From 57edbaffbe7daad894e3036a4123acd03e0fdb9b Mon Sep 17 00:00:00 2001 From: Norbert Preining Date: Mon, 7 Sep 2020 03:01:41 +0000 Subject: CTAN sync 202009070301 --- info/latex2e-help-texinfo-fr/latex2e-fr.xml | 18332 ++++++++++++++++---------- 1 file changed, 11648 insertions(+), 6684 deletions(-) (limited to 'info/latex2e-help-texinfo-fr/latex2e-fr.xml') diff --git a/info/latex2e-help-texinfo-fr/latex2e-fr.xml b/info/latex2e-help-texinfo-fr/latex2e-fr.xml index 054ba7f97b..463179ba18 100644 --- a/info/latex2e-help-texinfo-fr/latex2e-fr.xml +++ b/info/latex2e-help-texinfo-fr/latex2e-fr.xml @@ -8,19 +8,34 @@ latex2e-fr.info fr UTF-8 -Août 2017 -http://puszcza.gnu.org.ua/software/latexrefman/ +Septembre 2020 + + +https://latexref.xyz latexrefman@@tug.org -manuel de référence officieux de &latex;2e (Août 2017) + +thenelse\else\@c + + + + +Manuel de référence officieux de &latex;2e (Septembre 2020) + + + + + + + + + + - - - @@ -32,10 +47,21 @@ + + + + + + + + + + + @@ -47,30 +73,30 @@ + Ce document est un manuel de référence officieux pour &latex;, un -système de préparation de documents, version « Août 2017 ». +système de préparation de documents, version « Septembre 2020 ». Ce manuel a été traduit du fichier LATEX.HLP v1.0a de la -bibliothèque d&textrsquo;aide VMS. La version pré-traduction a été rédigé par -George D. Greenwade de Sam Houston State University. La version +bibliothèque d&textrsquo;aide VMS. La version pré-traduction a été rédigée par +George D. Greenwade de l&textrsquo;université d&textrsquo;État Sam Houston, au Texas (USA). La version &latex; 2.09 a été rédigée par Stephen Gilmore. La version &latex;2e a -été adapté à partir de cellce-ci par Torsten Martinsen. Karl Berry a +été adaptée à partir de celle-ci par Torsten Martinsen. Karl Berry a fait d&textrsquo;autres mises à jour et ajouts, et reconnaît avec gratitude avoir utilisé Hypertext Help with &latex;, de Sheldon Green, et &latex; Command Summary (pour &latex;2.09) de L. Botway et C. Biemesderfer (publié par le &tex; Users Group en tant que -&tex;niques numéro 10), il l&textrsquo;a utilisé en tant que matériel de -référence (aucun texte n&textrsquo;était directement copié). +&tex;niques numéro 10) ; il a utilisé ces documents en tant que matériel de +référence et n&textrsquo;en a copié aucun texte directement. -Tous droits réservés ©right; 2015-2017 Vincent Belaïche &textmdash; traduction.&linebreak; -Tous droits réservés ©right; 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, -2014, 2015, 2016, 2017 Karl Berry. &linebreak; +Tous droits réservés ©right; 2015-2020 Vincent Belaïche &textmdash; traduction.&linebreak; +Tous droits réservés ©right; 2007-2020 Karl Berry. &linebreak; Tous droits réservés ©right; 1988, 1994, 2007 Stephen Gilmore. &linebreak; Tous droits réservés ©right; 1994, 1995, 1996 Torsten Martinsen. -Ci-après se trouve la licence sous laquelle est distribuée ce manuel, +Ci-après se trouve la licence sous laquelle est distribuée ce manuel ; une traduction en est donnée en annexe, voir License translation. @@ -105,8 +131,8 @@ into another language, under the above conditions for modified versions. &latex;2e: Un manuel de référence officieux -Août 2017 -http://puszcza.gnu.org.ua/software/latexrefman/ +Septembre 2020 +https://latexref.xyz 0pt plus 1filll @@ -120,34 +146,33 @@ into another language, under the above conditions for modified versions. utf8math\utf8\ -thenelse\else\@c - env@findex @r{environnement} @code{\env\} @findex @code{\env\}, @r{environnement} + pkg@findex @r{paquetage} @code{\pkg\} @findex @code{\pkg\}, @r{paquetage} + -Ceci n'est pas disponible en @TeX{} de base. +@TeX{} de base +Ceci n'est pas disponible en @value{PlainTeX}. @value{NotInPlainTeX} En @LaTeX{} vous devez charger le paquetage @file{amssymb}. @value{NotInPlainTeX} En @LaTeX{} vous devez charger le paquetage @file{stix}. - - TopAbout this document(dir) &latex;2e : un manuel de référence officieux Ce document est un manuel de référence officieux pour &latex;2e, un -système de préparation de document, dans sa version « Août 2017 ». +système de préparation de document, dans sa version « Septembre 2020 ». À propos de ce documentAbout this document
reporter les bogues, etc.
 
AperçuOverview
Qu&textrsquo;est-ce que &latex;?.
 
Classe de documentsDocument classes
Certaines des différentes classes disponibles.
-
PolicesFonts
italique, gras, machine à écrire, etc
+
PolicesFonts
italique, gras, tapuscrit, etc
 
Mise en pageLayout
Contrôle de la mise en page.
 
RubricageSectioning
Comment bien faire des rubriques.
-
Les références croiséesCross references
Référencement automatique.
+
Les renvoisCross references
Renvoi automatique.
 
EnvironnementsEnvironments
tels que enumerate et itemize.
 
Sauts de ligneLine breaking
Influencer les sauts de ligne.
 
Sauts de pagePage breaking
Influencer les sauts de page.
@@ -161,14 +186,16 @@ système de préparation de document, dans sa version « Août 2017 ».
 
Les styles de pagePage styles
Différents styles de mise en page.
 
Les espacesSpaces
Espace horizontal et vertical.
 
BoîtesBoxes
Faire des boîtes.
+
CouleurColor
Définir et utiliser des couleurs.
+
GraphiquesGraphics
Importer des graphiques de l&textrsquo;extérieur de &latex;.
 
Insertions spécialesSpecial insertions
Insertion de caractères réservés et spéciaux.
 
Diviser l&textrsquo;entréeSplitting the input
Traiter de gros fichiers en les partitionnant.
-
Prologue et épilogueFront/back matter
Tables des matières, glossaires, index.
+
Parties pré/post-liminairesFront/back matter
Table des matières, glossaires, index.
 
LettresLetters
La classe letter.
 
Entrée / sortie du terminalTerminal input/output
Interaction avec l&textrsquo;utilisateur.
 
La ligne de commandeCommand line
Comportement indépendant du système de la ligne de commande.
 
Patrons de documentDocument templates
Patron pour commencer diverses classes de documents.
-
Traduction de la licenseLicense translation
Une traduction à titre informatif de la licence.
+
Traduction de la licenceLicense translation
Une traduction à titre informatif de la licence.
 
Index des ConceptsConcept Index
Index général.
 
Index des commandesCommand Index
Liste alphabétique des  commandes &latex;.
 
@@ -178,14 +205,14 @@ système de préparation de document, dans sa version « Août 2017 ». About this documentOverviewTopTop À propos de ce document -http://puszcza.gnu.org.ua/software/latexrefman/ page d&textrsquo;accueil +https://latexref.xyz page d&textrsquo;accueil Ceci est un manuel de référence officieux pour le système &latex;2e de -préparation de document, ce système est mis en oeuvre sous forme d&textrsquo;un +préparation de document. Ce système est mis en œuvre sous forme d&textrsquo;un paquet de macros pour le programme de composition &tex; (Overview). La page d&textrsquo;accueil de ce document est -http://puszcza.gnu.org.ua/software/latexrefman/. Cette page contient des liens vers -les produits courants de fabrication du document dans différents -formats, les sources, les listes de diffusion, et d&textrsquo;autres +https://latexref.xyz. Cette page contient des liens vers +différentes versions de ce document, dans différents +formats et langues, mais aussi vers ses sources, vers les archives des listes de diffusion qui lui sont consacrées ainsi que vers d&textrsquo;autres infrastructures. &latex; ou &latex;2e, que choisir ? @@ -206,11 +233,14 @@ par les mainteneurs de &latex;. bogues, rapports anomalies, rapports Ne leur envoyez donc pas de rapports d&textrsquo;anomalie ou quoi que ce soit -d&textrsquo;autre. Au lieu de cela, s&textrsquo;il vous plaît envoyez tous commentaires à +d&textrsquo;autre. +
+En revanche, n&textrsquo;hésitez pas à adresser vos commentaires à latexrefman&arobase;tug.org. -Ce document est un manuel de référence. Il y a une vaste gamme d&textrsquo;autres sources d&textrsquo;information sur -&latex;, de tous niveaux. Voici quelques introductions : +Ce document est un manuel de référence. Il y a d&textrsquo;autres sources d&textrsquo;information sur +&latex; : elles sont très nombreuses, et s&textrsquo;adressent à des utilisateurs de tous niveaux. +Voici quelques introductions : @@ -251,28 +281,34 @@ est un. Knuth, Donald E.Lamport, Leslie&latex; aperçu -&latex; est un système de composition de document. Il fut à l&textrsquo;origine -créé par Leslie Lamport et est desormais maintenu par un groupe de +&latex; est un système de composition de documents. Il fut à l&textrsquo;origine +créé par Leslie Lamport ; il est désormais maintenu par un groupe de volontaires (http://latex-project.org). Il est largement utilisé, en particulier pour les documents complexes et techniques, tels que ceux impliquant des mathématiques. + + + paquet de macro, &latex; en tant que -Un utilisateur &latex; écrit un fichier d&textrsquo;entrée contenant le texte -d&textrsquo;un document avec des commandes qui y sont intercalées pour décrire -comment le texte doit être formaté. &latex; est mis en œuvre comme un +À l&textrsquo;aide d&textrsquo;un simple éditeur de texte, +un utilisateur &latex; écrit un fichier, dit fichier d&textrsquo;entrée, +qui contient son texte ; des commandes y sont intercalées : +ce sont des instructions servant à décrire la manière dont le texte +doit être formaté. En effet, &latex; est mis en œuvre comme un ensemble de commandes liées s&textrsquo;interfaçant avec le programme de composition &tex; de Donald E. Knuth (le terme technique est que &latex; est un paquet de macros pour le moteur &tex;). -L&textrsquo;utilisateur produit le document de sortie en donnant ce fichier -d&textrsquo;entrée au moteur &tex;. +En donnant le fichier d&textrsquo;entrée au moteur &tex;, +l&textrsquo;utilisateur produit le document de sortie +qui contient son texte mis en page. Le terme &latex; est aussi parfois utilisé pour signifier le langage à -balises dans lequel le code source du document est écrit, c.-à-d.&noeos; pour +balises dans lequel le code source du document est écrit, c&textrsquo;est-à-dire pour signifier l&textrsquo;ensemble des commandes à la disposition d&textrsquo;un utilisateur de &latex;. @@ -281,7 +317,7 @@ signifier l&textrsquo;ensemble des commandes à la disposition d&textrsquo;un ut Le nom &latex; est l&textrsquo;abréviation de &textldquo;Lamport &tex;&textrdquo;. On le prononce LA-TÈQUE. Au sein du document, on produit le logo avec \LaTeX. Là où l&textrsquo;utilisation du logo n&textrsquo;est pas raisonnable, comme dans du texte -brut, écrivez le LaTeX. +brut, écrivez-le LaTeX. @@ -289,6 +325,8 @@ brut, écrivez le LaTeX. Fichiers de sortieOutput files
Fichiers produits.
 
Moteurs &tex;&tex; engines
Programmes qui peuvent compiler du code source &tex; et &latex;.
 
Syntaxe des commandes &latex;&latex; command syntax
Syntaxe générale des commandes &latex;.
+
EnvironnementEnvironment
Zone du code source avec un comportement distinct.
+
CTAN
Notre dépôt.
 
Starting and endingOutput filesOverview @@ -300,7 +338,8 @@ brut, écrivez le LaTeX. Bonjour le monde Les fichiers &latex; ont une structure globale simple, avec un début et -une fin standards. Voici un exemple « Bonjour le monde » : +une fin standards. Voici un exemple : il s&textrsquo;agit d&textrsquo;obtenir un document +contenant la phrase « Bonjour le monde ».
\documentclass{article}
@@ -311,8 +350,8 @@ Bonjour le monde \LaTeX.
 
 classe de document, définition
 
-Ici article et ce qu&textrsquo;on appelle la classe de document,
-implémentée dans une fichier article.cls. N&textrsquo;importe quelle classe
+Ici article est ce que l&textrsquo;on appelle la classe de document ;
+elle est implémentée dans une fichier article.cls. N&textrsquo;importe quelle classe
 de document peut être utilisée. Quelques classes de document sont
 définies par &latex; lui-même, et un grand nombre d&textrsquo;autres sont
 largement disponibles. Document classes.
@@ -330,8 +369,9 @@ aucun autre) est obligatoire dans tous les documents &latex;
 d&textrsquo;environnements, et bien plus encore sont définis séparément.
 Environments.
 
-Les rubriques suivantes discutent de la façon de produire des PDF et
-d&textrsquo;autres format de sortie à partir d&textrsquo;un fichier d&textrsquo;entrée &latex;.
+Les rubriques suivantes sont consacrées aux façons de produire,
+à partir d&textrsquo;un fichier d&textrsquo;entrée &latex;, des documents PDF ou
+d&textrsquo;autres formats.
 
 
 
@@ -350,25 +390,25 @@ soit en .dvi soit en .pdf.
 commande dvips
 commande dvipdfmx
 commande dvitype
-Si il est invoqué avec la commande système latex, alors il
+S&textrsquo;il est invoqué avec la commande système latex, alors il
 produit un fichier « DeVice IndependentIndépendant du
 périphérique de sortie, ce n&textrsquo;est toutefois pas un format portable de
 document » (.dvi). Vous pouvez visualiser ce fichier avec une
 commande comme xdvi, ou le convertir en fichier PostScript
 .ps avec dvips ou en fichier « Portable Document
 FormatFormat portable de document » .pdf avec
-dvipdfmx. Un grand nombre d&textrsquo;autres progammes utilitaires DVI
-sont disponibles (http://mirror.ctan.org/dviware).
+dvipdfmx. Un grand nombre d&textrsquo;autres progammes utilitaires
+pour fichiers DVI sont disponibles (http://mirror.ctan.org/dviware).
 
 .pdf
 .pdf fichier
 pdf&tex;
 commande pdflatex
 Si &latex; est invoqué avec la commande système pdflatex,
-parmi d&textrsquo;autres commandes (&tex; engines), alors la sortie
-principale est un fichier &textldquo;Portable Document Format&textrdquo;
+alors la sortie principale est un fichier &textldquo;Portable Document Format&textrdquo;
 (.pdf). Typiquement, il s&textrsquo;agit d&textrsquo;un fichier autonome, avec toutes
 les polices et images incorporées.
+D&textrsquo;autres commandes (&tex; engines) produisent des fichiers PDF.
 
 
 
@@ -399,7 +439,7 @@ les polices et images incorporées.
 informations sommaires telles que la liste des paquetages chargés. Il
 contient aussi des messages de diagnostic
 
-et possiblement des informations supplémentaires concernant toutes
+et, possiblement, des informations supplémentaires concernant toutes
 erreurs.
 
 .aux
@@ -411,12 +451,12 @@ erreurs.
 De l&textrsquo;information auxiliaire est utilisée par &latex; pour des choses
 telles que les doubles renvois.  Par exemple, la première fois que
 &latex; trouve un renvoi en aval &textmdash; une double référence à
-quelque-chose qui n&textrsquo;est pas encore apparu dans le code source &textmdash; il
+quelque chose qui n&textrsquo;est pas encore apparu dans le code source &textmdash; il
 apparaîtra dans la sortie comme un double point d&textrsquo;interrogation
 ??.  Quand l&textrsquo;endroit auquel le renvoi fait référence finit par
-appraître dans le code source, alors &latex; écrit son information de
+apparaître dans le code source, alors &latex; écrit son information de
 localisation dans ce fichier .aux.  À l&textrsquo;invocation suivante,
-&latex; lit l&textrsquo;inforlation de localisation à partir de ce fichier et
+&latex; lit l&textrsquo;information de localisation à partir de ce fichier et
 l&textrsquo;utilise pour résoudre le renvoi, en remplaçant le double point
 d&textrsquo;interrogation avec la localisation mémorisée.
 
@@ -451,9 +491,9 @@ fin définie.
 entrée Unicode, native
 polices TrueType
 polices OpenType
-&latex; est défini comme un ensemble de commande qui sont exécutées par
+&latex; est défini comme un ensemble de commandes qui sont exécutées par
 une implémentation &tex; (Overview).  Cette section donne une
-vue d&textrsquo;ensemble laconique des principaux programmes.
+brève vue d&textrsquo;ensemble des principaux programmes.
 
 
latex @@ -487,9 +527,9 @@ l&textrsquo;hyptohèse que les extension e-&tex; sont disponibles en &latex;. Si &latex; est invoqué avec la commandes systèmes lualatex, alors le moteur Lua&tex; est exécuté (http://ctan.org/pkg/luatex). Ce programme permet que du code -écrit dans le langage script Lua (http://luatex.org) intéragisse +écrit dans le langage script Lua (http://luatex.org) interagisse avec la compostion faite par &tex;. Lua&tex; traite nativement -l&textrsquo;entrée en Unicode UTF-8, peut traiter les polices OpenType et +l&textrsquo;entrée en codage Unicode UTF-8, peut traiter les polices OpenType et TrueType, et produit un fichier .pdf par défaut. Il y a aussi dvilualatex pour produire un fichier .dvi, mais cela est rarement utilisé. @@ -501,10 +541,10 @@ est rarement utilisé. xdvipdfmx Si &latex; est invoqué avec la commandes système xelatex, le moteur Xe&tex; est exécuté (http://tug.org/xetex). Comme -Lua&tex;, Xe&tex; prend en charge nativement UTF-8 Unicode et les -polices TrueType et OpenType, bien que l&textrsquo;implementation soit -complètement différente, utilisant principalement des bibliothèque -externe plutôt que du code interne. Xe&tex; produit un fichier .pdf +Lua&tex;, Xe&tex; prend en charge nativement le codage Unicode UTF-8 et les +polices TrueType et OpenType, bien que leur implémentation soit +complètement différente, en utilisant principalement des bibliothèques +externes plutôt que du code interne. Xe&tex; produit un fichier .pdf en sortie ; il ne prend pas en charge la sortie DVI. En interne, Xe&tex; crée un fichier .xdv file, une variante de @@ -514,14 +554,14 @@ Le fichier .xdv n&textrsquo;est utile que pour le débogage.
-D&textrsquo;autres vairantes de &latex; et &tex; existent, par ex. pour fournir -une prise en charge supplémentaires du japonais des d&textrsquo;autres langages +D&textrsquo;autres variantes de &latex; et &tex; existent, par exemple pour fournir +une prise en charge supplémentaire du japonais et d&textrsquo;autres langages ([u]p&tex;, http://ctan.org/pkg/ptex, http://ctan.org/pkg/uptex). -&latex; command syntax&tex; enginesOverview +&latex; command syntaxEnvironment&tex; enginesOverview
Syntaxe des commandes &latex; commandes, syntaxe des @@ -529,47 +569,57 @@ une prise en charge supplémentaires du japonais des d&textrsquo;autres langages [...] pour les arguments optionnels {...} pour les arguments obligatoires Dans le fichier d&textrsquo;entrée &latex;, un nom de commande commence avec une -contr&textrsquo;oblique, \. Le nom lui-même consiste soit en (a) une -chaîne de lettres ou (b) une unique non-lettre. +contre-oblique, \. Le nom lui-même consiste soit en (a) une +chaîne de lettres ou (b) un unique caractère, qui dans ce cas n&textrsquo;est pas une lettre. Les noms de commandes &latex; sont sensibles à la casse de sorte que \pagebreak diffère de \Pagebreak (ce dernier n&textrsquo;est pas une -commande standarde). La plupart des noms de commandes sont en bas de -casse, mais en tout cas vous devez saisir toutes les commandes dans la -même casse où elles sont définies. +commande standard). La plupart des noms de commandes sont en bas de +casse, mais elles sont sensibles à la casse : vous devez toujours saisir +les commandes en respectant la casse où elles ont été définies. Une commande peut être suivie de zéro, un ou plus d&textrsquo;arguments. Ces arguments peuvent être soit obligatoires, soit optionnels. Les arguments obligatoires sont entre accolades, {...}. Les -arguments optionnels sont entre crochets, [...]. En général, -mais ce n&textrsquo;est pas universel, si la commande prend un argument optionnel, +arguments optionnels sont entre crochets, [...]. En général +(mais ce n&textrsquo;est pas universel), si la commande prend un argument optionnel, il vient en premier, avant tout argument obligatoire. Au sein d&textrsquo;un argument optionnel, pour utiliser le crochet -fermant (]) cachez le au sein d&textrsquo;accolades, comme +fermant (]) cachez-le au sein d&textrsquo;accolades, comme dans \item[crochet fermant {]}]. De même, si un argument optionnel vient en dernier, sans argument obligatoire à sa suite, alors -pour qie le premier caractère dans le texte suivant soit un crochet -ouvrant, cachez le entre accolades. +pour que le premier caractère dans le texte suivant soit un crochet +ouvrant, cachez-le entre accolades. -&latex; a la convetion que certaines commandes ont une forme en a -* qui est en relation avec la forme sans le *, telles que +&latex; obéit à la convention selon laquelle certaines commandes ont une forme étoilée +(*) qui est en relation avec la forme sans le *, telles que \chapter et \chapter*. La différence exacte de comportement dépend de la commande. -Ce manuel décrit toutes les options accepté et les formes en * -pour les commandes dont il traite (à l&textrsquo;exeption des omissions -involontaires, ou bogues de ce manuel). +Ce manuel décrit toutes les options acceptées et les formes en * +pour les commandes dont il traite (à l&textrsquo;exception des omissions +involontaires ou bogues de ce manuel). + -EnvironnementEnvironment
Zone du code source avec un comportement distinct.
-
DéclarationDeclaration
Changer la valeur ou la signification d&textrsquo;une commande.
-
\makeatletter et \makeatother\makeatletter and \makeatother
Change la catégorie du caractère arobe.
+DéclarationDeclaration
Changer la valeur ou la signification d&textrsquo;une commande.
 
-EnvironmentDeclaration&latex; command syntax -Les environnements + +Declaration&latex; command syntax +Les déclarations de commandes + +Certaines commandes changent la valeur ou la signification d&textrsquo;une +autre commande ou d&textrsquo;un paramètre. Par exemple, la commande \mainmatter +change le réglage de la numérotation des pages en passant de chiffres +romains à des chiffres arabes. + + +
+EnvironmentCTAN&latex; command syntaxOverview +
Les environnements Synopsis : @@ -585,23 +635,23 @@ les lignes entre \begin{verse} et \end{v
\begin{verse}
-    There once was a man from Nantucket \\
+    Plus ne suis ce que j'ai été \\
      ...
 \end{verse}
 
Voir Environments pour une liste des environnements. -Le nom environnement au début doit s&textrsquo;accorder exactement avec -celui à la fin. Ceci comprend le cas où nom environnement se -termine par une étoile(*) ; l&textrsquo;argument à la fois de +Le nom environnement du début doit s&textrsquo;accorder exactement avec +celui de la fin. Cela vaut aussi dans le cas où nom environnement se +termine par une étoile (*) ; l&textrsquo;argument à la fois de \begin et \end doit comprendre l&textrsquo;étoile. Les environnements peuvent avoir des arguments, y compris des arguments optionnels. L&textrsquo;exemple ci-dessous produit un tableau. Le premier -argument est optionnel (et implique de la table est alignée -verticalement sur sa première ligne) alors que le second argument et -obligatoire (il spécifie le format des colonnes). +argument est optionnel (il aligne verticalement le tableau +sur sa première ligne) alors que le second argument est +obligatoire (il spécifie le format des colonnes du tableau).
\begin{tabular}[t]{r|l}
@@ -609,394 +659,53 @@ obligatoire (il spécifie le format des colonnes).
 \end{tabular}
 
+
+CTANEnvironmentOverview +
CTAN : The Comprehensive &tex; Archive Network - -Declaration\makeatletter and \makeatotherEnvironment&latex; command syntax -Les déclarations de commandes - -Une commande qui change la valeur, ou change la signification, d&textrsquo;une -autre commande ou paramètre. Par exemple, la commande \mainmatter -change le réglage de la numérotation des pages en passant de numéros -romains à des numéros arabes. - - -\makeatletter and \makeatotherDeclaration&latex; command syntax -\makeatletter et \makeatother - -Synopsis : - - -
\makeatletter
-  ... définition de commande comprenant &arobase; dans leur nom ..
-\makeatother
-
- -Utilisé pour redéfinir des commandes internes de &latex;. -\makeatletter a pour effet que le caractère arobe &arobase; ait -le code de catégorie des lettres, c.-à-d.&noeos; 11. \makeatother -règle de code de catégorie de &arobase; à 12, sa valeur d&textrsquo;origine. - -À mesure que chaque caractère est lu par &tex; pour &latex;, un code -de catégorie lui est assigné. On appelle aussi ce code -catcode -code de catégorie de caractère -catégorie, code de &dots; de caractère -catcode pour faire court. Par exemple, la contr&textrsquo;oblique \ -reçoit le catcode 0, qui correspond aux catactères qui commencent une -commande. Ces deux commandes altèrent le catcode assigné à &arobase;. - -Cette altération est nécessaire parce que beaucoup des commandes de -&latex; utilisent &arobase; dans leur nom, de sorte à empécher les -utilisateurs de définir accidentellement une commande qui remplacerait -l&textrsquo;une des commandes privées de &latex;. Les noms de commandes -consistent en un caractère de catégorie 0, d&textrsquo;ordinaire une -contr&textrsquo;oblique, suivi de lettres, c.-à-d.&noeos; des caractères de -catégorie 11 (à ceci près q&textrsquo;un nom de commande peut aussi consister d&textrsquo;un -catactère de catégorie 0 suivi d&textrsquo;un seul symbole non-lettre). Ainsi sous -le régime par défaut de codes de catégorie, les commandes définies par -l&textrsquo;utilisateur ne peuvent pas contenir de &arobase;. Mais -\makeatletter et \makeatother permettent aux utilisateurs -de définir et re-définir des commandes dont le nom comprend un -&arobase;. - -À utiliser dans un fichier .tex, dans le préambule. Ne pas -utiliser dans des fichiers .sty ou .cls puisque les -commandes \usepackage et \documentclass règlent le code de -catégorie de l&textrsquo;arobe à celui d&textrsquo;une lettre. - -paquetage macros2e -macros2e, paquetage -Pour une liste complète des macros contenant un arobe dans leur nom, -voir le document http://ctan.org/pkg/macros2e. Ces macros sont -surtout à l&textrsquo;intention des auteurs de classes et de paquetages. - - -L&textrsquo;exemple ci-après est typique. Une commande -\these&arobase;nomuniversite se trouve dans le fichier de classe de -l&textrsquo;utilisateur. L&textrsquo;utilisateur veut changer sa définition. Pour cela, il -suffit d&textrsquo;insérer les trois lignes suivantes dans le préambule, avant le -\begin{document} : - - -
\makeatletter
-\renewcommand{\these&arobase;nomuniversite}{Université Lyon III Jean Moulin}
-\makeatother
-
- - - -\&arobase;startsection
Redéfinir les commandes de rubricage.
-
\&arobase;ifstar
Définir vos propres commandes étoilées.
-
- - -\&arobase;startsection\&arobase;ifstar\makeatletter and \makeatother -\&arobase;startsection - -Synopsis : - - -
\&arobase;startsection{nom}{niveau}{retrait}{avant}{après}{style}
-
- -Cette commande permet de redéfinir les commandes de rubricage telles que \section ou \subsection. - -Notez que le paquetage titlesec rend la manipulation du rubricage -plus facile. De plus, bien que la plupart des exigences concernant les -commandes de rubricage peuvent être remplies avec -\&arobase;startsection, ce n&textrsquo;est pas le cas de toutes. Par exemple, -dans les classes &latex; standardes book et report les -commandes \chapter et \report ne sont pas construite de -cette manière. Pour fabriquer une telle commande il est possible -d&textrsquo;utiliser la commande \secdef. - - -Techniquement, cette commande a la forme : - -
\&arobase;startsection{nom}{niveau}{retrait}{avant}{après}{style}
-    *[titretdm]{titre}
-
- de sorte que faire : - -
\renewcommand{\section}{\&arobase;startsection{nom}{niveau}{retrait}%
-     {avant}{après}{style}}
-
- redéfinit \section en gardant sa forme standarde d&textrsquo;appel -\section*[titretdm]{titre}. Sectioning et -les exemples plus bas. - - - - -nom -\&arobase;startsection/name Nom du compteur (qui doit être défini -séparément) utilisé pour numéroter le titre de rubrique. Ceux le plus -communément utilisés sont section, subsection, ou -paragraph. Bien que dans ces trois cas le nom du compteur soit le -même que celui de la commande elle-même, utiliser le même nom n&textrsquo;est pas -exigé. - -Alors \thename affiche le numéro de titre, et -\namemark sert aux en-têtes de page. - -niveau -\&arobase;startsection/level Un entier donnant la profondeur de la -commande de rubricage, par ex.&noeos; 0 pour chapter (ceci ne -s&textrsquo;applique qu&textrsquo;aux classes standardes book et report), 1 -pour section, 2 pour subsection, 3 pour -subsubsection, 4 pour paragraph et 5 pour -subparagraph. Dans les classes book et report, -part a pour niveau -1, alors que dans la classe article, -part a pour niveau 0. - -Si niveau est inférieur ou égal à la valeur de secnumdepth -alors les titres pour cette commande de rubricage sont numérotés. Par -ex.&noeos; dans un article, si secnumdepth vaut 1 alors une -commande \section{Introduction} produira en sortie quelque -chose du genre de 1 Introduction alors que -\subsection{Historique} produit en sortie quelque chose du -genre de Historique, sans numéro en -préfixe. Sectioning/secnumdepth. - -Si niveau est inférieur ou égal à la valeur de secnumdepth -alors la table des matières aura un article pour cette rubrique. Par -exemple, dans un article, si tocdepth vaut 1 alors la -table des matières listera les sections, mais pas les -subsections. - - -retrait -\&arobase;startsection/indentUne longueur donnant le renfoncement de -toutes les lignes du titre relativement à la marge. Pour un -renfoncement nul, utilisez 0pt. - - -Une valeur négative telle que -1em cause un débord du titre dans -la marge. - -avant -\&arobase;startsection/beforeskip Longueur dont la valeur absolue est -la longueur de l&textrsquo;espace vertical à insérer avant le titre de la -rubrique. Cet espacement est ignoré si la rubrique commence au début -d&textrsquo;une page. Si en plus avant est négatif, alors le premier -paragraphe suivant immédiatement le titre n&textrsquo;est pas renfoncé, s&textrsquo;il est -positif ou nul il l&textrsquo;est. (Notez que l&textrsquo;opposé de 1pt plus 2pt -minus 3pt est -1pt plus -2pt minus -3pt). - -Par exemple si avant vaut -3.5ex plus -1ex minus -0.2ex -alors pour commencer la nouvelle rubrique, &latex; ajoute environ 3,5 -fois la hauteur d&textrsquo;une lettre x en espace veritical, et le premier -paragraphe de la rubrique n&textrsquo;est pas renfoncé. Utiliser une longueur -élastique, c.-à-d.&noeos; comprenant plus et minus, est une -bonne pratique ici car cela donne à &latex; plus de latitude lors de la -fabrication de la page. - -La quantité totale d&textrsquo;espace vertical entre la ligne de base de la ligne -précédant le titre de cette rubrique est la ligne de base du titre est -la somme du \parskip dans la police du corps de texte, du -\baselineskip de la police du titre, et de la valeur absolue de -l&textrsquo;argument avant. Cet espace est typiquement élastique et peut se -dilater ou se contracter. (Si la rubrique commence en début d&textrsquo;une page -de sorte que cet espace soit ignoré, alors la ligne de base du titre -correspond à la ligne de base qu&textrsquo;aurait la première ligne de texte sur -cette page si celle-ci commençait par du texte). - -après -\&arobase;startsection/afterskip Longueur. Lorsque elle est positive -ou nulle, il s&textrsquo;agit de l&textrsquo;espace vertical à insérer après le titre de la -rubrique. Lorsque elle est négative, alors le titre fait corps avec le -paragraphe le suivant immédiatement. Dans ce cas la valeur absolue de -la longueur donne l&textrsquo;espace horizontal entre la fin du titre et le début -du paragraphe suivant. (Notez que l&textrsquo;opposé de 1pt plus 2pt minus -3pt est -1pt plus -2pt minus -3pt). - -Comme c&textrsquo;est le cas avec avant, utiliser une longueur élastique -avec des composantes plus et minus est une bonne pratique -ici puisque elle donne à &latex; plus de latitude pour assembler la -page. - -Si après est positif ou nul alors la quantité totale d&textrsquo;espace -vertical entre la ligne de base du titre de la rubrique et la ligne de -base de la première ligne du paragraphe suivant est la somme du -\parskip de la police du titre, de \baselineskip de la -police du corps de texte, et de la valeur de après. Cet espace est -typiquement élastique de sorte qu&textrsquo;il puisse se dilater ou se -contracter. (Notez que du fait que le signe d&textrsquo;après contrôle que -le titre soit indépendant du texte le suivant, ou fasse corps avec lui, -vous ne pouvez pas utiliser un après négatif pour annuler une -partie du \parskip). - -style -\&arobase;startsection/style Contrôle le style du titre, voir les -exemples plus bas. Les commandes typiquement utilisées ici sont -\centering, \raggedright, \normalfont, -\hrule, ou \newpage. La dernière commande au sein de -style peut être une commande prenant un argument, telle que -\MakeUppercase ou \fbox. Le titre de la rubrique est passé -en argument à cette commande. Par exemple régler style à -\bfseries\MakeUppercase a pour effet de produire des titres gras -et en capitales. -
- -Voici des exemples. Pour les utiliser mettez les soit au sein d&textrsquo;un -fichier de paquetage ou de classe, ou placez les dans le préambule d&textrsquo;un -document &latex; entre des commandes \makeatletter et -\makeatother. (Le message d&textrsquo;erreur You can't use -`\spacefactor' in vertical mode. est le plus probable lorsque on -oublie de faire cela). \makeatletter and \makeatother. - -L&textrsquo;exemple suivant redéfinit la commande de rubricage \section -pour qu&textrsquo;elle centre le titre et le mette en gras : - - -
\renewcommand\section{%
-  \&arobase;startsection{section}% \&arobase;startsection/namenomnom.
-  {1}% \&arobase;startsection/levelniveauniveau.
-  {0pt}% \&arobase;startsection/indentretraitretrait.
-  {-3.5ex plus -1ex minus -.2ex}% \&arobase;startsection/beforeskipavantavant.
-  {2.3ex plus.2ex}% \&arobase;startsection/afterskipaprèsaprès.
-  {\centering\normalfont\Large\bfseries}}% \&arobase;startsection/stylestylestyle.
-
- -Cet exemple met les titres de subsection en petites capitales, et -leur fait faire corps avec le paragraphe suivant. - - -
\renewcommand\subsection{%
-  \&arobase;startsection{subsection}%  \&arobase;startsection/namenomnom.
-    {2}% \&arobase;startsection/levelniveauniveau.
-    {0em}% \&arobase;startsection/indentretraitretrait.
-    {-1ex plus 0.1ex minus -0.05ex}% \&arobase;startsection/beforeskipavantavant.
-    {-1em plus 0.2em}% \&arobase;startsection/afterskipaprèsaprès.
-    {\scshape}% \&arobase;startsection/stylestylestyle.
-  }
-
- -Les exemples précédents redéfinissait les commandes de titre de -rubriques existantes. celui-ci en définit une nouvelle, illustrant la -nécessité d&textrsquo;un compteur et de macros pour son affichage. - - - -
\setcounter{secnumdepth}{6}% affiche les compteur justqu'à ce niveau
-\newcounter{subsubparagraph}[subparagraph]% compteur pour la
-                                          % numérotation
-\renewcommand{\thesubsubparagraph}%
-   {\thesubparagraph.\&arobase;arabic\c&arobase;subsubparagraph}% comment afficher
-                                                % la numérotation
-\newcommand{\subsubparagraph}{\&arobase;startsection
-                         {subsubparagraph}%
-                         {6}%
-                         {0em}%
-                         {\baselineskip}%
-                         {0.5\baselineskip}%
-                         {\normalfont\normalsize}}
-\newcommand*\l&arobase;subsubparagraph%
-  {\&arobase;dottedtocline{6}{10em}{5em}}% pour la table des matières
-\newcommand{\subsubparagraphmark}[1]{}% pour les en-têtes de page
-
- - - -
-\&arobase;ifstar\&arobase;startsection\makeatletter and \makeatother -\&arobase;ifstar - -\&arobase;ifstar -commandes, variantes étoilées -étoilées, variantes de commandes - - - - - -Vous l&textrsquo;avez sans doute remarqué, beaucoup d&textrsquo;environnements ou commandes -standards de &latex; existent sous une variante étoilée. Vous pouvez avoir -envie de reprendre cette idée quand vous définissez vos commandes et arguments. - -Si vous avez lu \newenvironment & \renewenvironment, vous aurez compris -que c&textrsquo;est immédiat pour les environnements car l&textrsquo;étoile est un caractère -autorisé dans les noms d&textrsquo;environnements. Il vous suffit donc de faire -\newenvironment{monenv} et -\newenvironment{monenv*} avec les définitions souhaitées. - -Pour les commandes, c&textrsquo;est plus compliqué car l&textrsquo;étoile ne peut pas faire partie -du nom de la commande. Il y aura donc une première commande, qui devra être -capable de regarder si elle est ou non suivie d&textrsquo;une étoile et d&textrsquo;adapter son -comportement en conséquence. Cette première commande ne pourra pas accepter -d&textrsquo;argument, mais pourra faire appel à des commandes qui en acceptent. Par -ailleurs, on utilise la commande \&arobase;ifstar interne du noyau &latex; et -vous pouvez vous reportez à « \makeatletter and \makeatother » pour -comprendre pourquoi cela implique l&textrsquo;usage d&textrsquo;un bloc -\makeatletter...\makeatother. - -Dans cet exemple, on définit \ciel comme une commande avec un -argument obligatoire et admettant une variante étoilée \ciel* -également avec un argument obligatoire : - - -
\makeatletter
-\newcommand*\ciel&arobase;starred[1]{ciel #1 étoilé}
-\newcommand*\ciel&arobase;unstarred[1]{ciel #1 non étoilé}
-\newcommand\ciel{\&arobase;ifstar{\ciel&arobase;starred}{\ciel&arobase;unstarred}}
-\makeatother
-
+CTAN - ainsi, \ciel{bleu} composera « ciel bleu non étoilé » tandis que -\ciel*{nocturne} composera « ciel nocturne étoilé ». - -Notez que les commandes intermédiaires \ciel&arobase;starred et -\ciel&arobase;unstarred comportent un &arobase; dans leur nom ce qui est -possible puisque elles apparaissent au sein d&textrsquo;un bloc -\makeatletter...\makeatother. Ceci assure qu&textrsquo;elles ne puissent pas être -utilisées directement dans le document. L&textrsquo;utilisation de &arobase; dans le nom -comporte certes un risque de collision avec une commande interne du noyeau -&latex;, mais une telle collision est facile à détecter et corriger car -\newcommand*{\cmd} vérifie que si la commande \cmd -n&textrsquo;est pas déjà définie et génère une erreur si c&textrsquo;est le cas. +Le «Comprehensive &tex; Archive +Network», ou CTAN, est le dépôt de matériel libre de la +communauté &tex; et &latex;. C&textrsquo;est un ensemble de sites Internet +réparti dans le monde qui offre de télécharger du matériel en relation +avec &latex;. Visitez CTAN sur la Toile à l&textrsquo;adresse +https://ctan.org. -Voici un autre exemple où la commande \agentsecret comporte deux -arguments et sa variante étoilée \agentsecret* un seul : +Ce matériel est organisé en paquetages, des paquets discrets qui offrent +typiquement une fonctionalité cohérente et sont maintenus par une +personne ou un petit nombre de personnes. Par exemple, beaucoup +d&textrsquo;organismes d&textrsquo;édition on un paquetage qui permet aux auteurs de +formater leurs articles conformément aux spécification de cet organisme. - -
\makeatletter
-\newcommand*\agentsecret&arobase;starred[1]{\textsc{#1}}
-\newcommand*\agentsecret&arobase;unstarred[2]{\textit{#1} \textsc{#2}}
-\newcommand\agentsecret{\&arobase;ifstar{\agentsecret&arobase;starred}{\agentsecret&arobase;unstarred}}
-\makeatother
-
- - Avec cette définition la célèbre réplique de l&textrsquo;agent 007 : +En plus des resources massives, le site ctan.org offre des fonctions telles que +la recherche par nom ou par fonctionalité. - -
Je m'appelle \agentsecret*{Bond}, \agentsecret{James}{Bond}.
-
- - est équivalente à : +DANTE e.V. +CTAN n&textrsquo;est pas un site unique, mais au lieu de cela un ensemble de +sites. L&textrsquo;un des ces sites est le cœur. Ce site gère activement le +matériel, par exemple en acceptant les téléversements de matériel +nouveau ou mis à jour. Il est hébergé par le groupe &tex; allemand +DANTE e.V. - -
Je m'appelle \textsc{Bond}, \textit{James} textsc{Bond}.
-
- -Un dernier mot : contrairement aux noms d&textrsquo;environnement où l&textrsquo;étoile fait partie -du nom lui-même, et pourrait donc être à n&textrsquo;importe quelle position, dans le nom -d&textrsquo;une commande l&textrsquo;étoile est comme une sorte d&textrsquo;argument optionnel. D&textrsquo;un point de -vue purement &tex;nique il est donc possible de mettre un nombre indéfini -d&textrsquo;espaces entre la commande et l&textrsquo;étoile. Ainsi \agentsecret*{Bond} et -\agentsecret *{Bond} sont équivalents. Toutefois la pratique commune -est de ne jamais insérer de tels espaces. +mirrors of CTAN +D&textrsquo;autres sites autour du monde apportent leur aide en miroitant, c&textrsquo;est à +dire en synchronisant automatiquement leurs collections sur le site +maître et en rendant à leur tour leurs copies publiquement +disponibles. Ceci donne aux utilisateurs géographiquement proches un +meilleur accès et allège la charge sur le site maître. La liste des +miroirs se trouve à https://ctan.org/mirrors. -
-
Document classesFontsOverviewTop Classes de documents -classes de documents -\documentclass +classes de documents +\documentclass -La classe d&textrsquo;un document donné est définie avec la commande: +La classe globale d&textrsquo;un document est définie avec cette commande, c&textrsquo;est +normalement la première commande dans une fichier source &latex;.
\documentclass[options]{classe}
@@ -1006,21 +715,49 @@ est de ne jamais insérer de tels espaces.
 La commande \documentclass doit être la première commande dans un
 fichier source &latex;.
 
-classe article
-classe report
-classe book
-classe letter
-classe slides
-Les noms de classe &latex; encastrés sont (beaucoup d&textrsquo;autres
-classes de documents sont disponibles en modules ; Overview):
+classe article
+classe report
+classe book
+classe letter
+classe slides
+Les noms de classe de document incorporés à &latex;.  (Beaucoup
+de classes de document sont disponibles dans des paquetages séparés ;
+Overview.)
 
