4 \\ 1 fois 5 \> 5 \\ 1 fois 6 \> 6 \\ 1 fois 7 \> 7 \\ 1 fois 8 \> 8 \\ 1 fois 9 \> 9 \end{tabbing} \caption{Je suis fort en calcul~!} \end{table} \section{Et en voici une autre~!} Comme cela, on peut vérifier les en-têtes.\footnote{et même les notes de bas-de-page~!} Mais il faut aussi énumérer~: \begin{itemize} \item toutes \begin{itemize} \item les \begin{itemize} \item possibilités \begin{itemize} \item de création de listes, avec plus ou moins de niveaux ! \end{itemize} \end{itemize} \end{itemize} \end{itemize} \begin{enumerate} \item toutes \begin{enumerate} \item les \begin{enumerate} \item possibilités \begin{enumerate} \item de création de listes, avec plus ou moins de niveaux ! \end{enumerate} \end{enumerate} \end{enumerate} \end{enumerate} \begin{description} \item[desc1] toutes \begin{description} \item[desc2] les \begin{description} \item[desc3] possibilités \begin{description} \item[desc4] de création de listes, avec plus ou moins de niveaux ! \end{description} \end{description} \end{description} \end{description} Sans oublier que les équations sont importantes~: \[ 1+1 = 2 \] \begin{equation} 2+2 = 4 \end{equation} \chapter{Alors, le trois' aussi ?} Intro chap. \section{Ou pas ?} Intro. section. \section{Exemple} Il faut maintenant un bon exemple (\ref{exple})~: \begin{example}{Un exemple parmis d'autres} \label{exple} Ceci est un exemple de programme~:\\ Si kldjfsl;kj lk;jlkfs \\ Alors lkjsdl;kfjslkfjsdlkfsdljfkd \\ Sinon lkjlkfjslkjfslfjks kl;kdfj ld;kfjg;lkg dslkgjl;g dflkgjs;lg fdlkgjsg slkj;lg slkjf;glk kl;kdfj ld;kfjg;lkg dslkgjl;g dflkgjs;lg fdlkgjsg slkj;lg slkjf;g kl;kdfj ld;kfjg;lkg dslkgjl;g dflkgjs;lg fdlkgjsg slkj;lg slkjf;gdfsas kl;kdfj ld;kfjg;lkg dslkgjl;g dflkgjs;lg fdlkgjsg slkj;lg slkjf;g kl;kdfj ld;kfjg;lkg dslkgjl;g dflkgjs;lg fdlkgjsg slkj;lg slkjf;gdfasdsdf lk;jsg \end{example} \conclusion{Conclusion et perspectives} Voilà pour tester le DERNIER additif, isn't it Jaime ? ;-) \appendix \chapter{La première annexe} \section{Va nous permettre} \subsection{De vérifier} Que la bibliographie est propre ! Et puis que les ponctuations sont propres:\\ oui:\\ oui :\\ oui~:\\ oui? \cite{autant90} \cite{autant94} \cite{autant93b} \cite{kieburtz88,kiehn88,kennaway87,kennaway88,kennaway90,kesten93,kfoury82} Mais surtout, nous pouvons vérifier que l'index est OK ! \index{A} \index{AA} \index{AAB} \index{AABB} \index{AABBC} \index{bAABBC} \index{cAABBC} \index{dAABBC} \index{eAABBC} \index{fAABBC} \index{gAABBC} \index{hAABBC} \index{iAABBC} \index{jAABBC} \index{kAABBC} \index{lAABBC} \index{mAABBC} \index{nAABBC} \index{oAABBC} \index{pAABBC} \index{qAABBC} \index{rAABBC} \index{sAABBC} \index{tAABBC} \index{uAABBC} \index{vAABBC} \index{wAABBC} \index{xAABBC} \index{yAABBC} \index{zAABBC} \index{bAxABBC} \index{eAxABBC} \index{fAxABBC} \index{gAxABBC} \index{hAxABBC} \index{iAxABBC} \index{jAxABBC} \index{kAxABBC} \index{lAxABBC} \index{mAxABBC} \index{nAxABBC} \index{oAxABBC} \index{pAxABBC} \index{qAxABBC} \index{rAxABBC} \index{sAxABBC} \index{tAxABBC} \index{uAxABBC} \index{vAxABBC} \index{wAxABBC} \index{xAxABBC} \index{yAxABBC} \index{zAxABBC} \index{bAyABBC} \index{cAyABBC} \index{dAyABBC} \index{eAyABBC} \index{fAyABBC} \index{gAyABBC} \index{hAyABBC} \index{iAyABBC} \index{jAyABBC} \index{kAyABBC} \index{lAyABBC} \index{mAyABBC} \index{nAyABBC} \index{oAyABBC} \index{pAyABBC} \index{qAyABBC} \index{rAyABBC} \index{sAyABBC} \index{tAyABBC} \index{uAyABBC} \index{vAyABBC} \index{wAyABBC} \index{xAyABBC} \index{yAyABBC} \index{zAyABBC} \chapter{La seconde annexe} Pour vérifier que tout va bien, Madame la Marquise ! \indexintro{\footnotesize Par exemple, il est possible de mettre les pages en gras si elles référencent des sections, en italique pour les définitions, etc. Laissez libre cours à votre imagination !} \bibliography{/home/mercure/pfister/BIBLIOS/complete} \bibliographystyle{alpha} \IfFileExists{./test-lifia-th.ind}{\input{test-lifia-th.ind}}{} \resume{Voici le texte du résumé en francais. Il est bien sûr indenté ainsi que le résumé anglais.} \abstract{And the text of the english one !} \motscles{petite, thèse, tranquille} \keywords{small, and, easy, thesis} \end{document}