-
-
article  report  book  letter  slides
-
- - + +article +document classes article +Pour un article de journal, une présentation, et diverses utilisations +générales. + +book +document classes book + +Des livres complets, y compris des chapitres et possiblement incluant +des pièces préliminaires telles qu&textrsquo;une préface, et postliminaires telles +qu&textrsquo;un appendice (Front/back matter). + +letter +document classes letter +Courrier, incluant optionnellement des étiquettes pour enveloppes +(Letters). + +report +document classes report +Pour des documents de longueur entre celle d&textrsquo;un article et celle +d&textrsquo;un book, tels que des rapports techniques ou des thèses, et qui +peuvent contenir plusieurs chapitres. + +slides +document classes slides +Pour des présentations de diapositive &textmdash; rarement utilisé de nos jours. +À sa place la classe beamer est sans doute celle dont l&textrsquo;usage est +le plus répendu (https://ctan.org/pkg/beamer). beamer +template, pour un petit partron de document beamer. + +
-Les options standardes sont décrites ci-dessous. +Les options standardes sont décrites dans les rubriques suivantes. Options de classe de documentDocument class options
Options globales
@@ -1032,10 +769,10 @@ classes de documents sont disponibles en modules ; Document class optionsAdditional packagesDocument classes
 
Options de classe de document -options de classe de document -options, classe de document -options de classe -options globales +options de classe de document +options, classe de document +options de classe +options globales Vous pouvez spécifier ce qu&textrsquo;on appelle des d&textrsquo;options globales ou des des options de classe en les passant entre crochet à la @@ -1048,9 +785,9 @@ d&textrsquo;une option, séparez les par une virgule : Voici la liste des options standardes de classe. -option 10pt -option 11pt -option 12pt +option 10pt +option 11pt +option 12pt Toutes les classes standardes, sauf slides acceptent les options suivantes pour sélectionner la taille de police de caractères (l&textrsquo;option par défaut est 10pt): @@ -1059,12 +796,12 @@ par défaut est 10pt):
12pt 11pt 10pt
 
-option a4paper -option a5paper -option b5paper -option executivepaper -option legalpaper -option letterpaper +option a4paper +option a5paper +option b5paper +option executivepaper +option legalpaper +option letterpaper Toutes les classes standardes acceptent ces options de sélection de la taille du papier (ci-après hauteur sur largeur) : @@ -1088,31 +825,35 @@ taille du papier (ci-après hauteur sur largeur) : 8,5 sur 11 pouces (l&textrsquo;option par défaut) -\pdfpagewidth -\pdfpageheight -paquetage geometry -geometry, paquetage Lorsque on utilise l'un des moteurs pdf&latex;, -Lua&latex;, ou Xe&latex; (&tex; engines), les options autres +\pdfpagewidth +\pdfpageheight +paquetage geometry +geometry, paquetage + Lorsque on utilise l&textrsquo;un des moteurs pdf&latex;, +Lua&latex;, ou Xe&latex; (&tex; engines), les options autres que letterpaper règlent la zone d&textrsquo;impression mais vous devez également régler la taille du papier physique. Un méthode pour faire cela est de placer \pdfpagewidth=\paperwidth et \pdfpageheight=\paperheight dans le préambule de votre document. -Le paquetage geometry fournit des méthodes flexibles pour régler +paquetage geometry +geometry, paquetage + +Le paquetage geometry fournit des méthodes flexibles pour régler la zone d&textrsquo;impression et la taille du papier physique. -option draft -option final -option fleqn -option landscape -option leqno -option openbib -option titlepage -option notitlepage +option draft +option final +option fleqn +option landscape +option leqno +option openbib +option titlepage +option notitlepage Diverses autres options: draft, final -boîtes noires, en omettant +boîtes noires, en omettant Pour marquer/ne marquer pas les boîtes trop pleines avec une grande boîte noire ; l&textrsquo;option par défaut est final. fleqn @@ -1132,12 +873,12 @@ dépend de la classe. Ces options ne sont pas disponibles avec la classe slides : -option onecolumn -option twocolumn -option oneside -option twoside -option openright -option openany +option onecolumn +option twocolumn +option oneside +option twoside +option openright +option openany
onecolumn twocolumn @@ -1145,8 +886,8 @@ dépend de la classe. oneside twoside -\evensidemargin -\oddsidemargin +\evensidemargin +\oddsidemargin Sélectionne la disposition en recto simple ou recto-verso ; le défaut est oneside pour recto, sauf pour la classe book. @@ -1173,9 +914,9 @@ temps au bas de chaque note. Additional packagesClass and package constructionDocument class optionsDocument classes
Ajout de paquetages -paquetages, le chargement -chargement des paquetages supplémentaires -\usepackage +paquetages, le chargement +chargement des paquetages supplémentaires +\usepackage Les paquetages ajoutés paquo sont chargés comme ceci : @@ -1186,8 +927,8 @@ temps au bas de chaque note. virgule comme dans \usepackage{paquo1,paquo2,...}, ou utiliser plusieurs commandes \usepackage. -options globales -globales, options +options globales +globales, options Toutes les options indiquées dans la commande \documentclass qui sont inconnues de la classe de document sélectionnée sont transmises aux paquetages chargés par \usepackage. @@ -1197,9 +938,9 @@ paquetages chargés par \usepackage. Class and package constructionAdditional packagesDocument classes
Construction des extensions (classes et paquetages) -commandes des classes de document -classe de document, commandes -nouvelles classes, commandes +commandes des classes de document +classe de document, commandes +nouvelles classes, commandes Vous pouvez créer de nouvelles classes de document, et de nouveaux paquetages. Par exemple, si vos notes doivent répondre à des exigences @@ -1208,19 +949,19 @@ pourriez créer une nouvelle classe cmsnote.cls et commencer vos documents par \documentclass{cmsnote}. Ce qui distingue un paquetage d&textrsquo;une classe de document c&textrsquo;est que les -commandes d&textrsquo;une paquatage sont utilisables pour différentes classes +commandes d&textrsquo;une paquetage sont utilisables pour différentes classes alors que celles dans une classes de document sont spécifiques à cette classes. Ainsi, une commande qui permet de régler les en-têtes de pages irait dans un paquetage alors qu&textrsquo;une commande intitulant en-têtes de pages par Note du service de mathématique de la CMS irait dans une classe. -classe et paquetage, différence -différence entre classe et paquetage +classe et paquetage, différence +différence entre classe et paquetage -Au sein d&textrsquo;un fichier classe pour paquetate on peu utiliser l&textrsquo;arobe +Au sein d&textrsquo;un fichier classe ou paquetage on peut utiliser l&textrsquo;arobe &arobase; comme un caractère dans les noms de commande sans avoir à entourer le code contenant la commande en question par -\makeatletter et \makeatother. \makeatletter and +\makeatletter et \makeatother. \makeatletter & \makeatother. Ceci permet de créer des commandes que les utilisateurs ne risquent pas de redéfinir accidentellement. Une autre technique est de préfixer les commandes spécifiques à une classe ou paquetage avec une @@ -1239,14 +980,14 @@ etc. Class and package structureClass and package commandsClass and package construction Structure d&textrsquo;une extension (classe ou paquetage) -classe et paquetage, structure -extension, structure -classe, disposition du fichier -paquetage, disposition du fichier -options pour classe de document -options pour paquetage -classe, options -paquetage, options +classe et paquetage, structure +extension, structure +classe, disposition du fichier +paquetage, disposition du fichier +options pour classe de document +options pour paquetage +classe, options +paquetage, options Un fichier de classe pour paquetage comprend typiquement quatre parties. @@ -1292,7 +1033,7 @@ trouver, par exemple dans le même répertoire que le fichier .tex. \ProcessOptions\relax \LoadClass{article} -classe, fichier d&textrsquo;exemple +classe, fichier d&textrsquo;exemple Elle s&textrsquo;auto-identifie, traite les options de classe par défaut en les passant toutes à la classe article, et puis charge la classe @@ -1308,15 +1049,15 @@ illutrant la construction d&textrsquo;une nouvelle classe. Class and package commandsClass and package structureClass and package construction Commande pour extension (classe ou paquetage) -classe et paquetage, commandes -commandes pour classe ou paquetage +classe et paquetage, commandes +commandes pour classe ou paquetage Voici les commandes conçues pour aider les auteurs d&textrsquo;extension (classes ou paquetages).
\AtBeginDvi{specials} -\AtBeginDvi +\AtBeginDvi Sauvegarde dans une registre de boîte des choses qui sont à écrire dans le fichier .dvi au début de l&textrsquo;achèvement de la première page du @@ -1324,8 +1065,8 @@ le fichier .dvi au début de l&textrsquo;achèvement de la premièr \AtEndOfClass{code} \AtEndOfPackage{code} -\AtEndOfClass -\AtEndOfPackage +\AtEndOfClass +\AtEndOfPackage Crochet pour inséer le code à exécuter lorsque &latex; termine le traiement de la classe ou du paquetage courants. On peut utiliser ces crochet plusieurs fois ; le code sera exécuté dans l&textrsquo;ordre @@ -1333,14 +1074,14 @@ d&textrsquo;appel. Voir aussi \ \CheckCommand{cmd}[num][défaut]{définition} \CheckCommand*{cmd}[num][défaut]{définition} -\CheckCommand -\CheckCommand* -nouvelle commande, vérification +\CheckCommand +\CheckCommand* +nouvelle commande, vérification Similaire à \newcommand (\newcommand & \renewcommand) mais ne définit pas cmd ; à la place vérifie que la définition actuelle de cmd est exactement celle donnée par définition et est ou n&textrsquo;est pas longue selon ce que l&textrsquo;on attend. -commande longue +commande longue Une commande est dite longue lorsque elle accepte \par au sein d&textrsquo;un argument. On attend que la commande cmd soit longue avec la version non-étoilée de \CheckCommand. Lève une erreur en cas @@ -1357,16 +1098,16 @@ redéfinir vous-même cmd qu&textrsquo;aucun paquetage ne l&textrsquo \PackageInfo{nom du paquetage}{info text} \ClassInfoNoLine{nom de la classe}{info text} \PackageInfoNoLine{nom du paquetage}{info text} -\ClassError -\PackageError -\ClassWarning -\PackageWarning -\ClassWarningNoLine -\PackageWarningNoLine -\ClassInfo -\PackageInfo -\ClassInfoNoLine -\PackageInfoNoLine +\ClassError +\PackageError +\ClassWarning +\PackageWarning +\ClassWarningNoLine +\PackageWarningNoLine +\ClassInfo +\PackageInfo +\ClassInfoNoLine +\PackageInfoNoLine Porduit un message d&textrsquo;erreur, ou des messages d&textrsquo;avertissement ou d&textrsquo;information. @@ -1389,19 +1130,19 @@ pas, comme après une commande. Notez que &latex; ajoute un point final à chaque message. \CurrentOption -\CurrentOption +\CurrentOption Se développe au contenu de l&textrsquo;option en cours de traitement. Peut uniquement être utilisé au sein de l&textrsquo;argument code soit de \DeclareOption, soit de \DeclareOption*. \DeclareOption{option}{code} \DeclareOption*{option}{code} -\DeclareOption -\DeclareOption* -class options -package options -options, class -options, package +\DeclareOption +\DeclareOption* +classe, options +paquetage, options +options de classe +options de paquetage Rend un option option disponible pour l&textrsquo;utilisateur, de sorte à ce qu&textrsquo;il puisse la passer à leur commande \documentclass. Par exemple, la classe notecms pourrait avoir une option logo @@ -1439,9 +1180,9 @@ l&textrsquo;option à la classe article. \DeclareRobustCommand{cmd}[num][défaut]{définition} \DeclareRobustCommand*{cmd}[num][défaut]{définition} -\DeclareRobustCommand -\DeclareRobustCommand* -nouvelle commande, définition +\DeclareRobustCommand +\DeclareRobustCommand* +nouvelle commande, définition Similaire à \newcommand et \newcommand* (\newcommand & \renewcommand) mais déclare une commande robuste, même si définition comprend du code fragile. (Pour une discussion @@ -1457,14 +1198,15 @@ que celle définies avec \newcommand, c&textrsquo;est pourquoi, à le contenu de la commande soit fragile et que la commande soit utilisée au sein d&textrsquo;un argument mouvant, utilisez \newcommand. -paquetage etoolbox -etoolbox, paquetage Le paquetage etoolbox offre les commandes -\newrobustcmd, \newrobustcmd*, \renewrobustcmd, +paquetage etoolbox +etoolbox, paquetage + Le paquetage etoolbox offre les commandes +\newrobustcmd, \newrobustcmd*, \renewrobustcmd, \renewrobustcmd*, \providerobustcmd, et \providrobustcmd* qui sont similaire aux commandes standardes \newcommand, \newcommand*, \renewcommand, \renewcommand*, \providecommand, et -\providcommand*, mais définissent une commande cmd robuste +\providecommand*, mais définissent une commande cmd robuste avec deux advanges par rapport à \DeclareRobustCommand : @@ -1483,8 +1225,8 @@ y a une erreur. \IfFileExists{nom fichier}{si vrai}{si faux} \InputIfFileExists{nom fichier}{si vrai}{si faux} -\IfFileExists -\InputIfFileExists +\IfFileExists +\InputIfFileExists Exécute si vrai sf &latex; peut trouver le fichier nom fichier et si faux sinon. Dans le second cas, le fichier est lu immédiatement aprus exécuter si vrai. Ainsi @@ -1504,8 +1246,8 @@ sur la façon dont &latex; gère les extensions de nom de fichier voir \LoadClass[liste d'options]{nom de la classe}[date de parution] \LoadClassWithOptions{nom de la classe}[date de parution] -\LoadClass -\LoadClassWithOptions +\LoadClass +\LoadClassWithOptions Charge une classe, comme avec \documentclass[options list]{nom de la classe}[release info]. Voici un exemple : \LoadClass[twoside]{article}. @@ -1528,7 +1270,7 @@ l&textrsquo;héritant d&textrsquo;une classe existante, telle que la classe stan article, sans avoir à gérer les options qui furent passée. \ExecuteOptions{liste d'options} -\ExecuteOptions +\ExecuteOptions Pour chaque option option de la liste d&textrsquo;options, dans l&textrsquo;ordre d&textrsquo;apparition, cette commande exécute la commande \ds&arobase;option. Si cette commande n&textrsquo;est pas définie, alors @@ -1540,7 +1282,7 @@ vous désirez utiliser par défaut la taille de police 11pt alors vous devriez spécifier \ExecuteOptions{11pt}\ProcessOptions\relax. \NeedsTeXFormat{format}[date du format] -\NeedsTeXFormat +\NeedsTeXFormat Spécifie le format sous lequelle cette classe doit être utilisée. Cette directive est souvent donnée à la première ligne du fichier de classe, et le plus souvent elle est utilisée de cette façon : @@ -1548,7 +1290,7 @@ et le plus souvent elle est utilisée de cette façon : classe est traité, le nom du format donné ici doit s&textrsquo;accorder avec le format qui est en cours d&textrsquo;exécution (y compris le fait que la chaîne format est sensible à la casse). Si il ne s&textrsquo;y accorde pas alors -l&textrsquo;exécution est interrompue par une erruer du genre de This file +l&textrsquo;exécution est interrompue par une erreur du genre de This file needs format `LaTeX2e' but this is `xxx'. Pour spécifier une version du format dont vous savez qu&textrsquo;elle prend en @@ -1561,7 +1303,7 @@ Si la version de format installée sur votre système est antérieur à la `2016/02/01' is available. \OptionNotUsed -\OptionNotUsed +\OptionNotUsed Ajoute l&textrsquo;option courante à la liste des options non utilisées. Ne peut être utilisé qu&textrsquo;au sein de l&textrsquo;argument code de \DeclareOption ou \DeclareOption*. @@ -1574,8 +1316,8 @@ Si la version de format installée sur votre système est antérieur à la \PassOptionsToClass{liste d'options}{nom de la classe} \PassOptionsToPackage{liste d'options}{nom du paquetage} -\PassOptionsToClass -\PassOptionsToPackage +\PassOptionsToClass +\PassOptionsToPackage Ajoute les options de la liste ponctuée par des virgules option list aux options utilisée par toute commande ultérieure \RequirePackage ou \usepackage pour le paquetage @@ -1613,11 +1355,11 @@ option. L&textrsquo;utilisateur peut commencer son fichier &latex; avec \ProcessOptions \ProcessOptions*\&arobase;options -\ProcessOptions -\ProcessOptions* -Exécute le code associé à chaque option que l&textrsquo;utilisateur a invoquée. À -include dans le fichier classe sous la forme -\ProcessOptions\relax (à cause de l&textrsquo;existance de la variant +\ProcessOptions +\ProcessOptions* +Exécute le code pour chaque option que l&textrsquo;utilisateur a invoquée. À +inclure dans le fichier classe sous la forme +\ProcessOptions\relax (à cause de l’existence de la variante étoilée de la commande). Les options tombent dans deux catégories. Les options locales @@ -1664,8 +1406,8 @@ premier. \ProvidesClass{nom de la classe}[date de parution] \ProvidesPackage{nom du paquetage}[date de parution brève information supplémentaire] \ProvidesPackage{nom du paquetage}[date de parution] -\ProvidesClass -\ProvidesPackage +\ProvidesClass +\ProvidesPackage Indentifie la classe ou le paquetage, en tapant un message sur la console et dans le fichier journal. @@ -1703,7 +1445,7 @@ de paquetages incluent seulement rarement une date, et les utilisateurs de classe presque jamais). \ProvidesFile{nom fichier}[information supplémentaire] -\ProvidesFile +\ProvidesFile Déclare un fihcier autre que les fichiers principaux de classe ou de paquetage, tel qu&textrsquo;un fichier de configuration ou un fichier de définition de police. Mettez la commande dans ce fichier et vous @@ -1715,13 +1457,13 @@ essai.cls. \RequirePackage[liste d'options]{nom du paquetage}[date de parution] \RequirePackageWithOptions{nom du paquetage}[date de parution] -\RequirePackage -\RequirePackageWithOptions +\RequirePackage +\RequirePackageWithOptions Charge un paquetage, comme la commande \usepackage pour les auteurs de documents. Additional packages. Voici un exemple : \RequirePackage[landscape,margin=1in]{geometry}. Notez que l&textrsquo;équipe de développement de &latex; recommande fortement l&textrsquo;utilisation -de ces commande de préférence à l&textrsquo;\input de Plain &tex; ; +de ces commandes de préférence à l&textrsquo;\input de &tex; de base ; voir le « Class Guide ». La liste d&textrsquo;options, si présente, est une liste ponctuée de @@ -1754,7 +1496,7 @@ utiliser \RequirePackage. FontsLayoutDocument classesTop Polices de caractères -polices de caractères +polices de caractères Deux aspects importants de la sélection d&textrsquo;une police sont la spécification d&textrsquo;une taille et celle d&textrsquo;un style. Les commandes &latex; @@ -1770,9 +1512,9 @@ pour ce faire sont décrites ci-après. Font stylesFont sizesFonts
styles des polices -styles de police -styles typographiques -styles de texte +styles de police +styles typographiques +styles de texte Les commandes de styles suivantes sont prises en charge par &latex;. @@ -1796,103 +1538,104 @@ environnement ; par exemple, \begin{ttfamily} &dots;
\textrm (\rmfamily) -\textrm -\rmfamily +\textrm +\rmfamily Romain. \textit (\itshape) -\textit -\itshape +\textit +\itshape Italique. \emph -\emph -accent +\emph +accent Accent (commute entre \textit et \textrm selon le contexte). \textmd (\mdseries) -\textmd -\mdseries +\textmd +\mdseries Poids moyen (par défaut). \textbf (\bfseries) -\textbf -\bfseries +\textbf +\bfseries Gras. \textup (\upshape) -\textup -\upshape +\textup +\upshape Droit (par défaut). Le contraire d&textrsquo;incliné. \textsl (\slshape) -\textsl -\slshape +\textsl +\slshape Inclinée. \textsf (\sffamily) -\textsf -\sffamily +\textsf +\sffamily Sans serif. \textsc (\scshape) -\textsc -\scshape +\textsc +\scshape Petites capitales. \texttt (\ttfamily) -\texttt -\ttfamily -Machine à écrire. +\texttt +\ttfamily +Tapuscrit, encore appelé « machine à écrire ». \textnormal (\normalfont) -\textnormal -\normalfont +\textnormal +\normalfont Police principale du document. \mathrm -\mathrm +\mathrm Roman, pour une utilisation en mode mathématique. \mathbf -\mathbf +\mathbf Gras, pour une utilisation en mode mathématique. \mathsf -\mathsf +\mathsf Sans serif, pour une utilisation en mode mathématique. \mathtt -\mathtt -Machine à écrire, pour une utilisation en mode mathématique. +\mathtt +Tapuscrit, pour une utilisation en mode mathématique. \mathit (\mit) Italique, pour une utilisation en mode mathématique. \mathnormal -\mathnormal +\mathnormal Pour une utilisation en mode mathématique, par exemple dans un autre déclaration de type style. \mathcal -\mathcal +\mathcal Lettres « calligraphiques », pour une utilisation en mode mathématique.
-\mathversion -mathématiques, gras -mathématiques gras +\mathversion +mathématiques, gras +mathématiques gras En outre, la commande \mathversion{bold} peut être utilisée pour commuter en caractères gras les lettres et les symboles dans les formules. \mathversion{normal} restaure la valeur par défaut. -\oldstylenums -chiffres de style ancien, -chiffres de style ancien -chiffres de revêtement -paquetage textcomp -textcomp, paquetage +\oldstylenums +chiffres de style ancien, +chiffres de style ancien +chiffres de revêtement +paquetage textcomp +textcomp, paquetage + Enfin, la commande \oldstylenums{chiffres} sert à composer des chiffres dits de &textldquo;à l&textrsquo;ancienne&textrdquo;, qui ont des hauteurs et profondeur (et parfois largeurs) distincts de l&textrsquo;alignement standard des @@ -1913,44 +1656,45 @@ commandes ci-dessus : {\cmd ... } au lieu l&textrsquo;une avec l&textrsquo;autre. -\bf\bf -gras +\bf\bf +gras Passage en gras. -\cal\cal -lettres de script pour les mathématiques -lettres calligraphiques pour les mathématiques +\cal\cal +lettres de script pour les mathématiques +lettres calligraphiques pour les mathématiques Passage en lettres calligraphiques pour les mathématiques. -\em\em -accent +\em\em +accent Accent (italique dans romain, romain dans italiques). -\il\il -italique +\il\il +italique Italique. -\rm\rm -police romaine +\rm\rm +police romaine Romain. -\sc\sc -police petites capitales +\sc\sc +police petites capitales Les petites capitales. -\sf\sf -sans serif +\sf\sf +sans serif Sans serif. -\sl\sl -police inclinée -police oblique +\sl\sl +police inclinée +police oblique Incliné (oblique). -\tt\tt -police machine à écrire -police de largeur fixe -Machine à écrire (largeur fixe). +\tt\tt +police machine à écrire +police tapuscrit +police de largeur fixe +Tapuscrit, encore appelé « Machine à écrire » (largeur fixe). @@ -1966,26 +1710,26 @@ ensembles de commandes ont leur place.
Font sizesLow-level font commandsFont stylesFonts
tailles des polices -tailles de police -tailles des polices de caractères -tailles de texte +tailles de police +tailles des polices de caractères +tailles de texte -Les commandes de type de taille standard suivants sont pris en charge +Les commandes de type de taille standardes suivantes sont pris en charge par &latex;. Le tableau indique le nom de la commande et taille utilisée (en points) correspondant réellement pour la police avec les options 10pt, 11pt, et 12pt de classe de document, respectivement (Document class options). -\tiny -\scriptsize -\footnotesize -\small -\normalsize -\large -\Large -\LARGE -\huge -\Huge +\tiny +\scriptsize +\footnotesize +\small +\normalsize +\large +\Large +\LARGE +\huge +\Huge \normalsize (par défaut) 24.88 24.88 24.88 @@ -2012,114 +1756,281 @@ respectivement (Document cla 24.88 24.88 24.88 -Les commandes énumérées ici sont des &textldquo;forme déclaratives&textrdquo;. La portée -d&textrsquo;une forme déclarative s&textrsquo;étend jusqu&textrsquo;à la prochaine la commande de type -style ou la fin du groupe courant. Vous pouvez également utiliser la -&textldquo;forme d&textrsquo;environnement&textrdquo; de ces commandes ; par exemple, -\begin{tiny} ... \end{tiny}. +déclarative, forme des commandes de contrôle de la taille de police +forme déclarative des commandes de contrôle de la taille de police +Les commandes énumérées ici sont des formes déclaratives. On est +utilise en les déclarant comme dans l&textrsquo;exemple qui suit : + +
\begin{quotation} \small
+  Le Tao que l'on peut nommer n'est pas le Tao.
+\end{quotation}
+
+ +Dans ce qui précède, la portée de \small s&textrsquo;étend jusqu&textrsquo;à la fin +de l&textrsquo;environnement quotation. Elle s&textrsquo;arrêterait également à la +prochaine commande de style ou à la fin du groupe courant, de sorte +qu&textrsquo;on aurait pu la mettre entre accolades {\small Ce texte est en +petits caractères.}. + +forme par environnement des commandes +Une forme par environnement de chacune de ces commandes est également +définie ; par exemple, \begin{tiny}...\end{tiny}. Toutefois, +en pratique cette forme peut aisément mener à des espaces indésirables au +début et/ou à la fin de d&textrsquo;environnement si on n&textrsquo;y prête pas attention, +ainsi on risque en général moins de faire d&textrsquo;erreur si on s&textrsquo;en tient à la +forme déclarative. + +(Digression : techniquement, vu la façon dont &latex; définit +\begin et \end, presque toutes les commandes qui ne +prennent pas d&textrsquo;argument on une forme par environnement. Mais dans +presque tous les cas ce serait juste une source de confusion de +l&textrsquo;utiliser. La raison pour mentionner en particulier la forme par +environnement des déclarations de taille de police est que leur +utilisation s&textrsquo;avère assez courante, en dépit des problèmes qu&textrsquo;il pose). +
Low-level font commandsFont sizesFonts
commandes de fontes de bas niveau -commandes de fontes de bas niveau -commandes de fontes, de bas niveau +commandes de fontes de bas niveau +commandes de fontes, de bas niveau Ces commandes sont principalement destinés aux auteurs de macros et paquetages. Les commandes indiquées ici sont seulement un sous-ensemble de celles disponibles. + + \fontencoding{codage} -\fontencoding -Sélectionnez le codage de police. Les codages valides comprennent OT1 et T1. - -\fontfamily{famille} -\fontfamily -Sélectionnez la famille de polices. Familles valides sont : - - -cmr pour Computer Modern Roman -cmss pour Computer Modern Sans Serif -cmtt pour Computer Modern Typewriter - +\fontencoding +Sélectionne le codage de police, le codage de la police utilisée en +sortie. Il y a un grand nombre de codages valides. Les plus usuels sont +OT1, le codage original de D.&noeos; Knuth pour la police Computer +Modern (la police par défaut), et T1, également désigné par +codage Cork, qui prend en charage les caractères accentués utilisés par +les langues européennes les plus parlées (allemand, français, italien, +polonais et d&textrsquo;autres encore), ce qui permet à &tex; de faire la césure +des mots contenant des lettres accentuées. Pour plus d&textrsquo;information, voir +https://ctan.org/pkg/encguide. + +\fontfamily{famille} +\fontfamily +famille de polices +polices, catalogue +Sélectionne la famille de polices. La page web +https://www.tug.dk/FontCatalogue/ donne un moyen de naviguer +facilement à travers un grand nombre des polices utilisées avec +&latex;. Voici des exemples de quelques-unes des familles les plus +usuelles : + +font Computer Modern Typewriter XXXX +pag +Avant Garde +fvs +Bitstream Vera Sans +pbk +Bookman +bch +Charter +ccr +Computer Concrete +cmr +Computer Modern +cmss +Computer Modern Sans Serif +cmtt +Computer Modern Typewriter +pcr +Courier +phv +Helvetica +fi4 +Inconsolata +lmr +Latin Modern +lmss +Latin Modern Sans +lmtt +Latin Modern Typewriter +pnc +New Century Schoolbook +ppl +Palatino +ptm +Times +uncl +Uncial +put +Utopia +pzc +Zapf Chancery + -et de nombreuses autres. - -\fontseries{série} -\fontseries -Sélectionnez série de police. Les séries valides sont : - - -m Moyen (normal) -b Gras -c condensé -bc condensé Gras -bx Gras étendu - +\fontseries{série} +\fontseries +séries de polices +Sélectionne une série de police. Une série combine une +graisse et une largeur. Typiquement, une police prend en +charge seulement quelques-unes des combinaisons possibles. Les +combinaisons de valeurs de séries comprennent notamment : + +xx Moyen (normal)xx +m +Moyen (normal) +b +Gras +c +Condensé +bc +Condensé Gras +bx +Gras étendu + -et diverses autres combinaisons. - -\fontshape{forme} -\fontshape -Sélectionnez l&textrsquo;allure de police. Les allures valides sont : - - -n Droit (normal) -it Italique -sl Incliné (oblique) -sc Petites capitales -ui Italique droit -ol Plan - -Les deux dernières allures ne sont pas disponibles pour la plupart des -familles de polices. - +graisses de police +Les valeurs possibles de graisses, considérées individuellement, sont : + +xx Demi-gras (Medium, normal)xx +ul +Ultra maigre +el +Extra maigre +l +Maigre (Light) +sl +Semi maigre +m +Demi-gras (Medium, normal) +sb +Semi gras +b +Gras (Bold) +eb +Extra gras +ub +Ultra gras + -\fontsize{taille}{interligne} -\fontsize -\baselineskip -Réglage de la taille de police. Le premier paramètre est la taille de la -police pour basculer et le deuxième est l&textrsquo;espacement d&textrsquo;interligne ; ceci -est stocké dans un paramètre nommé \baselineskip. L&textrsquo;unité des -deux paramètres est par défaut le pt. La valeur par défaut de -\baselineskip pour la police Computer Modern est 1,2 fois le -\fontsize. - -\baselinestretch -paquetage setspace -setspace, paquetage -interligne double + +Largeurs de police +La valeurs possibles de largeur, considérées individuellement sont : + +xx Extra contendéxx +uc +Ultra condensé +ec +Extra condensé +c +Condensé +sc +Semi condensé +m +Moyen +sx +Semi étendu +x +étendu +ex +Extra étendu +ux +Ultra étendu + + +Quand Lorsqu&textrsquo;on forme la chaîne de caractères série à partir de la +graisse et de la largeur, on laisse tomber le m qui signifie +medium concernant la graisse ou la largeur, auquel cas on en utilise +juste un (m). + +\fontshape{allure} +\fontshape +allure de police +Sélectionne l&textrsquo;allure de police. Les allures valides sont : + +xx Incliné (oblique)xx +n +Droit (normal) +it +Italique +sl +Incliné (oblique) +sc +Petites capitales +ui +Italique droit +ol +Plan + +Les deux dernières allures ne sont pas disponibles pour la plupart des +familles de polices, et les petites capitales sont aussi souvent +absentes. + + +\fontsize{taille}{interligne} +\fontsize +\baselineskip +Réglage de la taille de police et de l&textrsquo;espacement d&textrsquo;interligne. L&textrsquo;unité +des deux paramètres est par défaut le point (pt). L&textrsquo;espaceement +d&textrsquo;interligne est l&textrsquo;espace vertiical nominal entre ligne, de ligne de +base à ligne de base. Il est stocké dans le paramètre +\baselineskip. La valeur par défaut de \baselineskip pour +la police Computer Modern est 1,2 fois le \fontsize. Changer +directement \baselineskip est déconseillé dans la mesuure où sa +valeur est réinitialisée à chaque fois qu&textrsquo;un changement de taille se +produit ; voir ensuite \baselinestretch. + +\baselinestretch +\baselinestretch L&textrsquo;espacement des lignes est également multiplié par la valeur du -paramètre \baselinestretch en cas de changement de taille de -type ; -la valeur défaut est 1. Cependant, la meilleure façon de mettre -un document en &textldquo;espacement double&textrdquo;, si vous avez la malchance d&textrsquo;avoir -à produire une telle chose, est d&textrsquo;utiliser le paquetage -setspace ; voir -http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=linespace. - -\linespread +paramètre \baselinestretch ; la valeur par défaut est 1. Tout +changement prend effet losque \selectfont (voir plus bas) est +appelé. Vous pouvez modifier l&textrsquo;interligne pour tout le document en +faisant, par ex.&noeos; pour le doubler, +\renewcommand{\baselinestretch}{2.0} dans le préambule, + +paquetage setspace +setspace, paquetage + +interligne double +Cependant, la meilleure façon de mettre un document en « espacement +double » est d&textrsquo;utiliser le paquetage setspace. En plus de +proposer une pluralité d&textrsquo;options d&textrsquo;espacement, ce paquetage conserve un +interligne simple là où c&textrsquo;est typiquement désirable, comme dans les +notes de bas de page et dans les légendes de figure. Voir la +documentation du paquetage. + \linespread{facteur} -Est équivalent à +\linespread +Est équivalent à \renewcommand{\baselinestretch}{facteur}, et doit donc être suivie par \selectfont pour avoir un effet. Il vaut mieux que ce soit dans le préambule, ou utiliser le paquetage setspace, -comme décrit juste au-dessus. +comme on vient de le décrire. -\selectfont +\selectfont +\selectfont Les modifications apportées en appelant les commandes de polices décrites ci-dessus n&textrsquo;entrent en vigueur qu&textrsquo;après que \selectfont -est appelé. +est appelé, comme dans +\fontfamily{nomfamille}\selectfont. La plupart du temps +il est plus pratique de mettre cela dans une macro : +\newcommand*{\mapolice}{\fontfamily{nomfamille}\selectfont}&linebreak; +(\newcommand & \renewcommand). -\usefont{codage}{famille}{série}{forme} -\usefont + +\usefont{codage}{famille}{série}{allure} +\usefont Revient à la même chose que d&textrsquo;invoquer \fontencoding, \fontfamily, \fontseries et \fontshape avec les -paramètres donnés, suivi par \selectfont. +paramètres donnés, suivi par \selectfont. Par exemple : + +
\usefont{ot1}{cmr}{m}{n}
+
+
@@ -2127,9 +2038,9 @@ paramètres donnés, suivi par \selectfont. LayoutSectioningFontsTop Mise en page -commandes de mise en page +commandes de mise en page -Diverses commandes pour contrôler la disposition générale de la page. +Commandes pour contrôler la disposition générale de la page.
\onecolumn
Utiliser la disposition à une colonne.
@@ -2143,8 +2054,8 @@ paramètres donnés, suivi par \selectfont.
 
 \onecolumn\twocolumnLayout
 
\onecolumn -\onecolumn -sortie à une colonne +\onecolumn +sortie à une colonne La déclaration \onecolumn commence une nouvelle page et produit une sortie à colonne unique. C&textrsquo;est la valeur par défaut. @@ -2152,9 +2063,9 @@ une sortie à colonne unique. C&textrsquo;est la valeur par défaut.
\twocolumn\flushbottom\onecolumnLayout
\twocolumn -\twocolumn -texte sur plusieurs colonnes -sortie à deux colonnes +\twocolumn +texte sur plusieurs colonnes +sortie à deux colonnes Synopsis : @@ -2171,14 +2082,14 @@ composition à deux colonnes ne commence. colonnes : -\columnsep\columnsep +\columnsep\columnsep La distance entre les colonnes (35pt par défaut). -\columnseprule\columnseprule +\columnseprule\columnseprule La largeur du filet entre les colonnes ; la valeur par défaut est 0pt, de sorte qu&textrsquo;il n&textrsquo;y a pas de filet. -\columnwidth\columnwidth +\columnwidth\columnwidth La largeur de la colonne en cours ; il est égal à \textwidth dans le cas d&textrsquo;un texte composé en une seule colonne. @@ -2188,25 +2099,25 @@ le cas d&textrsquo;un texte composé en une seule colonne. à deux colonnes : -\dbltopfraction\dbltopfraction +\dbltopfraction\dbltopfraction Fraction maximale au sommet d&textrsquo;une page sur deux colonnes qui peut être occupée par des flottants. Par défaut vaut 0,7, peut être utilement redéfini en (par exemple) 0,9 pour aller moins tôt sur des pages de flottants. -\dblfloatpagefraction\dblfloatpagefraction +\dblfloatpagefraction\dblfloatpagefraction La fraction minimum d&textrsquo;une page de flottants qui doit être occupée par des flottants, pour une page à flottant à deux colonnes. Par défaut vaut 0,5. -\dblfloatsep\dblfloatsep +\dblfloatsep\dblfloatsep Distance entre les flottants en haut ou en bas d&textrsquo;une page de flottants à deux colonnes. Par défaut vaut 12pt plus2pt minus2pt pour des documents en 10pt ou 11pt, et 14pt plus2pt minus4pt pour 12pt. -\dbltextfloatsep\dbltextfloatsep +\dbltextfloatsep\dbltextfloatsep Distance entre un flottant multi-colonnes en haut ou en bas d&textrsquo;une page et le texte principal. Par défaut vaut 20pt plus2pt minus4pt . @@ -2216,7 +2127,7 @@ et le texte principal. Par défaut vaut 20pt plus2pt minus4pt . \flushbottom\raggedbottom\twocolumnLayout
\flushbottom -\flushbottom +\flushbottom La déclaration \flushbottom rend toutes les pages de texte de la même hauteur, en ajoutant de k&textrsquo;espace vertical supplémentaire si @@ -2228,8 +2139,8 @@ nécessaire pour remplir le page.
\raggedbottomPage layout parameters\flushbottomLayout
\raggedbottom -\raggedbottom -étirement, omettre l&textrsquo;étirement vertical +\raggedbottom +étirement, omettre l&textrsquo;étirement vertical La déclaration \raggedbottom rend toutes les pages de la hauteur naturelle de la matière sur cette page. Aucune des longueurs d&textrsquo;élastique @@ -2240,31 +2151,31 @@ ne seront étirée. Page layout parametersFloats\raggedbottomLayout
Paramètres de mise en page -page, paramètres de mise en page -paramètres, la mise en page -mise en page, les paramètres de -en-tête, des paramètres pour -bas de page, des paramètres pour -en-tête et pied de page en cours de traitement +page, paramètres de mise en page +paramètres, la mise en page +mise en page, les paramètres de +en-tête, des paramètres pour +bas de page, des paramètres pour +en-tête et pied de page en cours de traitement -\headheight\headheight +\headheight\headheight Hauteur de la boîte qui contient la tête en cours de traitement. La valeur par défaut est 30pt, sauf dans la classe book, où elle varie en fonction de la taille de la police. -\headsep\headsep +\headsep\headsep La distance verticale entre le bas de la ligne d&textrsquo;en-tête et la partie supérieure du texte principal. La valeur par défaut est 25pt, sauf dans la classe book, où elle varie avec la taille de la police. -\footskip\footskip +\footskip\footskip Distance de la ligne de base de la dernière ligne de texte à la ligne de base du bas de page. La valeur par défaut est 30pt, sauf dans la classe book où elle varie avec la taille de la police. -\linewidth\linewidth +\linewidth\linewidth Largeur de la ligne actuelle, diminuée pour chaque list imbriquée (list). Plus précisément, elle est inférieure à \textwidth par la somme de \leftmargin et @@ -2274,7 +2185,7 @@ colonnes, etc. Pour un document de classe article en taille de police 10pt, elle vaut 345pt ; dans le mode à deux colonnes, elle passe à 229.5pt. -\textheight\textheight +\textheight\textheight La hauteur verticale normale du corps de la page ; la valeur par défaut varie en fonction de la taille de la police, de la classe du document, etc. Pour un document de classe article ou report en @@ -2283,19 +2194,19 @@ une classe book, elle vaut 41\baselineskip. Pour 11pt, c&textrsquo;est 38\baselineskip et pour 12pt c&textrsquo;est 36\baselineskip. -\paperheight\paperheight +\paperheight\paperheight La hauteur du papier, à ne pas confondre avec la hauteur de la zone d&textrsquo;impression. Elle est normalement réglée avec une option de classe de document, comme dans \documentclass[a4paper]{article} (Document class optionsOptions de classe de document). -\paperwidth\paperwidth +\paperwidth\paperwidth La largeur du papier, à ne pas confondre avec la largeur de la zone d&textrsquo;impression. Elle est normalement réglée avec une option de classe de document, comme dans \documentclass[a4paper]{article} (Document class optionsOptions de classe de document). -\textwidth\textwidth +\textwidth\textwidth La largeur horizontale totale de l&textrsquo;ensemble du corps de la page; la valeur par défaut varie comme d&textrsquo;habitude. Pour un document de classe article ou report, elle vaut 345pt à 10pt de @@ -2317,19 +2228,19 @@ diminuer au sein de listes imbriquées. largeur spécifiée, et de reviennent à leurs valeurs normales à la fin du minipage ou \parbox. -\hsize +\hsize Par souci d&textrsquo;exhaustivité : \hsize est le paramètre &tex; primitif utilisé lorsque le texte est divisé en lignes. Il ne devrait pas être utilisé dans des documents &latex; en conditions normales. -\topmargin\topmargin +\topmargin\topmargin L&textrsquo;espace entre le haut de la page &tex; (un pouce à partir du haut de la feuille, par défaut) et le sommet de l&textrsquo;en-tête de page. La valeur par défaut est calculée sur la base de nombreux autres paramètres : \paperheight − 2in − \headheight − \headsep − \textheight − \footskip, et ensuite divisé par deux. -\topskip\topskip +\topskip\topskip La distance minimale entre le sommet du corps de la page et la ligne de base de la première ligne de texte. Pour les classes standard, la valeur par défaut est la même que la taille de la police, par exemple, 10pt à 10pt. @@ -2369,8 +2280,8 @@ alors, parce que tous les flottant dans une classe doivent appraître dans le même ordre séquentiel, tous les flottants suivant dans cette classe appraîssent aussi à la fin. -placement des flottants -spécificateur, placement de flottants +placement des flottants +spécificateur, placement de flottants En plus de changer les paramètres, pour chaque flottant vous pouvez peaufiner l&textrsquo;endroit où l&textrsquo;algorithme de placement des flottants essaie de le placer en utilisant sont argument placement. Les valeurs @@ -2395,16 +2306,17 @@ discussion sur les avertissements dans la FAQ : où l&textrsquo;environnement figure apparaît. Cependant, h n&textrsquo;est pas autorisé en soi-même ; t est ajouté automatiquement. -ici, placer les flottants -paquetage float -float, paquetage +ici, placer les flottants +paquetage float +float, paquetage + Pour forcer à tout prix un flottant à apparaître « ici », vous pouvez charger le paquetage float et le spécificateur H qui y est défini. Pour plus ample discussion, voir l&textrsquo;entrée de FAQ à http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=figurehere. p -page de flottants +page de flottants (pour Page de flottants) &textmdash; sur une page de flottants séparée, qui est une page ne contenant pas de texte, seulement des flottants. @@ -2436,8 +2348,9 @@ paquetage afterpage et commettre le code la page courante et ensuite de faire passer tous les flottants encore non placés. -paquetage flafter -flafter, paquetage +paquetage flafter +flafter, paquetage + &latex; peut composer un flottant avant l&textrsquo;endroit où il apparaît dans le code source (quoique sur la même page de sortie) s&textrsquo;il y a un spécificateur t au sein du paramètre placement. Si ceci @@ -2446,7 +2359,7 @@ spécificateur empèche le flottant d&textrsquo;être placé au sommet de la pag suivante, alors vous pouvez empêcher cela soit en utilisant le paquetage flafter ou en utilisant ou en utilisant la commande -\suppressfloats +\suppressfloats \suppressfloats[t], ce qui entraîne le déplacement vers la page suivante des flottants qui auraient du être placés au sommet de la page courante. @@ -2458,21 +2371,21 @@ texte flottant et non flottant (on peut les changer avec 1}) : -\bottomfraction +\bottomfraction La fraction maximal de page autorisée à être occupées par des flottants au bas de la page ; la valeur par défaut est .3. -\floatpagefraction\floatpagefraction +\floatpagefraction\floatpagefraction La fraction minimale d&textrsquo;une page de flottants qui doit être occupée par des flottants ; la valeur par défaut .5. -\textfraction\textfraction +\textfraction\textfraction La fraction minimale d&textrsquo;une page qui doit être du texte ; si des flottants prennent trop d&textrsquo;espace pour préserver une telle quantité de texte, alors les flottants sont déplacés vers une autre page. La valeur par défaut est .2. -\topfraction\topfraction +\topfraction\topfraction Fraction maximale au sommet d&textrsquo;une page page que peut être occupée avant des flottants ; la valeur par défaut est .7. @@ -2483,17 +2396,17 @@ peut les changer avec \setlength{parameter}&lbrac expression}) : -\floatsep\floatsep +\floatsep\floatsep Espace entre les floattants au sommet ou au bas d&textrsquo;une page ; par défaut vaut 12pt plus2pt minus2pt. -\intextsep\intextsep +\intextsep\intextsep Espace au dessus et au dessous d&textrsquo;un flottant situé au milieu du texte principal ; vaut par défaut 12pt plus2pt minus2pt pour les styles à 10pt et à 11pt, et 14pt plus4pt minus4pt pour 12pt. -\textfloatsep\textfloatsep +\textfloatsep\textfloatsep Espace entre le dernier (premier) flottant au sommet (bas) d&textrsquo;une page ; par défaut vaut 20pt plus2pt minus4pt. @@ -2503,15 +2416,15 @@ les changer avec \setcounter{ctrname}{}) : -\bottomnumber\bottomnumber +\bottomnumber\bottomnumber Nombre maximal de flottants pouvant apparaître au bas d&textrsquo;une page de texte ; par défaut 1. -\topnumber\topnumber +\topnumber\topnumber Nombre maximal de flottants pouvant apparaître au sommet d&textrsquo;une page de texte ; par défaut 2. -\totalnumber\totalnumber +\totalnumber\totalnumber Nombre maximal de flottants pouvant apparaître sur une page de texte ; par défaut 3. @@ -2528,6857 +2441,10624 @@ infuence the position of float environments like figure and table in
SectioningCross referencesLayoutTop -Des rubriques +Rubricage + +rubricage, commandes +commandes de rubricage, +part +partie +chapter +chapitre +section +subsection +sous-section +subsubsection +sous-sous-section +paragraph +paragraphe +subparagraph +sous-paragraphe +\part +\chapter +\section +\subsection +\subsubsection +\paragraph +\subparagraph + +Structure votre texte en rubriques : parties, chapitres, sections, +etc. Toutes les commandes de rubricage ont la même forme, l&textrsquo;une parmi : + + +
cmd-de-rubricage{titre}
+cmd-de-rubricage*{titre}
+cmd-de-rubricage[titre-tdm]{titre}
+
+ + +Par exemple, déclarez le début d&textrsquo;une sous-section comme dans +\subsection{Motivation}. + +Le tableau suivant comprend chacune des commandes cmd-de-rubricage +de &latex;. Toutes sont disponibles dans toutes les classes de +document standardes de &latex; book, report, +et article, à ceci près que \chapter n&textrsquo;est pas disponible +dans article. + + +Type de rubrique Commande Niveau +Part +\part -1 (book, report), 0 (article) +Chapter +\chapter 0 +Section +\section 1 +Subsection +\subsection 2 +Subsubsection +\subsubsection 3 +Paragraph +\paragraph 4 +Subparagraph +\subparagraph 5 + -rubricage -Les commandes de rubricage fournissent les moyens de structurer -votre texte en unités sectionnelles, ou rubriques : +*, forme en * des commandes de rubricage +étoilée, forme des commandes de rubricage +forme étoilée de commandes de rubricage +forme en * de commandes de rubricage +Toutes ces commandes ont une forme en *, aussi appelée étoilée, +qui imprime titre comme d&textrsquo;habitude mais sans le numéroter et sans +fabriquer une entrée dans la table des matières. Un exemple +d&textrsquo;utilisation est pour un appendice dans un article. Entrer le +code \appendix\section{Appendice} donne en sortie A +Appendix (\appendix). Vous pouvez ôter le numéro A en +entrant à la place \section*{Appendice} (les articles omettent +couramment d&textrsquo;avoir une table des matières et ont des en-têtes de pages +simples alors les autres différences de la commande \section +peuvent être négligées). + +Le titre titre fournit la rubrique en tant que titre dans le texte +principal, mais il peut également apparaître dans la table des matières +et le haut et le bas de bage (Page styles). Vous pourriez +désirer un texte différent à ces endroits que dans le texte principal. +Toute ces commandes ont un argument optionnel tdm-titre destiné à +ces autres endroits. + +Le numéro dans la colonne «Niveau» de la +table ci-dessus détermine quelles rubriques sont numérotées, et +lesquelles apparaissent dans la table des matières. Si le niveau +de la commande de rubricage est inférieur ou égal à la valeur du +compteur secnumdepth alors les rubriques correspondant à ces +commandes de rubricage sont numérotées (Sectioning/secnumdepth). +Et, si niveau est inférieur ou égal à la valeur du compteur +tocdepth alors la table des matières comprend une entrée pour +cette rubrique (Sectioning/tocdepth). + +&latex; s&textrsquo;attend que avant d&textrsquo;avoir une \subsection vous ayez une + \section et, dans un document de classe book, qu&textrsquo;avant + une \section vous ayez un \chapter. Autrement vous + pourriez obtenir quelque-chose comme une sous-sesction numérotée + 3.0.1. + +paquetage titlesec +titlesec, paquetage + +&latex; vous permet de changer l&textrsquo;apparence des rubriques. Un exemple +simple de ceci est que vous pouvez mettre le numéro de rubrique de type +section en lettres majuscules avec +\renewcommand\thesection{\Alph{section}} dans le préambule +(\alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol). Le CTAN a +beaucoup de paquetages rendant ce genre d&textrsquo;ajustement plus facile, +notamment titlesec. + +Deux compteurs sont en relation avec l&textrsquo;apparence des rubriques fabriquées +par les commandes de rubricage. -\part\part -\chapter (seulement pour classes report et book)\chapter (seulement pour classes report et book) -\section\section -\paragraph\paragraph -\subsubsection\subsubsection -\paragraph\paragraph -\alinea\alinea - +secnumdepthsecnumdepth +secnumdepth compteur +numéros de rubrique, composition +sectioning secnumdepth +Sectioning/secnumdepth +Le compteur secnumdepth contrôle quels titres de rubriques sont +numérotés. Régler le compteur avec +\setcounter{secnumdepth}{niveau} supprime la +numérotation des rubriques à toute profondeur supérieure à niveau +(\setcounter). Voir la table plus haut pour la valeur des +niveaux. Par exemple, si le secnumdepth vaut 1 dans un +article alors la commande \section{Introduction} produit +en sortie quelque-chose comme 1 Introduction alors que +\subsection{Discussion} produit quelque-chose comme +Discussion, sans numéro. La valeur par défaut de &latex; pour +secnumdepth vaut 3 dans la classe article et 2 dans les +classes book et report. + +tocdepthtocdepth +tocdepth counter +table des matières, impression des numéros de rubrique +sectioning tocdepth +Sectioning/tocdepth +Contrôle quelles rubriques sont listées dans la table des matières. +Régler \setcounter{tocdepth}{niveau} a pour effet que +les rubriques au niveau niveau sont celles de plus petit niveau à +être listées (\setcounter). Voir la table ci-dessus pour les +numéros de niveau. Par exemple, if tocdepth vaut 1 alors la table +des matières contiendra les rubriques issues de \section, mais pas +celles de \subsection. La valeur par défaut de &latex; pour +tocdepth vaut 3 dans la classe article et 2 dans les +classes book et report. + + -Toutes les commandes ont la même forme générale, par exemple, + +\part
Commence une partie.
+
\chapter
Commence un chapitre.
+
\section
Commence une section.
+
\subsection
Commence une sous-ection.
+
\subsubsection & \paragraph & \subparagraph
Subdivisions inférieures.
+
\appendix
Commence un appendice.
+
\frontmatter & \mainmatter & \backmatter
Les trois parties d&textrsquo;un livre.
+
\&arobase;startsection
Composer les rubriques.
+
+ + +\part\chapterSectioning +
\part + +\part +part +rubricage, part + +Synopsis, l&textrsquo;un parmi : -
\chapter[titretdm]{titre}
+
\part{titre}
+\part*{titre}
+\part[tdm-titre]{titre}
 
-En plus de fournir le titre de rubrique titre dans le texte -principal, le titre peut apparaître dans deux autres endroits : +Début une partie de document. Les classes standarde &latex; +book, report, et article offrent toutes cette +commande. - - -La table des matières. - -L&textrsquo;en-tête en cours de traitement en haut de la page. - +L&textrsquo;exemple suivant produit une partie de document dans un livre : + + + +
\part{VOLUME I \\
+       PERSONAL MEMOIRS OF  U.\ S.\ GRANT}
+\chapter{ANCESTRY--BIRTH--BOYHOOD.}
+My family is American, and has been for generations,
+in all its branches, direct and collateral.
+
-Vous ne voudrez peut-être pas le même texte dans ces endroits que dans -le texte principal. Pour gérer cela, les commandes de rubricage ont -un argument optionnel titretdm qui, lorsqu&textrsquo;il est fourni, précise -le texte de ces autres endroits. +Dans chaque classe standarde la commande \part produit en sortie +un numéro de partie tel que Première partie, seul sur sa ligne, +en caractère gras, et en gros caractères. Ensuite &latex; produit en +sortie titre, également seule sur sa ligne, en caractère gras et +en caractères encore plus gros. +Dans la classe book, le comportement par défaut de &latex; est +de mettre chaque titre de partie seule sur sa propre page. Si le livre +est en recto-verso alors &latex; saute une page si nécessaire pour que +la nouvelle partie commence sur une page à numéro impair. Dans un +report il est également seul sur une page, mais &latex; ne force +pas qu&textrsquo;elle soit de numéro impair. Dans un article &latex; ne +le place pas sur une nouvelle page, mais au lieu de cela produit en +sortie le numéro de partie et le titre de partie sur la même page que le +document principal. + +La forme en * imprime titre mais n&textrsquo;imprime pas le numéro de +partie, et n&textrsquo;incrémente pas le compteur part, et ne produit +aucune entrée dans la table des matières. -forme étoilée de commandes de rubricage -forme en * de commandes de rubricage -En outre, toutes les commandes de rubricage ont des formes en -*, aussi appelée étoilée, qui compose titre comme -d&textrsquo;habitude, mais ne comprennent pas de numéro et ne produisent pas -d&textrsquo;entrée dans la table des matières. Par exemple : +L&textrsquo;argument optionnel tdm-titre apparaît comme le titre de la +partie dans la table des matières (Table of contents etc.) et +dans les hauts de pages (Page styles). S&textrsquo;il n&textrsquo;est pas présent +alors titre est utilisé à sa place. Dans l&textrsquo;exemple suivante on met +un saut de ligne dans titre mais on l&textrsquo;enlève dans la table des +matière. -
\section*{Préambule}
+
\part[Up from the bottom; my life]{Up from the bottom\\ my life}
 
-\appendix -annexe, création -La commande \appendix modifie la façon dont les unités -sectionnelles suivantes sont numérotées. La commande \appendix -elle-même ne génère aucun texte et n&textrsquo;affecte pas la numérotation des -parties. L&textrsquo;utilisation normale de cette commande est quelque chose comme -cela : +Pour déterminer quelles rubrique sont numéroté et lesquelles +apparaissent dans la table des matières, le numéro de niveau d&textrsquo;une +partie vaut -1 (Sectioning/secnumdepth et +Sectioning/tocdepth). + +paquetage indentfirst +indentfirst, paquetage + + +Dans la classe article, si un paragraphe suit immédiatement le +titre de partie alors il n&textrsquo;est pas renfoncé. Pour obtenir un +renfoncement vous pouvez utiliser le paquetage indentfirst. + +paquetage titlesec +titlesec, paquetage + +Un paquetage pour changer le comportement de \part est +titlesec. Voir sa documentation sur le CTAN. + + +
+\chapter\section\partSectioning +
\chapter + +\chapter +chapitre + +Synopsis, l&textrsquo;un parmi : -
\chapter{Un chapitre}
-&dots;
-\appendix
-\chapter{La première annexe }
+
\chapter{titre}
+\chapter*{titre}
+\chapter[tdm-titre]{titre}
 
-secnumdepth counter -numéros de rubrique, composition -Sectioning/secnumdepth -Le compteur secnumdepth contrôle la composition des numéros de -rubrique. le paramètre +Commence un chapitre. Les classes standardes &latex; book et +report ont cette commande, mais article non. + +L&textrsquo;exemple suivant produit un chapitre. -
\setcounter{secnumdepth}{niveau}
+
\chapter{Mirages}
+Appelez moi Ismaël.
+Voici quelques années --- peu importe combien --- le porte-monnaie vide
+ou presque, rien ne me retenant à terre, je songeai à naviguer un peu et
+à voir l'étendue liquide du globe.
 
- -supprime le numéros de rubrique à n&textrsquo;importe quelle profondeur > niveau, où -chapter est le niveau zéro. (\setcounter.) +Le comportement par défaut de &latex; est de commence chaque chapitre +sur une page neuve, une page à numéro impair si le document est en +recto-verso. Il produit un numéro de chapitre tel que Chapitre 1 +en gros caractère gras (la taille est \huge). Ensuite il place le +titre sur une nouvelle ligne, en caractère gras encore plus gros +(taille \Huge). Il incrémente également le compteur +chapter, ajoute une entrée à la table des matières (Table +of contents etc.), et règle l&textrsquo;information de haut de page (Page +styles). - -Cross referencesEnvironmentsSectioningTop -Des références croisées -références croisées +La forme étoilée, ou forme en *, affiche titre sur une +nouvelle ligne, en caractère gras. Mais elle n&textrsquo;affiche pas le numéro de +chapitre, ni n&textrsquo;incrément le compteur chapter, et ne produit +aucune entrée dans la table des matières, et n&textrsquo;affecte pas le haut de +page. (Si vous utilise le style de page headings dans un +document recto-version alors le haut de page sera dérivé du chapitre +précédent). Voici un exemple illustrant cela : + + +
\chapter*{Préambule}
+
-Une des raisons pour numéroter des choses telles que les figures ou les -équations est d&textrsquo;indiquer au lecteur une référence vers elles, comme dans « Voir la -figure 3 pour plus de détails. » +L&textrsquo;argument optionnel tdm-titre apparaît comme titre de chapitre +dans la tabvle des matières (Table of contents etc.) et dans les +hauts de page (Page styles). Si il n&textrsquo;est pas présent alors +titre sera à la place. L&textrsquo;exemple suivant montre le nom complet +dans le titre de chapitre, -étiquette -Inclure le numéro de figure dans le code source est une mauvaise -pratique puisque ce si ce noméro change avec l&textrsquo;évolution du document, -alors on doit penser à mettre à jour cet référence manuellement. Au lieu -de cela, &latex; vous fait écrire une étiquette du genre -\label{eq:ThmGreens} et lui faire référence avec Voir -l'équation~\ref{eq:ThmGreens}. - -&latex; écrit l&textrsquo;information provenant des étiquettes dans un fichier -avec le même nom que le fichier conteant le \label{...} mais -avec une extension .aux. (L&textrsquo;information a le format -\newlabel{étiquette}{{étiquette-courante}{numéro-de-page}} -où étiquette-courante est la valeur de la macro -\&arobase;currentlabel qui est d&textrsquo;ordinaire mise à jour à chaque vous que -that is vous appelez \refstepcounter{compteur}.) - -référence déclarée en aval -aval, référence déclarée en -déclaration en aval de référence -L&textrsquo;effet secondaire le plus courant du paragraphe précédent se produit -lorsque votre document a une référence déclarée en aval, c.-à-d.&noeos; -un \ref{clef} qui apparaît avant le -\label{clef} associé ; voir l&textrsquo;exemple dans la description -de \pageref{...}. &latex; obtient les référence à partir du -fichier .aux. Si c&textrsquo;est la première fois que vous compilez le -document alors vous obtiendrez un message LaTeX Warning: Label(s) -may have changed. Rerun to get cross references right. et dans la -sortie la référence apparaîtra comme deux points -d&textrsquo;interrogration ?? en caractères gras. Ou, si vous modifiez le -document de telle façon que les références changent alors vous -obtiendrez le même avertissement et la sortie contiendra l&textrsquo;information -de référence de la fois précédente. La solution dans les deux cas est -juste de re-compiler le document encore une fois. + +
\chapter[Weyl]{Hermann Klaus Hugo (Peter) Weyl (1885--1955)}
+
+ + +mais seulement Weyl sur la page de table des matières. L&textrsquo;exemple +suivant place un saut de ligne dans le titre, mais ceci ne fonctionne +pas bien avec les haut de page, alors il omet le saut dans la table des +matières + + +
\chapter[J'ai tout donné ; mon histoire]{J'ai tout donné\\ mon histoire}
+
+ +Pour déterminer quelles rubriques sont numérotées et lesquelles +apparaissent dans la table des matières, le numéro de niveau d&textrsquo;un +chapitre est 0 (Sectioning/secnumdepth et +Sectioning/tocdepth). + +paquetage indentfirst +indentfirst, paquetage + + +Lorsque chargez un paquetage d&textrsquo;internationalisation tel que +babel, mlp ou polyglossia, et que la langue +sélectionnée est le français, alors le premier paragraphe après le titre +est normalement renfoncé, comme c&textrsquo;est la convention en typographie +française. Par contre, si vous restez en langue par défaut, +c-à-d.&noeos; en anglo-américain, + +le paragraphe qui suit le titre de chapitre n&textrsquo;est pas renfoncé, étant donné que c&textrsquo;est + +pour l&textrsquo;anglo-américain + +une pratique typographique standarde. Pour obtenir un renfoncement + +dans ce cas + +utilisez le paquetage indentfirst. + +Vous pouvez changer ce qui est affiché pour le numéro de chapitre. Pour +le changer en quelque-chose du genre de Cours 1, placez dans le +préambule soit \renewcommand{\chaptername}{Cours}, soit +cela (\makeatletter & \makeatother) : - -\label
Attribuez un nom symbolique à un morceau de texte.
-
\pageref
Faire référence à un numéro de page.
-
\ref
Faire référence à une rubrique, figure ou chose similaire.
-
+ +
\makeatletter
+\renewcommand{\&arobase;chapapp}{Cours}
+\makeatother
+
+paquetage babel +babel, paquetage -\label\pagerefCross references -
\label -\label + Pour que cela soit fonction de la langue principale du document, voir le paquetage babel. + +Dans un document recto-verso &latex; commence les chapitres sur des +pages de numéro impair, en laissant si nécessaire une page de numéro +pair blanche à l&textrsquo;exception d&textrsquo;un éventuel haut de page. Pour que cette +page soit complètement blanche, voir \clearpage & +\cleardoublepage. + +paquetage titlesec +titlesec, paquetage -Synopsis : +Pour changer le comportement de la commande \chapter, vous pouvez +copier sa définition depuis le fichier de format &latex; et faire des +ajustements. Mais il y a aussi beaucoup de paquetage sur le CTAN qui +traitent de cela. L&textrsquo;un d&textrsquo;eux est titlesec. Voir sa +documentation, mais l&textrsquo;exemple ci-dessous donne un aperçu de ce qu&textrsquo;il +peut faire. -
\label{clef}
+
\usepackage{titlesec}   % dans le préambule
+\titleformat{\chapter}
+  {\Huge\bfseries}  % format du titre
+  {}                % étiquette, tel que 1.2 pour une sous-section
+  {0pt}             % longueur de séparation entre l'étiquette et le titre
+  {}                % code crochet exécuté avant
 
-Attribut un numéro de référence à clef. Au sein de texte -ordinaire, \label{clef} attribut à clef le numéro -de la rubrique courante. Au sein d&textrsquo;un environnement numéroté, tel que -l&textrsquo;environnement table ou theorem, -\label{clef} attribue le numéro de cet environnement à -clef. On retire le numéro attribué avec la commande -\ref{clef} (\ref). + +Ceci omet le numéro de chapitre Chapitre 1 de la page, mais +contrairement à \chapter* cela conserve le chapitre dans la table +des matière et dans les hauts de page. -Le nom clef peut se composer de n&textrsquo;importe quelle séquence de -lettres, chiffres, ou caractères de ponctuation ordinaires. Il est -sensible à la casse &textmdash; lettres capitales ou bas-de-casse. + +
+\section\subsection\chapterSectioning +
\section + +\section +section + +Synopsis, l&textrsquo;un parmi : -Pour éviter de créer accidentellement deux étiquettes avec le même nom, -l&textrsquo;usage est d&textrsquo;utiliser des étiquettes composées d&textrsquo;un préfixe et d&textrsquo;un -suffixe séparés par un caractère : ou .. Certains préfixes -classiquement utilisés : + +
\section{titre}
+\section*{titre}
+\section[tdm-titre]{titre}
+
+ +Commence une section. Les classes &latex; standardes article, +book, et report ont toutes cette commande. - -ch -pour les chapitres -sec -les commandes de rubricage de niveau inférieur -fig -pour les figures -tab -pour les tables -eq -pour les équations -
+L&textrsquo;exemple suivant produit une section : + + +
Dans cette partie nous nous intéressons plutôt à la fonction, au
+comportement d'entrée-sortie, qu'aux détails de la réalisation de ce
+comportement.
 
-Ansi, \label{fig:Euler} est une étiquette pour une figure avec
-un portrait de ce grand homme.
+\section{Machines de Turing}
+En dépit de ce désir de rester évasif sur l'implémentation, nous suivons
+l'approche d'A.~Turing selon laquelle la première étape pour définir
+l'ensemble des fonctions calculables est de réflechir au détails de ce
+que des mécanismes peuvent faire.
+
+ +Pour les classes standardes &latex; book et report la +sortie par défaut est du genre de 1.2 titre (pour +chapitre 1, section 2), seul sur sa ligne et fer à gauche, en caractères +gras et plus gros (la taille de police est \Large). La même +chose vaut pour article à ceci près qu&textrsquo;il n&textrsquo;y a pas de chapitre +dans cette classe, et donc cela ressemble à 2 titre. -Dans l&textrsquo;exemple ci-dessous la clef sec:test se verra attribué le -numéro de la section courante et la clef fig:test se verra -attribué le numéro de la figure. Soit dit en passant, mettez les -étiquettes (\label) après les légendes (\caption) au sein -des environnements figure ou table. +La forme en * affiche titre. Mais elle n&textrsquo;affiche pas le +numéro de section, ni n&textrsquo;incrémente le compteur section, ne +produit aucune entrée dans la table des matière, et n&textrsquo;affecte pas le +haut de page. (Si vous utilisez le style de page headings dans +un document recto-verso, alors le titre de haut de page sera celui de la +rubrique précédente). + +L&textrsquo;argument optionnel tdm-titre apparaît comme titre de section +dans la table des matières (Table of contents etc.) et dans les +titres de haut de page (Page styles). S&textrsquo;il n&textrsquo;est pas présent +alors titre est à la place. L&textrsquo;exemple suivant montre le nom +complet dans le titre de la section, -
\section{Titre de la rubrique}
-\label{sec:test}
-Dans cette rubrique~\ref{sec:test}.
-\begin{figure}
-  ...
-  \caption{Texte de la légende}
-  \label{fig:test}
-\end{figure}
-Voir Figure~\ref{fig:test}.
+
\section[Elisabeth~II]{Elisabeth deux,
+  Reine par la grâce de Dieu du Royaume Uni,
+  du Canada et de ses autres Royaumes et Territoires,
+  Chef du Commonwealth, Défenseur de la Foi.}
 
+ +mais seulement Elisabeth II dans la table de matière et sur les +hauts de page. Dans l&textrsquo;exemple suivant il y a un saut de ligne dans +titre mais ça ne fonctionne pas pour la table des matières alors +il est omis de la table des matières et des titres de hauts de page. + + +
\section[La vérité c'est que j'ai menti ; histoire de ma vie]{La vérité
+c'est que j'ai menti\\ histoire de ma vie}
+
+ +Pour déterminer quelles rubriques sont numérotées et lesquelles +apparaissent dans la table des matières, le numéro de niveau d&textrsquo;une +section est 1 (Sectioning/secnumdepth et +Sectioning/tocdepth). + +paquetage indentfirst +indentfirst, paquetage + + +Lorsque chargez un paquetage d&textrsquo;internationalisation tel que +babel, mlp ou polyglossia, et que la langue +sélectionnée est le français, alors le premier paragraphe après le titre +est normalement renfoncé, comme c&textrsquo;est la convention en typographie +française. Par contre, si vous restez en langue par défaut, +c-à-d.&noeos; en anglo-américain, + +le paragraphe qui suit le titre de section n&textrsquo;est pas renfoncé, étant donné que c&textrsquo;est + +pour l&textrsquo;anglo-américain + +une pratique typographique standarde. Pour obtenir un renfoncement + +dans ce cas + +utilisez le paquetage indentfirst. + +paquetage titlesec +titlesec, paquetage + +En général, pour changer le comportement de la commande \section, +il y a diverses options. L&textrsquo;une d&textrsquo;elles et la commande +\&arobase;startsection (\&arobase;startsection). Il y a aussi un grand +nombre de paquetages sur le CTAN traitant de cela, dont +titlesec. Voir sa +documentation, mais l&textrsquo;exemple ci-dessous donne un aperçu de ce qu&textrsquo;il +peut faire. + + + +
\usepackage{titlesec}   % dans le préambule
+\titleformat{\section}
+  {\normalfont\Large\bfseries}  % format du titre
+  {\makebox[1pc][r]{\thesection\hspace{1pc}}} % étiquette
+  {0pt}                   % longueur de séparation entre l'étiquette et le titre
+  {}                      % code crochet exécuté avant
+\titlespacing*{\section}
+  {-1pc}{18pt}{10pt}[10pc]
+
+ + +Cela met le numéro de section dans la marge. + +
-\pageref\ref\labelCross references -
\pageref{clef} -\pageref -référence croisée avec numéro de page -numéro de page, référence croisée +\subsection\subsubsection & \paragraph & \subparagraph\sectionSectioning +
\subsection -Synopsis : +\subsection +subsection + +Synopsis, l&textrsquo;un parmi : -
\pageref{clef}
+
\subsection{titre}
+\subsection*{titre}
+\subsection[tdm-titre]{titre}
 
-Produit le numéro de page de l&textrsquo;endroit du texte où la commande -correspondante \label{clef} apparaît. +Commence une sous-section. Les classes &latex; standardes article, +book, et report ont toutes cette commande. -Dans cet exemple le \label{eq:principale} est utilisé à la fois -pour le numéro de la formule et pour le numéro de page. (Notez que les -deux références sont des référénces déclarées en aval, ainsi ce document -that the a besoin d&textrsquo;être compilé deux fois pour les résoudre.) +L&textrsquo;exemple suivant produit une sous-section : -
Le résultat principal est la formule~\ref{eq:principale} de la
-page~\pageref{eq:principale}.
-  ...
-\begin{equation} \label{eq:principale}
-   \mathbf{P}=\mathbf{NP}
-\end{equation}
-
+
Nous allons montrer qu'il y a plus de fonction que de machines de Turing
+et donc que certaines fonctions n'ont pas de machine associée.
 
-
-\ref\pagerefCross references -
\ref{clef} -\ref -référence croisée, symbolique -numéro de rubrique, référence croisée -numéro d&textrsquo;équation, référence croisée -numéro de figure, référence croisée -numéro de note en bas de page, référence croisée +\subsection{Cardinal} Nous allons commencer par deux paradoxes qui +mettent en scène le défi que pose à notre intuition la comparaison des +tailles d'ensembles infinis. +
-Synopsis : +Pour les classes &latex; standardes book et report la +sortie par défaut est du genre de 1.2.3 titre (pour +chapitre 1, section 2, sous-section 3), seul sur sa ligne et fer à +gauche, en caractère gras et un peu plus gros (la taille de police est +\large). La même chose vaut dans article à ceci près +qu&textrsquo;il n&textrsquo;y a pas de chapitre dans cette classe, alors cela ressemble à +2.3 titre. + +La forme en * affiche titre. Mais elle n&textrsquo;affiche pas le +numéro de sous-section, ni n&textrsquo;incrémente le compteur subsection, +et ne produit aucune entrée dans la table des matières. + + +L&textrsquo;argument optionnel tdm-titre apparaît comme le titre de +sous-section dans la table des matières (Table of contents +etc.). S&textrsquo;il n&textrsquo;est pas présent alors titre est à la place. +L&textrsquo;exemple suivant montre le texte complet dans le titre de sous-section, -
\ref{clef}
+
\subsection[$\alpha,\beta,\gamma$ paper]{\textit{The Origin of
+  Chemical Elements} by R.A.~Alpher, H.~Bethe, and G.~Gamow}
 
-Produit le numéro de la rubrique, équation, note en bas de page, figure, -&dots;, de la commande correspondante \label (\label). -Elle ne produit aucun texte, tel que le mot Section ou -Figure, juste le numéro lui-même sans plus. - -Dans cet exemple, le \ref{populaire} produit 2. Notez -que ceci est une référence déclarée en aval puisque elle est faite avant -\label{populaire}. + +mais seulement 03B1,03B2,03B3 +paper dans la table des matières. + +Pour déterminer quelles rubriques sont numérotées et lesquelles +apparaissent dans la table des matières, le numéro de niveau d&textrsquo;une +sous-section est 2 (Sectioning/secnumdepth et +Sectioning/tocdepth). + +paquetage indentfirst +indentfirst, paquetage + + +Lorsque chargez un paquetage d&textrsquo;internationalisation tel que +babel, mlp ou polyglossia, et que la langue +sélectionnée est le français, alors le premier paragraphe après le titre +est normalement renfoncé, comme c&textrsquo;est la convention en typographie +française. Par contre, si vous restez en langue par défaut, +c-à-d.&noeos; en anglo-américain, + +le paragraphe qui suit le titre de sous-section n&textrsquo;est pas renfoncé, étant donné que c&textrsquo;est + +pour l&textrsquo;anglo-américain + +une pratique typographique standarde. Pour obtenir un renfoncement + +dans ce cas + +utilisez le paquetage indentfirst. + +paquetage titlesec +titlesec, paquetage + + +Il y a diverses façon de changer le comportement de la commande +\subsection. L&textrsquo;une d&textrsquo;elles et la commande \&arobase;startsection +(\&arobase;startsection). Il y a aussi divers paquetages sur le CTAN +traitant de cela, dont titlesec. Voir sa documentation, mais +l&textrsquo;exemple ci-dessous donne un aperçu de ce qu&textrsquo;il peut faire. -
Le format utilisé le plus largement est à l'item item numéro~\ref{populaire}.
-\begin{enumerate}
-\item Plain \TeX
-\item \label{populaire} \LaTeX
-\item Con\TeX t
-\end{enumerate}
+
\usepackage{titlesec}   % dans le préambule
+\titleformat{\subsection}[runin]
+  {\normalfont\normalsize\bfseries}  % format du titre
+  {\thesubsection}                   % étiquette
+  {0.6em}                            % espacement entre l'étiquette et le titre
+  {}                                 % code crochet exécuté avant
 
+ +Cela place le numéro de sous-section et titre sur la première +ligne de texte. +
-
-EnvironmentsLine breakingCross referencesTop -Environments -environments +\subsubsection & \paragraph & \subparagraph\appendix\subsectionSectioning +
\subsubsection, \paragraph, \subparagraph -\begin -\end +\subsubsection +subsubsection +\paragraph +paragraph +\subparagraph +subparagraph -&latex; fournit beacoup d&textrsquo;environnements pour baliser un certain texte. -Chaque environnement commence et se termine de la même manière : +Synopsis, l&textrsquo;un parmi les suivant : -
\begin{nomenv}
-...
-\end{nomenv}
+
\subsubsection{titre}
+\subsubsection*{titre}
+\subsubsection[titre-tdm]{titre}
 
- -abstract
Produit un abrégé.
-
array
Tableau pour les mathématiques.
-
center
Lignes centrées.
-
description
Lignes étiquetées.
-
displaymath
Formule qui apparaissent sur leur propre ligne.
-
document
Entoure le document en entier.
-
enumerate
Liste à numéros.
-
eqnarray
Séquences d&textrsquo;équations alignées.
-
equation
Équation en hors texte.
-
figure
Figures flottante.
-
filecontents
Écrire des fichiers multiples à partir du fichier source.
-
flushleft
Lignes jusitifiées à gauche.
-
flushright
Lignes jusitifiées à droite.
-
itemize
Liste à puces.
-
letter
Lettres.
-
list
Environnement pour listes génériques.
-
math
Math en ligne.
-
minipage
Page miniature.
-
picture
Image avec du texte, des flèches, des lignes et des cercles.
-
quotation et quotequotation and quote
Citer du texte.
-
tabbing
Aligner du texte arbitrairement.
-
table
Tables flottante.
-
tabular
Aligner du texte dans les colonnes.
-
thebibliography
Bibliographie ou liste de référence.
-
theorem
Théorèmes, lemmes, etc.
-
titlepage
Pour des pages de titre sur mesure.
-
verbatim
Simuler un entrée tapuscrite.
-
verse
Pour la poésie et d&textrsquo;autres choses.
-
- - -abstractarrayEnvironments -
abstract + +ou l&textrsquo;un parmi : + + +
\paragraph{titre}
+\paragraph*{titre}
+\paragraph[titre-tdm]{titre}
+
-environnement abstract -abstract, environnement -résumé + +ou l&textrsquo;un parmi : + + +
\subparagraph{titre}
+\subparagraph*{titre}
+\subparagraph[titre-tdm]{titre}
+
+ +Débute une rubrique de type sous-sous-section, paragraphe, ou +sous-paragraphe. Les classes &latex; standardes article, +book, et report disposent toutes de ces commandes, bien +que leur utilisation n&textrsquo;est pas courante. + +L&textrsquo;exemple suivant produit une sous-sous-section : + + + +
\subsubsection{Piston ring compressors: structural performance}
+Provide exterior/interior wall cladding assemblies
+capable of withstanding the effects of load and stresses from 
+consumer-grade gasoline engine piston rings.
+
+ +La sortie produite par défaut de chacune de ces trois commande est la +même pour les classes &latex; standarde article, book, et +report. Pour \subsubsection le titre est seul sur +sa ligne, en caractères gras avec la taille normale de police. Pour +\paragraph le titre est sur la même ligne que le texte qui +suit, sans renfoncement, en caractères gras avec la taille normale de +police. Pour \subparagraph le titre est sur la même ligne +que la texte qui suit, avec un renfoncement de paragraphe, en caractère +gras et avec la taille normale de police (comme les documents de classe +article n&textrsquo;ont pas de chapitre, leurs sous-sous-sections sont +numérotées et donc cela ressemble à 1.2.3 titre, pour +section 1, sous-section 2, et sous-sous-section 3. Les deux autres +subdivisions ne sont pas numérotées). + +La forme en * affiche titre. Mais elle n&textrsquo;incrémente pas le +compteur associé et ne produit pas d&textrsquo;entrée dans la table des matières +(et le titre produit pas \subsubsection n&textrsquo;a pas de numéro). + +L&textrsquo;argument optionnel titre-tdm apparaît comme le titre de la +rubrique dans la table des matières (Table of contents etc.). +S&textrsquo;il est omis, alors titre est utilisé à la place. + +Pour déterminer quelles rubriques sont numérotées et lesquelles +apparaissent dans la table des matières, le numéro de nuveau d&textrsquo;une +sous-sous-section est 3, celui d&textrsquo;un paragraphe est 4, et celui d&textrsquo;un +sous-paragraphe est 5 (Sectioning/secnumdepth et +Sectioning/tocdepth). + +paquetage indentfirst +indentfirst, paquetage + + +Lorsque chargez un paquetage d&textrsquo;internationalisation tel que +babel, mlp ou polyglossia, et que la langue +sélectionnée est le français, alors le premier paragraphe après le titre +est normalement renfoncé, comme c&textrsquo;est la convention en typographie +française. Par contre, si vous restez en langue par défaut, +c-à-d.&noeos; en anglo-américain, + +le paragraphe qui suit le titre de chapitre n&textrsquo;est pas renfoncé, étant donné que c&textrsquo;est + +pour l&textrsquo;anglo-américain + +une pratique typographique standarde. Une façon d&textrsquo;obtenir un renfoncement + +dans ce cas + +est d&textrsquo;utiliser le paquetage indentfirst. + +paquetage titlesec +titlesec, paquetage + +Il y a de nombreuses manières de changer le comportement de ces +commandes. L&textrsquo;une est la commande \&arobase;startsection +(\&arobase;startsection). Il y a aussi un grand nombre de paquetages +sur le CTAN traitant de cela, dont titlesec. Voir sa +documentation sur le CTAN. + +
+\appendix\frontmatter & \mainmatter & \backmatter\subsubsection & \paragraph & \subparagraphSectioning + +
\appendix + +\appendix +appendix +appendices Synopsis : - -
\begin{abstract}
-...
-\end{abstract}
+
+
+
\appendix
 
-Produit un résumé, potentiellement contenant plusieurs paragraphes. Cet -environnement n&textrsquo;est défini que dans les classes de document -article et report (Document classes). +Ne produit pas directement quelque chose en sortie. Mais dans un +document book ou report cela déclare que toute commande +\chapter qui suit commence une annexe. Pour les documents +article cela fait la même chose mais avec les commandes +\section. Remet également à zéro les compteurs chapter et +section dans un document book ou report, et dans un +article les compteurs section et subsection. -Utiliser l&textrsquo;exemple ci-dessous au sein de la classe article -produit un paragraphe détaché. L&textrsquo;option titlepage de la classe de -document a pour effet que le résumé soit sur une page séparée -(Document class options) ; ceci est le comportement par défaut -selement dans la classe report. +Dans ce document de classe book : -
\begin{abstract}
-  Nous comparons tous les récits de la proposition faits par Porter
-  Alexander à Robert E Lee en lieu de l'Appomattox Court House que
-  l'armée continue à combattre dans une guerre de guerilla, ce que Lee
-  refusa.
-\end{abstract}
+
\chapter{Un}  ...
+\chapter{Deux}  ...
+ ...
+\appendix
+\chapter{Trois}  ...
+\chapter{Quatre}  ...
 
-L&textrsquo;exemple suivant produit un résumé en une-colonne au sein d&textrsquo;un document -en deux-colonne (pour plus solution plus flexible, utilisez le paquetage -abstract). - - - -
\documentclass[twocolumn]{article}
-  ...
-\begin{document}
-\title{Babe Ruth comme ancêtre culturel : une approche atavique}
-\author{Smith \\ Jones \\ Robinson\thanks{Bourse des chemins de fer.}}
-\twocolumn[
-  \begin{&arobase;twocolumnfalse}
-     \maketitle
-     \begin{abstract}
-       Ruth n'était pas seulement le Sultan du Swat, il était à lui tout 
-       seul l'équipe du swat.
-     \end{abstract}
-   \end{&arobase;twocolumnfalse}
-   ]
-{   % by-hand insert a footnote at page bottom
- \renewcommand{\thefootnote}{\fnsymbol{footnote}}
- \footnotetext[1]{Merci pour tout le poisson.}
-}
-
- - - -
-arraycenterabstractEnvironments -
array -environnement array -array, environnement -tableaux mathématiques + +les deux premières commandes produisent en sortie Chapitre 1 and +Chapitre 2. Après la commande \appendix la numérotation devient +Annexe A et Annexe B. Larger book template +pour un autre exemple. + +paquetage appendix +appendix, paquetage + +Le paquetage appendix ajoute la commande \appendixpage +pour créer une page de titre de partie intitulée Appendices dans +le corps du document avant la première annexe, ainsi que la +commande \addappheadtotoc pour créer l&textrsquo;entrée correspondante dans +la table des matières. On peut régler le nom Appendices avec une +commande comme \renewcommand{\appendixname}{Annexes}, et il y +a plusieurs autres fonctions. Voir la documentation sur le CTAN. + +
+\frontmatter & \mainmatter & \backmatter\&arobase;startsection\appendixSectioning +
\frontmatter, \mainmatter, \backmatter + +\frontmatter +book, pièces préliminaires +livre, pièces préliminaires +\mainmatter +book, pièces principales +livre, pièces principales +\backmatter +book, pièces postliminaires +book, annexes +livre, pièces postliminaires +livre, annexes + +Synopsis, l&textrsquo;un parmi : + + +
\frontmatter
+\mainmatter
+\backmatter
+
+ +Formate un document de classe book différemment selon la partie +du document en cours de production. Les trois commandes sont toutes +optionnelles. + +Traditionnellement, les pièces préliminaires (\frontmatter) d&textrsquo;un +livre comprennent des choses telles que la page de titre, un abrégé, une +table des matières, une préface, une liste des notations, une liste des +figures et une liste des tableaux. (Certaines des pages des pièces +préliminaires, telles que la page de titres, traditionnellement ne sont +pas numérotée). Les pièces postliminaires (\backmatter) peuvent +contenir des choses telles qu&textrsquo;un glossaire, une bibliographie, et un +index. + +La déclaration \frontmatter rend les numéros de page en chiffres +romains bas de casse, et rend les chapitres non numérotés, bien que les +titres de chaque chapitre apparaissent dans la table des matières ; si +vous utilisez là aussi d&textrsquo;autres commandes de rubricage, alors utilisez +la version en * (Sectioning). La commande +\mainmatter permet de revenir au comportement attendu, et +réinitialise le numéro de page. La commande \backmatter +n&textrsquo;affecte pas la numérotation des pages, mais commute de nouveau les +chapitres en mode sans numéros. Larger book template pour un +exemple d&textrsquo;usage des trois commandes. + + +
+\&arobase;startsection\frontmatter & \mainmatter & \backmatterSectioning +
\&arobase;startsection, composer les rubriques. + +\&arobase;startsection +section, redéfinir Synopsis : -
\begin{array}{patron}
-entrée-col-1&entrée-col-2 ... &entrée-col-n}\\
-...
-\end{array}
+
\&arobase;startsection{nom}{niveau}{retrait}{avant}{après}{style}
 
-ou +Utilisé pour aider à redéfinir le comportement des commandes de +rubricage telles que \section ou \subsection. - -
\begin{array}[pos]{patron}
-entrée-col-1&entrée-col-2 ... &entrée-col-n}\\
-...
-\end{array}
+Notez que le paquetage titlesec rend la manipulation du rubricage
+plus facile. De plus, bien que la plupart des exigences concernant les
+commandes de rubricage peuvent être remplies avec
+\&arobase;startsection, ce n&textrsquo;est pas le cas de certaines d&textrsquo;entre elles.  Par exemple,
+dans les classes &latex; standardes book et report, les
+commandes \chapter et \report ne sont pas construites de
+cette manière. Pour fabriquer une telle commande, il est possible
+d&textrsquo;utiliser la commande \secdef.
+
+
+Techniquement, cette commande a la forme suivante :
+
+
\&arobase;startsection{nom}
+  {niveau}
+  {retrait}
+  {avant}
+  {après}
+  {style}*[titretdm]{titre}
+
+ de sorte que faire : + +
\renewcommand{\section}{\&arobase;startsection{nom}
+  {niveau}
+  {retrait}
+  {avant}
+  {après}
+  {style}}
 
+ redéfinit \section en gardant sa forme standarde d&textrsquo;appel +\section*[titretdm]{titre} (dans laquelle on +rappelle que l&textrsquo;étoile * est optionnelle). +Sectioning. Ceci implique que quand vous écrivez une commande +comme \renewcommand{\section}{...}, le +\&arobase;startsection{...} doit venir en dernier dans la définition. +Voir les exemples ci-dessous. + + + +nom +startsection name +\&arobase;startsection/name +Nom du compteur utilisé pour numéroter les titres de rubrique. Ce +compteur doit être défini séparément. Ceux qui sont utilisés le plus +communément sont section, subsection, ou +paragraph. Bien que dans ces cas-là le nom du compteur soit +identique à celui de la commande elle-même, utiliser le même nom n&textrsquo;est +pas obligatoire. + +Alors \thename affiche le numéro de titre, et +\namemark sert aux en-têtes de page. Voir le +troisième exemple plus bas. + +niveau +startsection level +\&arobase;startsection/level +Entier donnant la profondeur de la commande de +rubricage. Sectioning pour une liste des numéros standards de +niveaux. + +Si niveau est inférieur ou égal à la valeur du compteur +secnumdepth, alors les titres pour cette commande de rubricage +sont numérotés (Sectioning/secnumdepth). Par exemple : dans un +article, si secnumdepth vaut 1, alors une commande +\section{Introduction} produira en sortie une chaîne du type +« 1 Introduction », alors que \subsection{Historique} +produira en sortie une chaîne sans numéro de préfixe : +« Historique ». + +Si niveau est inférieur ou égal à la valeur du compteur +tocdepth, alors la table des matières aura un article pour cette +rubrique. Par exemple, dans un article, si tocdepth vaut +1, la table des matières listera les sections, mais pas les +subsections. + +retrait +startsection indent +\&arobase;startsection/indent -Les tableaux mathématiques sont produits avec l&textrsquo;environnement -array, normalement au sein d&textrsquo;un environnement equation -(equation). Les entrées dans chaque colonne sont séparées avec -une esperluette (&). Les lignes sont terminées par une double -contr&textrsquo;oblique (\\). +Une longueur donnant le renfoncement de toutes les lignes du titre par +rapport à la marge de gauche. Pour un renfoncement nul, utilisez 0pt. + + + +Une valeur négative telle que -1em cause un débord du titre dans +la marge de gauche. -L&textrsquo;argument obligatoire patron décrit le nombre de colonnes, -l&textrsquo;alignement en leur sein, et le formatage des régions -inter-colonne. Voir tabular pour une description complete de -patron, et des autres caractéristiques communes aux deux -environnement, y compris l&textrsquo;argument optionnel pos. +avant +startsection beforeskip +\&arobase;startsection/beforeskip +Longueur dont la valeur absolue est la longueur de l&textrsquo;espace vertical +inséré avant le titre de la rubrique. Cet espacement est ignoré si la +rubrique commence au début d&textrsquo;une page. Si ce nombre est négatif, alors +le premier paragraphe suivant le titre n&textrsquo;est pas renfoncé, s&textrsquo;il est +positif ou nul il l&textrsquo;est. (Notez que l&textrsquo;opposé de 1pt plus 2pt minus +3pt est -1pt plus -2pt minus -3pt). -L&textrsquo;environnement array diverge de tabular par deux -aspect. Le premier est que les entrée de array sont composées en -mode mathématique, - -dans le texte -(sauf si le patron spécifie la colonne avec &arobase;p{...}, ce -qui a pour effet que l&textrsquo;entrée est composée en mode texte). Le second est -que au lieu du paramètre \tablcolsep de tabular, l&textrsquo;espace -inter-colonne que &latex; met dans un array est contrôlé par -\arraycolsep -\arraycolsep, qui spécifie la moitié de la largueur entre les -colonnes. La valeur par défaut est 5pt. +Par exemple si avant vaut -3.5ex plus -1ex minus -0.2ex +alors pour commencer la nouvelle rubrique, &latex; ajoute environ 3,5 +fois la hauteur d&textrsquo;une lettre x en espace vertical, et le premier +paragraphe de la rubrique n&textrsquo;est pas renfoncé. Utiliser une longueur +élastique, c.-à-d.&noeos; comprenant plus et minus, est une +bonne pratique ici car cela donne à &latex; plus de latitude lors de la +fabrication de la page (Lengths). -paquetage amsmath -amsmath, paquetage -Pour otenir des tableaux entre accolades la méthode standarde est -d&textrsquo;utiliser le paquetage amsmath. Il comprend les environnements -pmatrix pour un tableau entre parenthèses (...), -bmatrix pour un tableau entre crochets [...], -Bmatrix pour un tableau entre accolades {...}, -vmatrix pour un tableau entre barres verticales |...|, et -Vmatrix pour un tableau entre doubles barres -verticales ||...||, ainsi que diverses autres contructions de -tableaux. +La quantité totale d&textrsquo;espace vertical entre la ligne de base de la ligne +précédant cette rubrique et la ligne de base du titre de la rubrique est +la somme du \parskip dans la police du corps de texte, du +\baselineskip de la police du titre, et de la valeur absolue de +l&textrsquo;argument avant. Cet espace est typiquement élastique de sorte à +pouvoir se dilater ou se contracter. (Si la rubrique commence en début +d&textrsquo;une page de sorte que cet espace soit ignoré, alors la ligne de base +du titre correspond à la ligne de base qu&textrsquo;aurait la première ligne de +texte sur cette page si celle-ci commençait par du texte). -Voici un exemple d&textrsquo;un tableau : +après +startsection afterskip +\&arobase;startsection/afterskip +Longueur. Lorsque après est positif ou nul, il s&textrsquo;agit de l&textrsquo;espace +vertical à insérer après le titre de la rubrique. Lorsque elle est +négative, alors le titre fait corps avec le paragraphe le suivant +immédiatement. Dans ce cas la valeur absolue de la longueur donne +l&textrsquo;espace horizontal entre la fin du titre et le début du paragraphe +suivant. (Notez que l&textrsquo;opposé de 1pt plus 2pt minus 3pt est +-1pt plus -2pt minus -3pt). - -
\begin{equation}
-  \begin{array}{cr}
-    \sqrt{y}  &12.3 \\
-    x^2       &3.4
-  \end{array}
-\end{equation}
-
+Comme c&textrsquo;est le cas avec avant, utiliser une longueur élastique +avec des composantes plus et minus est une bonne pratique +ici puisque elle donne à &latex; plus de latitude pour assembler la +page. + +Si après est positif ou nul, la quantité totale d&textrsquo;espace vertical +entre la ligne de base du titre de la rubrique et la ligne de base de la +première ligne du paragraphe suivant est la somme du \parskip de +la police du titre, de \baselineskip de la police du corps de +texte, et de la valeur de après. Cet espace est typiquement +élastique de sorte qu&textrsquo;il puisse se dilater ou se contracter. (Notez que, +du fait que le signe d&textrsquo;après contrôle que le titre soit +indépendant du texte qui le suit ou faisant corps avec lui, vous ne +pouvez pas utiliser un après négatif pour annuler une partie du +\parskip). + +
style +startsection style +\&arobase;startsection/style +Contrôle le style du titre : voir les exemples plus bas. Les commandes +typiquement utilisées ici sont \centering, \raggedright, +\normalfont, \hrule, ou \newpage. La dernière +commande au sein de style peut être une commande prenant un +argument, telle que \MakeUppercase ou \fbox. Le titre de +la rubrique est passé en argument à cette commande. Par exemple régler +style à \bfseries\MakeUppercase a pour effet de produire +des titres gras et en capitales. +
-L&textrsquo;exemple suivante nécessite \usepackage{amsmath} dans le -preambule : +Voici les réglages par défaut de &latex; pour les trois premiers +niveaux de rubricage qui sont définis par \&arobase;startsection, pour +les classes article, book, et report. + + +Pour section, le niveau vaut 1, le retrait vaut 0pt, +le avant vaut -3.5ex plus -1ex minus -0.2ex, le après +vaut 2.3ex plus 0.2ex, et le style vaut +\normalfont\Large\bfseries. + +Pour subsection, le niveau +vaut 2, le retrait vaut 0pt, le avant vaut +-3.25ex plus -1ex minus -0.2ex, le après vaut 1.5ex +plus 0.2ex, et le style vaut \normalfont\large\bfseries. + +Pour subsubsection, le niveau vaut 3, le retrait vaut +0pt, le avant vaut -3.25ex plus -1ex minus -0.2ex, le +après vaut 1.5ex plus 0.2ex, et le style vaut +\normalfont\normalsize\bfseries. + + + +Voici des exemples. Pour les utiliser, mettez-les soit au sein d&textrsquo;un +fichier de paquetage ou de classe, soit dans le préambule d&textrsquo;un document +&latex;. Si vous les mettez dans le préambule, elle doivent être entre +une commande \makeatletter et une commande \makeatother. +(Le message d&textrsquo;erreur You can't use `\spacefactor' in vertical +mode. est le plus probable lorsque on oublie de faire +cela). \makeatletter & \makeatother. + +L&textrsquo;exemple ci-dessous centre les titres de section et les met en gros +caractères gras. Il le fait avec \renewcommand parce que les +classes standardes de &latex; ont déjà une commande \section de +définie. Pour la même raison il ne définit ni un compteur +section, ni les commandes \thesection et +\l&arobase;section. -
\begin{equation}
-  \begin{vmatrix}{cc}
-    a  &b \\
-    c  &d
-  \end{vmatrix}=ad-bc
-\end{equation}
+
\renewcommand\section{%
+  \&arobase;startsection{section}% \&arobase;startsection/namenomnom.
+  {1}% \&arobase;startsection/levelniveauniveau.
+  {0pt}% \&arobase;startsection/indentretraitretrait.
+  {-3.5ex plus -1ex minus -.2ex}% \&arobase;startsection/beforeskipavantavant.
+  {2.3ex plus.2ex}% \&arobase;startsection/afterskipaprèsaprès.
+  {\centering\normalfont\Large\bfseries}}% \&arobase;startsection/stylestylestyle.
 
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - +L&textrsquo;exemple ci-dessous met les titres de subsection en petites +capitales, et leur fait faire corps avec le paragraphe suivant. + + +
\renewcommand\subsection{%
+  \&arobase;startsection{subsection}%  \&arobase;startsection/namenomnom.
+    {2}% \&arobase;startsection/levelniveauniveau.
+    {0em}% \&arobase;startsection/indentretraitretrait.
+    {-1ex plus 0.1ex minus -0.05ex}% \&arobase;startsection/beforeskipavantavant.
+    {-1em plus 0.2em}% \&arobase;startsection/afterskipaprèsaprès.
+    {\scshape}% \&arobase;startsection/stylestylestyle.
+  }
+
+ +Les exemples précédents redéfinissaient les commandes de titre de +rubriques existantes. L&textrsquo;exemple suivant définit une nouvelle commande, +illustrant la nécessité d&textrsquo;un compteur et de macros pour son affichage. + + + +
\setcounter{secnumdepth}{6}% affiche les compteurs justqu'à ce niveau
+\newcounter{subsubparagraph}[subparagraph]% compteur pour la
+                                          % numérotation
+\renewcommand{\thesubsubparagraph}%
+   {\thesubparagraph.\&arobase;arabic\c&arobase;subsubparagraph}% comment afficher
+                                                % la numérotation
+\newcommand{\subsubparagraph}{\&arobase;startsection
+                         {subsubparagraph}%
+                         {6}%
+                         {0em}%
+                         {\baselineskip}%
+                         {0.5\baselineskip}%
+                         {\normalfont\normalsize}}
+\newcommand*\l&arobase;subsubparagraph%
+  {\&arobase;dottedtocline{6}{10em}{5em}}% pour la table des matières
+\newcommand{\subsubparagraphmark}[1]{}% pour les en-têtes de page
+
-centerdescriptionarrayEnvironments -
center - -environnement center -center, environnement -centrer du texte, environnement pour + +Cross referencesEnvironmentsSectioningTop +Des renvois +renvois -Synopsis : +Une des raisons pour numéroter des choses telles que les figures ou les +équations est d&textrsquo;indiquer au lecteur une référence vers elles, comme dans « Voir la +figure 3 pour plus de détails. » + +étiquette +Souvent on désire écrire quelque chose du genre de Voir +théorème~31. Mais Inclure manuellement le numéro est une mauvaise +pratique. Au lieu de cela, il vaut mieux écrire une étiquette du +genre \label{eq:ThmGreens} puis lui faire référence avec +Voir l'équation~\ref{eq:ThmGreens}. &latex; se charge de +déterminer automatiquement le numéro, de le produire en sortie, et de le +changer par la suite si besoin est. -
\begin{center}
-line1 \\
-line2 \\
-\end{center}
+
Cela apparaîtra avec le théorème~\ref{th:ThmGreens}. % référence déclarée en aval
+...
+\begin{theorem} \label{th:ThmGreens}
+  ...
+\end{theorem}
+...
+Voir le théorème~\ref{th:ThmGreens} page~\pageref{th:ThmGreens}.
 
-\\ (pour center) -L&textrsquo;environnement center vous permet de créer un paragraphe -consistant de lignes qui sont centrée entre les marges de gauche et de -droite de la page courante. Chaque ligne est terminée avec la chaîne -\\. + +&latex; garde trace de l&textrsquo;information de renvoi dans un +fichier avec le même nom de base que le fichier contenant le +\label{...} mais avec une extension .aux. Ainsi si +\label est dans calcul.tex alors cette information est +dans calcul.aux. &latex; met cette information dans ce fichier à +chaque fois qu&textrsquo;il rencontre un \label. + + +(L'information a le format +@code{\newlabel@{@var{étiquette}@}@{@{@var{étiquette-courante}@}@{@var{numéro-de-page}@}@}} +où @var{étiquette-courante} est la valeur de la macro +@code{\@@currentlabel} qui est d'ordinaire mise à jour à chaque vous que +vous appelez @code{\refstepcounter@{@var{compteur}@}}.) + + +référence déclarée en aval +aval, référence déclarée en +déclaration en aval de référence +L&textrsquo;effet secondaire le plus courant du paragraphe précédent se produit +lorsque votre document a une référence déclarée en aval, c.-à-d.&noeos; +un \ref qui apparaît avant le \label associé. Si c&textrsquo;est la +première fois que vous compilez le document alors vous obtiendrez un +message LaTeX Warning: Label(s) may have changed. Rerun to get +cross references right. et dans la sortie la référence apparaîtra comme +deux points d&textrsquo;interrogration ?? en caractères gras. Ou, si vous +modifiez le document de telle façon que les références changent alors +vous obtiendrez le même avertissement et la sortie contiendra +l&textrsquo;information de référence de la fois précédente. La solution dans les +deux cas est juste de re-compiler le document encore une fois. + +paquetage cleveref +cleveref, paquetage + + +Le paquetage cleveref élargit les possibilités de faire des +renvois de &latex;. Vous pouvez faire en sorte que si vous saisissez +\begin{thm}\label{th:Nerode}...\end{thm} alors +\cref{th:Nerode} produit en sortie théorème 3.21, sans +que vous ayez à saisir le mot « théorème ». + -\centering
Forme déclarative de l&textrsquo;environnement center.
+\label 
Attribuez un nom symbolique à un morceau de texte.
+
\pageref
Faire référence à un numéro de page.
+
\ref
Faire référence à une rubrique, figure ou chose similaire.
 
-\centeringcenter -\centering - -\centering -centrer du texte, déclaration pour - -La déclaration \centering correspond à l&textrsquo;environnement -center. Cette déclaration peut être utilisée à l&textrsquo;intérieur d&textrsquo;un -environnement tel que quote ou d&textrsquo;une parbox. Ainsi, le -texte d&textrsquo;une figure ou d&textrsquo;une table peut être centré sur la page en -mettant une commande \centering au début de l&textrsquo;environnement de la -figure ou table. - -Contrairement à l&textrsquo;environnement center, la commande -\centering ne commence pas un nouveau paragraphe ; elle change -simplement la façon dont &latex; formate les unités paragraphe. Pour -affecter le format d&textrsquo;une unité paragraphe, la porté de la déclaration -doit contenir une ligne à blanc ou la commande \end (d&textrsquo;un -environnement tel que quote) qui finit l&textrsquo;unité de paragraphe. - -Voici un exemple : - - -
\begin{quote}
-\centering
-first line \\
-second line \\
-\end{quote}
-
- - -
-
-descriptiondisplaymathcenterEnvironments -
description - -environnement description -description, environnement -lists étiquetée, créer -listes de description, créer +\label\pagerefCross references +
\label +\label Synopsis : -
\begin{description}
-\item [étiquette1] article1
-\item [étiquette2] article2
-...
-\end{description}
+
\label{clef}
 
-\item -L&textrsquo;environnement description est utilisé pour fabriquer des listes -d&textrsquo;articles étiquetés. Chaque étiquette d&textrsquo;article est composée en -gras, alignée à gauche. Bien que les étiquettes sur les articles sont -optionnelles il n&textrsquo;y a pas de valeur par défaut sensée, c&textrsquo;est pourquoi -tous les articles devraient avoir une étiquette. +Attribut un numéro de référence à clef. Au sein de texte +ordinaire, \label{clef} attribut à clef le numéro +de la rubrique courante. Au sein d&textrsquo;un environnement numéroté, tel que +l&textrsquo;environnement table ou theorem, +\label{clef} attribue le numéro de cet environnement à +clef. On retire le numéro attribué avec la commande +\ref{clef} (\ref). + +Le nom clef peut se composer de n&textrsquo;importe quelle séquence de +lettres, chiffres, ou caractères de ponctuation ordinaires. Il est +sensible à la casse &textmdash; lettres capitales ou bas-de-casse. -\item -La liste consiste en au moins un article ; voir \item (l&textrsquo;absence -d&textrsquo;article cause l&textrsquo;erreur &latex; Something's wrong--perhaps a -missing \item). Chaque article est produit avec une commande -\item. +Pour éviter de créer accidentellement deux étiquettes avec le même nom, +l&textrsquo;usage est d&textrsquo;utiliser des étiquettes composées d&textrsquo;un préfixe et d&textrsquo;un +suffixe séparés par un caractère : ou .. Certains préfixes +classiquement utilisés : - + +ch +pour les chapitres +sec +les commandes de rubricage de niveau inférieur +fig +pour les figures +tab +pour les tables +eq +pour les équations +
-gras tapuscrit, éviter -étiquette tapuscrite dans les listes -Une autre variation : puisque le style gras est appliqué aux étiquettes, -si vous composez une étiquette en style tapuscrit avec \texttt, -vous obtiendrez du gras tapuscrit : \item[\texttt{gras et -tapuscrit}]. C&textrsquo;est peut-être trop gras, entre autres problèmes. Pour -obtenir juste le style tapuscrit, utilisez \tt, ce qui -reinitialise toutes les autres variations de style : \item[{\tt -tapuscrit de base}]. +Ansi, \label{fig:Euler} est une étiquette pour une figure avec +un portrait de ce grand homme. -Pour les détails concernant l&textrsquo;espacement des listes, voir itemize. +Dans l&textrsquo;exemple ci-dessous la clef sec:test se verra attribué le +numéro de la section courante et la clef fig:test se verra +attribué le numéro de la figure. Soit dit en passant, mettez les +étiquettes (\label) après les légendes (\caption) au sein +des environnements figure ou table. + +
\section{Titre de la rubrique}
+\label{sec:test}
+Dans cette rubrique~\ref{sec:test}.
+\begin{figure}
+  ...
+  \caption{Texte de la légende}
+  \label{fig:test}
+\end{figure}
+Voir Figure~\ref{fig:test}.
+
-displaymathdocumentdescriptionEnvironments -
displaymath - - -environnement displaymath -displaymath, environnement +\pageref\ref\labelCross references +
\pageref{clef} +\pageref +renvoi avec numéro de page +numéro de page, renvoi Synopsis : -
\begin{displaymath}
-des maths
-\end{displaymath}
+
\pageref{clef}
 
- -L&textrsquo;environnement displaymath compose le texte des maths sur -sa propre ligne, centré par défaut. L&textrsquo;option globale fleqn -justifie les équations à gauche ; voir Document class options. - -Aucun numéro d&textrsquo;équation n&textrsquo;est ajouté au texte de texte -displaymath ; pour obtenir un numéro d&textrsquo;équation, vous pouvez -utiliser l&textrsquo;environnement equation (equation). - -&latex; ne fait pas de saut de ligne au sein de des maths. - -paquetage amsmath -amsmath, paquetage -Notez que le paquetage amsmath comprend des possibilités beaucoup -plus vastes en matière d&textrsquo;affichage d&textrsquo;équations. Par exemple, il offre -plusieurs altenatives pour effectuer des sauts de lignes au sein de -texte en mode mathématique. +Produit le numéro de page de l&textrsquo;endroit du texte où la commande +correspondante \label{clef} apparaît. -La construction \[des maths\] est essentiellement un -synonyme de \begin{displaymath}des -maths\end{displaymath}, mais ce dernier est plus pratique à -manipuler dans le code source ; par exemple la recherche d&textrsquo;un caractère -crochet ] peut donner des faux positifs, alors qu&textrsquo;il est plus -probable que le mot displaymath soit unique. (La construction -$$des maths$$ tirée du language &tex; de base est souvent -utilisée à tort comme un synonyme de displaymath. Ce n&textrsquo;en est -pas un, parce que l&textrsquo;environnement displaymath vérifie qu&textrsquo;il ne -commence pas en mode mathérmatique, parce qu&textrsquo;il gère l&textrsquo;espacement -verticial environment différemment, et parce qu&textrsquo;il honore l&textrsquo;option -fleqn.) +Dans cet exemple le \label{eq:principale} est utilisé à la fois +pour le numéro de la formule et pour le numéro de page. (Notez que les +deux références sont des référénces déclarées en aval, ainsi ce document +that the a besoin d&textrsquo;être compilé deux fois pour les résoudre.) -Le texte composé par cet exemple est centré et seul sur sa ligne. - -
\begin{displaymath}
-  \int_1^2 x^2\,dx=7/3
-\end{displaymath}
+
+
Le résultat principal est la formule~\ref{eq:principale} de la
+page~\pageref{eq:principale}.
+  ...
+\begin{equation} \label{eq:principale}
+   \mathbf{P}=\mathbf{NP}
+\end{equation}
 
-De plus, le signe intégrale est plus grand que ce que la version en -ligne \( \int_1^2 x^2\,dx=7/3 \) produit. - -
-documentenumeratedisplaymathEnvironments -
document - -environnement document -document, environnement - -L&textrsquo;environnement document entoure le corps entier d&textrsquo;un document. -Il est obligatoire dans tout document &latex;. Starting and -ending. - -\AtBeginDocument
Crochet pour commandes à exécuter au début du document.
-
\AtEndDocument
Crochet pour commandes à exécuter à la fin du document.
-
- -\AtBeginDocument\AtEndDocumentdocument - -\AtBeginDocument -début de document, crochet +
+\ref\pagerefCross references +
\ref{clef} +\ref +renvoi, symbolique +numéro de rubrique, renvoi +numéro d&textrsquo;équation, renvoi +numéro de figure, renvoi +numéro de note en bas de page, renvoi Synopsis : -
\AtBeginDocument{code}
+
\ref{clef}
 
-Sauvegarde code et exécute le quand \begin{document} est -exécuté, à la toute fin du préambule. Le code est exécuté après que les -tables de sélection de police ont été réglées, ainsi la police normale -du document est la police courante. Toutefois, le code est exécuté en -tant que faisant partie du préambule, c&textrsquo;est pourquoi on ne peut pas -composer du texte avec. +Produit le numéro de la rubrique, équation, note en bas de page, figure, +&dots;, de la commande correspondante \label (\label). +Elle ne produit aucun texte, tel que le mot Section ou +Figure, juste le numéro lui-même sans plus. -On peut utiliser cette commande plus d&textrsquo;une fois ; les lignes de code -successives sont exécutée dans l&textrsquo;ordre de passage à la commande. +Dans cet exemple, le \ref{populaire} produit 2. Notez +que ceci est une référence déclarée en aval puisque elle est faite avant +\label{populaire}. + +
Le format utilisé le plus largement est à l'item item numéro~\ref{populaire}.
+\begin{enumerate}
+\item Plain \TeX
+\item \label{populaire} \LaTeX
+\item Con\TeX t
+\end{enumerate}
+
-\AtEndDocument\AtBeginDocumentdocument -\AtEndDocument -fin document, crochet +
+ +EnvironmentsLine breakingCross referencesTop +Environments +environments -Synopsis : +\begin +\end + +&latex; fournit beaucoup d&textrsquo;environnements pour baliser un certain texte. +Chaque environnement commence et se termine de la même manière : -
\AtEndDocument{code}
+
\begin{nomenv}
+...
+\end{nomenv}
 
-Sauvegarde code et l&textrsquo;exécute vers la fin du document. Plus -précisément, il est exécuté lorsque \end{document} est exécuté, -avant que la dernière page ne soit terminée et avant que tous -environnements flottant restants soient traités. Si on désire d&textrsquo;une -partie du code soit exécuté après ces deux traitements, alors il suffit -d&textrsquo;inclure un \clearpage à l&textrsquo;endroit approprié du code. - -On peut utiliser cette commande plus d&textrsquo;une fois ; les lignes de code -successives sont exécutée dans l&textrsquo;ordre de passage à la commande. - -
-enumerateeqnarraydocumentEnvironments -
enumerate + +abstract
Produit un abrégé.
+
array
Tableau pour les mathématiques.
+
center
Lignes centrées.
+
description
Lignes étiquetées.
+
displaymath
Formule qui apparaissent sur leur propre ligne.
+
document
Entoure le document en entier.
+
enumerate
Liste à numéros.
+
eqnarray
Séquences d&textrsquo;équations alignées.
+
equation
Équation en hors texte.
+
figure
Figures flottante.
+
filecontents
Écrire des fichiers multiples à partir du fichier source.
+
flushleft
Lignes jusitifiées à gauche.
+
flushright
Lignes jusitifiées à droite.
+
itemize
Liste à puces.
+
letter
Lettres.
+
list
Environnement pour listes génériques.
+
math
Math en ligne.
+
minipage
Page miniature.
+
picture
Image avec du texte, des flèches, des lignes et des cercles.
+
quotation et quotequotation & quote
Citer du texte.
+
tabbing
Aligner du texte arbitrairement.
+
table
Tables flottante.
+
tabular
Aligner du texte dans les colonnes.
+
thebibliography
Bibliographie ou liste de références.
+
theorem
Théorèmes, lemmes, etc.
+
titlepage
Pour des pages de titre sur mesure.
+
verbatim
Simuler un entrée tapuscrite.
+
verse
Pour la poésie et d&textrsquo;autres choses.
+
+ -environnement enumerate -enumerate, environnement -lists of items, numbered +abstractarrayEnvironments +
abstract + +environnement abstract +abstract, environnement + +résumé Synopsis : - - -
\begin{enumerate}
-\item article1
-\item article2
+
+
\begin{abstract}
 ...
-\end{enumerate}
+\end{abstract}
 
-L&textrsquo;environnement enumerate produit une liste numérotée d&textrsquo;articles. -Le format du numéro en étiquette dépend de si cet environnement est -imbriqué dans un autre ; voir plus bas. - -\item -La liste consiste en au moins un article. L&textrsquo;absence d&textrsquo;article cause -l&textrsquo;erreur &latex; Something's wrong--perhaps a missing \item. -Chaque article est produit avec la commande \item. +Produit un résumé, potentiellement contenant plusieurs paragraphes. Cet +environnement n&textrsquo;est défini que dans les classes de document +article et report (Document classes). -Cet exemple fait la liste des deux premiers courreurs à l&textrsquo;arrivée du -marathon olympique de 1908 : +Utiliser l&textrsquo;exemple ci-dessous au sein de la classe article +produit un paragraphe détaché. L&textrsquo;option titlepage de la classe de +document a pour effet que le résumé soit sur une page séparée +(Document class options) ; ceci est le comportement par défaut +selement dans la classe report. -
\begin{enumerate}
- \item Johnny Hayes (USA)
- \item Charles Hefferon (RSA)
-\end{enumerate}
+
\begin{abstract}
+  Nous comparons tous les récits de la proposition faits par Porter
+  Alexander à Robert E Lee en lieu de l'Appomattox Court House que
+  l'armée continue à combattre dans une guerre de guerilla, ce que Lee
+  refusa.
+\end{abstract}
 
-Les énumerations peuvent être imbriquées les unes dans les autres, -jusqu&textrsquo;à une profondeur de quatre niveaux. Elles peuvent aussi être -imbriquées au sein d&textrsquo;autres environnements fabriquant des paragraphes, -tels que itemize (itemize) et description -(description). -Le format de l&textrsquo;étiquette produite dépend du niveau d&textrsquo;imbrication de la -liste. Voici les valeurs par défaut de &latex; pour le format à chaque -niveau d&textrsquo;imbrication (où 1 est le niveau le plus externe) : - - -numéro arabe suivi d&textrsquo;un point : 1., 2., &dots; -lettre en bas de casse et entre parenthèse : (a), (b) &dots; -numéro romain en bas de casse suivi d&textrsquo;un point : i., ii., &dots; -lettre capitale suivie d&textrsquo;un point : A., B., &dots; - - - -\enumi -\enumii -\enumiii -\enumiv -L&textrsquo;environnement enumerate utilise les compteurs \enumi, -&dots;, \enumiv (Counters). Si vous utilisez l&textrsquo;argument -optionnel d&textrsquo;\item alors le compteur n&textrsquo;est pas incrementé pour cet -article (\item). - -\labelenumi -\labelenumii -\labelenumiii -\labelenumiv -L&textrsquo;environnement enumerate utilise les commandes de -\labelenumi jusqu&textrsquo;à \labelenumiv pour produire l&textrsquo;étiquette -par défaut. Ainsi, vous pouvez utiliser \renewcommand pour -chancher le format des étiquettes (\newcommand & -\renewcommand). Par exemple, cette liste de premier niveau va être -étiquettée avec des lettres capitales, en gras, non suivies point : +L&textrsquo;exemple suivant produit un résumé en une-colonne au sein d&textrsquo;un document +en deux-colonne (pour plus solution plus flexible, utilisez le paquetage +abstract). -\Alph example + -
\renewcommand{\labelenumi}{\textbf{\Alph{enumi}}}
-\begin{enumerate}
-  \item eI
-  \item bi:
-  \item si:
-\end{enumerate}
+
\documentclass[twocolumn]{article}
+  ...
+\begin{document}
+\title{Babe Ruth comme ancêtre culturel : une approche atavique}
+\author{Smith \\ Jones \\ Robinson\thanks{Bourse des chemins de fer.}}
+\twocolumn[
+  \begin{&arobase;twocolumnfalse}
+     \maketitle
+     \begin{abstract}
+       Ruth n'était pas seulement le Sultan du Swat, il était à lui tout 
+       seul l'équipe du swat.
+     \end{abstract}
+   \end{&arobase;twocolumnfalse}
+   ]
+{   % by-hand insert a footnote at page bottom
+ \renewcommand{\thefootnote}{\fnsymbol{footnote}}
+ \footnotetext[1]{Merci pour tout le poisson.}
+}
 
-Pour une liste des commandes comme \Alph utilisables pour -formatter le compteur d&textrsquo;étiquette voir \alph \Alph \arabic \roman -\Roman \fnsymbol. - -Pour plus ample information sur la personalisation de la forme - -voir list. De même, le paquetage enumitem est utile pour -cela. - +
-eqnarrayequationenumerateEnvironments -
eqnarray +arraycenterabstractEnvironments +
array +environnement array +array, environnement -environnement eqnarray -eqnarray, environnement -équations, aligner -aligner des équations +tableaux mathématiques -align environnement, d&textrsquo;amsmath -amsmath paquetage, remplaçant eqnarray -Madsen, Lars -Tout d&textrsquo;abord une mise en garde : l&textrsquo;environnement eqnarray a -quelques maladresse que l&textrsquo;on ne peut pas surmonter ; l&textrsquo;artice « Évitez -eqnarray ! »&noeos; de Lars Madsen les décrit en détail -(http://tug.org/TUGboat/tb33-1/tb103madsen.pdf). Ce qu&textrsquo;il faut -retenir c&textrsquo;est qu&textrsquo;il vaut mieux utiliser l&textrsquo;environnement align (et -d&textrsquo;autres) du paquetage amsmath. - -Néanmoins, voici une description d&textrsquo;eqnarray : +Synopsis : -
\begin{eqnarray} (ou eqnarray*)
-formula1 \\
-formula2 \\
+
\begin{array}{patron}
+entrée-col-1&entrée-col-2 ... &entrée-col-n}\\
 ...
-\end{eqnarray}
+\end{array}
 
-\\ (for eqnarray) -L&textrsquo;environnement eqnarray est utilisé pour afficher une séquence -d&textrsquo;équations ou d&textrsquo;inégalités. Il est similaire à un environnement -array à trois colonnes, avec des lignes consecutives séparées par -\\ et des articles consécutifs au sein d&textrsquo;une ligne séparé par une -esperluète &. +ou -\\* (pour eqnarray) -\\* peut aussi être utilisé pour séparer les équations, avec sa -signification normale de ne pas autoriser un saut de page à cette ligne. + +
\begin{array}[pos]{patron}
+entrée-col-1&entrée-col-2 ... &entrée-col-n}\\
+...
+\end{array}
+
+ +Les tableaux mathématiques sont produits avec l&textrsquo;environnement +array, normalement au sein d&textrsquo;un environnement equation +(equation). Les entrées dans chaque colonne sont séparées avec +une esperluette (&). Les lignes sont terminées par une double +contr&textrsquo;oblique (\\). -\nonumber -numéro d&textrsquo;équation, omettre -Un numéro d&textrsquo;équation est placé sur chaque ligne à moins que cette ligne -ait une commande \nonumber. Alternativement, la forme étoilé (en -*) de l&textrsquo;environnement (\begin{eqnarray*} -... \end{eqnarray*}) omet la numérotation des équations entièrement, -tout en faisant par ailleurs la même chose qu&textrsquo;eqnarray. +L&textrsquo;argument obligatoire patron décrit le nombre de colonnes, +l&textrsquo;alignement en leur sein, et le formatage des régions +inter-colonne. Voir tabular pour une description complete de +patron, et des autres caractéristiques communes aux deux +environnement, y compris l&textrsquo;argument optionnel pos. -\lefteqn -La commande \lefteqn est utilisée pour couper les longues -formules sur plusieurs lignes. Elle compose son argument en hors texte -et le justifie à gauche dans une boîte de largeur nulle. +L&textrsquo;environnement array diverge de tabular par deux +aspect. Le premier est que les entrée de array sont composées en +mode mathématique, + +dans le texte +(sauf si le patron spécifie la colonne avec &arobase;p{...}, ce +qui a pour effet que l&textrsquo;entrée est composée en mode texte). Le second est +que au lieu du paramètre \tablcolsep de tabular, l&textrsquo;espace +inter-colonne que &latex; met dans un array est contrôlé par +\arraycolsep +\arraycolsep, qui spécifie la moitié de la largueur entre les +colonnes. La valeur par défaut est 5pt. -
-equationfigureeqnarrayEnvironments -
equation - -environnement equation -equation, environnement -équations, environnement pour -formules, environnement pour +paquetage amsmath +amsmath, paquetage -Synopsis : +Pour otenir des tableaux entre accolades la méthode standarde est +d&textrsquo;utiliser le paquetage amsmath. Il comprend les environnements +pmatrix pour un tableau entre parenthèses (...), +bmatrix pour un tableau entre crochets [...], +Bmatrix pour un tableau entre accolades {...}, +vmatrix pour un tableau entre barres verticales |...|, et +Vmatrix pour un tableau entre doubles barres +verticales ||...||, ainsi que diverses autres contructions de +tableaux. + +Voici un exemple d&textrsquo;un tableau :
\begin{equation}
-math
+  \begin{array}{cr}
+    \sqrt{y}  &12.3 \\
+    x^2       &3.4
+  \end{array}
 \end{equation}
 
-L&textrsquo;environnement equation commence un environnement en -displaymath (displaymath), par ex.&noeos; en centrant le texte -math sur la page, et aussi en plaçant un numéro d&textrsquo;équation dans la -marge de droite. +L&textrsquo;exemple suivante nécessite \usepackage{amsmath} dans le +preambule : + +
\begin{equation}
+  \begin{vmatrix}{cc}
+    a  &b \\
+    c  &d
+  \end{vmatrix}=ad-bc
+\end{equation}
+
+ + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
-figurefilecontentsequationEnvironments -
figure -environnement figure -figure, environnement -inserer des figures -figures, insertion +centerdescriptionarrayEnvironments +
center + +environnement center +center, environnement + +centrer du texte, environnement pour Synopsis : -
\begin{figure}[placement]
-  corpsfigure
-\caption[titreldf]{texte}
-\label{étiquette}
-\end{figure}
+
\begin{center}
+line1 \\
+line2 \\
+\end{center}
 
-ou +\\ (pour center) +L&textrsquo;environnement center vous permet de créer un paragraphe +consistant de lignes qui sont centrée entre les marges de gauche et de +droite de la page courante. Chaque ligne est terminée avec la chaîne +\\. - -
\begin{figure*}[placement]
-corpsfigure
-\caption[titreldf]{texte}
-\label{étiquette}
-\end{figure}
-
+ +\centering
Forme déclarative de l&textrsquo;environnement center.
+
-Une classe de flottant (Floats). Parce qu&textrsquo;elles ne peuvent pas -être coupées à cheval sur plusieurs pages, elles ne sont pas composées -en séquence avec le texte normal, mais au contraire sont &textldquo;flottées&textrdquo; -vers un endroit convenable, tel que le sommet d&textrsquo;une page suivante. - -Pour les valeurs possibles de placement et leur effet sur -l&textrsquo;algorithme de placement des flottants, voir Floats. - -La version étoilée figure* est utilisée quand un document est en -mode double-colonne (\twocolumn). elle produit une figure qui -s&textrsquo;étend sur les deux colonnes, au sommet de la page. Pour ajouter la -possibiltié de la placer à un bas de page voir la discussion de -placement b dans Floats. - -Le corps de la figure est composé dans une parbox de largueur -\textwidth and ainsi il peut contenir du texte, des commandes, -etc. + +\centeringcenter +\centering + +\centering +centrer du texte, déclaration pour + +La déclaration \centering correspond à l&textrsquo;environnement +center. Cette déclaration peut être utilisée à l&textrsquo;intérieur d&textrsquo;un +environnement tel que quote ou d&textrsquo;une parbox. Ainsi, le +texte d&textrsquo;une figure ou d&textrsquo;une table peut être centré sur la page en +mettant une commande \centering au début de l&textrsquo;environnement de la +figure ou table. -L&textrsquo;étiquette est optionnelle ; elle est utilisée pour les double renvois -(Cross references). -\caption -La commande \caption spécifie la légende texte pour la -figure. La légende est numérotée par défaut. Si titreldf est -présent, il est utilisé dans la liste des figures au lieu de texte -(Tables of contents). +Contrairement à l&textrsquo;environnement center, la commande +\centering ne commence pas un nouveau paragraphe ; elle change +simplement la façon dont &latex; formate les unités paragraphe. Pour +affecter le format d&textrsquo;une unité paragraphe, la porté de la déclaration +doit contenir une ligne à blanc ou la commande \end (d&textrsquo;un +environnement tel que quote) qui finit l&textrsquo;unité de paragraphe. -Cet exemple fabrique une figure à partir d&textrsquo;un graphique. Il nécessite -l&textrsquo;un des paquetage graphics ou graphicx. Le graphique, -avec sa légende, est palcé au sommet d&textrsquo;une page ou, s&textrsquo;il est rejet à la -fin du document, sur une page de flottants. +Voici un exemple : -
\begin{figure}[t]
-  \centering
-  \includegraphics[width=0.5\textwidth]{CTANlion.png}
-  \caption{The CTAN lion, by Duane Bibby}
-\end{figure}
+
\begin{quote}
+\centering
+first line \\
+second line \\
+\end{quote}
 
+
-filecontentsflushleftfigureEnvironments -
filecontents: Écrire un fichier externe -environnement filecontents -filecontents, environnement -environnement filecontents* -filecontents*, environnement -fichier externe, écrire -écrire un fichier externe +descriptiondisplaymathcenterEnvironments +
description + +environnement description +description, environnement + +lists étiquetée, créer +listes de description, créer Synopsis : -
\begin{filecontents}{nomfichier}
-texte
-\end{filecontents}
+
\begin{description}
+\item [étiquette du 1er article] texte du 1er article
+\item [étiquette du 2e article] texte du 2e article
+...
+\end{description}
 
-ou +\item +L&textrsquo;environnement description est utilisé pour fabriquer des listes +d&textrsquo;articles étiquetés. Chaque étiquette d&textrsquo;article est composée en +gras, alignée à gauche de sorte que les étiquettes longues continuent +sur la première lgne du texte de l&textrsquo;article. Il doit y avoir au moins un +article ; sans cela provoque l&textrsquo;erreur &latex; Something's +wrong--perhaps a missing \item. + +Cet exemple montre l&textrsquo;environnement utilisé pour une séquence de +définitions. Les étiquettes lama et llama ressortent en +gras avec leur bords gauches alignés sur la marge de gauche. -
\begin{filecontents*}{nomfichier}
-texte
-\end{filecontents*}
+
\begin{definition}
+  \item[lama] Un prêtre.
+  \item[lame] Une pièce coupante.
 
-Crée un fichier nommé nomfichier et le remplit de texte. La -version non étoilée de l&textrsquo;environnement filecontent préfixe le -contenu du ficher crée d&textrsquo;une en-tête ; voir l&textrsquo;exemple ci-dessous. La -version étoilée filecontent* n&textrsquo;inclut par l&textrsquo;en-tête. +\item +Faites démarrer la liste d&textrsquo;articles avec la commande \item +(\item). Utilisez l&textrsquo;étiquette optionnelle, comme dans +\item[Point principal], en effet il n&textrsquo;y a pas de valeur par +défaut sensée. Après le \item se trouve du texte optionnel +pouvant contenir plusieurs paragraphes. -Cet environnement peut être utilisé n&textrsquo;importe-où dans le préambule, bien -qu&textrsquo;elle apparaisse en général avant la commande -\documentclass. Elle est typiquement utilisée quand une fichier -source a besoin d&textrsquo;un fichier non standard de style ou de -classe. L&textrsquo;environnement permet d&textrsquo;écrire ce fichier dans le répertoire -contenant ce fichier et ainsi de rendre le code source autonome. Une -autre utilisation est d&textrsquo;inclure des référence au format bib dans -le fichier source, de même pour le rendre autonome. +gras machine à écrire, éviter +gras tapuscrit, éviter +étiquette machine à écrire dans les listes +étiquette tapuscrite dans les listes +Comme les étiquettes sont en gras, si le texte de l&textrsquo;étiquette appelle un +changement de police effectué dans la forme à argument (voir Font +stylesstyles des polices) alors il ressortira en gras. Par exemple, +si le texte de l&textrsquo;étiquette est en police machine à écrire comme dans +\item[\texttt{texte étiquette}] alors il apparaîtra en +tapuscrit gras, si cela est disponible. La méthode la plus simple pour +obtenir la police tapuscrit non grasse est d&textrsquo;utiliser la forme +déclarative : \item[{\tt texte étiquette}]. De la même façon, +obtenez la police romaine standarde avec \item[{\rm texte +étiquette}]. -L&textrsquo;environnement vérifie si un fichier de même nom existe déjà, et si -oui, ne fait rien. Il y a un paquetage filecontents qui redéfinit -l&textrsquo;environnement filecontents de sorte qu&textrsquo;au lieu de ne rien faire -dans ce cas, il écrase le fichier existant. +En ce qui concerne les autres principaux environnements de liste à +étiquettes de &latex;, voir itemize et enumerate. +Contrairement à ces environnements, imbriquer les environnement +description ne change pas l&textrsquo;étiquette par défaut ; elle est en +gras et alignée à gauche à tous les niveaux. -Par exemple, ce document : +Pour plus d&textrsquo;information sur les paramètres de disposition de liste, y +compris les valeurs par défaut, et sur la personnalisation de la +disposition de liste, voir list. Le paquetage enumitem est +utile pour personnaliser les listes. - -
\documentclass{article}
-\begin{filecontents}{JH.sty}
-\newcommand{\monnom}{Jim Hef{}feron}
-\end{filecontents}
-\usepackage{JH}
-\begin{document}
-Un article de \monnom.
-\end{document}
-
- -produit ce fichier JH.sty. +Cet exemple met les étiquettes de description en petites capitales. -
%% LaTeX2e file `JH.sty'
-%% generated by the `filecontents' environment
-%% from source `test' on 2015/10/12.
-%%
-\newcommand{\monnom}{Jim Hef{}feron}
+
\renewcommand{\descriptionlabel}[1]{%
+  {\hspace{\labelsep}\textsc{#1}}}
 
-flushleftflushrightfilecontentsEnvironments -
flushleft -environnement flushleft -flushleft, environnement -jsutifier à gauche du texte, environnement pour -texte fer à gauche, environnement pour -texte ferré à gauche, environnement pour -texte drapeau droit, environnement pour +displaymathdocumentdescriptionEnvironments +
displaymath + - -
\begin{flushleft}
-ligne1 \\
-ligne2 \\
-...
-\end{flushleft}
-
+environnement displaymath +displaymath, environnement -\\ for flushleft -L&textrsquo;environnement flushleft vous permet de créer un paragraphe -ferré à gauche, c&textrsquo;est à dire consistant en lignes qui sont alignées sur -la marge de gauche et en dentelures à droite comme un drapeau dont la -hampe (fer du composteur) serait à gauche et les franges à -droite. Chaque ligne doit être terminée par la séquence de contrôle -\\. + +Synopsis : - -\raggedright
Forme déclarative de l&textrsquo;environnement flushleft.
-
+ +
\begin{displaymath}
+des maths
+\end{displaymath}
+
-\raggedrightflushleft -\raggedright -\raggedright -texte drapeau droit -texte ferré à gauche -texte fer à gauche -justifié à gauche du texte -justification, drapeau droit +L&textrsquo;environnement displaymath compose le texte des maths sur +sa propre ligne, centré par défaut. L&textrsquo;option globale fleqn +justifie les équations à gauche ; voir Document class options. + +Aucun numéro d&textrsquo;équation n&textrsquo;est ajouté au texte de texte +displaymath ; pour obtenir un numéro d&textrsquo;équation, vous pouvez +utiliser l&textrsquo;environnement equation (equation). + +&latex; ne fait pas de saut de ligne au sein de des maths. + +paquetage amsmath +amsmath, paquetage -La déclaration \raggedright correspond à l&textrsquo;environnement -flushleft. Cette déclaration peut être utilisée au sein d&textrsquo;un -environnement tel que quote ou d&textrsquo;une parbox. +Notez que le paquetage amsmath comprend des possibilités beaucoup +plus vastes en matière d&textrsquo;affichage d&textrsquo;équations. Par exemple, il offre +plusieurs altenatives pour effectuer des sauts de lignes au sein de +texte en mode mathématique. -Contrairement à l&textrsquo;environnement flushleft, la commande -\raggedright ne démarre pas un nouveau paragraphe ; elle change -seulement la façon dont &latex; formatte les unités de paragraphe. Pour -affecter le format d&textrsquo;une unité de paragraphe, la porté de la déclaration -doit contenir la ligne à blanc où la commande \end qui termine -l&textrsquo;unité de paragraphe. +\[...\] displaymath +La construction \[des maths\] est un synonyme de +l&textrsquo;environnement \begin{displaymath}des +maths\end{displaymath}, mais ce dernier est plus pratique à +manipuler dans le fichier source ; par exemple la recherche d&textrsquo;un +caractère crochet ] peut donner des faux positifs, alors qu&textrsquo;il +est plus probable que le mot displaymath soit unique. - +$$...$$ displaymath, forme approchée en &tex; de base +(Digression : la construction $$des maths$$ tirée du +language &tex; de base est souvent utilisée à tort comme un synonyme +de displaymath. Elle n&textrsquo;en est pas un, et n&textrsquo;est pas du tout +officiellement prise en charge par &latex; ; $$ ne prend pas en +charge fleqn (Document class options), gère l&textrsquo;espacement +verticial environment différemment, et n&textrsquo;effectue pas de vérification de +cohérence). + +Le texte composé par cet exemple est centré et seul sur sa ligne. + +
\begin{displaymath}
+  \int_1^2 x^2\,dx=7/3
+\end{displaymath}
+
+De plus, le signe intégrale est plus grand que ce que la version en +ligne \( \int_1^2 x^2\,dx=7/3 \) produit. +
-flushrightitemizeflushleftEnvironments -
flushright -environnement flushright -flushright, environnement -texte drapeau gauche, environnement pour -justifier à droite, environnement pour +documentenumeratedisplaymathEnvironments +
document - -
\begin{flushright}
-ligne1 \\
-ligne2 \\
-...
-\end{flushright}
-
+environnement document +document, environnement -\\ (pour flushright) -L&textrsquo;environnement flushright vous permet de créer un paragraphe -ferré à droite et drapeau gauche, c.-à-d.&noeos; consistant de lignes qui sont -alignées sur la marge de droite (fer à droite) et en dentelures -(drapeau) sur la marge de gauche. Chaque ligne doit être temrinée par la -séquence de contrôle \\. - - -\raggedleft
Forme déclarative de l&textrsquo;environnement flushright.
-
+L&textrsquo;environnement document entoure le corps entier d&textrsquo;un document. +Il est obligatoire dans tout document &latex;. Starting and +ending. + +\AtBeginDocument
Crochet pour commandes à exécuter au début du document.
+
\AtEndDocument
Crochet pour commandes à exécuter à la fin du document.
+
-\raggedleftflushright -\raggedleft -\raggedleft -texte drapeau gauche -justification, drapeau gauche -justifier le texte à droite -La déclaration \raggedleft correspond à l&textrsquo;environnement -flushright. Cette déclaration peut être utilisée au sein d&textrsquo;un -environnement tel que as quote ou d&textrsquo;une parbox. - -Contrairement à l&textrsquo;environnement flushright, la commande -\raggedleft ne commence pas un nouveau paragraphe ; elle change -seulement la façon dont &latex; formatte les unités de paragraphe. Pour -affecter le format d&textrsquo;une une unité de paragraphe, la portée de la -déclaration doit contenir la ligne à blanc ou la commande \end qui -termine l&textrsquo;unité de paragraphe. - +\AtBeginDocument\AtEndDocumentdocument - -
-itemizeletterflushrightEnvironments -
itemize -environnement itemize -itemize, environnement -\item -listes d&textrsquo;articles -listes non ordonnées -listes à puces +\AtBeginDocument +début de document, crochet Synopsis : -
\begin{itemize}
-\item item1
-\item item2
-...
-\end{itemize}
+
\AtBeginDocument{code}
 
-L&textrsquo;environnement itemize produit une liste « non ordonnée », « à -puces ». Les environnement itemize peuvent être imbriqués l&textrsquo;un -dans l&textrsquo;autre, jusqu&textrsquo;à quatre niveaux de profondeur. Ils peuvent aussi -être imbriqués avec d&textrsquo;autre environnements fabriquant des paragraphes, -comme enumerate (enumerate). - -Chaque article d&textrsquo;une liste itemize commence avec une commande -\item. Il doit y avoir au moins une commande \item au -sein de l&textrsquo;environnement. +Sauvegarde code et exécute le quand \begin{document} est +exécuté, à la toute fin du préambule. Le code est exécuté après que les +tables de sélection de police ont été réglées, ainsi la police normale +du document est la police courante. Toutefois, le code est exécuté en +tant que faisant partie du préambule, c&textrsquo;est pourquoi on ne peut pas +composer du texte avec. -Par défaut, les marques de chaque niveau ressemblent à cela : +On peut utiliser cette commande plus d&textrsquo;une fois ; les lignes de code +successives sont exécutée dans l&textrsquo;ordre de passage à la commande. - -• (puce) --- (tiret demi-cadratin gras) -* (asterisque) -. (point centré verticalement, rendu ici comme un point final) - - +\AtEndDocument\AtBeginDocumentdocument -Si vous utilisez l&textrsquo;environnement babel avec la langue -french, alors il y a des tirets pour tous les niveaux comme c&textrsquo;est -l&textrsquo;habitude des Français. - -\labelitemi -\labelitemii -\labelitemiii -\labelitemiv -L&textrsquo;environnement itemize utilise les commandes de -\labelitemi jusqu&textrsquo;à \labelitemiv pour produire les -étiquettes par défaut. Ainsi, vous pouvez utiliser \renewcommand -pour changer les étiquettes. Par exemple, pour que le premier niveau -utilise des losanges : +\AtEndDocument +fin document, crochet + +Synopsis : -
\renewcommand{\labelitemi}{$\diamond$}
+
\AtEndDocument{code}
 
-\leftmargin -\leftmargini -\leftmarginii -\leftmarginiii -\leftmarginiv -\leftmarginv -\leftmarginvi - -Les paramètres de \leftmargini jusqu&textrsquo;à \leftmarginvi -définissent la distance entre la marge de gauche de l&textrsquo;environnement -surjacent et la marge de gauche de la liste. Par convention, -\leftmargin est réglée à la \leftmarginN appropriée -quand on entre dans un nouveau niveau d&textrsquo;imbrication. +Sauvegarde code et l&textrsquo;exécute vers la fin du document. Plus +précisément, il est exécuté lorsque \end{document} est exécuté, +avant que la dernière page ne soit terminée et avant que tous +environnements flottant restants soient traités. Si on désire d&textrsquo;une +partie du code soit exécuté après ces deux traitements, alors il suffit +d&textrsquo;inclure un \clearpage à l&textrsquo;endroit approprié du code. + +On peut utiliser cette commande plus d&textrsquo;une fois ; les lignes de code +successives sont exécutée dans l&textrsquo;ordre de passage à la commande. -Les valeurs par défaut varient de .5em (pour les niveaux -d&textrsquo;imbrication les plus élevés) jusqu&textrsquo;à 2.5em (premier niveau), et -sont légèrement réduits en mode deux-colonnes. Cet exemple réduit -grandement l&textrsquo;espace de marge pour la liste la plus extérieure : +
+enumerateeqnarraydocumentEnvironments +
enumerate + +environnement enumerate +enumerate, environnement + +lists of items, numbered + +Synopsis : -
\setlength{\leftmargini}{1.25em} % par défaut 2.5em
+
\begin{enumerate}
+\item article1
+\item article2
+...
+\end{enumerate}
 
- -Quelques paramètres qui affectent le formatage des listes : - - -\itemindent\itemindent -Renfoncement supplementaire avant chaque articles dans une liste ; la -valeur par défaut est zéro. - -\labelsep\labelsep -Espace entre l&textrsquo;étiquette et le texte d&textrsquo;un article ; la valeur par défaut -est .5em. - -\labelwidth\labelwidth -Largeur de l&textrsquo;étiquette ; la valeur par défaut est 2em, ou -1.5em en mode deux-colonnes. +L&textrsquo;environnement enumerate produit une liste numérotée d&textrsquo;articles. +Le format du numéro en étiquette dépend de si cet environnement est +imbriqué dans un autre ; voir plus bas. -\listparindent\listparindent -Renfoncement supplémentaire ajoutée aux paragraphes suivants à commencer -par le second au sein d&textrsquo;un article de liste ; la valeur par défaut est -0pt. +\item +La liste consiste en au moins un article. L&textrsquo;absence d&textrsquo;article cause +l&textrsquo;erreur &latex; Something's wrong--perhaps a missing \item. +Chaque article est produit avec la commande \item. -\rightmargin\rightmargin -Distance horizontale entre la marge de droite de la liste et -l&textrsquo;environnement surjacent ; la valeur par défaut est 0pt, sauf à -l&textrsquo;intérieur des environnement quote, quotation, et -verse, où elle est réglée pour être égale à \leftmargin. +Cet exemple fait la liste des deux premiers courreurs à l&textrsquo;arrivée du +marathon olympique de 1908 : - + +
\begin{enumerate}
+ \item Johnny Hayes (USA)
+ \item Charles Hefferon (RSA)
+\end{enumerate}
+
-Paramètres affectant l&textrsquo;espacement vertical entre les articles de liste -(plutôt relâché, par défaut). - - -\itemsep\itemsep -Espace vertical entre les articles. La valeur par défaut est 2pt -plus1pt minus1pt pour les documents en 10pt, 3pt plus2pt -minus1pt pour ceux en 11pt, et 4.5pt plus2pt minus1pt -pour ceux en 12pt. - -\parsep\parsep -Espace vertical supplémentaire entre les paragraphes au sein d&textrsquo;un -article de liste. Par défaut vaut la même chose que \itemsep. - -\topsep\topsep -Espace vertical entre le premier article et le paragraphe précédent. -Pour les listes au niveau le plus haut, la valeur par défaut est -8pt plus2pt minus4pt pour les documents en 10pt, 9pt -plus3pt minus5pt pour ceux en 11pt, et 10pt plus4pt -minus6pt pour ceux en 12pt. Ces valeurs sont réduites pour les -listes avec au moins un niveau d&textrsquo;imbrication. - -\partopsep\partopsep -Espace supplémentaire ajouté à \topsep quand l&textrsquo;environnement de -liste démarre un paragraphe. La valeur par défaut est 2pt plus1pt -minus1pt pour les documents en 10pt, 3pt plus1pt minus1pt -pour ceux en 11pt, et 3pt plus2pt minus2pt pour ceux en -12pt. +Les énumerations peuvent être imbriquées les unes dans les autres, +jusqu&textrsquo;à une profondeur de quatre niveaux. Elles peuvent aussi être +imbriquées au sein d&textrsquo;autres environnements fabriquant des paragraphes, +tels que itemize (itemize) et description +(description). +Le format de l&textrsquo;étiquette produite dépend du niveau d&textrsquo;imbrication de la +liste. Voici les valeurs par défaut de &latex; pour le format à chaque +niveau d&textrsquo;imbrication (où 1 est le niveau le plus externe) : - + +numéro arabe suivi d&textrsquo;un point : 1., 2., &dots; +lettre en bas de casse et entre parenthèse : (a), (b) &dots; +numéro romain en bas de casse suivi d&textrsquo;un point : i., ii., &dots; +lettre capitale suivie d&textrsquo;un point : A., B., &dots; + -\parskip exemple -En particulier pour les listes avec des articles courts, il peut être -désirable d&textrsquo;élider l&textrsquo;espace entre les articles. Voici un exemple -définissant un environnement itemize* sans espacement -supplémentaire entre les articles, ni entre les paragraphes au sein d&textrsquo;un -seul article (\parskip n&textrsquo;est pas spécifique aux listes, -\parskip): + +\enumi +\enumii +\enumiii +\enumiv +L&textrsquo;environnement enumerate utilise les compteurs \enumi, +&dots;, \enumiv (Counters). Si vous utilisez l&textrsquo;argument +optionnel d&textrsquo;\item alors le compteur n&textrsquo;est pas incrementé pour cet +article (\item). + +\labelenumi +\labelenumii +\labelenumiii +\labelenumiv +L&textrsquo;environnement enumerate utilise les commandes de +\labelenumi jusqu&textrsquo;à \labelenumiv pour produire l&textrsquo;étiquette +par défaut. Ainsi, vous pouvez utiliser \renewcommand pour +chancher le format des étiquettes (\newcommand & +\renewcommand). Par exemple, cette liste de premier niveau va être +étiquettée avec des lettres capitales, en gras, non suivies point : +\Alph example -
\newenvironment{itemize*}%
-  {\begin{itemize}%
-    \setlength{\itemsep}{0pt}%
-    \setlength{\parsep}{0pt}}%
-    \setlength{\parskip}{0pt}}%
-  {\end{itemize}}
+
\renewcommand{\labelenumi}{\textbf{\Alph{enumi}}}
+\begin{enumerate}
+  \item eI
+  \item bi:
+  \item si:
+\end{enumerate}
 
+Pour une liste des commandes comme \Alph utilisables pour +formatter le compteur d&textrsquo;étiquette voir \alph \Alph \arabic \roman +\Roman \fnsymbol. + +Pour plus ample information sur la personalisation de la forme + +voir list. De même, le paquetage enumitem est utile pour +cela. +
-letterlistitemizeEnvironments -
environnement letter: écrire des lettres postales -environnement letter -letter, environnement +eqnarrayequationenumerateEnvironments +
eqnarray -Cet environnement est utilisé pour créer des lettres. Letters. - +environnement eqnarray +eqnarray, environnement -
-listmathletterEnvironments -
list -environnement list -list, environnement -listes d&textrsquo;articles, générique +équations, aligner +aligner des équations -L&textrsquo;environnement list est un environnement générique qui est -utilisé pour définir beaucoup des environnements plus spécifiques. Il -est rarement utilisé dans des documents, mais souvant dans des macros. +align environnement, d&textrsquo;amsmath +amsmath paquetage, remplaçant eqnarray +Madsen, Lars +Tout d&textrsquo;abord une mise en garde : l&textrsquo;environnement eqnarray a +quelques maladresse que l&textrsquo;on ne peut pas surmonter ; l&textrsquo;artice « Évitez +eqnarray ! »&noeos; de Lars Madsen les décrit en détail +(http://tug.org/TUGboat/tb33-1/tb103madsen.pdf). Ce qu&textrsquo;il faut +retenir c&textrsquo;est qu&textrsquo;il vaut mieux utiliser l&textrsquo;environnement align (et +d&textrsquo;autres) du paquetage amsmath. + +Néanmoins, voici une description d&textrsquo;eqnarray : -
\begin{list}{étiquettage}{espacement}
-\item item1
-\item item2
+
\begin{eqnarray} (ou eqnarray*)
+formula1 \\
+formula2 \\
 ...
-\end{list}
+\end{eqnarray}
 
-L&textrsquo;argument obligatoire étiquettage spécifie comment les articles -doivent être étiquetés (à moins que son argument optionnel soit fourni à -\item). Cet argument est un morceau de texte qui est inséré dans -une boîte pour former l&textrsquo;étiquette. Il peut contenir, et d&textrsquo;habitude c&textrsquo;est -le cas, d&textrsquo;autres commandes &latex;. +\\ (for eqnarray) +L&textrsquo;environnement eqnarray est utilisé pour afficher une séquence +d&textrsquo;équations ou d&textrsquo;inégalités. Il est similaire à un environnement +array à trois colonnes, avec des lignes consecutives séparées par +\\ et des articles consécutifs au sein d&textrsquo;une ligne séparé par une +esperluète &. + +\\* (pour eqnarray) +\\* peut aussi être utilisé pour séparer les équations, avec sa +signification normale de ne pas autoriser un saut de page à cette ligne. -L&textrsquo;argument obligatoire espacement contient des commandes pour -changer les paramètres d&textrsquo;espacement pour la liste. Cet argument est le -plus souvent vide, c.-à-d.&noeos; {}, ce qui laisse l&textrsquo;espacement -par défaut. +\nonumber +numéro d&textrsquo;équation, omettre +Un numéro d&textrsquo;équation est placé sur chaque ligne à moins que cette ligne +ait une commande \nonumber. Alternativement, la forme étoilé (en +*) de l&textrsquo;environnement (\begin{eqnarray*} +... \end{eqnarray*}) omet la numérotation des équations entièrement, +tout en faisant par ailleurs la même chose qu&textrsquo;eqnarray. -L&textrsquo;argument utilisé pour composer les articles de la liste est spécifiée -par \linewidth (Page layout parameters). +\lefteqn +La commande \lefteqn est utilisée pour couper les longues +formules sur plusieurs lignes. Elle compose son argument en hors texte +et le justifie à gauche dans une boîte de largeur nulle. - -\item
Une entrée dans une liste.
-
+
+equationfigureeqnarrayEnvironments +
equation +environnement equation +equation, environnement -\itemlist +équations, environnement pour +formules, environnement pour Synopsis : -
\item texte de l'article
-
- -ou - -
\item[étiquette optionnelle] texte de l'article
+
\begin{equation}
+math
+\end{equation}
 
-Un entrée dans une liste. Les entrées sont préfixées par une étiquette, -dont la valeur par défaut dépend du type de liste. - -Parce que l&textrsquo;argument optionnel étiquette optionnelle est entouré -de crochets ([ et ]), pour utiliser des crochets au -sein de l&textrsquo;argument optionnel vous devez les cacher entre accolades, comme -dans \item[Crochet fermant, {]}]. De même, pour utiliser un -crochet ouvrant comme premier caractère du texte d&textrsquo;un article, cachez le -aussi au sein d&textrsquo;accolade. &latex; command syntax. - -Dans cet exemple la liste enumerate a deux articles qui utilise -l&textrsquo;étiquette par défaut et une qui utilise l&textrsquo;étiquette optionnelle. +L&textrsquo;environnement equation commence un environnement en +displaymath (displaymath), par ex.&noeos; en centrant le texte +math sur la page, et aussi en plaçant un numéro d&textrsquo;équation dans la +marge de droite. - -
\begin{enumerate}
-  \item Moe
-  \item[sometimes] Shemp
-  \item Larry
-\end{enumerate}
-
-Le premier article est étiquetté 1., le deuxième article est -étiquetté sometimes, et le troisième article est étiquetté -2. (notez que, à cause de l&textrsquo;étiquette optionnelle dans le second -article, le troisième article ne reçoit pas l&textrsquo;étiquette 3.). -
-mathminipagelistEnvironments -
math -environnement math -math, environnement -formules en ligne +figurefilecontentsequationEnvironments +
figure +environnement figure +figure, environnement + +inserer des figures +figures, insertion Synopsis : -
\begin{math}
-maths
-\end{math}
+
\begin{figure}[placement]
+  corpsfigure
+\caption[titreldf]{texte}
+\label{étiquette}
+\end{figure}
 
-L&textrsquo;environnement math insert les maths donnés au sein du -texte en cours. \(...\)) et $...$ sont des synonymes. -Math formulas. +ou -
-minipagepicturemathEnvironments -
minipage -environnement minipage -minipage, environnement -minipage, créer une - -
\begin{minipage}[position][hauteur][pos-interne]{largeur}
-texte
-\end{minipage}
+
\begin{figure*}[placement]
+corpsfigure
+\caption[titreldf]{texte}
+\label{étiquette}
+\end{figure*}
 
-L&textrsquo;environnement minipage compose son corps texte dans un -bloc qui ne peut pas être coupé sur plusieurs pages. C&textrsquo;est similaire à -la commande \parbox (\parbox), mais contrairement à -\parbox, d&textrsquo;autres environnements de production de paragraphe -peuvent être utilisés au sein d&textrsquo;une minipage. +Une classe de flottant (Floats). Parce qu&textrsquo;elles ne peuvent pas +être coupées à cheval sur plusieurs pages, elles ne sont pas composées +en séquence avec le texte normal, mais au contraire sont &textldquo;flottées&textrdquo; +vers un endroit convenable, tel que le sommet d&textrsquo;une page suivante. - -Les arguments sont les mêmes que pour \parbox (\parbox). +Pour les valeurs possibles de placement et leur effet sur +l&textrsquo;algorithme de placement des flottants, voir Floats. -Renfoncement des paragraphes, au sein d&textrsquo;une minipage -\parindent -Par défaut, les paragraphes ne sont pas renfoncés au sein d&textrsquo;un -environnement minipage. Vous pouvez restaurer le renfoncement avec -une commande telle que \setlength{\parindent}{1pc}. +La version étoilée figure* est utilisée quand un document est en +mode double-colonne (\twocolumn). elle produit une figure qui +s&textrsquo;étend sur les deux colonnes, au sommet de la page. Pour ajouter la +possibiltié de la placer à un bas de page voir la discussion de +placement b dans Floats. -notes en bas de page au sein des figures -figures, notes en bas de page au sein des -Les notes en bas de page au sein d&textrsquo;un environnement minipage sont -gérées d&textrsquo;une façon qui est particulièrement utiles pour mettre des notes -en bas de page dans des figures ou des tableaux. Une commande -\footnote \footnotetext met la note en bas de page au bas -de la minipage au lieu de la mettre au bas de la page, et elle utilise -le compteur \mpfootnote au lieu du compteur ordinaire -footnote (Counters). +Le corps de la figure est composé dans une parbox de largueur +\textwidth and ainsi il peut contenir du texte, des commandes, +etc. + +L&textrsquo;étiquette est optionnelle ; elle est utilisée pour les double renvois +(Cross references). +\caption +La commande \caption spécifie la légende texte pour la +figure. La légende est numérotée par défaut. Si titreldf est +présent, il est utilisé dans la liste des figures au lieu de texte +(Table of contents etc.). -Cependant, ne mettez pas une minipage à l&textrsquo;intérieur d&textrsquo;une autre si vous -utilisez les note en bas de page ; elles pourraient terminer en bas de -la mauvaise minipage. +Cet exemple fabrique une figure à partir d&textrsquo;un graphique. Il nécessite +l&textrsquo;un des paquetage graphics ou graphicx. Le graphique, +avec sa légende, est palcé au sommet d&textrsquo;une page ou, s&textrsquo;il est rejet à la +fin du document, sur une page de flottants. -
-picturequotation and quoteminipageEnvironments -
picture -environnement picture -picture, environnement -créer des images -images, créer - -
\begin{picture}(largeur,hauteur)(décalagex,décalagey)
-&dots; commandes picture &dots;
-\end{picture}
-
- - -\unitlength -L&textrsquo;environnement picture vous permet de créer toute sorte de -dessin dans lequel vous voulez du texte, des lignes, des flèches et des -cercles. Vous dîtes à &latex; où mettre les chose dans le dessin en -spécifiant leur coordonnées. Une coordonnée est un nombre qui peut avoir -une séparateur décimal (point et non virgule) et un signe moins &textmdash; un -nombre comme 5, 0.3 ou -3.1416. Une coordonnées -spécifie une longueur en multiples de l&textrsquo;unité de longueur -\unitlength, ainsi si \unitlength a été réglée à -1cm, alors la coordonnée 2.54 spécifie une longueur de 2,54 -centimètres. - -Vous devriez changer la valeur de \unitlength, en utilisant la -commande \setlength, en dehors d&textrsquo;un environnement -picture. La valeur par défaut est 1pt. - -paquetage picture -picture, paquetage -Le paquetage picture redéfinit l&textrsquo;environnement picture de -sorte qu&textrsquo;où que soit utilisé un nombre au sein de commandes picture -pour spécifier une coordonnée, on puisse alternativement utiliser une -longueur. Notez bien cependant que ceci empèche de dilater/contracter -ces longueurs en changeant \unitlength. - -position, dans un dessin picture -Une position est une paire de coordonnées, telle que -(2.4,-5), ce qui spécifie un point d&textrsquo;abscisse 2.4 et -d&textrsquo;ordonnée -5. Les coordonnées sont spécifiées de la manière -habituelle relativement à une origine, qui est normalement dans le coin -inférieur gauche du dessin. Notez que lorsque une position apparaît en -argument, elle n&textrsquo;est pas entourée d&textrsquo;accolades ; on délimite l&textrsquo;argument -avec des parenthèses. - -L&textrsquo;environnement picture a un argument obligatoire qui est une -position (largeur,hauteur) qui spécifie la taille du dessin. -L&textrsquo;environnement produit une boîte rectangulaire dont les dimensions sont -cette largeur et cette hauteur. - -L&textrsquo;environnement picture a aussi un argument optionnel de position -(décalagex,décalagey), qui suit l&textrsquo;argument de taille, et qui -peut changer l&textrsquo;origine. (Contrairement aux arguments optionnels -ordinaire, cet argument n&textrsquo;est pas contenu entre crochets.) L&textrsquo;argument -optionnel donne les coordonnées du point dans le coin inférieur gauche -du dessin (par là même déterminant l&textrsquo;origine). Par exemple, si -\unitlength a été réglée à 1mm, la commande - - -
\begin{picture}(100,200)(10,20)
+
\begin{figure}[t]
+  \centering
+  \includegraphics[width=0.5\textwidth]{CTANlion.png}
+  \caption{The CTAN lion, by Duane Bibby}
+\end{figure}
 
- produit un dessin de largeur 100 millimetres et hauteur 200 -millimetres, done le coin inférieur gauche est le (10,20) et dont le -coin supérieur doint est donc le point (110,220). Lorsque vous dessin -la première fois un dessin, typiquement vous omettez l&textrsquo;argument -optionnel, laissant l&textrsquo;origine au coin inférieur gauche. Si ensuite vous -voulez modifier le dessin en translatant tout, vous pouvez juste ajouter -l&textrsquo;argument optionnel approprié. - -L&textrsquo;argument obligatoire de l&textrsquo;environnement détermine la taille nominale -du dessin. Il n&textrsquo;est pas nécessaire que cela soit en relation à la taille -réèlle du dessin ; &latex; vous laissera sans broncher mettre des chose -en dehors de la boîte définie par la taille du dessin, et même en dehors -de la page. La taille nominale du dessin est utilisée par &latex; pour -la détermination de la quantité de place à prévoir pour lui. - -Tout ce qui apparaît dans un dessin picture est dessiné par la -commande \put. La commande - - -
\put (11.3,-.3){...}
-
- met l&textrsquo;objet spécifié par ... dans le dessin picture, avec sont -point de référence aux coordonnées (11.3,-.3). Les points de -référence des divers objets sont décrits plus bas. - -lR box -La commande \put crée une LR box. Vous pouvez mettre tout -ce qui peut aller dans une \mbox (\mbox) dans l&textrsquo;argument -texte de la commande \put. Quand vous faites cela, le point de -référence devient le coin inférieur gauche de la boîte . - -Les commandes picture sont décrites dans les rubriques suivantes. - - -\circle
Dessine un cercle.
-
\makebox (picture)
Dessine une boîte de la taille spécifiée.
-
\framebox (picture)
Dessine une boîte avec un cadre autour.
-
\dashbox
Dessine une boîte en tireté.
-
\frame
Dessine un cadre autour d&textrsquo;un objet.
-
\line
Dessine une ligne droite.
-
\linethickness
Règle l&textrsquo;épaisseur de ligne.
-
\thicklines
Une plus grosse épaisseur de ligne.
-
\thinlines
L&textrsquo;épaisseur de ligne par défaut.
-
\multiput
Dessine plusieurs instances d&textrsquo;un objet.
-
\oval
Dessine une ellipse.
-
\put
Place un objet à un endroit spécifié.
-
\shortstack
Empile plusieurs objets.
-
\vector
Dessine une ligne flèchée.
-
+
+filecontentsflushleftfigureEnvironments +
filecontents: Écrire un fichier externe +environnement filecontents +filecontents, environnement +environnement filecontents* +filecontents*, environnement -\circle\makebox (picture)picture -\circle -\circle +fichier externe, écrire +écrire un fichier externe Synopsis : - -
\circle{diamètre}
-\circle*{diamètre}
+
+
+
\begin{filecontents}[option]{nomfichier}
+texte
+\end{filecontents}
 
-La commande \circle produit un cercle dont le diamètre est le -plus proche possible de celui spécifié. La forme étoilée (en *) -de la commande dessine un disque, c.-à-d.&noeos; un cercle plein. - -Des cercles jusqu&textrsquo;à 40pt peuvent être dessinés. + +ou - - -\makebox (picture)\framebox (picture)\circlepicture -\makebox -\makebox (picture) - -Synopsis : - -
\makebox(largeur,hauteur)[position]{texte}
+
+
\begin{filecontents*}[option]{nomfichier}
+texte
+\end{filecontents*}
 
-La commande \makebox pour l&textrsquo;environnement picture est -similaire à la commande normale \makebox à ceci près que vous -devez spécifier une largeur et une hauteur implicitement -multipliés par \unitlength. +Crée un fichier nommé nomfichier dans le répertoire courant (ou +dans le répertoire de sortie s&textrsquo;il a été spécifié ; output +directory) et y écrit texte. Par défaut un fichier déjà existant +n&textrsquo;est pas écrasé. -L&textrsquo;argument optionnel, [position], spécifie le quadrant dans -lequel votre texte apparaît. Vous pouvez sélectionner jusqu&textrsquo;à deux -spécificateurs parmi les suivants : +La version non étoilée de l&textrsquo;environnement filecontent préfixe le +contenu du ficher créé d&textrsquo;une en-tête de commentaires &tex; ; voir +l&textrsquo;exemple ci-dessous. La version étoilée filecontent* n&textrsquo;inclut +par l&textrsquo;en-tête. - -t -Place l&textrsquo;article au sommet du rectangle. +Les options possibles sont : -b -Place l&textrsquo;article en bas du rectangle. +
+force +overwrite +force, option de filecontents +overwrite, option de filecontents +Écrase le fichier s&textrsquo;il existe. -l -Place l&textrsquo;article sur la gauche. +noheader +noheader, option de filecontents +Omet l&textrsquo;en-tête. Équivalent à utiliser filecontents*. -r -Place l&textrsquo;article sur la droite. +nosearch +nosearch, option de filecontents +Vérifie uniquement si un fichier existe dans le répertoire courant (et +le répertoire de sortie, s&textrsquo;il a été spécifié), non dans le chemin +complet de recherche. +
-\makebox. +Ces options ont été ajoutées à la parution 2019 de &latex;. + +sources autonomes +fichiers source, rendre autonomes +Cet environnement peut être utilisé n&textrsquo;importe où dans le préambule, bien +qu&textrsquo;il apparaisse souvent avant la commande \documentclass. Elle +est classiquement utilisée pour créer un fichier .bib ou d&textrsquo;autre +fichier de données similaire à partir du document source principale, de +sorte à rendre le fichier source autonome. De même, il peut être utilisé +pour créer un fichier personnalisé de style ou de classe, rendant ainsi +encore le source autonome. - -\framebox (picture)\dashbox\makebox (picture)picture -\framebox -\framebox - -Synopsis : +Par exemple, ce document : -
\framebox(largeur,hauteur)[pos]{...}
+
\documentclass{article}
+\begin{filecontents}{JH.sty}
+\newcommand{\monnom}{Jim Hef{}feron}
+\end{filecontents}
+\usepackage{JH}
+\begin{document}
+Un article de \monnom.
+\end{document}
 
-La commande \framebox est similaire à \makebox (voir -section précédent), à ceci près qu&textrsquo;elle met un cadre autour de -l&textrsquo;extérieur du contenu de la boîte qu&textrsquo;elle créée. - -\fboxrule -\fboxsep -La commande \framebox produit un filet d&textrsquo;épaisseur -\fboxrule, et laisse un espace \fboxsep entre le filet et -le contenu de la boîte. +produit ce fichier JH.sty : + +
%% LaTeX2e file `JH.sty'
+%% generated by the `filecontents' environment
+%% from source `test' on 2015/10/12.
+%%
+\newcommand{\monnom}{Jim Hef{}feron}
+
- -\dashbox\frame\framebox (picture)picture -\dashbox -\dashbox +
+flushleftflushrightfilecontentsEnvironments +
flushleft +environnement flushleft +flushleft, environnement + +jsutifier à gauche du texte, environnement pour +texte fer à gauche, environnement pour +texte ferré à gauche, environnement pour +texte drapeau droit, environnement pour -Dessine une boîte avec une ligne en tireté. Synopsis : - -
\dashbox{tlong}(rlargeur,rhauteur)[pos]{texte}
+
\begin{flushleft}
+ligne1 \\
+ligne2 \\
+...
+\end{flushleft}
 
-\dashbox crée un rectangle en tireté autour de texte au -sein d&textrsquo;un environnement picture. Les tirets sont long de -tlong unités, et le rectangle a pour largeur totale rlargeur -et hauteur totale rhauteur. Le texte est positionné par l&textrsquo;argument -optionnel pos. - -Une boîte en tireté a meilleure allure quand les paramètres -rlargeur et rhauteur sont des multiple de tlong. +\\ for flushleft +L&textrsquo;environnement flushleft vous permet de créer un paragraphe +ferré à gauche, c&textrsquo;est à dire consistant en lignes qui sont alignées sur +la marge de gauche et en dentelures à droite comme un drapeau dont la +hampe (fer du composteur) serait à gauche et les franges à +droite. Chaque ligne doit être terminée par la séquence de contrôle +\\. + +\raggedright
Forme déclarative de l&textrsquo;environnement flushleft.
+
- -\frame\line\dashboxpicture -\frame -\frame -Synopsis : - - -
\frame{texte}
-
+\raggedrightflushleft +\raggedright +\raggedright +texte drapeau droit +texte ferré à gauche +texte fer à gauche +justifié à gauche du texte +justification, drapeau droit -La commande \frame met un cadre rectangulaire autour de -texte. Le point de référence est le coin en bas à gauche du -cadre. Aucun espace supplémentaire n&textrsquo;est mis entre le cadre et l&textrsquo;objet -texte. +La déclaration \raggedright correspond à l&textrsquo;environnement +flushleft. Cette déclaration peut être utilisée au sein d&textrsquo;un +environnement tel que quote ou d&textrsquo;une parbox. + +Contrairement à l&textrsquo;environnement flushleft, la commande +\raggedright ne démarre pas un nouveau paragraphe ; elle change +seulement la façon dont &latex; formatte les unités de paragraphe. Pour +affecter le format d&textrsquo;une unité de paragraphe, la porté de la déclaration +doit contenir la ligne à blanc où la commande \end qui termine +l&textrsquo;unité de paragraphe. -\line\linethickness\framepicture -\line -\line +
+flushrightitemizeflushleftEnvironments +
flushright +environnement flushright +flushright, environnement + +texte drapeau gauche, environnement pour +justifier à droite, environnement pour -Synopsis : - -
\line(xpente,ypente){longueur}
+
\begin{flushright}
+ligne1 \\
+ligne2 \\
+...
+\end{flushright}
 
-La commande \line dessine un ligne avec la longueur donnée -et la pente xpente/ypente. - -De base &latex; peut seulement dessiner des ligne dont la -pente = x/y, où x et y prennent des valeurs -entières de −6 jusqu&textrsquo;à 6. Pour des ligne de pente -quelconque, sans parler d&textrsquo;autres formes, voir le paquetage -curve2e et bien d&textrsquo;autres sur le CTAN. +\\ (pour flushright) +L&textrsquo;environnement flushright vous permet de créer un paragraphe +ferré à droite et drapeau gauche, c.-à-d.&noeos; consistant de lignes qui sont +alignées sur la marge de droite (fer à droite) et en dentelures +(drapeau) sur la marge de gauche. Chaque ligne doit être temrinée par la +séquence de contrôle \\. + +\raggedleft
Forme déclarative de l&textrsquo;environnement flushright.
+
- -\linethickness\thicklines\linepicture -\linethickness -\linethickness - -La commande \linethickness{dim} déclare que l&textrsquo;épaisseur des -lignes horizontales et verticales dans un environnement picture -environnement vaut dim, qui doit être une longueur positive. - -\linethickness n&textrsquo;affecte pas l&textrsquo;épaisseur des lignes obliques, -cercles, ou quarts de cercles dessinés par \oval. - - -\thicklines\thinlines\linethicknesspicture -\thicklines -\thicklines +\raggedleftflushright +\raggedleft +\raggedleft +texte drapeau gauche +justification, drapeau gauche +justifier le texte à droite -La commande \thicklines est une épaisseur de trait alternative -pour les lignes verticales et horizontales dans un environnement -picture ; cf. \linethickness et \thinlines. +La déclaration \raggedleft correspond à l&textrsquo;environnement +flushright. Cette déclaration peut être utilisée au sein d&textrsquo;un +environnement tel que as quote ou d&textrsquo;une parbox. - - -\thinlines\multiput\thicklinespicture -\thinlines -\thinlines - -La commande \thinlines est l&textrsquo;épaisseur de trait par défaut pour -les lignes horizontales et verticales dans un environnement picture ; -cf. \linethickness et \thicklines. +Contrairement à l&textrsquo;environnement flushright, la commande +\raggedleft ne commence pas un nouveau paragraphe ; elle change +seulement la façon dont &latex; formatte les unités de paragraphe. Pour +affecter le format d&textrsquo;une une unité de paragraphe, la portée de la +déclaration doit contenir la ligne à blanc ou la commande \end qui +termine l&textrsquo;unité de paragraphe. -\multiput\oval\thinlinespicture -\multiput -\multiput - -Synopsis : - -
\multiput(x,y)(delta_x,delta_y){n}{obj}
-
- -La commande \multiput copie l&textrsquo;objet obj en un motif -régulier à travers la figure. obj est placé en premier à la -position (x,y), puis à la position (x+\delta x,y+\delta -y), et ainsi de suite, n fois. - +
+itemizeletterflushrightEnvironments +
itemize +environnement itemize +itemize, environnement - -\oval\put\multiputpicture -\oval -\oval +\item +listes d&textrsquo;articles +listes non ordonnées +listes à puces Synopsis : -
\oval(largeur,hauteur)[portion]
+
\begin{itemize}
+\item item1
+\item item2
+...
+\end{itemize}
 
-La commande \oval produit un rectangle aux coins arrondis. -L&textrsquo;argument optionnel portion vous permet de ne produire qu&textrsquo;une -moitié de l&textrsquo;ovale selon ce qui suit : +L&textrsquo;environnement itemize produit une liste « non ordonnée », « à +puces ». Les environnement itemize peuvent être imbriqués l&textrsquo;un +dans l&textrsquo;autre, jusqu&textrsquo;à quatre niveaux de profondeur. Ils peuvent aussi +être imbriqués avec d&textrsquo;autre environnements fabriquant des paragraphes, +comme enumerate (enumerate). - -t -selectionne la moitié supérieure ; -b -selectionne la moitié inférieure ; -r -selectionne la moitié de droite ; -l -selectionne la moitié de gauche. -
- -Il est également possible de ne produire qu&textrsquo;un quart de l&textrsquo;ovale en -réglant portion à tr, br, bl, ou tl. +Chaque article d&textrsquo;une liste itemize commence avec une commande +\item. Il doit y avoir au moins une commande \item au +sein de l&textrsquo;environnement. -Les « coins » de l&textrsquo;ovale sont fabriqués avec des quarts de cercle d&textrsquo;un -rayon maximal de 20pt, ainsi les « ovales » de grande taille -ressembleront plus à des boîtes aux coins arrondis. +Par défaut, les marques de chaque niveau ressemblent à cela : + +• (puce) +-- (tiret demi-cadratin gras) +* (asterisque) +. (point centré verticalement, rendu ici comme un point final) + - -\put\shortstack\ovalpicture -\put -\put + -\put(xcoord,ycoord){ ... } - -La commande \put place l&textrsquo;article spécifié par l&textrsquo;argument -obligatoire aux coordonnées xcoord et ycoord fournies. +Si vous utilisez l&textrsquo;environnement babel avec la langue +french, alors il y a des tirets pour tous les niveaux comme c&textrsquo;est +l&textrsquo;habitude des Français. - -\shortstack\vector\putpicture -\shortstack -\shortstack - -Synopsis : +\labelitemi +\labelitemii +\labelitemiii +\labelitemiv +L&textrsquo;environnement itemize utilise les commandes de +\labelitemi jusqu&textrsquo;à \labelitemiv pour produire les +étiquettes par défaut. Ainsi, vous pouvez utiliser \renewcommand +pour changer les étiquettes. Par exemple, pour que le premier niveau +utilise des losanges : -
\shortstack[position]{...\\...\\...}
+
\renewcommand{\labelitemi}{$\diamond$}
 
-La commande \shortstack produit une pile d&textrsquo;objets. Les positions valides -sont : +\leftmargin +\leftmargini +\leftmarginii +\leftmarginiii +\leftmarginiv +\leftmarginv +\leftmarginvi +itemize leftmargin +itemize leftmargini +itemize leftmarginii +itemize leftmarginiii +itemize leftmarginiv +itemize leftmarginv +itemize leftmarginvi +Les paramètres de \leftmargini jusqu&textrsquo;à \leftmarginvi +définissent la distance entre la marge de gauche de l&textrsquo;environnement +surjacent et la marge de gauche de la liste. (Notez la convention de +nommage de la commande avec un nombre romain en bas de casse à la fin +pour désigner le niveau d&textrsquo;imbrication). Les valeurs par défaut sont : +2.5em pour le niveau 1 (2em en mode deux-colonnes), +2.2em pour le niveau 2, 1.87em pour le niveau 3 et +1.7em pour le niveau 4, avec des valeurs plus petites pour les +niveaux plus profondément imbriqués. - -r -Déplace les objets à la droite de la pile. -l -Déplace les objets à la gauche de la pile -c -Déplace les objets au centre de la pile (position par défaut) -
+paquetage enumitem +enumitem, paquetage -\\ (pour les objets \shortstack) -Les objets sont séparés avec \\. +Pour les autres environnements majeurs de listes à étiquettes de +&latex;, voir description et enumerate. Pour des +informations concernant les paramètres de contrôle de la disposition des +listes, y compris les valeurs par défaut, ainsi que la personalisaton de +la disposition, voir list. La paquetage enumitem est utile +pour personaliser les listes. - - -\vector\shortstackpicture -\vector -\vector - -Synopsis : +Dans cet exemple on réduit grandement l&textrsquo;espace de marge pour la liste à +puces la plus externe~: -
\vector(xpente,ypente){longueur}
+
\setlength{\leftmargini}{1.25em} % valeur par défaut 2.5em
 
-La commande \vector dessine une ligne fléchée de la -longueur et direction (xpente,ypente) -spécifiées. Les valeurs de xpente et ypente -doivent être comprises entre −4 and +4 y compris. + +Quelques paramètres qui affectent le formatage des listes : - - -
-quotation and quotetabbingpictureEnvironments -
quotation et quote -environnement quotation -quotation, environnement -citation -texte cité avec renfoncement des paragraphes, affichage -afficher du texte cité avec renfoncement de paragraphe -renfoncement des paragraphes dans du texte cité -environnement quote -quote, environnement -texte cité sans renfoncement des paragraphes, affichage -afficher un texte cité sans renfoncement de paragraphe -renfoncement des paragraphes dans un texte cité, omettre - -Synopsis : + +\itemindent\itemindent +Renfoncement supplementaire avant chaque articles dans une liste ; la +valeur par défaut est zéro. - -
\begin{quotation}
-texte
-\end{quotation}
-
- -ou +
\labelsep\labelsep +Espace entre l&textrsquo;étiquette et le texte d&textrsquo;un article ; la valeur par défaut +est .5em. - -
\begin{quote}
-texte
-\end{quote}
-
+
\labelwidth\labelwidth +Largeur de l&textrsquo;étiquette ; la valeur par défaut est 2em, ou +1.5em en mode deux-colonnes. + +\listparindent\listparindent +Renfoncement supplémentaire ajoutée aux paragraphes suivants à commencer +par le second au sein d&textrsquo;un article de liste ; la valeur par défaut est +0pt. + +\rightmargin\rightmargin +Distance horizontale entre la marge de droite de la liste et +l&textrsquo;environnement surjacent ; la valeur par défaut est 0pt, sauf à +l&textrsquo;intérieur des environnement quote, quotation, et +verse, où elle est réglée pour être égale à \leftmargin. + +
-Cite du texte. +Paramètres affectant l&textrsquo;espacement vertical entre les articles de liste +(plutôt relâché, par défaut). -Dans les deux environnement, les marges sont renfoncées à la fois sur la -gauche et la droite. Le texte est justifié des deux côtés sur la marge. -De même que dans le texte principal, laisser une ligne à blanc au sein -du texte produit un nouveau paragraphe. + +\itemsep\itemsep +Espace vertical entre les articles. La valeur par défaut est 2pt +plus1pt minus1pt pour les documents en 10pt, 3pt plus2pt +minus1pt pour ceux en 11pt, et 4.5pt plus2pt minus1pt +pour ceux en 12pt. -Pour comparer les deux : dans l&textrsquo;environnement quotation, les -paragraphes sont renfoncés de 1,5em et l&textrsquo;espace entre les -paragraphe est petit, 0pt plus 1pt. Dans l&textrsquo;environnement -quote, les paragraphes ne sont pas renfoncés et il y a une espace -verticale entre les paragraphes (c&textrsquo;est la longueur elastique -\parsep). Ainsi, l&textrsquo;environnement quotation convient mieux -environm aux documents où les nouveaux paragraphes sont marqués par un -renfoncement plutôt que par une séparation verticale. De plus, -quote convient meieux pour des citations courtes ou une suite de -citations courtes. +\parsep\parsep +Espace vertical supplémentaire entre les paragraphes au sein d&textrsquo;un +article de liste. Par défaut vaut la même chose que \itemsep. + +\topsep\topsep +Espace vertical entre le premier article et le paragraphe précédent. +Pour les listes au niveau le plus haut, la valeur par défaut est +8pt plus2pt minus4pt pour les documents en 10pt, 9pt +plus3pt minus5pt pour ceux en 11pt, et 10pt plus4pt +minus6pt pour ceux en 12pt. Ces valeurs sont réduites pour les +listes avec au moins un niveau d&textrsquo;imbrication. + +\partopsep\partopsep +Espace supplémentaire ajouté à \topsep quand l&textrsquo;environnement de +liste démarre un paragraphe. La valeur par défaut est 2pt plus1pt +minus1pt pour les documents en 10pt, 3pt plus1pt minus1pt +pour ceux en 11pt, et 3pt plus2pt minus2pt pour ceux en +12pt. + + + +\parskip exemple +En particulier pour les listes avec des articles courts, il peut être +désirable d&textrsquo;élider l&textrsquo;espace entre les articles. Voici un exemple +définissant un environnement itemize* sans espacement +supplémentaire entre les articles, ni entre les paragraphes au sein d&textrsquo;un +seul article (\parskip n&textrsquo;est pas spécifique aux listes, +\parindent & \parskip): -
\begin{quotation}
-\it Il y a quatre-vingt sept ans
-  ... ne disparaîtra jamais de la surface de la terre.
-\hspace{1em plus 1fill}---Abraham Lincoln
-\end{quotation}
+
\newenvironment{itemize*}%
+  {\begin{itemize}%
+    \setlength{\itemsep}{0pt}%
+    \setlength{\parsep}{0pt}}%
+    \setlength{\parskip}{0pt}}%
+  {\end{itemize}}
 
+
-tabbingtablequotation and quoteEnvironments -
tabbing +letterlistitemizeEnvironments +
environnement letter: écrire des lettres postales +environnement letter +letter, environnement + + +Cet environnement est utilisé pour créer des lettres. Letters. + + +
+listmathletterEnvironments +
list +environnement list +list, environnement -environnement tabbing -tabbing, environnement -taquets des tabulation, utiliser -aligner du texte en utilisant des taquets de tabulation -alignement au moyen de tabbing +listes d&textrsquo;articles, générique Synopsis : -
\begin{tabbing}
-row1col1 \= row1col2 \= row1col3 \= row1col4 \\
-row2col1 \> \> row2col3 \\
+
\begin{list}{étiquetage}{espacement}
+\item[étiquette optionnelle du premier article] texte du premier article
+\item[étiquette optionnelle du deuxième article] texte du deuxième aticle
 ...
-\end{tabbing}
+\end{list}
 
+L&textrsquo;environnement list est un environnement générique qui est +utilisé pour construire des listes plus spécialisées. On l&textrsquo;utilise la +plupart du temps pour créer des listes via les environnements +description, enumerate, et itemize +(description, enumerate, et itemize). Par ailleurs, +beaucoup d&textrsquo;environnements standards de &latex; qui visuellement ne sont +pas des listes sont construits en utilisant list, ceci comprend +quotation, quote, center, verbatim, et bien +d&textrsquo;autres (quotation & quote, center, +flushright). + +Ici, on décrit l&textrsquo;environnement list en définissant un +nouvel environnement personnalisé. + + +
\newcounter{compteurlistenommage}  % numérotes les articles
+\newenvironment{nommage}
+  {\begin{list}
+     {Article~\Roman{compteurlistenommage}.} % argument d'étiquetage
+     {\usecounter{compteurlistenommage}   % argument d'espacement
+      \setlength{\leftmargin}{3.5em}} % ...suite argument d'espacement
+  }
+  {\end{list}}
+
+\begin{nommage}
+  \item Apparaît comme « Article~I. »
+  \item[Étiquette spéciale.] Apparaît comme « Étiquette spéciale. »
+  \item Apparaît comme « Article~II. »
+\end{nommage}
+
+ +L&textrsquo;argument obligatoire étiquetage, qui est le premier argument de +l&textrsquo;environnement list, spécifie comment les articles doivent être +étiquetés par défaut. Il peut contenir du texte et des commandes +&latex;, comme dans l&textrsquo;exemple précédent où il contient à la fois +Article et \Roman{&dots;}. &latex; forme l&textrsquo;étiquette +en mettant l&textrsquo;argument étiquetage dans une boîte de largeur +\labeidth. Si l&textrsquo;étiquette est plus large que cela, le matériel +supplémentaire s&textrsquo;étend sur la droite. Lorsque vous fabriquez une +instance de list vous pouvez l&textrsquo;emporter sur l&textrsquo;étiquetage par +défaut en donnant à \item un argument optionnel avec des crochets +et le texte, comme dans l&textrsquo;exemple précédent \item[Étiquette +spéciale.] ; \item. + +Le second argument obligatoire espacement prend une liste de +commandes. L&textrsquo;une de celle qu&textrsquo;on y retrouve est +\usecounter{nomcompteur} (\usecounter). Utilisez +la pour dire à &latex; de numéroter les article en utilisant le +compteur fourni. Ce compteur est remis à zéro chaque fois que &latex; +entre dans l&textrsquo;environnement, et le compteiur est incrémenté par un chaque +fois que &latex; rencontre une commande \item. + +\makelabel +Une autre commande qu&textrsquo;on retrouve dans espacement est +\makelabel, pour construire la boîte de l&textrsquo;étiquette. Par défaut +elle positionne le contenu fer à droite. Elle prend un argument, +l&textrsquo;étiquette. Elle compose sont contenu en mode LR. Un exemple de +changement de sa définition consiste dans l&textrsquo;exemple précédent +nommage à ajouter avant la définition de l&textrsquo;environnement +\newcommand{\namedmakelabel}[1]{\textsc{#1}}, et entre la +commande \setlength et la parenthèse cloturant l&textrsquo;argument +espacmeent à ajouter aussi \let\makelabel\namedmakelabel. +Ceci composera les étiquette en petites capitales. De même, en +remplaçant cette seconde ligne de code par \let\makelabel\fbox on +met les étiquettes dans une boîte encadrée. Ci-après voici un autre +exemple de la commande \makelabel, dans la définition de +l&textrsquo;énvironnement etiquetterouge. + +De même on trouve souvent au sein de espacement des commandes pour +redéfinir l&textrsquo;espacement de la liste. Ci dessous on listes les paramètres +d&textrsquo;espacement et leur valeurs par défaut. (Il se peut que les valeurs par +défaut pour les environnements dérivés tels que itemize soient +différentes des valeurs exposées ici). Voir aussi la figure qui suit la +liste. Chaque paramètre est une longueur (Lengths). Les espaces +verticaux sont d&textrsquo;ordinaire des longueurs élastiques, avec une composante +en plus ou en minus, pour donner à &tex; de la +flexibilité dans le réglage de la page. On change chaque paramètre avec +une commande du genre de as \setlength{itemsep}{2pt plus1pt +minus1pt}. Pour obtenir certains effets, ces longueurs doivent être +mise à zéro, ou à une valeur négative. + + +\itemindent\itemindent +Espace supplémentaire horizontal de renfoncement, ajouté à de +leftmargin, de la première ligne de chaque article. Sa valeur par +défaut est 0pt. + +\itemsep\itemsep +Espace vertical entre les articles, ajouté à \parsep. Les +valeurs par défaut pour les trois premiers niveaux dans les classes de +&latex; article, book, et report à la taille de 10 +point sont : 4pt plus2pt minus1pt, \parsep (c-à-d.&noeos; +2pt plus1pt minus1pt), et \topsep (c-à-d.&noeos; 2pt +plus1pt minus1pt). Les valeurs par défaut à 11 points sont : +4.5pt plus2pt minus1pt, \parsep (c-à-d.&noeos; 2pt +plus1pt minus1pt), et \topsep (c-à-d.&noeos; 2pt plus1pt +minus1pt). Les valeurs par défaut à 12 points sont : 5pt +plus2.5pt minus1pt, \parsep (c-à-d.&noeos; 2.5pt plus1pt +minus1pt), et \topsep (c-à-d.&noeos; 2.5pt plus1pt minus1pt). + +\labelsep\labelsep +Espace horizontal entre l&textrsquo;étiquette et le texte d&textrsquo;un article. La valeur +par défaut pour les classes &latex; article, book, et +report est de 0.5em. + +\labelwidth\labelwidth +Largueur horizontale. La boîte contenant l&textrsquo;étiquette est nominalement de +cette largeur. Si \makelabel renvoie un texte qui est plus larget +que cela, alors le renfoncement de la première ligne de l&textrsquo;article sera +augmenté pour créer l&textrsquo;espace nécessaire à ce matériel supplémentaire. +Si \makelabel renvoie un texte de largeur inférieur ou égale à +\labelwidth alors le comportement par défaut de &latex; est que +l&textrsquo;étiquette est composé fer à droite dans une boîte de cette largeur. + +Le bord de gauche de la boîte de l&textrsquo;étiquette est à +\leftmargin+\itemindent-\labelsep-\labelwidth +de la marge de gauche de l&textrsquo;environnement enveloppant. + +La valeur par défaut pour les classe &latex; article, +book, et report pour les liste de premier niveau vaut +\leftmargini-\labelsep, (c-à-d.&noeos; 2em en mode à une +colonne et 1.5em en mode à deux colonnes). Au deuxième niveau, +c&textrsquo;est \leftmarginii-\labelsep, et au troisième niveau +\leftmarginiii-\labelsep. Ces définitions ont pour effet +que le bord de gauche de l&textrsquo;étiquette coïncide avec la marge dee gauche +de l&textrsquo;environnement enveloppant. + +r\leftmargin\leftmargin +Espace horizontal entre la marge de gauche de l&textrsquo;environnement envelopant +(ou la marge de gauche de la page pour une liste de premier niveau), et +la marge de gauche de cette liste. Doit être positif ou nul. + +Dans les classes de document &latex; standardes, ce paramètre est réglé +à la valeur \leftmargini pour une liste de premier niveau, alors +que pour une liste de deuxième niveau, c&textrsquo;est à dire imbriquée dans une +liste de premier niveau, il est réglé à \leftmarginii. Pour les +listes aux niveaux d&textrsquo;imbrication suivants les valeurs de +\leftmarginiii à \leftmarginvi sont utilisées. (Imbriquer +des liste au delà de cinq niveaux produit le message d&textrsquo;erreur Too +deeply nested). + +Les valeurs par défaut des trois premiers niveaux dans les classes +&latex; article, book, et report sont les +suivantes : \leftmargini vaut 2.5em (ou 2em en mode +à deux colonnes), \leftmarginii vaut 2.2em, et +\leftmarginiii vaut 1.87em. + +\listparindent\listparindent +Espace horizontal de renfoncement supplémentaire, en plus de +\leftmargin, pour le deuxième paragraphes et les suivants au sein +d&textrsquo;un article de liste. A negative value makes this an &textldquo;outdent&textrdquo;. Its +default value is 0pt. + +\parsep\parsep +list parsep Espace vertical entre les paragraphe d&textrsquo;un article. +Les valeurs par défaut pour les trois premierss niveaux dans les classes +&latex; article, book et report à la taille de 10 +point sont : 4pt plus2pt minus1pt, 2pt plus1pt minus1pt, +and 0pt. La valeurs par défaut à la taille de 11 point sont : +4.5pt plus2pt minus1pt, 2pt plus1pt minus1pt, et +0pt. La valeurs par défaut à la taille de 12 point sont : +5pt plus2.5pt minus1pt, 2.5pt plus1pt minus1pt, and +0pt. + +\partopsep\partopsep +list partopsep Espace vertical ajouté, en plus de +\topsep+\parskip, en haut et en bas de l&textrsquo;environnement +tout entier lorsque la liste considérée est précédée d&textrsquo;une ligne à +blanc. (Une ligne à blanc dans le source &latex; avant la liste change +l&textrsquo;espacement à la fois en haut et en bas de la liste ; que la ligne +suivant la liste soit à blanc est sans importance). + +Les valeurs par défaut pour les trois premiers niveaux dans les classes +&latex; article, book, anet report à la taille de +point sont : 2pt plus1 minus1pt, 2pt plus1pt minus1pt, et +1pt plus0pt minus1pt. Les valeurs par défaut à la taille de 11 +point sont : 3pt plus1pt minus1pt, 3pt plus1pt minus1pt, +et 1pt plus0pt minus1pt). Les valeurs par défaut à la taille de +12 point sont : 3pt plus2pt minus3pt, 3pt plus2pt +minus2pt, et 1pt plus0pt minus1pt. + +\rightmargin\rightmargin +list rightmargin + +Espace horizontal entre la marge de droite de la liste et la marge de +droite de l&textrsquo;environnement l&textrsquo;englobant. Horizontal space between the right margin of the list +and the right margin of the enclosing environment. Its default value is +0pt. It must be non-negative. + +\topsep\topsep +list topsep Espace vertical ajouté aussi bien au haut qu&textrsquo;au bas +de la lise, en plus de \parskip (\parindent & \parskip). +Les valeurs par défaut pour les trois premiers niveaux dans les classes +&latex; book, anet report à la taille de 10 point sont : +8pt plus2pt minus4pt, 4pt plus2pt minus1pt, and 2pt +plus1pt minus1pt. Les valeurs par défaut à la taille de 11 point +sont : 9pt plus3pt minus5pt, 4.5pt plus2pt minus1pt, and +2pt plus1pt minus1pt. Les valeurs par défaut à la taille de 12 +point sont : 10pt plus4pt minus6pt, 5pt plus2.5pt +minus1pt, and 2.5pt plus1pt minus1pt. + + +La figure suivante illustre les distances horizontales et verticales. + + +latex2e-figures/list3.21in.png + -L&textrsquo;environnement tabbing fournit une technique pour aligner du -texte en colonnes. Il fonctionne en réglant des taquet et en tabulant -jusqu&textrsquo;à eux bien comme on le ferait sur une machine à écrire. Il -convient le mieux pour les cas où la largeur de chaque colonnne est -constante et connue d&textrsquo;avance. +Les longueurs illustrées sont listées ci-dessous. La relation clef est +que le bord droit du crochet pour h1 est à la même position +horizontale que le bord droit du crochet pour h4, de sorte que le +bord de gauche de la boîte de l&textrsquo;étiquette est à +h3+h4-(h0+h1). -Cet environnement peut être rompu entre plusieurs pages, contrairement à -l&textrsquo;environnement tabular. + +v0 +vaut &backslash;topsep + &backslash;parskip si l&textrsquo;environnement +list ne commence pas un nouveau paragraphe, et +\topsep+\parskip+\partopsep sinon -Les commandes suivante peuvent être utilisée au sein d&textrsquo;un environnement tabbing : +v1 +\parsep - -\\ (tabbing)\\ (tabbing) -Finit une ligne. +v2 +\itemsep+\parsep -\= (tabbing)\= (tabbing) -Règle un taquet à la position courante. +v3 +Même valeur que v0. (Cet espace est affecté selon qu&textrsquo;une ligne à +blanc apparaît dans le source au dessus de l&textrsquo;environnemnt ; la présence +d&textrsquo;une ligne à blanc au dessous de l&textrsquo;environnement est sans effet.) -\> (tabbing)\> (tabbing) -\> -Avance au taquet suivant. +h0 +\labelwidth -\<\< -Place le texte qui suit à la gauche de la marge locale (sans changer -cette marge). Ne peut être utilisé qu&textrsquo;au début d&textrsquo;une ligne. +h1 +\labelsep -\+\+ -Déplace la marge de gauche d&textrsquo;un taquet vers la droite pour la ligne -suivante et toutes celles qui suivent. +h2 +\listparindent -\-\- -Déplace la marge de gauche d&textrsquo;un taquet vers la gauche pour la ligne -suivante et toutes celles qui suivent. +h3 +\leftmargin -\' (tabbing)\' (tabbing) -Déplace tout ce que vous avez tapé jusqu&textrsquo;alors dans la colonne courante, -c.-à-d.&noeos; tout ce qui suit la plus récente commande \>, -\<, \', \\, ou \kill, à la droite de la -colonne précédente, aligné à droite sur le taquet de la colonne -courante. - -\` (tabbing)\` (tabbing) -Vous perme de placer du texte justifié à droite sur n&textrsquo;importe quel -taquet, y compris le taquet 0. Toutefois, ne peut pas placer du texte à -la droite de la dernière colonne parce qu&textrsquo;il n&textrsquo;y a pas de taquet à cet -endroit. La commande \` déplace tout le texte qui la suit, -jusqu&textrsquo;à la commande \\ ou \end{tabbing} qui termine la -ligne. +h4 +\itemindent -\a (tabbing)\a (tabbing) -\a' (acute accent in tabbing) -\a` (grave accent in tabbing) -\a= (macron accent in tabbing) -Dans un environnement tabbing, les commandes \=, \' -et \` ne produisent pas d&textrsquo;accents comme d&textrsquo;habitude -(Accents). À leur place, on utilise les commandes \a=, -\a' et \a`. +h5 +\rightmargin -\kill\kill -Règles les taquets sans produire de texte. Fonctionne tout comme -\\ à ceci près que la ligne courante est jetée au lieu de -produire une sortie. L&textrsquo;effet de toute commande \=, \+ ou -\- dans cette ligne demeure en vigueur. +
+ +The list&textrsquo;s left and right margins, shown above as h3 and h5, +are with respect to the ones provided by the surrounding environment, or +with respect to the page margins for a top-level list. The line width +used for typesetting the list items is \linewidth (Page +layout parameters). For instance, set the list&textrsquo;s left margin to be one +quarter of the distance between the left and right margins of the +enclosing environment with +\setlength{\leftmargin}{0.25\linewidth}. + +Page breaking in a list structure is controlled by the three +parameters below. For each, the &latex; default is +-\&arobase;lowpenalty, that is, -51. Because it is negative, +it somewhat encourages a page break at each spot. Change it with, +e.g., \&arobase;beginparpenalty=9999; a value of 10000 prohibits a +page break. -\poptabs\poptabs -\poptabs -Restaure les positions de taquets sauvegardés par le dernier -\pushtabs. + +\&arobase;beginparpenalty\&arobase;beginparpenalty +The page breaking penalty for breaking before the list (default -51). -\pushtabs\pushtabs -Sauvegarde positions courantes de tous les taquets. C&textrsquo;est utile pour -changer temporairement les positions de taquets au milieu d&textrsquo;un -environnement tabbing. +\&arobase;itempenalty\&arobase;itempenalty +The page breaking penalty for breaking before a list item (default -51). -\tabbingsep\tabbingsep -Distance à la gauche d&textrsquo;un taquet déplacé par \'. +\&arobase;endparpenalty\&arobase;endparpenalty +The page breaking penalty for breaking after a list (default -51). -Cet exemple compose un fonction en Pascal function dans un format -traditionnel : +paquetage enumitem +enumitem, paquetage + +Le paquetage enumitem est utile pour personaliser les +listes. + +Dans l&textrsquo;exemple suivant les étiquettes sont en rouge. Elles sont +numérotées, et le bord gauche des étiquettes est aligné avalt le bord +gauche du texte des articles. \usecounter. + + +
\usepackage{color}
+\newcounter{cnt}  
+\newcommand{\makeredlabel}[1]{\textcolor{red}{#1.}}
+\newenvironment{redlabel}
+  {\begin{list}
+    {\arabic{cnt}}
+    {\usecounter{cnt}
+     \setlength{\labelwidth}{0em}
+     \setlength{\labelsep}{0.5em}
+     \setlength{\leftmargin}{1.5em}
+     \setlength{\itemindent}{0.5em} % equals \labelwidth+\labelsep
+     \let\makelabel=\makeredlabel
+    }
+  }
+{\end{list} }
+
+ + +\item
Une entrée dans une liste.
+
trivlist
Une forme restreinte de list.
+
+ + +\itemtrivlistlist +\item: Une entrée dans une liste + +Synopsis : -
\begin{tabbing}
-function \= fact(n : integer) : integer;\\
-         \> begin \= \+ \\
-               \> if \= n $>$ 1 then \+ \\
-                        fact := n * fact(n-1) \- \\
-                  else \+ \\
-                        fact := 1; \-\- \\
-            end;\\
-\end{tabbing}
+
\item texte de l'article
+
+ + +ou + +
\item[étiquette optionnelle] texte de l'article
 
+Un entrée dans une liste. Les entrées sont préfixées par une étiquette, +dont la valeur par défaut dépend du type de liste. + +Parce que l&textrsquo;argument optionnel étiquette optionnelle est entouré +de crochets ([ et ]), pour utiliser des crochets au +sein de l&textrsquo;argument optionnel vous devez les cacher entre accolades, comme +dans \item[Crochet fermant, {]}]. De même, pour utiliser un +crochet ouvrant comme premier caractère du texte d&textrsquo;un article, cachez le +aussi au sein d&textrsquo;accolade. &latex; command syntax. + +Dans cet exemple la liste enumerate a deux articles qui utilise +l&textrsquo;étiquette par défaut et une qui utilise l&textrsquo;étiquette optionnelle. + + +
\begin{enumerate}
+  \item Moe
+  \item[sometimes] Shemp
+  \item Larry
+\end{enumerate}
+
-
-tabletabulartabbingEnvironments -
table -environnement table -table, environnement -tableaux, créer -créer des tableaux +Le premier article est étiquetté 1., le deuxième article est +étiquetté sometimes, et le troisième article est étiquetté +2. (notez que, à cause de l&textrsquo;étiquette optionnelle dans le second +article, le troisième article ne reçoit pas l&textrsquo;étiquette 3.). + + +trivlist\itemlist +trivlist: Une forme restreinte de list Synopsis : -
 \begin{table}[placement]
-  corps-du-talbeau
- \caption[titreldt]{titre}
- \end{table}
+
\begin{trivlist}
+  ...
+\end{trivlist}
 
-Une classe de flottants (Floats). Parce qu&textrsquo;ils ne peuvent pas -être coupés à cheval sur plusieurs pages, il ne sont pas composés en -séquence avec le texte normale, mais à la place sont « flottés » vers un -endroit convenable, tel que le sommet d&textrsquo;une page suivante. +Une version restreinte de l&textrsquo;environnement list dans laquelle les +marges sont sans renfoncement et \item sans l&textrsquo;argument optionnel +ne produit pas de texte. Elle est utilisée le plus souvent au sein de +macros, de sorte à définir un environnement où la commande \item +fait partie de la définition de l&textrsquo;environnement. Par exemple, +l&textrsquo;environnement center est défini pour l&textrsquo;essentiel comme ceci : -Pour les valeurs possibles de placement et leur effet sur -l&textrsquo;algorithme de placement des flottants, voir Floats. + +
\newenvironment{center}
+  {\begin{trivlist}\centering\item\relax}
+  {\end{trivlist}}
+
+ +Utiliser trivlist de la sorte permet à la macro d&textrsquo;hériter du code +mutualisé : combiner l&textrsquo;espace vertical provenant de deux environnement +adjacent ; détecter si le texte suivant l&textrsquo;environement doit être +considéré comme un nouveau paragraphe ou la suite du paragraphe +précédent ; ajuster les marges de gauche et de droit pour d&textrsquo;éventuels +environnements de liste imbriqués. -Le corps du tableau est composé dans une parbox de largueur -\textwidth and ainsi il peut contenir du texte, des commandes, -etc. +En particulier, trivlist utilise les valeurs courantes des +paramètres de liste (list), à ceci près que \parsep est +réglé à la valeur de \parskip, et que \leftmargin, +\labelwidth, et \itemindent sont réglés à zéro. -L&textrsquo;étiquette est optionnelle ; elle est utilisée pour les double renvois -(Cross references). -\caption -La commande \caption spécifie la légende texte pour la -figure. La légende est numérotée par défaut. Si titreldt est -présent, il est utilisé dans la liste des talbeaux au lieu de titre -(Tables of contents). +Cet exemple produit les articles comme deux paragraphes, à ceci près que +(par défaut) ils n&textrsquo;ont pas de renfoncement de paragraphe et sont séparés +verticalement. -
\begin{table}[b]
-  \centering
-  \begin{tabular}{r|p{2in}} \hline
-    Un &Le plus solitaire des nombres \\
-    Deux &Peut être aussi triste qu'un.
-         C'est le nombre le plus solitaire après le nombre un.
-  \end{tabular}
-  \caption{Vertus cardinales}
-  \label{tab:VertusCardinales}
-\end{table}
+
\begin{trivlist}
+\item C'est un fameux trois-mâts, fin comme un oiseau
+\item Hisse et ho, Santiano.
+\end{trivlist}
 
+ +
+mathminipagelistEnvironments +
math +environnement math +math, environnement + +formules en ligne + +Synopsis : + + +
\begin{math}
+maths
+\end{math}
+
+$ en ligne, math +\(...\) en ligne, math +L&textrsquo;environnement math insert les maths donnés au sein du +texte en cours. \(...\)) et $...$ sont des synonymes. +Math formulas. +
-tabularthebibliographytableEnvironments -
tabular -environnement tabular -tabular, environnement -lignes dans des tableaux -aligner du texte dans des tableaux +minipagepicturemathEnvironments +
minipage +environnement minipage +minipage, environnement + +minipage, créer une Synopsis : -
\begin{tabular}[pos]{cols}
-column 1 entry & column 2 entry ... & column n entry \\
-...
-\end{tabular}
+
\begin{minipage}{largeur}
+  matière
+\end{minipage}
 
ou -
\begin{tabular*}{largeur}[pos]{cols}
-column 1 entry & column 2 entry ... & column n entry \\
-...
-\end{tabular*}
+
\begin{minipage}[position][hauteur][pos-interne]{largeur}
+matière
+\end{minipage}
 
-Ces environnements produisent une boîte consistant d&textrsquo;une séquence de -ligne horizontales. Chaque ligne consiste en des articles qui sont -alignés verticalement au sein de colonnes. Ci-après une illustration de -beaucoup des caractéristiques. +Place matière dans une boîte qui est largeur de large. C&textrsquo;est +comme une version réduite d&textrsquo;une page ; elle peut contenir ses propres +notes en bas de page, listes à puces, etc. (Il y a quelques +restrictions, notamment qu&textrsquo;elle ne peut pas avoir de flottants). Cette +boîte ne peut pas être coupé sur plusieurs pages. Ainsi minipage +est similaire à la commande \parbox (\parbox), mais +contrairement à \parbox, d&textrsquo;autres environnements de production de +paragraphe peuvent être utilisés au sein d&textrsquo;une minipage. This example +will be 3 inches wide, and has two paragraphs. -
\begin{tabular}{l|l}
-  \textit{Nom du joueur}  &\textit{Coups de circuit de toute sa carrière}  \\
-  \hline
-  Hank Aaron  &755 \\
-  Babe Ruth   &714
-\end{tabular}
+
\begin{minipage}{3in}
+  Stephen Kleene fut un fondateur de la théorie de la récursivité.
+
+  Il fut l'élève de Church, l'auteur de trois textes qui firent autorité,
+  et le président de l'Association for Symbolic Logic, et il fut
+  récompensé par la National Medal of Science.
+ \end{minipage}
 
-Le format vertical de deux colonnes alignées à gauche, avec une barre -verticales entre elles, est spécifié par l&textrsquo;argument {l|l} de tabular. -& -Les colonnes sont séparées avec une esperluette &. On crée un -filet horizontal entre deux ligne avec \hline. -\\ pour tabular -La fin de chaque ligne est marquée avec une -double-contr&textrsquo;oblique \\. Cette \\ est optionnelle après -la dernière ligne, à moins qu&textrsquo;une commande \hline suive, pour -mettre un filet sous le tableau. + +Voir plus bas pour une discussion sur le renfoncement de paragraphe au +sein d&textrsquo;une minipage. - -Les arguments obligatoires et optionnels de tabular consistent -en : +L&textrsquo;argument obligatoire largeur est une longueur rigide (Lengths). +Il donne la largeur de la boîte dans laquelle matière est composée. + +Il y a trois arguments optionnels, position, hauteur, et +pos-interne. Il n&textrsquo;est pas nécessaire de fournir les trois à la +fois. Par exemple, obtenez les valeur par défaut pour position et +réglez hauteur avec \begin{minipage}[c][2.54cm] +matière \end{minipage}. (Obtenez la hauteur naturelle avec un +argument vide, []). + +L&textrsquo;argument optionnel position gouverne la façon dont la +minipage s&textrsquo;aligne verticalement avec la matière l&textrsquo;entourant. -largeur -Obligatoire pour tabular*, non autorisé pour -tabular. Spécifie la largeur de l&textrsquo; environnement -tabular*. Il doit y avoir de l&textrsquo;espace élastique entre les -colonnes, comme avec with &arobase;{\extracolsep{\fill}}, de sorte à -permettre au tableau de se dilater ou contracter pour faire la largeur -spécifiée, sans quoi vous aurez probablement l&textrsquo;avertissement -Underfull \hbox (badness 10000) in alignment ... +c + + +(Synonyme m) Valeur par défaut. Positionne la minipage de +sorte que son centre vertical soit aligné avec le centre des lignes de +texte adjacentes. -pos -Optionnel. Spécifie la position verticale du tableau. La valeur par -défaut est d&textrsquo;aligner le tableau de sorte à ce que son centre vertical -s&textrsquo;accorder à la ligne de base du texte autour. Il y a deux autres -alignements possible : t aligne le tableau de sorte que la -première ligne s&textrsquo;accorde à la ligne de base du texte autour, et -b fait la même chose pour la dernière ligne du tableau. +t +\vtop &tex; de base +Aligne la ligne du haut de la minipage sur la ligne de base du +texte l&textrsquo;entourant (comme \vtop en &tex; de base). +b +\vbox &tex; de base +Aligne la ligne du bas de minipage avec la ligne de base du texte +l&textrsquo;entourant (comme \vbox en &tex; de base). +
-Ceci n&textrsquo;a un effet que si il y a du texte autour de la table. Dans le cas -usuel d&textrsquo;un tabular seul au sein d&textrsquo;un environnement center -cette option ne fait aucune différence. +Pour voir l&textrsquo;effet de ces options, comparez le résultat de la compilation de -cols -Obligatoire. Spécifie le formatage des colonnes. Il consiste en une -séquence des spécificateurs suivants, correspondant à la séquence des -colonnes et du matériel intercolonne. + +
---\begin{minipage}[c]{0.25in}
+  first\\ second\\ third
+\end{minipage}
+
+ + +avec ce qui se passe en remplaçant c par b ou t. - -l -Une colonne d&textrsquo;articles alignés à gauche. +L&textrsquo;argument optionnel hauteur est une longueur rigide +(Lengths). Il règle la hauteur de la minipage. Vous +pouvez donner n&textrsquo;importe quelle valeur supérieure, égale ou inférieure à +la hauteur naturelle de la minipage sans que &latex; ne produise +une erreur ou un avertissement. Vous pouvez aussi la régler à une +hauteur de valeur nulle ou négative. -r -Une colonne d&textrsquo;article alignés à droite. +L&textrsquo;argument optionnel final pos-interne contrôle la disposition de +matière au sein de la boîte. Voici les valeurs possibles (la +valeur par défaut est la valeur de l&textrsquo;argument position). + +
+t +Place matière en haut de la boîte. c -Une colonne d&textrsquo;article centrés. +Centre matière verticalement. -| -Une ligne verticale s&textrsquo;étendant complètement sur la hauteur et profondeur -de l&textrsquo;environnement. +b +Place matière en bas de la boîte. -&arobase;{texte ou espace} -Ceci insère texte ou espace à cette position dans chaque ligne. Le -matériel texte ou espace est composé en mode LR. Ce texte est -fragile (\protect). +s +Dilate matière verticalement ; elle doit contenir de l&textrsquo;espace +dilatable verticalement. -Ce spécificateur est optionnel : à moins que vous mettiez dans votre -propre &arobase;-expression alors les classes book, article et -report de &latex; mettent de chaque côté de chaque colonne un -espace de longueur \tabcolsep, qui par défaut vaut -6pt. C&textrsquo;est à dire que par défaut des colonnes adjacentes sont -séparées de 12pt (ainsi \tabcolsep est un nom trompeur -puisque ce n&textrsquo;est pas la séparation entre des colonnes de -tableau). Aussi, par défaut un espace de 6pt vient après la -première colonne ainsi qu&textrsquo;après la dernière colonne, à moins que vous -placiez un &arobase;{...} ou | à cet endroit. +
+ +L&textrsquo;argument pos-interne a un sens quand l&textrsquo;option hauteur est +réglée à une valeur supérieure à la hauteur naturelle de la +minipage. Pour voir l&textrsquo;effet des options, exécutez l&textrsquo;exemple +suivant avec les différents choix possibles au lieu de b. -Si vous l&textrsquo;emportez sur la valeur par défaut et utilisez une expression -en &arobase;{...} alors vous devez insérer tout espace désiré -vous-même, comme dans &arobase;{\hspace{1em}}. + +
Texte avant
+\begin{center}
+  ---\begin{minipage}[c][8cm][b]{0.25\textwidth}
+       premier\\ deuxième\\ troisième
+  \end{minipage}              
+\end{center}
+Texte après 
+
+ +renfoncement des paragraphes, au sein d&textrsquo;une minipage +paragraphes, renfoncement au sein d&textrsquo;une minipage +\parindent +Par défaut, les paragraphes ne sont pas renfoncés au sein d&textrsquo;un +environnement minipage. Vous pouvez restaurer le renfoncement +avec une commande telle que \setlength{\parindent}{1pc} placé +au début de matière. -Une expression vide &arobase;{} élimine l&textrsquo;espace, y compris l&textrsquo;espace -au début ou à la fin, comme dans l&textrsquo;exemple ci-dessous où on veut que les -lignes du tableau soient alignées sur la marge de gauche. +notes en bas de page au sein des figures +figures, notes en bas de page au sein des +Les notes en bas de page au sein d&textrsquo;un environnement minipage sont +gérées d&textrsquo;une façon qui est particulièrement utile pour mettre des notes +en bas de page dans des figures ou des tableaux. Une commande +\footnote ou \footnotetext met la note en bas de page au bas +de la minipage au lieu de la mettre au bas de la page, et elle utilise +le compteur \mpfootnote au lieu du compteur ordinaire +footnote (Counters). + +L&textrsquo;exemple ci-dessous place la note argument de \footnote en bas +de la table, et non en bas de la page. -
\begin{flushleft}
-  \begin{tabular}{&arobase;{}l}
-    ..
-  \end{tabular}
-\end{flushleft}
+
\begin{center}           % centre la minipage sur la ligne
+\begin{minipage}{6.5cm}
+  \begin{center}         % centre la table au sein de la minipage
+    \begin{tabular}{ll}
+      \textsc{Monarque}  &\textsc{Reigne}             \\ \hline
+      Elizabeth II      &63 ans\footnote{à ce jour} \\
+      Victoria          &63 ans                   \\
+      George III        &59 ans
+    \end{tabular}
+  \end{center}  
+\end{minipage}
+\end{center}
 
-Cet exemple montre du texte, une virgule de séparation décimale, entre -les colonnes, arangé de sorte que les nombres dans la table sont alignés -sur cette virgule. +Si vous imbriquez des minipages, alors il y a une bizarrerie dans +l&textrsquo;utilisation des note \footnote. Les notes apparaissement au bas +du texte terminé par la prochaine \end{minipage} ce qui n&textrsquo;est +peut-être pas leur place logique. +L&textrsquo;exemple suivant place un tableau de données côte à côte d&textrsquo;un +graphique. Ils sont verticalement centrés. + +paquetage siunitx +siunitx, paquetage + -
\begin{tabular}{r&arobase;{$,$}l}
-  $3$ &$14$  \\
-  $9$ &$80665$
-\end{tabular}
+
% siunitx permet d'avoir le type de colonne S dans les tableaux, pour l'alignement
+% et le séparateur décimal 
+\usepackage[output-decimal-marker={,}]{siunitx}
+\newcommand*{\vcenteredhbox}[1]{\begin{tabular}{&arobase;{}c&arobase;{}}#1\end{tabular}}
+  ...
+\begin{center}
+  \vcenteredhbox{\includegraphics[width=0.3\textwidth]{nyc.png}}
+  \hspace{0.1\textwidth}
+  \begin{minipage}{0.5\textwidth}
+    \begin{tabular}{r|S}
+      \multicolumn{1}{r}{Quartier} &Pop. (million)  \\ \hline
+      The Bronx      &1.5  \\
+      Brooklyn       &2.6  \\
+      Manhattan      &1.6  \\
+      Queens         &2.3  \\
+      Staten Island  &0.5  
+    \end{tabular}
+  \end{minipage}              
+\end{center}
 
+
+picturequotation & quoteminipageEnvironments +
picture +environnement picture +picture, environnement -\extracolsep -Une commande \extracolsep{lrg} au sein d&textrsquo;une expression -en &arobase;{&dots;} a pour effet qu&textrsquo;une espace supplémentaire de -largeur lrg apparaît sur la gauche de toutes les colonnes -suivantes, jusqu&textrsquo;à contre-ordre d&textrsquo;une autre commande -\extracolsep. Contrairement aux à espace inter-colonnes -ordinaires, cette espace supplémentaire n&textrsquo;est pas supprimé par une -expression en &arobase;{&dots;}. Une commande \extracolsep -peut uniquement être utilisée au sein d&textrsquo;une expression en -&arobase;{&dots;} elle-même au sein de l&textrsquo;argument cols. +créer des images +images, créer + +Synopsis : -
\begin{center}
-  \begin{tabular*}{10cm}{l&arobase;{\ \ldots\extracolsep{\fill}}l}
-    Tomber sept fois, se relever huit
-    &c'est comme ça la vie !
-  \end{tabular*}
-\end{center}
+
\begin{picture}(largeur,hauteur)
+&dots; commandes picture &dots;
+\end{picture}
 
-Pour insérer des commandes qui sont automatiquement exécutées avant une -colonne donnée, charger le paquetage array et utilisez le -spécificateur >{...}. - + +ou + +
\begin{picture}(largeur,hauteur)(décalagex,décalagey)
+&dots; commandes picture &dots;
+\end{picture}
+
-p{lrg} -Chaque cellule de la colonne est composée au sein d&textrsquo;une parbox de -largeur lrg. + +\unitlength +L&textrsquo;environnement picture vous permet de créer des dessins simples +contenant des lignes, des flèches, des boîtes, des cercles, et du texte. +Cet environnement n&textrsquo;est pas obsolète, mais les nouveaux documents +utilisent typiquelent des systèmes de création de graphiques bien plus +puissants tels que TikZ, PStricks, MetaPost, ou Asymptote. Ceux-ci ne +sont pas couverts dans ce documents ; voir le CTAN. -Note que les sauts de ligne de type double-contr&textrsquo;oblique \\ ne -sont pas permis au sein d&textrsquo;une telle cellule, sauf à l&textrsquo;intérieur d&textrsquo;un -environnement comme minipage, array, ou tabular, -ou à l&textrsquo;intérieur d&textrsquo;une \parbox explicite, ou dans la portée d&textrsquo;une -déclaration \centering, \raggedright, ou -\raggedleft (quand elles sont utilisée au sein d&textrsquo;une cellule de -colonne en p ces déclaration doivent apparaître entre accolade, -comme dans {\centering .. \\ ..}. Sans quoi &latex; prendra la -double contr&textrsquo;oblique comme une fin de ligne. + +Vous dîtes à &latex; où mettre les chose dans le dessin en spécifiant +leur coordonnées. Une coordonnée est un nombre qui peut avoir une +séparateur décimal (point et non virgule) et un signe moins &textmdash; un +nombre comme 5, 0.3 ou -3.1416. Une coordonnées +spécifie une longueur en multiples de l&textrsquo;unité de longueur +\unitlength, ainsi si \unitlength a été réglée à +1cm, alors la coordonnée 2.54 spécifie une longueur de 2,54 +centimètres. -*{num}{cols} -Équivalent à num copies de cols, où num est un entier -positif et cols est toute liste de spécificateurs. Ainsi -\begin{tabular}{|*{3}{l|r}|} équivaut à -\begin{tabular}{|l|rl|rl|r|}. Notez que cols peut -contenir une autre expression en *{&dots;}{&dots;}. +Vous devriez changer la valeur de \unitlength, en utilisant la +commande \setlength, en dehors d&textrsquo;un environnement +picture. La valeur par défaut est 1pt. - - +paquetage picture +picture, paquetage -Paramètres qui contrôlent le formatage : - +Le paquetage picture redéfinit l&textrsquo;environnement picture de +sorte qu&textrsquo;où que soit utilisé un nombre au sein de commandes picture +pour spécifier une coordonnée, on puisse alternativement utiliser une +longueur. Notez bien cependant que ceci empèche de dilater/contracter +ces longueurs en changeant \unitlength. - -\arrayrulewidth\arrayrulewidth -Une longueur qui est l&textrsquo;épaisseur du filet créé par |, -\hline, et \vline au sein des environnements -tabular et array. La valeur par défaut est .4pt. On -peut la changer comme dans -\setlength{\arrayrulewidth}{0.8pt}. +position, dans un dessin picture +Une position est une paire de coordonnées, telle que +(2.4,-5), ce qui spécifie un point d&textrsquo;abscisse 2.4 et +d&textrsquo;ordonnée -5. Les coordonnées sont spécifiées de la manière +habituelle relativement à une origine, qui est normalement dans le coin +inférieur gauche du dessin. Notez que lorsque une position apparaît en +argument, elle n&textrsquo;est pas entourée d&textrsquo;accolades ; on délimite l&textrsquo;argument +avec des parenthèses. -\arraystretch\arraystretch -Un facteur par lequel l&textrsquo;espacement entre les lignes au sein des -environnement tabular et array est multiplié. La valeur -par défaut est 1 pour aucune dilatation/contraction. On peut la -changer comme dans \renewcommand{\arraystretch}{1.2}. +L&textrsquo;environnement picture a un argument obligatoire qui est une +position (largeur,hauteur) qui spécifie la taille du dessin. +L&textrsquo;environnement produit une boîte rectangulaire dont les dimensions sont +cette largeur et cette hauteur. -\doublerulesep\doublerulesep -Une longueur qui est la distance ente les filets verticaux produit par -le spécificateur ||. - - -La valeur par défaut est 2pt. +L&textrsquo;environnement picture a aussi un argument optionnel de position +(décalagex,décalagey), qui suit l&textrsquo;argument de taille, et qui +peut changer l&textrsquo;origine. (Contrairement aux arguments optionnels +ordinaire, cet argument n&textrsquo;est pas contenu entre crochets.) L&textrsquo;argument +optionnel donne les coordonnées du point dans le coin inférieur gauche +du dessin (par là même déterminant l&textrsquo;origine). Par exemple, si +\unitlength a été réglée à 1mm, la commande -\tabcolsep\tabcolsep -Une longueur qui est la moitié de l&textrsquo;espace entre les colonnes. La valeur -par défaut est 6pt. On peut la changer avec \setlength + +
\begin{picture}(100,200)(10,20)
+
+ + produit un dessin de largeur 100 millimetres et hauteur 200 +millimetres, done le coin inférieur gauche est le (10,20) et dont le +coin supérieur doint est donc le point (110,220). Lorsque vous dessin +la première fois un dessin, typiquement vous omettez l&textrsquo;argument +optionnel, laissant l&textrsquo;origine au coin inférieur gauche. Si ensuite vous +voulez modifier le dessin en translatant tout, vous pouvez juste ajouter +l&textrsquo;argument optionnel approprié. -
+L&textrsquo;argument obligatoire de l&textrsquo;environnement détermine la taille nominale +du dessin. Il n&textrsquo;est pas nécessaire que cela soit en relation à la taille +réèlle du dessin ; &latex; vous laissera sans broncher mettre des chose +en dehors de la boîte définie par la taille du dessin, et même en dehors +de la page. La taille nominale du dessin est utilisée par &latex; pour +la détermination de la quantité de place à prévoir pour lui. + +Tout ce qui apparaît dans un dessin picture est dessiné par la +commande \put. La commande + + +
\put (11.3,-.3){...}
+
-Les commandes suivantes peuvent être utilisées à l&textrsquo;intérieur du corps d&textrsquo;un -environnement tabular : + met l&textrsquo;objet spécifié par ... dans le dessin picture, avec sont +point de référence aux coordonnées (11.3,-.3). Les points de +référence des divers objets sont décrits plus bas. + +lR box +La commande \put crée une LR box. Vous pouvez mettre tout +ce qui peut aller dans une \mbox (\mbox) dans l&textrsquo;argument +texte de la commande \put. Quand vous faites cela, le point de +référence devient le coin inférieur gauche de la boîte . + +Les commandes picture sont décrites dans les rubriques suivantes. -\multicolumn
Faire qu&textrsquo;un article s&textrsquo;étende sur plusieurs colonnes.
-
\cline
Dessiner une ligne horizontale s&textrsquo;étendant sur quelques colonnes.
-
\hline
Dessiner une ligne horizontale s&textrsquo;étendant sur toutes les colonnes.
-
\vline
Dessiner une ligne verticale.
-
-
+\circle
Dessine un cercle.
+
\makebox (picture)
Dessine une boîte de la taille spécifiée.
+
\framebox (picture)
Dessine une boîte avec un cadre autour.
+
\dashbox
Dessine une boîte en tireté.
+
\frame
Dessine un cadre autour d&textrsquo;un objet.
+
\line
Dessine une ligne droite.
+
\linethickness
Règle l&textrsquo;épaisseur de ligne.
+
\thicklines
Une plus grosse épaisseur de ligne.
+
\thinlines
L&textrsquo;épaisseur de ligne par défaut.
+
\multiput
Dessine plusieurs instances d&textrsquo;un objet.
+
\oval
Dessine une ellipse.
+
\put
Place un objet à un endroit spécifié.
+
\shortstack
Empile plusieurs objets.
+
\vector
Dessine une ligne flèchée.
 
-\multicolumn\clinetabular -\multicolumn -\multicolumn +\circle\makebox (picture)picture +\circle +\circle Synopsis : -
\multicolumn{nbrecols}{patron}{texte}
+
\circle{diamètre}
+\circle*{diamètre}
 
-Fabrique une entrée de array ou tabular fusionnée sur -plusieurs colonnes. Le premier argument, nbrecols spécifie le -nombre de colonnes sur lesquelles s&textrsquo;étend la fusion. Le second argument, -patron, est obligatoire et spécifie le format de l&textrsquo;entrée ; -notamment c pour centré, l pour aligné à gauche, r -pour aligné à droite. Le troisième argument, texte spécifie le -texte à mettre dans l&textrsquo;entrée. +La commande \circle produit un cercle dont le diamètre est le +plus proche possible de celui spécifié. La forme étoilée (en *) +de la commande dessine un disque, c.-à-d.&noeos; un cercle plein. -Dans l&textrsquo;exemple suivant les trois première colonnes sont fusionnées en le -titre unique Nom. +Des cercles jusqu&textrsquo;à 40pt peuvent être dessinés. - -
\begin{tabular}{lccl}
-  \textit{ID}     &\multicolumn{2}{c}{\textit{Nom}} &\textit{Âge}\\ \hline % ligne 1
-  978-0-393-03701-2 &O'Brian &Patrick                         &55            \\ % ligne two
-    ...
-\end{tabular}
+
+
+\makebox (picture)\framebox (picture)\circlepicture
+\makebox
+\makebox (picture)
+
+Synopsis :
+
+
\makebox(largeur,hauteur)[position]{texte}
 
-On compte comme colonne chaque partie du patron patron de -l&textrsquo;environnement array ou tabular qui, à l&textrsquo;exception de la -première, commence par l, c, r, ou p. Ainsi -à partir de \begin{tabular}{|r|ccp{4cm}|} les partie sont -|r|, c, c, et p{1.5in}|. +La commande \makebox pour l&textrsquo;environnement picture est +similaire à la commande normale \makebox à ceci près que vous +devez spécifier une largeur et une hauteur implicitement +multipliés par \unitlength. -L&textrsquo;argument patron l&textrsquo;emporte sur la spécification par défaut de -zone inter-colonne de l&textrsquo;environnement array ou tabular -contigüe à cette entrée multi-colonne. Pour affecter cette zone, cet -argument peut contenir des barre verticale | indiquant le -placement de filets verticaux, et d&textrsquo;expression &arobase;{...}. Ainsi -si patron est |c| alors l&textrsquo;entrée multi-colonne est centrée -et un filet vertical la précède et la suit dans les espaces intercolonne -de part et d&textrsquo;autre. Ce tableau nous permet de décrire en détail le -comportement exact. +L&textrsquo;argument optionnel, [position], spécifie le quadrant dans +lequel votre texte apparaît. Vous pouvez sélectionner jusqu&textrsquo;à deux +spécificateurs parmi les suivants : + + +t +Place l&textrsquo;article au sommet du rectangle. + +b +Place l&textrsquo;article en bas du rectangle. + +l +Place l&textrsquo;article sur la gauche. + +r +Place l&textrsquo;article sur la droite. + +
+ +\makebox. + + +
+\framebox (picture)\dashbox\makebox (picture)picture +\framebox +\framebox + +Synopsis : -
\begin{tabular}{|cc|c|c|}
-  \multicolumn{1}{r}{w}       % entrée un
-    &\multicolumn{1}{|r|}{x}  % entrée deux
-    &\multicolumn{1}{|r}{y}   % entrée trois
-    &z                        % entrée quatre
-\end{tabular}
+
\framebox(largeur,hauteur)[pos]{...}
 
-Avant la première entrée il n&textrsquo;y a pas de filet verticale en sortie parce -que le \multicolumn a le spécificateur r dans patron -sans barre verticales initiale. Entre les entrée un et deux il y a un -filet vertical ; en effet bien que le premier patron ne se termine -pas par une barre verticale, le second patron en a une à son -commencement. Entre la deuxième et la troisième entré il y a un seul -filet vertical ; bien que le patron dans les deux -multicolumn correspondant demandent un filet vertical, vous n&textrsquo;en -obtenez qu&textrsquo;un seul. Entre les entrée trois et quatre il n&textrsquo;y a aucun -filet vertical ; la spécification par défaut en demande un mais le -patron dans le \multicolumn de la troisième entrée n&textrsquo;en -demande pas, et cela l&textrsquo;emporte. Finalement, à la suite de la quatrième -entrée il y a un filet vertical à cause de la spécification par défaut. +La commande \framebox est similaire à \makebox (voir +section précédent), à ceci près qu&textrsquo;elle met un cadre autour de +l&textrsquo;extérieur du contenu de la boîte qu&textrsquo;elle créée. -Le nombre de colonnes fusionnées nbrecols peut être 1. En plus de -donner la possibilité de changer l&textrsquo;alignement horizontal, ceci est aussi -utile pour l&textrsquo;emporter pour l&textrsquo;une des ligne sur la définition -tabular par défaut de la zone inter-colonne, y compris concernant le -placement des filets verticaux. - -Dans l&textrsquo;exemple ci-dessous, dans la définition tabular de la -première colonne on spécifie par défaut de justfier, mais au sein de la -première ligne l&textrsquo;entrée est centrée avec -\multicolumn{1}{c}{\textsc{Période}}. De même au sein de -la première ligne, les deuxième et troisième colonnes sont fusionnées -entre elle avec \multicolumn{2}{c}{\textsc{Intervalle}}, -l&textrsquo;emportant sur la spécification pour centrer ces deux colonnes sur le -trait d&textrsquo;union au sein de la plage de dates. - - -
\begin{tabular}{l|r&arobase;{-}l}
-  \multicolumn{1}{c}{\textsc{Période}}
-    &multicolumn{2}{c}{\textsc{Dates}} \\ \hline
-  Baroque          &1600           &1760         \\
-  Classique        &1730           &1820         \\
-  Romantique       &1780           &1910         \\
-  Impressioniste   &1875           &1925
-\end{tabular}
-
- -Noter ue bien que la spécification tabular par défaut place un -filet vertical etre la première et la deuxième colonne, du fait qu&textrsquo;il -n&textrsquo;y pas pas de barre verticale dans aucun des patrons patron des -commandes \multicolumn des deux premières colonne, alors aucun -filet n&textrsquo;apparaît sur la première ligne. +\fboxrule +\fboxsep +La commande \framebox produit un filet d&textrsquo;épaisseur +\fboxrule, et laisse un espace \fboxsep entre le filet et +le contenu de la boîte. -\cline\hline\multicolumntabular -\cline -\cline +\dashbox\frame\framebox (picture)picture +\dashbox -Synopsis : +\dashbox + +Dessine une boîte avec une ligne en tireté. Synopsis : -
\cline{i-j}
+
\dashbox{tlong}(rlargeur,rhauteur)[pos]{texte}
 
-La commande \cline dessine des lignes horizontales à travers les -colonnes spécifiées en arguments obligatoires, en commençant dans la -i et finissant dans la colonne j. +\dashbox crée un rectangle en tireté autour de texte au +sein d&textrsquo;un environnement picture. Les tirets sont long de +tlong unités, et le rectangle a pour largeur totale rlargeur +et hauteur totale rhauteur. Le texte est positionné par l&textrsquo;argument +optionnel pos. - -\hline\vline\clinetabular -\hline -\hline - -La commande \hline dessine une ligne horizontale de la largeur de -l&textrsquo;environnement tabular ou array surjacent. Elle est la -plupart du temps utilisé pour dessiner une ligne au sommet, bas, et -entre les lignes d&textrsquo;un tableau. +Une boîte en tireté a meilleure allure quand les paramètres +rlargeur et rhauteur sont des multiple de tlong. -\vline\hlinetabular -\vline -\vline +\frame\line\dashboxpicture +\frame +\frame -La commande \vline dessine une ligne verticale s&textrsquo;étendant sur la -totalité de la hauteur et de la profondeur de sa ligne. Une commande -\hfill peut être utilisée pour déplacer cette ligne verticale -vers le bord de la colonne. La commande \vline peut aussi être -utilisée dans une expression &arobase;{&dots;}. +Synopsis : - - - + +
\frame{texte}
+
+La commande \frame met un cadre rectangulaire autour de +texte. Le point de référence est le coin en bas à gauche du +cadre. Aucun espace supplémentaire n&textrsquo;est mis entre le cadre et l&textrsquo;objet +texte. +
-
-thebibliographytheoremtabularEnvironments -
thebibliography - -environnement thebibliography -thebibliography, environnement -bibliography, creating (manually) +\line\linethickness\framepicture +\line +\line Synopsis : -
\begin{thebibliography}{étiquette-la-plus-large}
-\bibitem[étiquette]{clef_de_cite}
-...
-\end{thebibliography}
+
\line(xpente,ypente){excursion}
 
-L&textrsquo;environnement thebibliography produit une bibliographie ou une -liste de références. +Dessine une ligne. Sa pente est telle que la ligne monte de ypente +verticalement pour toute avancée horizontale de +xpente. L&textrsquo;excursion est le déplacement horizontal total &textmdash; +ce n&textrsquo;est pas la longueur du vecteur, mais la variation en x. Da,s +me cas spécial des ligne vertical, où (xpente,ypente)=(0,1), +l&textrsquo;excursion donne le déplacement en y. -Dans la classe article, cette liste de références est intitulée -« Réferences » ; dans la classe report, elle est intitulée -« Bibliographie ». Vous pouvez changer le titre (dans les classes standardes) -en redéfinissant la commande \refname. Par exemple, cela -l&textrsquo;élimine complètement : +L&textrsquo;exemple suivant dessine une ligne commençant aux coordonnées (1,3). -
\renewcommand{\refname}{}
+
\put(1,3){\line(2,5){4}}
 
-L&textrsquo;argument obligatoire étiquette-la-plus-large est un texte qui, -lorsqu&textrsquo;il est composé, est aussi large que la plus large des étiquettes -d&textrsquo;article produit pas les commandes \bibitem. C&textrsquo;est typiquement -donné comme 9 pour des bibliographies de moins de 10 références, -99 pour celles qui en on moins de 100, etc. + +Pour toute avancée de 2 vers la droite, cette ligne monte de 5. Parce +que excursion spécifie qu&textrsquo;elle avance de 4, elle monte en tout +de 10. De sorte que son extrémité finale est +(1,3)+(4,10)=(5,13). En particulier, notez que +excursion=4 n&textrsquo;est pas la longueur de la ligne, mais c&textrsquo;est +son déplacement en x. + +Les arguments xpente et ypente sont des entiers qui peuvent +être positifs, negatifs, ou nuls zero (si les deux valent 0, alors +&latex; traite le second comme 1). Avec +\put(x_init,y_init){\line(xpente,ypente){travel}}, +si xpente est négatif alors l&textrsquo;extrémté finale d ela ligne a sa +première coordonnée inférieure à x_init. Si ypente est +negatif alors l&textrsquo;extrémité finale a sa seconde coordonnées inférieure à +y_init. + +Si excursion est négatif alors vous obtenez LaTeX Error: Bad \line or +\vector argument. + +pict2e, paquetage +graphiques, paquetages +paquetage pict2e +pict2e, paquetage + +paquetage TikZ +TikZ, paquetage + +paquetage PSTricks +PSTricks, paquetage + +paquetage MetaPost +MetaPost, paquetage + +paquetage Asymptote +Asymptote, paquetage + +De base &latex; peut seulement dessiner des lignes avec une plage +limitées de pentes parce que ces lignes sont constituées par la +juxtaposition de petits segments de droite issus de polices +préfabriquées. Les deux nombres xpente et ypente prennent +des valeurs entières de −6 jusqu&textrsquo;à 6. De plus ils doivent être +premiers entre eux, de sorte que (xpente, ypente)=(2,1) est +licite, mais pas (xpente, ypente)=(4,2) (is vous choisissez +cette dernière forme alors au lieu de lignes vous obtiendrez des +séquences de têtes de flèches ; la solution est de revenir à la première +forme). Pour obtenir des lignes de pente arbitraire et plein d&textrsquo;autres +formes dans un système tel que picture, voir le paquetage +pict2e (https://ctan.org/pkg/pict2e). Une autre solution +est d&textrsquo;utiliser un système graphique complet tel que TikZ, PSTricks, +MetaPost, ou Asymptote. - -\bibitem
Spécifier un article de bibliographie.
-
\cite
Faire référence à un article de bibliographie.
-
\nocite
Inclure un article dans la bibliographie.
-
Utilisation de BibTexUsing BibTeX
Génération automatique de bibliographies.
-
+ +\linethickness\thicklines\linepicture +\linethickness +\linethickness +La commande \linethickness{dim} déclare que l&textrsquo;épaisseur des +lignes horizontales et verticales dans un environnement picture +vaut dim, ce qui doit être une longueur positive. + +Elle diffère de \thinlines et \thicklines en ce qu&textrsquo;elle +n&textrsquo;affecte pas l&textrsquo;épaisseur des lignes obliques, cercles, ou quarts de +cercles dessinés par \oval. + -\bibitem\citethebibliography -\bibitem + +\thicklines\thinlines\linethicknesspicture +\thicklines +\thicklines -\bibitem +La commande \thicklines est une épaisseur de trait alternative +pour les lignes verticales et horizontales dans un environnement +picture ; cf. \linethickness et \thinlines. + -Synopsis : - -
\bibitem[étiquette]{clef_de_cite}
-
+
+\thinlines\multiput\thicklinespicture +\thinlines +\thinlines -La commande \bibitem génère une entrée étiquetée par -étiquette. Si l&textrsquo;argument étiquette est omis, un numéro est -automatiquement généré en utilisant le compteur enumi. L&textrsquo;argument -clef_de_cite est une -clef de référence bibiliographique -référence bibiliographique, clef -clef de référence bibiliographique consistant -en une séquence quelconque de lettres, chiffres, et signes de -ponctuation ne contenant aucune virgule. - -Cette commande écrit une entrée dans le fichier .aux, et cette -entrée contient les étiquette et clef_de_cite de l&textrsquo;article -considéré. Lorsque le fichier .aux est lu par la commande -\begin{document}, l&textrsquo;étiquette de l&textrsquo;article est associée à -sa clef_de_cite, ce qui a pour effet que toute référence à -clef_de_cite avec une commande \cite (\cite) -produit l&textrsquo;étiquette associée. +La commande \thinlines est l&textrsquo;épaisseur de trait par défaut pour +les lignes horizontales et verticales dans un environnement picture ; +cf. \linethickness et \thicklines. -\cite\nocite\bibitemthebibliography -\cite - -\cite +\multiput\oval\thinlinespicture +\multiput +\multiput Synopsis : - - -
\cite[subcite]{clefs}
+
+
\multiput(x,y)(delta_x,delta_y){n}{obj}
 
-L&textrsquo;argument clefs est une liste d&textrsquo;une ou plus de clefs de -références bibliographiques (\bibitem), séparées par des -virgules. Cette commande génère une référence bibliographique au sein du -textes contenant les étiquettes associées aux clefs contenues dans -clefs par les entrées respectives au sein du fichier .aux. - -Le texte de l&textrsquo;argument optionnel subcite apparaît après -l&textrsquo;étiquette de référence. Par exemple, \cite[p.~314]{knuth} -pourrait produire [Knuth, p. 314]. +La commande \multiput copie l&textrsquo;objet obj en un motif +régulier à travers la figure. obj est placé en premier à la +position (x,y), puis à la position (x+\delta x,y+\delta +y), et ainsi de suite, n fois. -\nociteUsing BibTeX\citethebibliography -\nocite -\nocite +\oval\put\multiputpicture +\oval +\oval Synopsis : -
\nocite{clefs}
+
\oval(largeur,hauteur)[portion]
 
-La commande \nocite ne produit aucun texte, mais écrit -clefs, ce qui est une liste d&textrsquo;une ou plusieurs clefs de référence -bibliograhique dans le fichier .aux. +La commande \oval produit un rectangle aux coins arrondis. +L&textrsquo;argument optionnel portion vous permet de ne produire qu&textrsquo;une +moitié de l&textrsquo;ovale selon ce qui suit : + + +t +selectionne la moitié supérieure ; +b +selectionne la moitié inférieure ; +r +selectionne la moitié de droite ; +l +selectionne la moitié de gauche. +
+ +Il est également possible de ne produire qu&textrsquo;un quart de l&textrsquo;ovale en +réglant portion à tr, br, bl, ou tl. + +Les « coins » de l&textrsquo;ovale sont fabriqués avec des quarts de cercle d&textrsquo;un +rayon maximal de 20pt, ainsi les « ovales » de grande taille +ressembleront plus à des boîtes aux coins arrondis. -Using BibTeX\nocitethebibliography -Utilisation de Bib&tex; +\put\shortstack\ovalpicture +\put +\put -utilisation de Bib&tex; -bib&tex;, utilisation -bibliographie, créer (automatiquement) -\bibliographystyle -\bibliography +\put(xcoord,ycoord){ ... } + +La commande \put place l&textrsquo;article spécifié par l&textrsquo;argument +obligatoire aux coordonnées xcoord et ycoord fournies. + + +\shortstack\vector\putpicture +\shortstack +\shortstack -Si vous utilisez le programme Bib&tex; d&textrsquo;Oren Patashnik (ce qui est -fortement recommandé si vous avez besoin d&textrsquo;une bibliographie de plus -d&textrsquo;un ou deux titre) pour mainteninr votre bibliographie, vous n&textrsquo;utilisez -pas l&textrsquo;environnement thebibliography -(thebibliography). Au lieu de cela, vous incluez les lignes : +Synopsis : -
\bibliographystyle{stylebib}
-\bibliography{ficbib1,ficbib2}
+
\shortstack[position]{...\\...\\...}
 
-La commande \bibliographystyle ne produit aucune sortie en -elle-même. En revanche, elle définit le style dans lequel la -bibliographie est à produite : stylebib fait référence à un -fichier stylebib.bst définissant l&textrsquo;aspect que doivent avoir -vos référence bibliographique. Les nom stylebib standards -distribués avec Bib&tex; sont : +La commande \shortstack produit une pile d&textrsquo;objets. Les positions valides +sont : -alpha -Classé alphabetiquement. Les étiquettes sont formées à partir du nom de -l&textrsquo;auteur et de l&textrsquo;année de publication. -plain -Classé alphabetiquement. Les étiquettes sont des numéros. -unsrt -Comme plain, mais les entrées sont dans l&textrsquo;ordre où les références -y sont faites dans le texte. -abbrv -Comme plain, mais les étiquettes sont plus compactes. +r +Déplace les objets à la droite de la pile. +l +Déplace les objets à la gauche de la pile +c +Déplace les objets au centre de la pile (position par défaut)
-De plus, de nombreux autres styles Bib&tex; existent faits sur mesure pour -satisfaire les exigences de diverses publications. Voir -http://mirror.ctan.org/biblio/bibtex/contrib. - -La commande \bibliography est ce qui produit pour de bon la -bibliographie. L&textrsquo;argument de \bibliography fait référence aux -fichiers nommés ficbib1.bib, ficbib2.bib, -&dots;, qui sont censés contenir votre base de donnée au format -Bib&tex;. Seules les entrées désignées par les commandes \cite -ou \nocite sont listées dans la bibliographie. +\\ (pour les objets \shortstack) +Les objets sont séparés avec \\. -
-theoremtitlepagethebibliographyEnvironments -
theorem - -environnement theorem -theorem, environnement -théorèmes, composition des +\vector\shortstackpicture +\vector +\vector Synopsis : -
\begin{theorem}
-texte-théorème
-\end{theorem}
+
\vector(xpente,ypente){longueur}
 
-L&textrsquo;environnement theorem produit « Théorème n » en gras -suivi de texte-théorème, où les possibilité de numérotation pour -n sont décrites par \newtheorem (\newtheorem). +La commande \vector dessine une ligne fléchée de la +longueur et direction (xpente,ypente) +spécifiées. Les valeurs de xpente et ypente +doivent être comprises entre −4 and +4 y compris. +
-titlepageverbatimtheoremEnvironments -
titlepage +quotation & quotetabbingpictureEnvironments +
quotation et quote +environnement quotation +quotation, environnement + +citation +texte cité avec renfoncement des paragraphes, affichage +afficher du texte cité avec renfoncement de paragraphe +renfoncement des paragraphes dans du texte cité +environnement quote +quote, environnement -environnement titlepage -titlepage, environnement -fabriquer une page de titre -pages de titre, création +texte cité sans renfoncement des paragraphes, affichage +afficher un texte cité sans renfoncement de paragraphe +renfoncement des paragraphes dans un texte cité, omettre Synopsis : -
\begin{titlepage}
+
\begin{quotation}
 texte
-\end{titlepage}
+\end{quotation}
 
-L&textrsquo;environnement titlepage crée une page de titre, c&textrsquo;est à dire -une page sur laquelle ne sont inscrit aucun numéro de page ou libellé de -rubrique. Il entraîne aussi que la page suivante a le numéro un. Le -formatage de la page de titre vous est laissé. La commande \today -peut être utile sur les pages de titre (\today). +ou -Vous pouvez utiliser la commande \maketitle (\maketitle) -pour produire une page de titre standarde sans utiliser l&textrsquo;environnement -titlepage. + +
\begin{quote}
+texte
+\end{quote}
+
+ +Cite du texte. + +Dans les deux environnements, les marges sont renfoncées à la fois sur la +gauche et la droite. Le texte est justifié des deux côtés sur la marge. +De même que dans le texte principal, laisser une ligne à blanc au sein +du texte produit un nouveau paragraphe. + +Pour comparer les deux : dans l&textrsquo;environnement quotation, les +paragraphes sont renfoncés de 1,5em et l&textrsquo;espace entre les +paragraphes est petit, 0pt plus 1pt. Dans l&textrsquo;environnement +quote, les paragraphes ne sont pas renfoncés et il y a un espace +vertical entre les paragraphes (c&textrsquo;est la longueur élastique +\parsep). Ainsi, l&textrsquo;environnement quotation convient mieux +aux documents où les nouveaux paragraphes sont marqués par un +renfoncement plutôt que par une séparation verticale. De plus, +quote convient mieux pour des citations courtes ou une suite de +citations courtes. + +
\begin{quotation}
+\it Il y a quatre-vingt sept ans
+  ... ne disparaîtra jamais de la surface de la terre.
+\hspace{1em plus 1fill}---Abraham Lincoln
+\end{quotation}
+
-verbatimversetitlepageEnvironments -
verbatim +tabbingtablequotation & quoteEnvironments +
tabbing -environnement verbatim -verbatim, environnement -texte verbatim -simuler du texte tapuscrit -texte tapuscrit, simulation de -code source, composer du -source logiciel, composer du +environnement tabbing +tabbing, environnement + +taquets de tabulation, utiliser +aligner du texte en utilisant des taquets de tabulation +alignement au moyen de tabbing Synopsis : -
\begin{verbatim}
-literal-texte
-\end{verbatim}
+
\begin{tabbing}
+row1col1 \= row1col2 \= row1col3 \= row1col4 \\
+row2col1 \>                \> row2col3 \\
+...
+\end{tabbing}
 
-L&textrsquo;environnement verbatim est un environnement qui fabrique des -paragraphes dans lequel &latex; produit exactement ce qui vous y taez ; -par exemple le caractère \ produit \ à l&textrsquo;impression . Il, -fait de &latex; une machine à écrire, c.-à-d.&noeos; que le retour chariot -et les blancs y ont un tel effet. +L&textrsquo;environnement tabbing fournit une technique pour aligner du +texte en colonnes. Il fonctionne en réglant des taquets et en tabulant +jusqu&textrsquo;à eux à la façon dont on le faisait avec une machine à écrire +ordinaire. Il convient le mieux pour les cas où la largeur de chaque +colonne est constante et connue d&textrsquo;avance. -L&textrsquo;environnement verbatim utilise une police de type machine à -écrire à chasse fixe (\tt). +Cet environnement peut être rompu entre plusieurs pages, contrairement à +l&textrsquo;environnement tabular. - -\verb
La forme macro de l&textrsquo;environnement verbatim.
-
+ligne tabulée, tabbing +L&textrsquo;environnement tabbing contient une suite de lignes +tabulées, la première ligne tabulée commence immédiatement après +\begin{tabbing} et chaque ligne se termine par \\ ou +\kill. Il est possible de terminer la dernière ligne juste par +\end{tabbing}, ce qui est équivalent à +\\\end{tabbing}. + +motif courant de taquets de tabulation, tabbing +L&textrsquo;environnement tabbing a un motif courant de taquets de +tabulation qui est une séquence de n taquets, avec n > +0, ce qui crée n colonnes correspondantes. Immédiatement après +\begin{tabbing} on a n=1, c.-à-d.&noeos; le motif +courant de taquets contient une seul taquet, désigné comme le taquet +N°0, et dont la position est le début de ligne, c.-à-d.&noeos; que la +première colonne commence au début de la ligne. + +taquet courant, tabbing +L&textrsquo;un des taquets du motif courant ayant été réglé comme le taquet +courant, par défaut tout texte composé par la suite au sein de +l&textrsquo;envionnement tabbing est composé en drapeau droit avec le fer à +gauche sur ce taquet, c&textrsquo;est à dire qu&textrsquo;il est aligné à gauche dans la +colonne courante. La composition est faite en mode LR. + +taquet de début de ligne courant, tabbing +Par ailleurs l&textrsquo;environnement tabbing a un taquet de début de +ligne courant. Par défaut, immédiatement après \begin{tabbing} +c&textrsquo;est le taquet N°0, mais cela peut être changé avec les commandes +\+ et \-. Au début de chaque ligne tabulée, le taquet +courant est initalement égal au taquet de début de ligne courant. + +La marge de droite de l&textrsquo;environnement tabbing est la fin de +ligne, c.-à-d.&noeos; que la largeur de l&textrsquo;environnement est de longueur +\linewidth. Il n&textrsquo;y a pas par défaut de taquet correspondant à la +marge de droite, même s&textrsquo;il serait possible avec un peu de calcul d&textrsquo;en +définir un à cette position (voir exemples ci-après). + +En ce qui concerne la marge de gauche, ou autrement dit le taquet N°0, +contrairement à l&textrsquo;environnement tabular, il n&textrsquo;est pas nécessaire +de mettre un \noindent devant \begin{tabbing} pour +éviter un renfoncement : un environnement tabbing commence +toujours un nouveau paragraphe sans renfoncement. De plus il est inutile +d&textrsquo;étoiler une commande \hspace en début de ligne tabulée pour que +l&textrsquo;espace soit pris en compte. + +Les commandes suivantes peuvent être utilisées au sein d&textrsquo;un +environnement tabbing : + + +\\ (tabbing)\\ (tabbing) +Finit une ligne tabulée et la compose. Après cette commande une nouvelle +ligne tabulée commence, et donc le taquet courant redevient le taquet +courant de début de ligne. + +\= (tabbing)\= (tabbing) +Règle un taquet à la position courante. La nième commande +\= de la ligne tabulée courante définit le taquet N°n, ou +le redéfinit s&textrsquo;il avait été déjà défini dans une ligne tabulée +précédente. Lorsque le nombre de taquets dans le motif courant est +(n+1), c&textrsquo;est à dire qu&textrsquo;on a des taquets N°0 à N°n, +alors la (n+1)ième commande \= définit le taquet +N°n+1, ce qui porte le nombre de taquets à +n+2. La position des taquets peut être définie avec plus de +liberté que ce qui se passait avec un machine à écrire ordinaire. En +effet il est possible de définir à la même position deux taquets de +numéros N°n et N°m distincts, voire de faire en sorte que +les taquets N°n et N°m, avec n<m, soient +à des positions telles que le taquet N°m soit avant le taquet +N°n. + +\> (tabbing)\> (tabbing) +\> +Change le taquet courant au taquet suivant dans l&textrsquo;ordre logique, +c.-à-d.&noeos; si le taquet courant est le taquet N°n, alors, en +supposant qu&textrsquo;il y ait au moins n+2 taquets définis, on +passe au taquets N°n+1, sinon cette commande provoque une +erreur. + +\<\< +Change le taquet courant au taquet précédent dans l&textrsquo;ordre logique. Cette +commande ne peut être utilisée qu&textrsquo;au début d&textrsquo;une ligne tabulée, et que +lorsque le taquet de début de ligne courant est le taquet N°n avec +n>0. Le taquet courant devient alors le taquet +N°n-1. + +Il est en fait possible d&textrsquo;avoir m commandes \< consécutives +à condition que mn, le taquet courant devient +alors le taquet N°(n-m). Si par contre +m>n, alors la n+1 commande \< +provoque une erreur. + +Il est possible, même si c&textrsquo;est absurde, d&textrsquo;avoir ensuite des commandes +\> qui défont ce qu&textrsquo;on fait les commandes \<. Ainsi en +supposant qu&textrsquo;au début d&textrsquo;une ligne tabulée le taquet de début de ligne +courant soit le taquet N°2, faire commencer la ligne par \<\<\>\> +n&textrsquo;a aucun effet. Par contre, \<\<\<\>\>\> provoquera une erreur, +parce que la troisième commande \< est illicite. Dans les mêmes +conditions faire \<\>\<\> provoque également une erreur, car la +seconde commande \< n&textrsquo;est pas consécutive de la première, elle +n&textrsquo;est donc pas, au sens où on l&textrsquo;entend, utilisée en début de ligne. + +\+\+ +Change le taquet de début de ligne courant au taquet suivant dans +l&textrsquo;ordre logique pour la ligne tabulée suivante, et toutes celles qui +suivent tant qu&textrsquo;une autre commande ne vient pas le modifier. La notion +de taquet suivant dans l&textrsquo;ordre logique suit le même principe que pour la +commande \>, c&textrsquo;est à dire que s&textrsquo;il n&textrsquo;y a que n+1 +taquets défini, et que le taquet de début de ligne courant est le taquet +N°n, alors cette commande provoque une erreur. La commande +\+ peut être invoquée n&textrsquo;importe où dans la ligne tabulée, et on +peut avoir plusieurs commandes \+ au sein de la même ligne, du +moment que pour chacune d&textrsquo;elle un nombre suffisant de taquets est déjà +défini. Par exemple le code suivant provoque une erreur parce que bien +qu&textrsquo;à la fin de la première on ait trois taquets définis, au moment où la +commande \+ est invoquée le nombre de taquets définis ne vaut que +1, on ne peut donc pas passer du taquet N°0 au taquet N°1 : + +
\begin{tabbing}
+Vive \+\=la \=France\\
+Vive \>la\>République\\        
+\end{tabbing}
+
+En revanche le code suivant fonctionne, car lorsque la commande +\+ est passée on a trois taquets définis, les taquets N°0 à 2, on +peut donc passer du taquet N°0 au taquet N°1. + +
\begin{tabbing}
+Vive \=la \=France\+\\
+Vive \>la\>République\\        
+\end{tabbing}
+
+C&textrsquo;est pourquoi l&textrsquo;usage est que la ou les commandes \+ sont +toujours invoquées juste avant la fin de ligne \\ ou \kill. + +Il est possible, même si cela est absurde, d&textrsquo;avoir sur la même ligne à +la fois des commandes \+ et \- s&textrsquo;annulant l&textrsquo;une l&textrsquo;autre, +du moment qu&textrsquo;aucune d&textrsquo;elle ne fasse passer sur un taquet non défini. + +
\-\- +Change le taquet de début de ligne courant au taquet précédent dans +l&textrsquo;ordre logique pour la ligne tabulée suivante, et toutes celles qui +suivent tant qu&textrsquo;une autre commande ne vient pas le modifier. C&textrsquo;est à +dire que si le taquet de début de ligne courant est le taquet N°n, +et qu&textrsquo;on a m commandes \- avec mn, +alors le taquet de début de ligne courant de la ligne suivante devient +le taquet N°n-m. Par contre, si +m>n, alors la (n+1)ième commande +\+ provoque une erreur. + +\' (tabbing)\' (tabbing) +Déplace tout ce que vous avez tapé jusqu&textrsquo;alors dans la colonne courante, +c.-à-d.&noeos; tout ce qui suit la plus récente commande \>, +\<, \', \\, ou \kill, aligné à droite dans +la colonne précédente, le fer à droite étant espacé du taquet courant +d&textrsquo;une longueur \tabbingsep. Voir aussi \`. + +\` (tabbing)\` (tabbing) +Vous permet de placer du texte justifié à droite en face de n&textrsquo;importe +quel taquet, y compris le taquet 0. Les commandes \` et \' +alignent toutes deux le texte à droite, toutefois elles se distinguent +fortement par deux aspects : + + +Tout d&textrsquo;abord le texte qui est déplacé est, dans le cas de \`, le +texte qui suit la commande \` et qui va jusqu&textrsquo;à la fin de la +ligne tabulée, c.-à-d.&noeos; jusqu&textrsquo;à \\ ou \end{tabbing}. +Il ne doit y avoir aucune commande \> ou \' entre le +\` et la commande \\ ou \end{tabbing} qui termine +la ligne. Dans le cas de la commande \' au contraire, c&textrsquo;est le +texte qui précède la commande \'. + +Par ailleurs, avec \' l&textrsquo;alignement se fait sur un taquet et avec +un espacement relatif de \tabbingspace, alors qu&textrsquo;avec \` +l&textrsquo;alignement se fait sur la marge de droite et sans espacement relatif. + -\verbverbatim -\verb +\a (tabbing)\a (tabbing) +\a' (aigu, accent dans tabbing) +\a` (grave, accent dans tabbing) +\a= (macron, accent dans tabbing) +Dans un environnement tabbing, les commandes \=, \' +et \` ne produisent pas d&textrsquo;accents comme d&textrsquo;habitude +(Accents). À leur place, on utilise les commandes \a=, +\a' et \a`. + +\kill\kill +Règles les taquets sans produire de texte. Fonctionne tout comme +\\ à ceci près que la ligne courante est jetée au lieu de +produire une sortie. L&textrsquo;effet de toute commande \=, \+ ou +\- dans cette ligne demeure en vigueur. + +\poptabs\poptabs +\poptabs +Restaure les positions de taquets sauvegardés par le dernier +\pushtabs. + +\pushtabs\pushtabs +Sauvegarde dans une pile dédiée à cet effet le motif courant de taquets +de tabulation. C&textrsquo;est utile pour changer temporairement les positions de +taquets au milieu d&textrsquo;un environnement tabbing. Après un +\pushtabs, on a un nouveau motif vierge, c.-à-d.&noeos; ne contenant +qu&textrsquo;un seul taquet, le taquet N°0 à la position de début de ligne. Pour +toute commande \pushtabs il doit y avoir une commande +\poptabs avant la fin de l&textrsquo;environnement, c&textrsquo;est à dire que la +pile doit être explicitement vidée avant le end{tabbing}. + -\verb -texte verbatim, en-ligne +\tabbingsep\tabbingsep +Distance du texte déplacé par \' à la gauche du taquet courant. + +
-Synopsis : +Il est à noter que les espaces en début de ligne, où après \=, +\> ou \< sont gobés, qu&textrsquo;il s&textrsquo;agisse d&textrsquo;espaces produits par +la macro \space ou par le caractère espace. Par contre l&textrsquo;espace +produit par la le caractère de contrôle espace (\ , c.-à-d.&noeos; +une contr&textrsquo;oblique suivie d&textrsquo;un caractère espace) n&textrsquo;est pas gobé. + +Cet exemple compose un fonction en Pascal dans un format traditionnel : -
\verbcartexte-littéralcar
-\verb*cartexte-littéralcar
+
{\ttfamily        
+\begin{tabbing}
+function \= fact(n : integer) : integer;\+\\
+            begin \=\+\\
+                  if \= n $>$ 1 then\+\\
+                        fact := n * fact(n-1)\-\\
+                  else\+\\
+                        fact := 1;\-\-\\
+            end;\\
+\end{tabbing}}
 
-La commande \verb compose texte-littéral comme il est -entré, en incluant les caractères spéciaux et les espaces, en utilisant -la police tapuscrit (\tt). Aucun espaces n&textrsquo;est autorisé entre -\verb ou \verb* et le délimiteur car qui marque le -début et la fin du texte verbatim. Le délimiteur ne doit pas aparaître -dans le texte-littéral. - -espace visible -La forme étoilée (en *) diffère seulement en ce que les espaces -sont tapés avec un caractère « espace visible ». - - - +Le résultat ressemble à cela : + +
function fact(n : integer) : integer;
+         begin
+               if n > 1 then
+                  fact := n * fact(n-1);
+               else
+                  fact := 1;
+         end;
+
- -
-verseverbatimEnvironments -
verse -environnement verse -verse, environnement -poésie, un environnement pour la +paquetage algorithm2e +algorithm2e, paquetage -Synopsis : +paquetage listings +listings, paquetage + +Ceci n&textrsquo;était qu&textrsquo;un exemple illustrant tabbing, pour formatter du +code considérez plutôt les paquetages algorithm2e pour du +pseudo-code, et listings pour du vrai code. + +Voici un autre exemple où le taquet N°2 est entre le taquet N°0 et le +taquet N°1 : -
\begin{verse}
-line1 \\
-line2 \\
-...
-\end{verse}
+
{\ttfamily
+\begin{tabbing}
+  12\=34\=\kill
+  12345678\=9\\
+  1\>2\>3\\
+\end{tabbing}}
 
-L&textrsquo;environnement verse est conçu pour la poésie, bien que vous -pouvez lui trouver d&textrsquo;autres usages. - -\\ pour verse -Les marges sont renfoncées sur la gauche et la droite, les paragraphes ne -le sont pas, et le texte n&textrsquo;est pas justifié. Séparez le ligne de chaque -strophe avec \\, et utilisez une ou plusieurs lignes vides pour -séparer les strophes. - - -
- -Line breakingPage breakingEnvironmentsTop -Saut à la ligne -saut à la ligne -sauter à la ligne +Le résultat ressemble à cela : + +
123456789        
+1   3   2
+
-La première chose que &latex; fait lorsqu&textrsquo;il traite du texte ordinaire -est de traduire votre fichier d&textrsquo;entrée en une séquence de glyphes et -d&textrsquo;espaces. Pour produire un document imprimé, cette séquence doit être -rompue en lignes (et ces lignes doivent être rompues en pages). - -D&textrsquo;ordinaire &latex; effectue la rupture de ligne (et de page) pour -vous, mais dans certains environnements, vous faites la rupture -vous-même avec la commande \\, et vous pouvez toujours forcer -manuellement les ruptures. +Voici un exemple où les taquets N°0 et N°1 sont confondus, ainsi que les +taquets N°2 et N°3, ce qui permet de superposer le texte aux taquets +impairs sur celui au taquets pairs, par exemple pour souligner ou barrer +comme avec une machine à écrire, en superposant un caractère _ ou +un caractère . Evidemment ce n&textrsquo;est qu&textrsquo;une illustration de +la flexivilité des taquets, et non une méthode convenable pour souligner +ou barrer un mot, d&textrsquo;un part parce que tabbing en soi commençant +un nouveau paragraphe ne permet pas d&textrsquo;agir sur un seul mot, et d&textrsquo;autre +part, parce que le paquetage soul fait cela beaucoup mieux. +paquetage soul +soul, paquetage - -\\
Commencer une nouvelle ligne.
-
\obeycr & \restorecr
Faire que chaque ligne d&textrsquo;entrée commence une nouvelle ligne de sortie.
-
\newline
Sauter à la ligne
-
\- (césure)\- (hyphenation)
Insérer une césure explicite.
-
\discretionary
Insérer une crésure explicite en contrôlant le caractère d&textrsquo;union.
-
\fussy
Être pointilleux sur le passage à la ligne.
-
\sloppy
Être tolérant sur le passage à la ligne.
-
\hyphenation
Dire à &latex; comment gérer la césure d&textrsquo;un mot.
-
\linebreak & \nolinebreak
Forcer & éviter les saut à la ligne.
-
+ +
{\ttfamily
+\begin{tabbing}
+  \=souligne  \=\=\kill
+  soulign\a'e\>
+  \_{}\_{}\_{}\_{}\_{}\_{}\_{}\_{}\>
+  barr\a'e\>{--}{--}{--}{--}{--}{--}\\
+\end{tabbing}}
+
-\\\obeycr & \restorecrLine breaking -
\\ -\\ force un saut de ligne -nouvelle ligne, commencer une -saut de ligne, forcer +Finalement, voici un exemple où on a placé le taquet N°5 décalé d&textrsquo;une +longueur \tabbingsep à droite de la marge de droite. + + +
{\ttfamily
+\begin{tabbing}
+\hspace{1cm}\=\hspace{1cm}\=\hspace{1cm}\=\hspace{1cm}\=
+   \hspace{\dimexpr\linewidth-4cm+\tabbingsep}\=\kill
+1\>2\>X\'3\>4\>5\>\a`a gauche de de la marge de droite
+   avec \textbackslash'\'\\
+1\>2\>X\'3\>4\>5\`\a`a gauche de de la marge de droite
+   avec \textbackslash`\\
+\end{tabbing}}
+
-Synopsis : +Le résultat ressemble à cela : -
\\[espaceenplus]
+

+1    2  X 3    4    5            à gauche de la marge de droite avec \'
+1    2  X 3    4    5            à gauche de la marge de droite avec \`
 
+ -ou +
+tabletabulartabbingEnvironments +
table +environnement table +table, environnement + +tableaux, créer +créer des tableaux + +Synopsis : -
\\*[espaceenplus]
+
 \begin{table}[placement]
+  corps-du-tableau
+ \caption[titreldt]{titre}
+ \end{table}
 
-Commencer une nouvelle ligne. L&textrsquo;argument optionnel espaceenplus -spécifie l&textrsquo;espace supplémentaire vertical à insérer avant la ligne -suivante. Ceci peut être une longueur négative. Le texte avant le saut -est composé à sa longueur normale, c.-à-d.&noeos; qu&textrsquo;il n&textrsquo;est pas dilaté pour -remplir la largeur de la ligne. +Une classe de flottants (Floats). Parce qu&textrsquo;ils ne peuvent pas +être coupés à cheval sur plusieurs pages, il ne sont pas composés en +séquence avec le texte normale, mais à la place sont « flottés » vers un +endroit convenable, tel que le sommet d&textrsquo;une page suivante. -Les sauts de ligne explicites au sein du corps de texte sont inhabituels -en &latex;. en particulier, pour commencer un nouveau paragraphe -laissez plutôt une ligne à blanc. Cette commande est utilisée -principalement en dehors du flux principal de texte comme dans un -environnement tabular ou array. +Pour les valeurs possibles de placement et leur effet sur +l&textrsquo;algorithme de placement des flottants, voir Floats. -Dans des circonstances ordinaires (par ex.&noeos; en dehors d&textrsquo;une colonne -spécifiée par p{...} dans un environnement tabular) la -commande \newline est un synonyme de \\ -(\newline). +Le corps du tableau est composé dans une parbox de largueur +\textwidth and ainsi il peut contenir du texte, des commandes, +etc. -En plus de commencer une nouvelle ligne, la forme étoilée \\* dit -à &latex; de ne pas commencer une nouvelle page entre les deux lignes, -en émettant un \nobreak. +L&textrsquo;étiquette est optionnelle ; elle est utilisée pour les double renvois +(Cross references). +\caption +La commande \caption spécifie la légende texte pour la +figure. La légende est numérotée par défaut. Si titreldt est +présent, il est utilisé dans la liste des tableaux au lieu de titre +(Table of contents etc.). -
\title{Mon histoire~: \\[7mm]
-       un conte pathétique}
+
\begin{table}[b]
+  \centering
+  \begin{tabular}{r|p{2in}} \hline
+    Un &Le plus solitaire des nombres \\
+    Deux &Peut être aussi triste qu'un.
+         C'est le nombre le plus solitaire après le nombre un.
+  \end{tabular}
+  \caption{Vertus cardinales}
+  \label{tab:VertusCardinales}
+\end{table}
 
-\obeycr & \restorecr\newline\\Line breaking -
\obeycr & \restorecr -\obeycr -\restorecr -saut de ligne, sortie semblable à l&textrsquo;entrée pour le - -La commande \obeycr a pour effet qu&textrsquo;un retour chariot dans le -fichier d&textrsquo;entrée (^^M, internement) soit traité de la même façon -que \\ (suivi d&textrsquo;un \relax). Ainsi chaque passage à la -ligne dans l&textrsquo;entrée est aussi un passage à la ligne dans la sortie. - -\restorecr restaure le comportement normal vis à vis des saut de -ligne. - - -
-\newline\- (hyphenation)\obeycr & \restorecrLine breaking -
\newline +tabularthebibliographytableEnvironments +
tabular +environnement tabular +tabular, environnement -\newline -nouvelle ligne, commencer une (mode paragraphe) -saut de ligne +lignes dans des tableaux +aligner du texte dans des tableaux -Dans du texte ordinaire ceci est équivalent à une double-contr&textrsquo;oblique -(\\) ; cela rompt la ligne, sans dilatation du texte le -précéndent. +Synopsis : -Au sein d&textrsquo;un environnement tabular ou array, dans une -colonne avec un specificateur produisant une boîte paragraphe, comme -typiquement p{..}, \newline insère un saut de ligne au -sein de la colonne, c.-à-d.&noeos; insère un saut de ligne à l&textrsquo;intérieur de -la colonne, c.-à-d.&noeos; qu&textrsquo;il ne rompt pas la ligne entière. Pour rompre -la ligne entière utilisez \\ ou son équivalent -\tabularnewline. + +
\begin{tabular}[pos]{cols}
+column 1 entry & column 2 entry ... & column n entry \\
+...
+\end{tabular}
+
+ + +ou -L&textrsquo;exemple suivant écrit Nom~: et Adresse~: comme deux -ligne ain sein d&textrsquo;une seule cellule du tableau. + +
\begin{tabular*}{largeur}[pos]{cols}
+column 1 entry & column 2 entry ... & column n entry \\
+...
+\end{tabular*}
+
+ +Ces environnements produisent une boîte consistant d&textrsquo;une séquence de +ligne horizontales. Chaque ligne consiste en des articles qui sont +alignés verticalement au sein de colonnes. Ci-après une illustration de +beaucoup des caractéristiques. -
\begin{tabular}{p{2.5cm}{\hspace{5cm}}p{2.5cm}}
-  Nom~: \newline Adresse~: &Date~: \\ \hline
+
\begin{tabular}{l|l}
+  \textit{Nom du joueur}  &\textit{Coups de circuit de toute sa carrière}  \\
+  \hline
+  Hank Aaron  &755 \\
+  Babe Ruth   &714
 \end{tabular}
 
-La Date~: sera alignée sur la ligne de base de Nom~:. +Le format vertical de deux colonnes alignées à gauche, avec une barre +verticales entre elles, est spécifié par l&textrsquo;argument {l|l} de tabular. +& pour cellules de tableau +Les colonnes sont séparées avec une esperluette &. On crée un +filet horizontal entre deux lignes avec \hline. +\\ pour tabular +La fin de chaque ligne est marquée avec une +double-contr&textrsquo;oblique \\. Cette \\ est optionnelle après +la dernière ligne, à moins qu&textrsquo;une commande \hline suive, pour +mettre un filet sous le tableau. -
-\- (hyphenation)\discretionary\newlineLine breaking -
\- (césure à gré) -\- (césure) -césure, forcer -La commande \- commande dit à &latex; qu&textrsquo;il peut faire une -césure du mode à cet endroit. &latex; est très bon en ce qui concerne -les césures, et il trouve la plupart des points corrects de césure, tout -en n&textrsquo;en utilisant presque jamais un incorrect. La commande \- est -commande est utilisée pour les cas exceptionnels. +Les arguments obligatoires et optionnels de tabular consistent +en : -Quand vous insérez des commandes \- dans un mot, le mot ne pourra -avoir de césure qu&textrsquo;à ces endroit et non dans aucun des points de césure -que &latex; aurait pu choisir sinon. + +largeur +Obligatoire pour tabular*, non autorisé pour +tabular. Spécifie la largeur de l&textrsquo; environnement +tabular*. Il doit y avoir de l&textrsquo;espace élastique entre les +colonnes, comme avec with &arobase;{\extracolsep{\fill}}, de sorte à +permettre au tableau de se dilater ou contracter pour faire la largeur +spécifiée, sans quoi vous aurez probablement l&textrsquo;avertissement +Underfull \hbox (badness 10000) in alignment ... - -\discretionary\fussy\- (hyphenation)Line breaking -
\discretionary (point de césure généralisé) -crésure, discrétionnaire -discrétionnaire, césure - -Synopsis : +pos +Optionnel. Spécifie la position verticale du tableau. La valeur par +défaut est d&textrsquo;aligner le tableau de sorte à ce que son centre vertical +s&textrsquo;accorder à la ligne de base du texte autour. Il y a deux autres +alignements possible : t aligne le tableau de sorte que la +première ligne s&textrsquo;accorde à la ligne de base du texte autour, et +b fait la même chose pour la dernière ligne du tableau. - -
\discretionary{avant-saut}{après-saut}{sans-saut}
-
-La commande \discretionary permet de contrôler finement la césure -dans les cas où ne suffisent ni le contrôle standard de la césure fait -l&textrsquo;algorithme de césure de &tex; et les règles de césures données par les -paquetages de gestion linguistiques, ni les moyens de contrôle -explicites offerts par les commandes \hyphenation -(\hyphenation) et \- (\- (hyphenation)\- (césure -à gré)). +Ceci n&textrsquo;a un effet que si il y a du texte autour de la table. Dans le cas +usuel d&textrsquo;un tabular seul au sein d&textrsquo;un environnement center +cette option ne fait aucune différence. -\discretionary indique qu&textrsquo;un saut de ligne est possible à cet -endroit. Dans le cas d&textrsquo;un saut de ligne, le texte avant-saut est -placé immédiatement avant le saut, et le texte après-saut -immédiatement après. Dans le cas sans saut de ligne le texte -sans-saut est imprimé. +
cols +Obligatoire. Spécifie le formatage des colonnes. Il consiste en une +séquence des spécificateurs suivants, correspondant à la séquence des +colonnes et du matériel intercolonne. -Les arguments de \discretionary ne peuvent contrenir que des -caractères, des boîtes ou des crénages. +
+l +Une colonne d&textrsquo;articles alignés à gauche. -L&textrsquo;usage typique de \discretionary est par exemple de contrôler la -césure au sein d&textrsquo;une formule mathématique en mode ligne (voir aussi -Math miscellanyMiscellanées mathématique (entrée \*)). Ci-dessous -un exemple de contrôle de la césure au sein d&textrsquo;une adresse réticulaire, -où l&textrsquo;on autorise la césure sur les obliques mais en utilisant une -contr&textrsquo;oblique violette en lieu de trait d&textrsquo;union : +r +Une colonne d&textrsquo;article alignés à droite. - -
\documentclass{article}
-\usepackage[T1]{fontenc}
-\usepackage[utf8]{inputenc}
-\usepackage{xcolor}
-\usepackage{hyperref}
-\usepackage{french}
-\newcommand*\DiscrSlash{\discretionary{\mbox{\textcolor
- {purple}{\textbackslash}}}{/}{/}}
-\begin{document}
-Allez donc à \href{http://une/tr\%c3\%A8s/tr\%c3\%A8s/longue%
-  /mais/vraiment/tr\%c3\%A8s/longue/adresse/r\%C3\%A9ticulaire%
-  /index.html}{http://une\DiscrSlash très\DiscrSlash très\DiscrSlash
-  longue\DiscrSlash mais\DiscrSlash vraiment\DiscrSlash
-  très\DiscrSlash longue\DiscrSlash adresse\DiscrSlash
-  réticulaire\DiscrSlash index.html}
-\end{document}
-
- - - - - -\fussy\sloppy\discretionaryLine breaking -
\fussy -\fussy - -La déclaration \fussy (ce qui est le réglage par défaut) a pour -effet que &tex; fait le difficile à propos des saut de ligne. Ceci -évite d&textrsquo;ordinaire trop d&textrsquo;espace entre les mots, au prix -d&textrsquo;occasionnellement une boîte trop pleine (overfull \hbox). +c +Une colonne d&textrsquo;article centrés. -Cette commande annule l&textrsquo;effet d&textrsquo;une commande \sloppy précédente -(\sloppy). +| +Une ligne verticale s&textrsquo;étendant complètement sur la hauteur et profondeur +de l&textrsquo;environnement. - -
-\sloppy\hyphenation\fussyLine breaking -
\sloppy - -La déclaration \sloppy a pour effet que &tex; fasse moins le -difficile à propos des sauts de ligne. Ceci evite les boîtes trop pleines, -au prix d&textrsquo;un espacement lâche entre les mots. +&arobase;{texte ou espace} +Ceci insère texte ou espace à cette position dans chaque ligne. Le +matériel texte ou espace est composé en mode LR. Ce texte est +fragile (\protect). -L&textrsquo;effet dure jusqu&textrsquo;à la prochaine commande \fussy (\fussy). +Ce spécificateur est optionnel : à moins que vous mettiez dans votre +propre &arobase;-expression alors les classes book, article et +report de &latex; mettent de chaque côté de chaque colonne un +espace de longueur \tabcolsep, qui par défaut vaut +6pt. C&textrsquo;est à dire que par défaut des colonnes adjacentes sont +séparées de 12pt (ainsi \tabcolsep est un nom trompeur +puisque ce n&textrsquo;est pas la séparation entre des colonnes de +tableau). Aussi, par défaut un espace de 6pt vient après la +première colonne ainsi qu&textrsquo;après la dernière colonne, à moins que vous +placiez un &arobase;{...} ou | à cet endroit. - -
-\hyphenation\linebreak & \nolinebreak\sloppyLine breaking -
\hyphenation -\hyphenation -césure, définir - -Synopsis : +Si vous l&textrsquo;emportez sur la valeur par défaut et utilisez une expression +en &arobase;{...} alors vous devez insérer tout espace désiré +vous-même, comme dans &arobase;{\hspace{1em}}. + +Une expression vide &arobase;{} élimine l&textrsquo;espace, y compris l&textrsquo;espace +au début ou à la fin, comme dans l&textrsquo;exemple ci-dessous où on veut que les +lignes du tableau soient alignées sur la marge de gauche. -
\hyphenation{mot-un mot-deux}
+
\begin{flushleft}
+  \begin{tabular}{&arobase;{}l}
+    ..
+  \end{tabular}
+\end{flushleft}
 
-La commande \hyphenation déclare les points de césure autorisé -avec un caratère - au sein des mots donnés. Les mots sont séparés -par des espaces. &tex; ne fera de césure que si le mot correspond -exactement, aucune désinence n&textrsquo;est essayée. Des commandes -\hyphenation mutliple s&textrsquo;accumulent. Voici quelques exemples en -anglais (les motifs de césure par défaut de &tex; manquent les césures -de ces mots) : +Cet exemple montre du texte, une virgule de séparation décimale, entre +les colonnes, arangé de sorte que les nombres dans la table sont alignés +sur cette virgule. -
\hyphenation{ap-pen-dix col-umns data-base data-bases}
+
\begin{tabular}{r&arobase;{$,$}l}
+  $3$ &$14$  \\
+  $9$ &$80665$
+\end{tabular}
 
-
-\linebreak & \nolinebreak\hyphenationLine breaking -
\linebreak & \nolinebreak -\linebreak -\nolinebreak -sauts de ligne, forcer -sauts de ligne, empêcher - -Synopsis : +\extracolsep +Une commande \extracolsep{lrg} au sein d&textrsquo;une expression +en &arobase;{&dots;} a pour effet qu&textrsquo;une espace supplémentaire de +largeur lrg apparaît sur la gauche de toutes les colonnes +suivantes, jusqu&textrsquo;à contre-ordre d&textrsquo;une autre commande +\extracolsep. Contrairement aux à espace inter-colonnes +ordinaires, cette espace supplémentaire n&textrsquo;est pas supprimé par une +expression en &arobase;{&dots;}. Une commande \extracolsep +peut uniquement être utilisée au sein d&textrsquo;une expression en +&arobase;{&dots;} elle-même au sein de l&textrsquo;argument cols. -
\linebreak[priorité]
-\nolinebreak[priorité]
+
\begin{center}
+  \begin{tabular*}{10cm}{l&arobase;{\ \ldots\extracolsep{\fill}}l}
+    Tomber sept fois, se relever huit
+    &c'est comme ça la vie !
+  \end{tabular*}
+\end{center}
 
-Par défaut, la commande \linebreak (\nolinebreak) force -(empêche) un saut de ligne à la position courante. Pour -\linebreak, les espaces de la ligne sont dilatés jusqu&textrsquo;à ce -qu&textrsquo;elle s&textrsquo;étende jusqu&textrsquo;à la marge de droite, comme d&textrsquo;habitude. - -Avec l&textrsquo;argument optionnel priorité, vous pouvez convertir la -commande d&textrsquo;une simple demande à une requête. La priorité doit être -un nombre compris entre 0 et 4. Plus ce nombre est grand, et plus la -requête est insistante. +Pour insérer des commandes qui sont automatiquement exécutées avant une +colonne donnée, charger le paquetage array et utilisez le +spécificateur >{...}. + -
- -Page breakingFootnotesLine breakingTop -Saut de page -saut de page -pages, saut - -&latex; commence de nouvelles pages de façon asynchrone, lorsque -suffisamment de matériel a été accumulé pour remplir une -page. D&textrsquo;ordinaire ceci se produit automatiquement, mais parfois on peut -désirer influencer les sauts. +
p{lrg} +Chaque cellule de la colonne est composée au sein d&textrsquo;une parbox de +largeur lrg. - -\cleardoublepage
Commence une nouvelle page de droite.
-
\clearpage
Commence une nouvelle page.
-
\newpage
Commence une nouvelle page.
-
\enlargethispage
Agrandit d&textrsquo;un peu la page courante.
-
\pagebreak & \nopagebreak
Forcer & éviter les sauts de page.
-
- - -\cleardoublepage\clearpagePage breaking -
\cleardoublepage +Note que les sauts de ligne de type double-contr&textrsquo;oblique \\ ne +sont pas permis au sein d&textrsquo;une telle cellule, sauf à l&textrsquo;intérieur d&textrsquo;un +environnement comme minipage, array, ou tabular, +ou à l&textrsquo;intérieur d&textrsquo;une \parbox explicite, ou dans la portée d&textrsquo;une +déclaration \centering, \raggedright, ou +\raggedleft (quand elles sont utilisées au sein d&textrsquo;une cellule de +colonne en p ces déclarations doivent apparaître entre accolades, +comme dans {\centering .. \\ ..}. Sans quoi &latex; prendra la +double contr&textrsquo;oblique comme une fin de ligne. + +*{num}{cols} +Équivalent à num copies de cols, où num est un entier +positif et cols est toute liste de spécificateurs. Ainsi +\begin{tabular}{|*{3}{l|r}|} équivaut à +\begin{tabular}{|l|rl|rl|r|}. Notez que cols peut +contenir une autre expression en *{&dots;}{&dots;}. + +
+ -\cleardoublepage -commencer une page de droite +Paramètres qui contrôlent le formatage : + + + +\arrayrulewidth\arrayrulewidth +Une longueur qui est l&textrsquo;épaisseur du filet créé par |, +\hline, et \vline au sein des environnements +tabular et array. La valeur par défaut est .4pt. On +peut la changer comme dans +\setlength{\arrayrulewidth}{0.8pt}. + +\arraystretch\arraystretch +Un facteur par lequel l&textrsquo;espacement entre les lignes au sein des +environnements tabular et array est multiplié. La valeur +par défaut est 1 pour aucune dilatation/contraction. On peut la +changer comme dans \renewcommand{\arraystretch}{1.2}. + +\doublerulesep\doublerulesep +Une longueur qui est la distance ente les filets verticaux produit par +le spécificateur ||. + + +La valeur par défaut est 2pt. + +\tabcolsep\tabcolsep +Une longueur qui est la moitié de l&textrsquo;espace entre les colonnes. La valeur +par défaut est 6pt. On peut la changer avec \setlength + + -La commande \cleardoublepage finit la page courante et fait que -&latex; imprime tous les flottants, tableaux et figures, qui sont -apparus en entrée jusqu&textrsquo;à ce point et sont en attente. Dans le cas d&textrsquo;une -impression en style twoside, elle fait aussi que la nouvelle page -et une page de droite (numérotée impaire), en produisant si nécessaire -une page à blanc. +Les commandes suivantes peuvent être utilisées à l&textrsquo;intérieur du corps d&textrsquo;un +environnement tabular : + +\multicolumn
Faire qu&textrsquo;un article s&textrsquo;étende sur plusieurs colonnes.
+
\cline
Dessiner une ligne horizontale s&textrsquo;étendant sur quelques colonnes.
+
\hline
Dessiner une ligne horizontale s&textrsquo;étendant sur toutes les colonnes.
+
\vline
Dessiner une ligne verticale.
+
+
+
-
-\clearpage\newpage\cleardoublepagePage breaking -
\clearpage -\clearpage -débourrer les flottant et commencer une page -commencer une nouvelles page et débourrer les flottant -La commande \clearpage finit la page actuelle et fait que -&latex; imprime tous les flottants, tableaux et figures, qui sont -apparus en entrée jusqu&textrsquo;à ce point et sont en attente. - +\multicolumn\clinetabular +\multicolumn +\multicolumn -
-\newpage\enlargethispage\clearpagePage breaking -
\newpage -\newpage -nouvelle page, commencer -commencer une nouvelle page +Synopsis : + +
\multicolumn{nbrecols}{patron}{texte}
+
-La commande \newpage finit la page courante, mais ne débourre pas -tous les flottants (\clearpage). +Fabrique une entrée de array ou tabular fusionnée sur +plusieurs colonnes. Le premier argument, nbrecols spécifie le +nombre de colonnes sur lesquelles s&textrsquo;étend la fusion. Le second argument, +patron, est obligatoire et spécifie le format de l&textrsquo;entrée ; +notamment c pour centré, l pour aligné à gauche, r +pour aligné à droite. Le troisième argument, texte spécifie le +texte à mettre dans l&textrsquo;entrée. + +Dans l&textrsquo;exemple suivant les trois première colonnes sont fusionnées en le +titre unique Nom. + +
\begin{tabular}{lccl}
+  \textit{ID}     &\multicolumn{2}{c}{\textit{Nom}} &\textit{Âge}\\ \hline % ligne 1
+  978-0-393-03701-2 &O'Brian &Patrick                         &55            \\ % ligne two
+    ...
+\end{tabular}
+
-
-\enlargethispage\pagebreak & \nopagebreak\newpagePage breaking -
\enlargethispage -\enlargethispage -agrandir la page courante +On compte comme colonne chaque partie du patron patron de +l&textrsquo;environnement array ou tabular qui, à l&textrsquo;exception de la +première, commence par l, c, r, ou p. Ainsi +à partir de \begin{tabular}{|r|ccp{4cm}|} les partie sont +|r|, c, c, et p{1.5in}|. + +L&textrsquo;argument patron l&textrsquo;emporte sur la spécification par défaut de +zone inter-colonne de l&textrsquo;environnement array ou tabular +contigüe à cette entrée multi-colonne. Pour affecter cette zone, cet +argument peut contenir des barre verticale | indiquant le +placement de filets verticaux, et d&textrsquo;expression &arobase;{...}. Ainsi +si patron est |c| alors l&textrsquo;entrée multi-colonne est centrée +et un filet vertical la précède et la suit dans les espaces intercolonne +de part et d&textrsquo;autre. Ce tableau nous permet de décrire en détail le +comportement exact. + + +
\begin{tabular}{|cc|c|c|}
+  \multicolumn{1}{r}{w}       % entrée un
+    &\multicolumn{1}{|r|}{x}  % entrée deux
+    &\multicolumn{1}{|r}{y}   % entrée trois
+    &z                        % entrée quatre
+\end{tabular}
+
-\enlargethispage{size} +Avant la première entrée il n&textrsquo;y a pas de filet verticale en sortie parce +que le \multicolumn a le spécificateur r dans patron +sans barre verticales initiale. Entre les entrée un et deux il y a un +filet vertical ; en effet bien que le premier patron ne se termine +pas par une barre verticale, le second patron en a une à son +commencement. Entre la deuxième et la troisième entré il y a un seul +filet vertical ; bien que le patron dans les deux +multicolumn correspondant demandent un filet vertical, vous n&textrsquo;en +obtenez qu&textrsquo;un seul. Entre les entrée trois et quatre il n&textrsquo;y a aucun +filet vertical ; la spécification par défaut en demande un mais le +patron dans le \multicolumn de la troisième entrée n&textrsquo;en +demande pas, et cela l&textrsquo;emporte. Finalement, à la suite de la quatrième +entrée il y a un filet vertical à cause de la spécification par défaut. -\enlargethispage*{size} +Le nombre de colonnes fusionnées nbrecols peut être 1. En plus de +donner la possibilité de changer l&textrsquo;alignement horizontal, ceci est aussi +utile pour l&textrsquo;emporter pour l&textrsquo;une des ligne sur la définition +tabular par défaut de la zone inter-colonne, y compris concernant le +placement des filets verticaux. -Agrandit la \textheight de la page courante de la quantité -spécifiée ; par exemple \enlargethispage{\baselineskip} permet -d&textrsquo;avoir une ligne de plus. +Dans l&textrsquo;exemple ci-dessous, dans la définition tabular de la +première colonne on spécifie par défaut de justfier, mais au sein de la +première ligne l&textrsquo;entrée est centrée avec +\multicolumn{1}{c}{\textsc{Période}}. De même au sein de +la première ligne, les deuxième et troisième colonnes sont fusionnées +entre elle avec \multicolumn{2}{c}{\textsc{Intervalle}}, +l&textrsquo;emportant sur la spécification pour centrer ces deux colonnes sur le +trait d&textrsquo;union au sein de la plage de dates. -La forme étoilée essaie de comprimer le matériel sur la page autant que -possible. Ceci est normalement utilisé en même temps qu&textrsquo;un -\pagebreak explicite. + +
\begin{tabular}{l|r&arobase;{-}l}
+  \multicolumn{1}{c}{\textsc{Période}}
+    &multicolumn{2}{c}{\textsc{Dates}} \\ \hline
+  Baroque          &1600           &1760         \\
+  Classique        &1730           &1820         \\
+  Romantique       &1780           &1910         \\
+  Impressioniste   &1875           &1925
+\end{tabular}
+
+ +Noter ue bien que la spécification tabular par défaut place un +filet vertical etre la première et la deuxième colonne, du fait qu&textrsquo;il +n&textrsquo;y pas pas de barre verticale dans aucun des patrons patron des +commandes \multicolumn des deux premières colonne, alors aucun +filet n&textrsquo;apparaît sur la première ligne. -
-\pagebreak & \nopagebreak\enlargethispagePage breaking -
\pagebreak & \nopagebreak -\pagebreak -\nopagebreak -saut de page, forcer -saut de page, empécher + +\cline\hline\multicolumntabular +\cline +\cline Synopsis : -
\pagebreak[priorité]
-\nopagebreak[priorité]
+
\cline{i-j}
 
-Par défaut, la commande \pagebreak (\nopagebreak) force -(empèche) un saut de page à la position courante. Avec -\pagebreak, l&textrsquo;espace verticale sur la page est dilatée où c&textrsquo;est -possible de sorte à s&textrsquo;étendre jusqu&textrsquo;à la marge inférieure normale. +La commande \cline dessine des lignes horizontales à travers les +colonnes spécifiées en arguments obligatoires, en commençant dans la +i et finissant dans la colonne j. -Avec l&textrsquo;argument optionnel priorité, vous pouvez convertique la -commande \pagebreak d&textrsquo;une demande à une exigence. Le nombre doit -être compris entre 0 et 4. Plus grand est le nombre, et plus insistant -est l&textrsquo;exigence. + +\hline\vline\clinetabular +\hline +\hline + +La commande \hline dessine une ligne horizontale de la largeur de +l&textrsquo;environnement tabular ou array surjacent. Elle est la +plupart du temps utilisé pour dessiner une ligne au sommet, bas, et +entre les lignes d&textrsquo;un tableau. -
- -FootnotesDefinitionsPage breakingTop -Note en bas de page -note en bas de page, créer -bas de page, créer des notes + +\vline\hlinetabular +\vline +\vline -Mettez une note en bas de la page courante avec la commande -\footnote comme ci-dessous. +La commande \vline dessine une ligne verticale s&textrsquo;étendant sur la +totalité de la hauteur et de la profondeur de sa ligne. Une commande +\hfill peut être utilisée pour déplacer cette ligne verticale +vers le bord de la colonne. La commande \vline peut aussi être +utilisée dans une expression &arobase;{&dots;}. - -
Noël Coward a dit plaisamment que lire une note en bas de page, c'est
-comme devoir descendre répondre à la porte d'entrée alors qu'on est en
-train de faire l'amour\footnote{Je ne peux pas le savoir ; je ne lis
-jamais les notes en bas de page}
-
+ + + -Vous pouvez placer beaucoup de notes en bas de page dans une page. Si le -texte devient trop long alors il est continué sur la page suivante. - -Vous pouvez aussi produire des notes en bas de page en combinant les -commandes \footnotemark et \footnotetext, ce qui est -utiles dans des circonstances speciales. - - -\footnote
Insérer une note en bas de page.
-
\footnotemark
Insérer la marque seulement d&textrsquo;une note en bas de page.
-
\footnotetext
Insérer le texte seulement d&textrsquo;une note en bas de page.
-
Notes dans un tableauFootnotes in a table
Notes de tableau.
-
Notes en bas de page dans les titres de rubriquesFootnotes in section headings
Titre de chapitre ou de rubrique.
-
Paramètres des notes en bas de pageFootnote parameters
Les paramètre pour formatter les notes en bas de page.
-
+
+
+thebibliographytheoremtabularEnvironments +
thebibliography -\footnote\footnotemarkFootnotes -
\footnote +environnement thebibliography +thebibliography, environnement -\footnote +bibliography, creating (manually) Synopsis : -
\footnote[numéro]{texte}
+
\begin{thebibliography}{étiquette-la-plus-large}
+\bibitem[étiquette]{clef_de_cite}
+...
+\end{thebibliography}
 
-Place en bas de la page courante une note texte numérotée. +L&textrsquo;environnement thebibliography produit une bibliographie ou une +liste de références. - -
Il y a plus d'un milier de notes en bas de page dans \textit{Histoire
-Du Déclin Et De La Chute De L'empire Romain}\footnote{Après la lecture
-d'une version préléminaire, David Hume s'est plaint, « On souffre d'un
-fléau avec ces notes, selon la méthode acutelle d'imprimer le livre » et
-il suggera qu'elles « ne soient seulement imprimée dans la marge ou en
-bas de page »} d'Édouard Gibbon.
-
+Dans la classe article, cette liste de références est intitulée +Références et ce titre est stocké dans la macro \refname ; +dans la classe report, elle est intitulée Bibliographie et +ce titre est stocké dans la macro \bibname. + +Vous pouvez changer le titre en redéfinissant celle des commandes +\refname ou \bibname qui est applicable selon la classe : + + + +\bibname +Pour les classes standardes dont le niveau le plus élevé de rubricage +est \chapter le titre est dans la macro \bibname, par +exemple les classes book et report tombent dans cette +catégorie. + +\refname +Pour les classes standardes dont le niveau le plus élevé de rubricage +est \section le titre est dans la macro \refname, par +exemple la classe article tombe dans cette catégorie. + -L&textrsquo;argument optionnel numéro vous perme de spécifier le numéro de -la note. Le compteur footnote donnant le numéro de la note n&textrsquo;est -pas incrémenté si vous utilisez cette option, mais l&textrsquo;est dans le cas -contraire. +paquetage babel +babel, paquetage + +Typiquement il n&textrsquo;est ni nécessaire ni désirable de redéfinir directement +\refname ou \bibname ; les paquetages linguistiques comme +babel s&textrsquo;en chargent. -note en bas de page, symboles au lieu de numéros -\fnsymbol, et note en bas de page -\&arobase;fnsymbol -Changez l&textrsquo;aspect que &latex; donne au compteur de note en bas de page -avec quelque chose du genre de -\renewcommand{\thefootnote}{\fnsymbol{footnote}}, ce qui -utilise une séquence de symboles (\alph \Alph \arabic \roman -\Roman \fnsymbol). Pour rendre ce changement global mettez cela dans -le préambule. Si vous faite ce changement local alors vous désirerez -sans doute réinitialiser le compte avec -\setcounter{footnote}{0}. Par défaut &latex; utilise des -nombres arabes. +L&textrsquo;argument obligatoire étiquette-la-plus-large est un texte qui, +lorsqu&textrsquo;il est composé, est aussi large que la plus large des étiquettes +d&textrsquo;article produit pas les commandes \bibitem. C&textrsquo;est typiquement +donné comme 9 pour des bibliographies de moins de 10 références, +99 pour celles qui en on moins de 100, etc. + +\bibitem
Spécifier un article de bibliographie.
+
\cite
Faire référence à un article de bibliographie.
+
\nocite
Inclure un article dans la bibliographie.
+
Utilisation de BibTexUsing BibTeX
Génération automatique de bibliographies.
+
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - -Le comportement par défaut de &latex; met beaucoup de restrictions sur -l&textrsquo;endroit où l&textrsquo;on peut utiliser une \footnote ; par exemple, vous -ne pouvez pas l&textrsquo;utiliser dans l&textrsquo;argument d&textrsquo;une commande de rubricage -telle que \chapter (elle ne peut être utilisée seulement en mode -paragraphe le plus externe). Il y a des contournements ; voir les -rubriques suivantes. - +\bibitem\citethebibliography +\bibitem + +\bibitem + +Synopsis : + +
\bibitem[étiquette]{clef_de_cite}
+
+ +La commande \bibitem génère une entrée étiquetée par +étiquette. Si l&textrsquo;argument étiquette est omis, un numéro est +automatiquement généré en utilisant le compteur enumi. L&textrsquo;argument +clef_de_cite est une +clef de référence bibiliographique +référence bibiliographique, clef +clef de référence bibiliographique consistant +en une séquence quelconque de lettres, chiffres, et signes de +ponctuation ne contenant aucune virgule. -Notes en bas de page, au sein d&textrsquo;une minipage -mpfootnote, compteur -Au sein d&textrsquo;un environnement minipage la commande \footnote -utilise le compteur mpfootnote au lieu de footnote, de -sorte que les notes sont numérotéee indépendemment. Elles apparaissent -au bas de l&textrsquo;environnement, et non au bas de la page. Et par défaut -elles apparaissent alphabétiquement. minipage. +Cette commande écrit une entrée dans le fichier .aux, et cette +entrée contient les étiquette et clef_de_cite de l&textrsquo;article +considéré. Lorsque le fichier .aux est lu par la commande +\begin{document}, l&textrsquo;étiquette de l&textrsquo;article est associée à +sa clef_de_cite, ce qui a pour effet que toute référence à +clef_de_cite avec une commande \cite (\cite) +produit l&textrsquo;étiquette associée. -
-\footnotemark\footnotetext\footnoteFootnotes -
\footnotemark + +\cite\nocite\bibitemthebibliography +\cite -\footnotemark +\cite Synopsis : -
\footnotemark
+
\cite[subcite]{clefs}
 
-Sans l&textrsquo;argument optionnel, la commande \footnotemark place dans -le texte le numéro de la note courante. Cette commande peut être -utilisée en mode paragraphe interne. Vous pouvez donner le texte de la -note séparéement la commande \footnotetext. +L&textrsquo;argument clefs est une liste d&textrsquo;une ou plus de clefs de +références bibliographiques (\bibitem), séparées par des +virgules. Cette commande génère une référence bibliographique au sein du +textes contenant les étiquettes associées aux clefs contenues dans +clefs par les entrées respectives au sein du fichier .aux. -Cette commande pour produire plusieurs marque de note en bas de page -faisant référence à la même note avec +Le texte de l&textrsquo;argument optionnel subcite apparaît après +l&textrsquo;étiquette de référence. Par exemple, \cite[p.~314]{knuth} +pourrait produire [Knuth, p. 314]. + + + +\nociteUsing BibTeX\citethebibliography +\nocite +\nocite + +Synopsis : -
\footnotemark[\value{footnote}]
+
\nocite{clefs}
 
- -après la première commande \footnote. +La commande \nocite ne produit aucun texte, mais écrit +clefs, ce qui est une liste d&textrsquo;une ou plusieurs clefs de référence +bibliograhique dans le fichier .aux. -
-\footnotetextFootnotes in a table\footnotemarkFootnotes -
\footnotetext -\footnotetext + +Using BibTeX\nocitethebibliography +Utilisation de Bib&tex; -Synopsis, l&textrsquo;un des deux : +utilisation de Bib&tex; +bib&tex;, utilisation +bibliographie, créer (automatiquement) +\bibliographystyle +\bibliography + +Si vous utilisez le programme Bib&tex; d&textrsquo;Oren Patashnik (ce qui est +fortement recommandé si vous avez besoin d&textrsquo;une bibliographie de plus +d&textrsquo;un ou deux titre) pour mainteninr votre bibliographie, vous n&textrsquo;utilisez +pas l&textrsquo;environnement thebibliography +(thebibliography). Au lieu de cela, vous incluez les lignes : -
\footnotetext{texte}
-\footnotetext[numéro]{texte}
+
\bibliographystyle{stylebib}
+\bibliography{ficbib1,ficbib2}
 
-Place texte au bas de la page comme une note en bas de page. Cette -This commande peut appraître n&textrsquo;importe où après la commande -\footnotemark. L&textrsquo;argument optionnel numéro change le numéro -de note affiché. La commande \footnotetext ne doit être utilisée -qu&textrsquo;en mode paragraphe externe. +La commande \bibliographystyle ne produit aucune sortie en +elle-même. En revanche, elle définit le style dans lequel la +bibliographie est à produite : stylebib fait référence à un +fichier stylebib.bst définissant l&textrsquo;aspect que doivent avoir +vos référence bibliographique. Les nom stylebib standards +distribués avec Bib&tex; sont : + + +alpha +Classé alphabetiquement. Les étiquettes sont formées à partir du nom de +l&textrsquo;auteur et de l&textrsquo;année de publication. +plain +Classé alphabetiquement. Les étiquettes sont des numéros. +unsrt +Comme plain, mais les entrées sont dans l&textrsquo;ordre où les références +y sont faites dans le texte. +abbrv +Comme plain, mais les étiquettes sont plus compactes. +
+ +De plus, de nombreux autres styles Bib&tex; existent faits sur mesure pour +satisfaire les exigences de diverses publications. Voir +http://mirror.ctan.org/biblio/bibtex/contrib. + +La commande \bibliography est ce qui produit pour de bon la +bibliographie. L&textrsquo;argument de \bibliography fait référence aux +fichiers nommés ficbib1.bib, ficbib2.bib, +&dots;, qui sont censés contenir votre base de donnée au format +Bib&tex;. Seules les entrées désignées par les commandes \cite +ou \nocite sont listées dans la bibliographie. +
-Footnotes in a tableFootnotes in section headings\footnotetextFootnotes -
Notes en bas de page dans un tableau +theoremtitlepagethebibliographyEnvironments +
theorem -Notes en bas de page, dans un tableau +environnement theorem +theorem, environnement -Au sein d&textrsquo;un environnement table la commande \footnote ne -fonctionne pas. Par exemple, si le code ci-dessous apparaît sans plus -alors la note disapaît tout simplement ; il y aura une marque de note -dans la cellule du tableau mais rien n&textrsquo;est composé en bas de la page. +théorèmes, composition des + +Synopsis : -
\begin{center}
-     \begin{tabular}{l|l}
-     \textsc{Ship}  &\textsc{Book} \\ \hline
-     \textit{HMS Sophie}     &Master and Commander  \\
-     \textit{HMS Polychrest} &Post Captain  \\
-     \textit{HMS Lively}     &Post Captain \\
-     \textit{HMS Surprise}   &A number of books\footnote{Starting with
-                                HMS Surprise.}
-     \end{tabular}
-\end{center}
+
\begin{theorem}
+texte-théorème
+\end{theorem}
 
-La solution est d&textrsquo;entourer l&textrsquo;environnement the tabular d&textrsquo;un environnement -minipage, comme ci-après (minipage). +L&textrsquo;environnement theorem produit « Théorème n » en gras +suivi de texte-théorème, où les possibilité de numérotation pour +n sont décrites par \newtheorem (\newtheorem). - -
\begin{center}
-  \begin{minipage}{.5\textwidth}
-    .. matériel tabulaire ..
-  \end{minipage}
-\end{center}
-
-La même technique marche au sein d&textrsquo;un environnement table -flottant (table). To get the footnote at the bottom of the page -use the tablefootnote package, comme illustré dans l&textrsquo;exemple -ci-apès. Si vous placez \usepackage{tablefootnote} dans le -préambule et utilisez le code source ci-dessous, alors la note -apparaîtra en bas de la page et sera numérotée dans la même séquence que -les autres notes en bas de page. +
+titlepageverbatimtheoremEnvironments +
titlepage + +environnement titlepage +titlepage, environnement + +fabriquer une page de titre +pages de titre, création + +Synopsis : -
\begin{table}
-  \centering
-     \begin{tabular}{l|l}
-     \textsc{Date}  &\textsc{Campagne} \\ \hline
-     1862           &Fort Donelson \\
-     1863           &Vicksburg     \\
-     1865           &Armée de Virginie du Nord\footnote{Fin de la
-                     guerre.}
-     \end{tabular}
-    \caption{Forces capturées par le général Grant}
-\end{table}
+
\begin{titlepage}
+texte
+\end{titlepage}
 
+L&textrsquo;environnement titlepage crée une page de titre, c&textrsquo;est à dire +une page sur laquelle ne sont inscrit aucun numéro de page ou libellé de +rubrique. Il entraîne aussi que la page suivante a le numéro un. Le +formatage de la page de titre vous est laissé. La commande \today +peut être utile sur les pages de titre (\today). + +Vous pouvez utiliser la commande \maketitle (\maketitle) +pour produire une page de titre standarde sans utiliser l&textrsquo;environnement +titlepage. +
-Footnotes in section headingsFootnote parametersFootnotes in a tableFootnotes -
Note en bas de page dont le renvoi est au sein d&textrsquo;un titre de rubrique +verbatimversetitlepageEnvironments +
verbatim -notes en bas de page, dans les titres de rubrique -table des matières, éviter les notes en bas de page -Mettre une note en bas de page depuis un titre de rubrique, comme dans : +environnement verbatim +verbatim, environnement + +texte verbatim +simuler du texte tapuscrit +texte tapuscrit, simulation de +code source, composer du +source logiciel, composer du + +Synopsis : -
\section{Les ensembles complets\protect\footnote{Ce texte est dû à ...}}
-
- -paquetage footmisc -footmisc, paquetage -stable, option du paquetage footmisc -option stable du paquetage footmisc - -a pour effet que la note en bas de page apparaît à la fois en bas de la -page où la rubrique commence, et de celle où son titre apparaît dans la -table des matières, ce qui vraisembablement n&textrsquo;est pas voulu. Pour -qu&textrsquo;elle n&textrsquo;apparaisse pas sur la table des matières utilisez le paquetage -footmisc avec l&textrsquo;option stable. - - -
\usepackage[stable]{footmisc}
- ..
-\begin{document}
- ..
-\section{Les ensembles complets\footnote{Ce texte est dû à R~Jones.}}
+
\begin{verbatim}
+literal-texte
+\end{verbatim}
 
-Notez que le \protect a disparu ; l&textrsquo;inclure aurait pour effet que -la note en bas de page apparaîtrait de nouveau dans la table des -matières. - -
-Footnote parametersFootnotes in section headingsFootnotes -
Paramètres des notes en bas de page -notes en bas de page, paramètres -paramètres, pour notes en bas de page - - -\footnoterule\footnoterule -Produit le filet de séparation entre texte principal sur une page et les -notes en bas de cette page. Les dimension par défaut : épaisseur (ou -largeur) 0.4pt, et longueur 0.4\columnwidth dans les -classes standard de document (à l&textrsquo;exception slide, où elle -n&textrsquo;apparaît pas). - -\footnotesep\footnotesep -La hauteur de l&textrsquo;étai placé au début de la note en bas de page. Par -défaut, c&textrsquo;est réglé à l&textrsquo;étai nomal pour des police de taille -\footnotesize (Font sizes), donc il n&textrsquo;y a pas d&textrsquo;espace -supplémentaire entre les notes. Cela vaut 6.65pt pour des polices -à 10pt, 7.7pt pour 11pt, et 8.4pt pour -12pt. +L&textrsquo;environnement verbatim est un environnement qui fabrique des +paragraphes dans lequel &latex; produit exactement ce qui vous y taez ; +par exemple le caractère \ produit \ à l&textrsquo;impression . Il, +fait de &latex; une machine à écrire, c.-à-d.&noeos; que le retour chariot +et les blancs y ont un tel effet. - - - -
- -DefinitionsCountersFootnotesTop -Définitions -définitions - -&latex; prend en charges la fabrication de nouvelles commandes de bien -des genres. +L&textrsquo;environnement verbatim utilise une police de type tapuscrit +(encore appelé « machine à écrire ») à chasse fixe (\tt). - - - -\newcommand & \renewcommand
(Re)définir une nouvelle commande.
-
\newcounter
Définir un nouveau compteur.
-
\newlength
Définir une nouvelle longueur.
-
\newsavebox
Définir une nouvelle boîte.
-
\newenvironment & \renewenvironment
Définir un nouvel environnement.
-
\newtheorem
Définir un nouvel environnement de semblable à theorem.
-
\newfont
Définir un nouveau nom de police.
-
\protect
Utiliser des commandes fragile.
+\verb
La forme macro de l&textrsquo;environnement verbatim.
 
-\newcommand & \renewcommand\newcounterDefinitions -
\newcommand & \renewcommand -\newcommand -commandes, en définir de nouvelles -définir une nouvelle commande -nouvelle commandes, définir +\verbverbatim +\verb + +\verb +texte verbatim, en-ligne -\newcommand définit une nouvelle commande, et -\renewcommand la redéfinit. - Synopsis : -
  \newcommand{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
-\renewcommand{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
-  \newcommand*{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
-\renewcommand*{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
+
\verbcartexte-littéralcar
+\verb*cartexte-littéralcar
 
-forme en *, définir de nouvelles commandes -forme étoilée, définir de nouvelles commandes -La forme étoilée (en *) de ces commandes exige que les arguments -ne contiennent pas de paragraphes de texte (la commande n&textrsquo;est pas -\long, dans la terminologie de &tex; de base). - - -cmd -Obligatoire ; \cmd est le nom de la commande. Pour -\newcommand, il ne doit pas être déja défini et ne doit pas -commencer avec \end ; pour \renewcommand, il doit être -déja défini. - -nargs -Optionnel ; un entier compris entre 1 et 9 spécifiant le nombre -d&textrsquo;arguments que commande peut prendre, y compris un éventuel argument -optionnel. Si cet argument n&textrsquo;est pas présent, alors la spécification par -défaut est que la commande ne prend aucun argument. Lorsque on redéfinit -une commande, la nouvelle version peut prendre un nombre différent -d&textrsquo;arguments par rapport à l&textrsquo;ancienne. - -optargdéfaut -Optionnel ; si cet argument est present, alors le premier argument de la -commande \cmd en définition est optionnel, et sa valeur par -défaut est optargdéfaut (qui peut être une chaîne vide). Si cet -argument n&textrsquo;est pas présent, alors \cmd ne prend pas -d&textrsquo;argument optionnel. - -paramètre positionnel -C&textrsquo;est à dire que si \cmd est utilisé avec des crochets à la -suite, comme dans \cmd[maval], alors au sein de -défn le premier paramètre positionnel #1 se développe -en maval. Par contre si \cmd est appelé sans crochet à -la suite, alors au sein de défn le paramètre positionnel #1 -se développe en la valeur par défaut optargdéfaut. Dans tous les -cas, tout argument obligatoire sera désigné en commençant par #2. - -Omettre [maval] dans un appel n&textrsquo;est pas la même chose -qu&textrsquo;avoir les crochets ne contenant rien, comme dans []. Dans le -premier cas le paramètre #1 se développe en optargdéfaut ; -alors que dans le secon #1 se développe en une chaîne vide. +La commande \verb compose texte-littéral comme il est +entré, en incluant les caractères spéciaux et les espaces, en utilisant +la police tapuscrit (\tt). Aucun espaces n&textrsquo;est autorisé entre +\verb ou \verb* et le délimiteur car qui marque le +début et la fin du texte verbatim. Le délimiteur ne doit pas aparaître +dans le texte-littéral. -défn -Le texte par lequel substituer chaque occurrence de \cmd ; le -paramètre positionnel #n au sein de défn est -remplacée par le texte passé comme nième argument. +espace visible +La forme étoilée (en *) diffère seulement en ce que les espaces +sont tapés avec un caractère « espace visible ». + + -
-&tex; ignore les espaces dans le code source à la suite d&textrsquo;une commande (ou de -toute séquence de contrôle), comme dans \cmd . Si vous désirez une -espace réellement à cet endroit, une solution est de taper {} après la -commande (\cmd{} ), et un autre est d&textrsquo;utiliser un espace de contrôle -explicite (\cmd\ ). - -Un exemple simple de définition d&textrsquo;une nouvelle commande : -\newcommand{\JM}{Jean Martin} a pour effet le remplacement de -l&textrsquo;abréviation \JM par le texte plus long de la définition. - -La redéfinition d&textrsquo;une commande existante est similaire : -\renewcommand{\symbolecqfd}{{\small CQFD}}. - -Voici la définition d&textrsquo;une commande avec un argument obligatoire : - - -
\newcommand{\defref}[1]{Définition~\ref{#1}}
-
+ +
+verseverbatimEnvironments +
verse +environnement verse +verse, environnement - Alors, \defref{def:basis} se développe en -Définition~\ref{def:basis}, ce qui en fin de compte se développera en -quelque-chose du genre de Définition~3.14. - -Un exemple avec deux arguments obligatoires : -\newcommand{\nbym}[2]{$#1 \times #2$} est invoqué comme -\nbym{2}{k}. - -Un exemple avec un argument optionnel : +poésie, un environnement pour la + +Synopsis : -
\newcommand{\salutation}[1][Madame, Monsieur]{#1,}
+
\begin{verse}
+line1 \\
+line2 \\
+...
+\end{verse}
 
- Alors, \salutation donne Madame, Monsieur, alors -\salutation[Cher Jean] donne Cher Jean,. Et -\salutation[] donne ,. +L&textrsquo;environnement verse est conçu pour la poésie, bien que vous +pouvez lui trouver d&textrsquo;autres usages. -Les accolades autour de défn ne définissent pas un groupe, c.-à-d.&noeos; -qu&textrsquo;elle ne délimitent pas la portée du résultat du développement de défn. -Ainsi la définition \newcommand{\nomnavire}[1]{\it #1} est problématique ; -dans cette phrase +\\ pour verse +Les marges sont renfoncées sur la gauche et la droite, les paragraphes ne +le sont pas, et le texte n&textrsquo;est pas justifié. Séparez le ligne de chaque +strophe avec \\, et utilisez une ou plusieurs lignes vides pour +séparer les strophes. - -
Le \nomnavire{Monitor} rencontra le \nomnavire{Merrimac}.
-
- les mots rencontra le sont mis incorrectement en -italique. Une paire supplémentaire d&textrsquo;accolades est nécessaire, comme cela : -\newcommand{\nomnavire}[1]{{\it #1}}. Ces accolades font partie de -la définition et par conséquent définissent bien un groupe. - +
+
+Line breakingPage breakingEnvironmentsTop +Saut à la ligne +saut à la ligne +sauter à la ligne +La première chose que &latex; fait lorsqu&textrsquo;il traite du texte ordinaire +est de traduire votre fichier d&textrsquo;entrée en une séquence de glyphes et +d&textrsquo;espaces. Pour produire un document imprimé, cette séquence doit être +rompue en lignes (et ces lignes doivent être rompues en pages). + +D&textrsquo;ordinaire &latex; effectue la rupture de ligne (et de page) pour +vous, mais dans certains environnements, vous faites la rupture +vous-même avec la commande \\, et vous pouvez toujours forcer +manuellement les ruptures. + + +\\
Commencer une nouvelle ligne.
+
\obeycr & \restorecr
Faire que chaque ligne d&textrsquo;entrée commence une nouvelle ligne de sortie.
+
\newline
Sauter à la ligne
+
\- (césure)\- (hyphenation)
Insérer une césure explicite.
+
\discretionary
Insérer une crésure explicite en contrôlant le caractère d&textrsquo;union.
+
\fussy
Être pointilleux sur le passage à la ligne.
+
\sloppy
Être tolérant sur le passage à la ligne.
+
\hyphenation
Dire à &latex; comment gérer la césure d&textrsquo;un mot.
+
\linebreak & \nolinebreak
Forcer & éviter les saut à la ligne.
+
- +\\\obeycr & \restorecrLine breaking +
\\ -
-\newcounter\newlength\newcommand & \renewcommandDefinitions -
\newcounter -\newcounter -compteurs, définir de nouveaux +\\ force un saut de ligne +nouvelle ligne, commencer une +saut de ligne, forcer Synopsis : -
\newcounter{nomcompteur}[super]
+
\\[espaceenplus]
 
-La commande \newcounter définit un nouveau compteur nommé nomcompteur. -Le nouveau compteur est initialisé à zéro. +ou -Quand l&textrsquo;argument optionnel [super] est fourni, le compteur -nomcompteur est réinitialisé à chaque incrémentation du compteur -nommé super. + +
\\*[espaceenplus]
+
+ +Commencer une nouvelle ligne. L&textrsquo;argument optionnel espaceenplus +spécifie l&textrsquo;espace supplémentaire vertical à insérer avant la ligne +suivante. Ceci peut être une longueur négative. Le texte avant le saut +est composé à sa longueur normale, c.-à-d.&noeos; qu&textrsquo;il n&textrsquo;est pas dilaté pour +remplir la largeur de la ligne. -Counters, pour plus d&textrsquo;information à propos des compteurs. +Les sauts de ligne explicites au sein du corps de texte sont inhabituels +en &latex;. en particulier, pour commencer un nouveau paragraphe +laissez plutôt une ligne à blanc. Cette commande est utilisée +principalement en dehors du flux principal de texte comme dans un +environnement tabular ou array. - -
-\newlength\newsavebox\newcounterDefinitions -
\newlength -\newlength -longueurs, définir de nouvelles - -Synopsis : +Dans des circonstances ordinaires (par ex.&noeos; en dehors d&textrsquo;une colonne +spécifiée par p{...} dans un environnement tabular) la +commande \newline est un synonyme de \\ +(\newline). + +En plus de commencer une nouvelle ligne, la forme étoilée \\* dit +à &latex; de ne pas commencer une nouvelle page entre les deux lignes, +en émettant un \nobreak. -
\newlength{\arg}
+
\title{Mon histoire~: \\[7mm]
+       un conte pathétique}
 
-La commande \newlength définit l&textrsquo;argument obligatoire comme une -commande de longueur avec une valeur de 0mm. L&textrsquo;argument -doit être une séquence de contrôle, comme dans -\newlength{\foo}. Une erreur se produit si \foo est déjà -défini. - -Lengths, pour comment régler la nouvelle longeur à une valeur non -nulle, et pour plus d&textrsquo;information à propos des longueurs en général. -
-\newsavebox\newenvironment & \renewenvironment\newlengthDefinitions -
\newsavebox -\newsavebox - -Synopsis : - - -
\newsavebox{\cmd}
-
+\obeycr & \restorecr\newline\\Line breaking +
\obeycr & \restorecr +\obeycr +\restorecr +saut de ligne, sortie semblable à l&textrsquo;entrée pour le -Définit \cmd pour se référer à un nouveau bac pour stocker -des boîtes. Une telle boîte sert à détenir du matériel composé, pour -l&textrsquo;utiliser plusieurs fois (Boxes) ou pour le mesurer ou le -manipuler. Le nom \cmd doit commencer par une -contr&textrsquo;oblique, et ne doit pas être déjà défini. +La commande \obeycr a pour effet qu&textrsquo;un retour chariot dans le +fichier d&textrsquo;entrée (^^M, internement) soit traité de la même façon +que \\ (suivi d&textrsquo;un \relax). Ainsi chaque passage à la +ligne dans l&textrsquo;entrée est aussi un passage à la ligne dans la sortie. -L&textrsquo;allocation d&textrsquo;une boîte est globale. Cette commande est fragile -(\protect). +\restorecr restaure le comportement normal vis à vis des saut de +ligne.
-\newenvironment & \renewenvironment\newtheorem\newsaveboxDefinitions -
\newenvironment & \renewenvironment -\newenvironment -\renewenvironment -environnements, defining -defining new environnements -redefining environnements +\newline\- (hyphenation)\obeycr & \restorecrLine breaking +
\newline -Ces commandes définissent ou redéfinissent un environnement env, -c.-à-d., \begin{env} corps \end{env}. +\newline +nouvelle ligne, commencer une (mode paragraphe) +saut de ligne + +Dans du texte ordinaire ceci est équivalent à une double-contr&textrsquo;oblique +(\\) ; cela rompt la ligne, sans dilatation du texte le +précéndent. -Synopsis : +Au sein d&textrsquo;un environnement tabular ou array, dans une +colonne avec un specificateur produisant une boîte paragraphe, comme +typiquement p{..}, \newline insère un saut de ligne au +sein de la colonne, c.-à-d.&noeos; insère un saut de ligne à l&textrsquo;intérieur de +la colonne, c.-à-d.&noeos; qu&textrsquo;il ne rompt pas la ligne entière. Pour rompre +la ligne entière utilisez \\ ou son équivalent +\tabularnewline. + +L&textrsquo;exemple suivant écrit Nom~: et Adresse~: comme deux +ligne ain sein d&textrsquo;une seule cellule du tableau. -
  \newenvironment{env}[nargs][argoptdéfaut]{défdébut}{déffin}
-  \newenvironment*{env}[nargs][argoptdéfaut]{défdébut}{déffin}
-\renewenvironment{env}[nargs]{défdébut}{déffin}
-\renewenvironment*{env}[nargs]{défdébut}{déffin}
+
\begin{tabular}{p{2.5cm}{\hspace{5cm}}p{2.5cm}}
+  Nom~: \newline Adresse~: &Date~: \\ \hline
+\end{tabular}
 
-forme étoilée des commandes d&textrsquo;environnement -forme en * des commandes d&textrsquo;environnement -La forme étoilée de ces commandes exige que les arguments (à ne pas -confondre avec le corps de l&textrsquo;environnement) ne contiennent pas de -paragraphes de texte. +La Date~: sera alignée sur la ligne de base de Nom~:. - -env -Obligatoire ; le nom de l&textrsquo;environnement. Il est constitué seulement de -lettres ou du caractère astérisque *, et donc ne commence pas par -une contr&textrsquo;oblique \. Il ne doit pas commencer par la chaîne -end. Pour \newenvironment, env ne doit pas être le -nom d&textrsquo;un environnement déjà existant, et la commande \env -ne doit pas être définie. Pour \renewenvironment, env doit -être le nom d&textrsquo;un environnement déjà existant. + +\- (hyphenation)\discretionary\newlineLine breaking +
\- (césure à gré) +\- (césure) +césure, forcer + +La commande \- commande dit à &latex; qu&textrsquo;il peut faire une +césure du mode à cet endroit. &latex; est très bon en ce qui concerne +les césures, et il trouve la plupart des points corrects de césure, tout +en n&textrsquo;en utilisant presque jamais un incorrect. La commande \- est +commande est utilisée pour les cas exceptionnels. -nargs -Optionnel ; un entier de 0 à 9 indiquant le nombre d&textrsquo;arguments que -l&textrsquo;environnement attend. Quand l&textrsquo;environnement est utilisé, ces arguments -apparaissent après le \begin, comme dans -\begin{env}{arg1}&dots;{argn}. Si cet -argument n&textrsquo;est pas présent, alors par défaut l&textrsquo;environment n&textrsquo;attend pas -d&textrsquo;argument. Lorsqu&textrsquo;on redéfinit un environment, la nouvelle version peut -prendre un nombre différent d&textrsquo;arguments que la précédente. +Quand vous insérez des commandes \- dans un mot, le mot ne pourra +avoir de césure qu&textrsquo;à ces endroit et non dans aucun des points de césure +que &latex; aurait pu choisir sinon. -argoptdéfaut -Optionnel ; si cet argument est présent alors le premier argument de -l&textrsquo;environnement en définition est optionnel, et sa valeur par défaut est -argoptdéfaut (éventuellement une chaîne vide). Si cet argument -n&textrsquo;est pas présent alors l&textrsquo;environnement ne prend pas d&textrsquo;argument -optionnel. +
+\discretionary\fussy\- (hyphenation)Line breaking +
\discretionary (point de césure généralisé) +crésure, discrétionnaire +discrétionnaire, césure + +Synopsis : -c.-à-d.&noeos; que si [argoptdéfaut] est présent dans la -définition de l&textrsquo;environnement, et que \begin{env} est -utilisé avec des crochets à la suite, comme dans -\begin{env}[maval], alors, au sein de -défdébut, le paramètre positionnel #1 se développe en -maval. Si par contre \begin{env} est appéelé sans -être suivi de crochet, alors, au sein de défdébut, le -paramètre positionnel -paramètre positionnel #1 se développe en la valeur par défaut, -c.-à-d.&noeos; optargdefault. Dans les deux cas, le premier paramètre -positionnel faisant référence à argument obligatoire est #2. + +
\discretionary{avant-saut}{après-saut}{sans-saut}
+
+ +La commande \discretionary permet de contrôler finement la césure +dans les cas où ne suffisent ni le contrôle standard de la césure fait +l&textrsquo;algorithme de césure de &tex; et les règles de césures données par les +paquetages de gestion linguistiques, ni les moyens de contrôle +explicites offerts par les commandes \hyphenation +(\hyphenation) et \- (\- (hyphenation)\- (césure +à gré)). -Omettre [maval] dans l&textrsquo;appel est différent d&textrsquo;avoir des -crochets sans contenu, c.-à-d.&noeos; []. Dans le premier cas -#1 se développe en argoptdéfaut, et dans le second en une -chaîne vide. +\discretionary indique qu&textrsquo;un saut de ligne est possible à cet +endroit. Dans le cas d&textrsquo;un saut de ligne, le texte avant-saut est +placé immédiatement avant le saut, et le texte après-saut +immédiatement après. Dans le cas sans saut de ligne le texte +sans-saut est imprimé. -défdébut -Obligatoire ; le texte qui est développé à toute occurrence de -\begin{env} ; au sein de défdébut, le nième -paramètre positionnel, (c.-à-d.&noeos; #n), est remplacé au sein -de défdébut par le texte du nième argument. +Les arguments de \discretionary ne peuvent contrenir que des +caractères, des boîtes ou des crénages. -déffin -Obligatoire ; le texte développé à toute occurrence de -\end{env}. Il ne doit contenir aucun paramètre -positionnel, ainsi #n ne peut pas être utilisé ici (mais -voyez l&textrsquo;exemple final ci-après). +L&textrsquo;usage typique de \discretionary est par exemple de contrôler la +césure au sein d&textrsquo;une formule mathématique en mode ligne (voir aussi +Math miscellanyMiscellanées mathématique (entrée \*)). Ci-dessous +un exemple de contrôle de la césure au sein d&textrsquo;une adresse réticulaire, +où l&textrsquo;on autorise la césure sur les obliques mais en utilisant une +contr&textrsquo;oblique violette en lieu de trait d&textrsquo;union : -
+ +
\documentclass{article}
+\usepackage[T1]{fontenc}
+\usepackage[utf8]{inputenc}
+\usepackage{xcolor}
+\usepackage{hyperref}
+\usepackage{french}
+\newcommand*\DiscrSlash{\discretionary{\mbox{\textcolor
+ {purple}{\textbackslash}}}{/}{/}}
+\begin{document}
+Allez donc à \href{http://une/tr\%c3\%A8s/tr\%c3\%A8s/longue%
+  /mais/vraiment/tr\%c3\%A8s/longue/adresse/r\%C3\%A9ticulaire%
+  /index.html}{http://une\DiscrSlash très\DiscrSlash très\DiscrSlash
+  longue\DiscrSlash mais\DiscrSlash vraiment\DiscrSlash
+  très\DiscrSlash longue\DiscrSlash adresse\DiscrSlash
+  réticulaire\DiscrSlash index.html}
+\end{document}
+
-Tous les environnements, c&textrsquo;est à dire le code de défdébut, le -corps de l&textrsquo;environnement, et le code déffin, sont traités au sein -d&textrsquo;un groupe. Ansi, dans le premier exemple ci-dessous, l&textrsquo;effet de -\small est limité à la citation et ne s&textrsquo;étend pas au matériel qui -suit l&textrsquo;environnement. + + + +
+\fussy\sloppy\discretionaryLine breaking +
\fussy +\fussy + +La déclaration \fussy (ce qui est le réglage par défaut) a pour +effet que &tex; fait le difficile à propos des saut de ligne. Ceci +évite d&textrsquo;ordinaire trop d&textrsquo;espace entre les mots, au prix +d&textrsquo;occasionnellement une boîte trop pleine (overfull \hbox). -Cet exemple dont un environnement semblable à quotation de -&latex; à ceci près qu&textrsquo;il sera composé dans une taille de police plus -petite : +Cette commande annule l&textrsquo;effet d&textrsquo;une commande \sloppy précédente +(\sloppy). - -
\newenvironment{smallquote}{%
-  \small\begin{quotation}
-}{%
-  \end{quotation}
-}
-
-Celui-ci montre l&textrsquo;utilisation des arguments ; cela donne un environnement de -citation qui affiche l&textrsquo;auteur : +
+\sloppy\hyphenation\fussyLine breaking +
\sloppy + +La déclaration \sloppy a pour effet que &tex; fasse moins le +difficile à propos des sauts de ligne. Ceci evite les boîtes trop pleines, +au prix d&textrsquo;un espacement lâche entre les mots. + +L&textrsquo;effet dure jusqu&textrsquo;à la prochaine commande \fussy (\fussy). - -
\newenvironment{citequote}[1][Corneille]{%
-  \begin{quotation}
-  \noindent\textit{#1}:
-}{%
-  \end{quotation}
-}
-
- Le nom de l&textrsquo;auteur est optionnel, et vaut par défaut Corneille. -Dans le document, utilisez l&textrsquo;environnement comme ceci : +
+\hyphenation\linebreak & \nolinebreak\sloppyLine breaking +
\hyphenation +\hyphenation +césure, définir + +Synopsis : -
\begin{citequote}[Clovis, roi des Francs]
-  ...
-\end{citequote}
+
\hyphenation{mot-un mot-deux}
 
-Ce dernier exemple montre comment sauvegarder la valeur d&textrsquo;un argument -pour l&textrsquo;utiliser dans déffin, dans ce cas dans une boîte -(\sbox). +La commande \hyphenation déclare les points de césure autorisé +avec un caratère - au sein des mots donnés. Les mots sont séparés +par des espaces. &tex; ne fera de césure que si le mot correspond +exactement, aucune désinence n&textrsquo;est essayée. Des commandes +\hyphenation mutliple s&textrsquo;accumulent. Voici quelques exemples en +anglais (les motifs de césure par défaut de &tex; manquent les césures +de ces mots) : -
\newsavebox{\quoteauthor}
-\newenvironment{citequote}[1][Corneille]{%
-  \sbox\quoteauthor{#1}%
-  \begin{quotation}
-}{%
-  \hspace{1em plus 1fill}---\usebox{\quoteauthor}
-  \end{quotation}
-}
+
\hyphenation{ap-pen-dix col-umns data-base data-bases}
 
-\newtheorem\newfont\newenvironment & \renewenvironmentDefinitions -
\newtheorem -\newtheorem -théorèmes, définition -définir de nouveaux théorèmes - -théorème, environnement simili- -environnement simili-théorème +\linebreak & \nolinebreak\hyphenationLine breaking +
\linebreak & \nolinebreak +\linebreak +\nolinebreak +sauts de ligne, forcer +sauts de ligne, empêcher -Définit une nouvel environnement simili-théorème. Synopsis : +Synopsis : - -
\newtheorem{nom}{titre}[numéroté_au_sein_de]
-\newtheorem{nom}[numéroté_comme]{titre}
+
\linebreak[priorité]
+\nolinebreak[priorité]
 
-Ces deux commandes crééent un environnement simili-théorème -nom. Utiliser la première des deux formes, +Par défaut, la commande \linebreak (\nolinebreak) force +(empêche) un saut de ligne à la position courante. Pour +\linebreak, les espaces de la ligne sont dilatés jusqu&textrsquo;à ce +qu&textrsquo;elle s&textrsquo;étende jusqu&textrsquo;à la marge de droite, comme d&textrsquo;habitude. - -
\newtheorem{nom}{titre}[numéroté_au_sein_de]
-
- - avec l&textrsquo;argument optionnel après le second argument -obligatoire, crée un environnement dont le compteur est subordonné au -compteur déjà existant numéroté_au_sein_de, c.-à-d.&noeos; qui est -réinitialisé à it will chaque réinitialisation de -numéroté_au_sein_de. - -Utiliser la seconde forme, +Avec l&textrsquo;argument optionnel priorité, vous pouvez convertir la +commande d&textrsquo;une simple demande à une requête. La priorité doit être +un nombre compris entre 0 et 4. Plus ce nombre est grand, et plus la +requête est insistante. - -
\newtheorem{nim}[numéroté_comme]{titre}
-
- avec l&textrsquo;argument optionnel entre les deux arguments -obligatoire, crée une environnement dont le compteur partage le compteur -déjà défini numéroté_comme. - -Vous pouvez spécifier l&textrsquo;un seul de numéroté_au_sein_de et -numéroté_comme, ou ni l&textrsquo;un ni l&textrsquo;autre, mais non les deux à la -fois. - -Cette commande crée un compteur nommé name. De plus, à moins que -l&textrsquo;argument optionnel numéroté_comme soit utilisé, la valeur -courrante de \ref est celle de -\thenuméroté_au_sein_de (\ref). - -Cette déclaration est globale. Elle est fragile (\protect). - - -nom -Le nom de l&textrsquo;environnement. Il ne doit pas commencer avec une -contr&textrsquo;oblique (\). Il ne doit pas être le nom d&textrsquo;un environnement -déjà exisant ; en fait le nom de commande \nom ne doit pas -être déjà défini de quelque façon que ce soit. - -titre -Le texte imprimé au début de l&textrsquo;environnement, avant le numéro. Par -exemple, Théorème. - -numéroté_au_sein_de -Optionnel ; le nom d&textrsquo;un compteur déjà défini, d&textrsquo;ordinaire une unité -sectionnelle telle que chapter ou section. Lorsque le -compteur numéroté_au_sein_de est re-initialisé, alors le compteur -de l&textrsquo;environnement nom l&textrsquo;est aussi. - -Si cet argument optionnel est omis alors la commande -\thenom est définie comme \arabic{nom}. - -numéroté_comme -Optionnel ; le nom d&textrsquo;un environement simil-théorème déjà défini. Le -nouvel environnement se numéroté en séquence avec numéroté_comme. - -
+
+ +Page breakingFootnotesLine breakingTop +Saut de page +saut de page +pages, saut -En l&textrsquo;absence des arguments optionnels les environnement sont numérotés -en séquence. L&textrsquo;exemple suivant a une déclaration dans le préambule qui -résulte en Définition 1 et Définition 2 en -sortie. +&latex; commence de nouvelles pages de façon asynchrone, lorsque +suffisamment de matériel a été accumulé pour remplir une +page. D&textrsquo;ordinaire ceci se produit automatiquement, mais parfois on peut +désirer influencer les sauts. - -
\newtheorem{defn}{Définition}
-\begin{document}
-\section{...}
-\begin{defn}
-  Première déf.
-\end{defn}
+
+\clearpage & \cleardoublepage
Commence une nouvelle page de droite ; éjecte les flottants.
+
\newpage
Commence une nouvelle page.
+
\enlargethispage
Agrandit d&textrsquo;un peu la page courante.
+
\pagebreak & \nopagebreak
Forcer & éviter les sauts de page.
+
-\section{...} -\begin{defn} - Seconde déf. -\end{defn} -
-Parce que l&textrsquo;exemple suivant spécifie section comme argument optionnel -numéroté_au_sein_de à \newtheorem, l&textrsquo;exemple, reprenant le -même corps de document que l&textrsquo;exemple précédent, donne Définition 1.1 -et Définition 2.1. - - -
\newtheorem{defn}{Definition}[section]
-\begin{document}
-\section{...}
-\begin{defn}
-  Première déf.
-\end{defn}
+\clearpage &  \cleardoublepage\newpagePage breaking
+
\clearpage & \cleardoublepage -\section{...} -\begin{defn} - Seconde déf. -\end{defn} -
+ +\cleardoublepage +commencer une page de droite +\clearpage +débourrer les flottant et commencer une page +commencer une nouvelles page et débourrer les flottant -Dans l&textrsquo;exemple suivant il y a deux déclarations dans le préambule, la -seconde desquelle appelle le nouvel environnement thm pour -utilise le même compteur que defn. Cela donne -Définition 1.1, suivi de Théorème 2.1 et Définition 2.2. +La commande \cleardoublepage finit la page courante et fait que +&latex; imprime tous les flottants, tableaux et figures, qui sont +apparus en entrée jusqu&textrsquo;à ce point et sont en attente. Dans le cas d&textrsquo;une +impression en style twoside, elle fait aussi que la nouvelle page +et une page de droite (numérotée impaire), en produisant si nécessaire +une page à blanc. - -
\newtheorem{defn}{Définition}[section]
-\newtheorem{thm}[defn]{Théorème}
-\begin{document}
-\section{...}
-\begin{defn}
-  Première déf.
-\end{defn}
-
-\section{...}
-\begin{thm}
-  Premier théorème
-\end{thm}
 
-\begin{defn}
-  Seconde déf.
-\end{defn}
-\section{...}
-
+La commande \clearpage finit la page actuelle et fait que +&latex; imprime tous les flottants, tableaux et figures, qui sont +apparus en entrée jusqu&textrsquo;à ce point et sont en attente. +
-\newfont\protect\newtheoremDefinitions -
\newfont: définit une nouvelle police (obsolète) -\newfont -polices, commandes pour déclarer de nouvelles -définir de nouvelles polices - +\newpage\enlargethispage\clearpage & \cleardoublepagePage breaking +
\newpage +\newpage +nouvelle page, commencer +commencer une nouvelle page -\newfont, desormais obsolète, définit une commande qui commute la -police de caractère. Synopsis : +Synopsis : -
\newfont{\cmd}{description_police}
+
\newpage
 
-Ceci définit une séquence de contrôle \cmd qui change la -police courante. &latex; cherche sur votre système un fichier nommé -nompolice.tfm. La séquence de contrôle ne doit pas être -déjà définie. Elle doit commencer par une contr&textrsquo;oblique (\). +La commande \newpage finit la page courante. Cette commande est +robuste (\protect). - - -.fd fichier -Cette commande est obsolète. c&textrsquo;est une commande de bas niveau pour -mettre en place une police individuelle. De nos jours, les polices sont -pratiquement toujours définies en familles (ce qui vous permet, par -exemple, d&textrsquo;associer un gras et un romain) au travers de ce qu&textrsquo;il est -convenu de nommer le « Nouveau Plan de Sélection de Polices de -caractère », soit en utilisant des fichier .fd ou à travers -l&textrsquo;utilisation d&textrsquo;un moteur qui sait accéder au système de polices de -caractère, tel que Xe&latex; (&tex; enginesLes moteurs -&tex;). - +Les sauts de page de &latex; sont optimisés de sorte que d&textrsquo;ordinaire on +n&textrsquo;utilise cette commande dans le corps d&textrsquo;un document que pour les +finitions sur la version finale, ou à l&textrsquo;interieur de commandes. - -clause at, au sein d&textrsquo;une définition de police -taille de conception, au sein d&textrsquo;une définition de police -Mais puisque cela fait partie de &latex;, voici l&textrsquo;explication : le -paramètre description_police consiste en un nompolice et une -clause at optionnelle ; celle-ci peut avoir soit la forme at -dimen ou scaled facteur, où un facteur de -1000 signifie aucune dilatation/contraction. Pour l&textrsquo;usage de -&latex;, tout ce que ceci fait est de dilater ou contracter le -caractère et les autre dimension relative à la taille de conception de -la police, ce qui est une valeur définie dans le fichier en .tfm. +Alors que les commandes \clearpage et \cleardoublepage +finissent également la page courante, en plus de cela elles débourrent +les flottants pendants (\clearpage & \cleardoublepage). Et, si +&latex; est en mode à deux colonne alors \clearpage et +\cleardoublepage finissent las page courante en laissant +possiblement une colonne vide, alors que \newpage finit seulement +la colonne courante. -Cet exemple défnit deux polices équivalente et compose quelques -caractères dans chacune d&textrsquo;elles : +Contrairement à \pagebreak (\pagebreak & \nopagebreak), +la commande \newpage n&textrsquo;a pas pour effet que la nouvelle page +commence exactement là où la requête est faite. Dans l&textrsquo;exemple suivant -
\newfont{\testpoliceat}{cmb10 at 11pt}
-\newfont{\testpolicedilatee}{cmb10 scaled 1100}
-\testpoliceat abc
-\testpolicedilatee abc
+
Four score and seven years ago our fathers brought forth on this
+continent,
+\newpage
+\noindent a new nation, conceived in Liberty, and dedicated to the
+proposition that all men are created equal.
 
+ +la nouvelle page commence après continent, et la ligne où se +produit le saut n&textrsquo;est pas justifiée à droite. De plus, \newpage +n&textrsquo;étire pas verticalement la page, contrairement à \pagebreak. +
-\protect\newfontDefinitions -
\protect -\protect - -commandes fragiles -commandes robustes -fragile, commande -robuste, commande +\enlargethispage\pagebreak & \nopagebreak\newpagePage breaking +
\enlargethispage +\enlargethispage +agrandir la page courante -Toutes les commandes de &latex; sont soit fragiles soit -robustes. Les notes en bas de page, les saut de ligne, toute -commande prenant un argument optionnel, et bien d&textrsquo;autres, sont -fragiles. Une commande fragile peut se disloquer et causer une erreur -lorsque elle est utilisée au sein de l&textrsquo;argument de certaines -commandes. Pour empécher la dislocation de ces commandes l&textrsquo;une des -solutions est de les précéder de la commande \protect. - -Par exemple, lorsque &latex; execute la commande -\section{nom-rubrique} il écrit le texte -nom-rubrique dans le fichier auxiliaire .aux, de sorte à -pouvoir le tirer de là pour l&textrsquo;utiliser dans d&textrsquo;autres partie du document -comme la table des matières. On appelle -arguments mouvants -argument mouvant tout argument qui est développé en interne par -&latex; sans être directement composé en sortie. Une commande est dite -fragile si elle se développe pendant ce processus en un code &tex; non -valide. Certains exemples d&textrsquo;arguments mouvants sont ceut qui apparaissent -au sein des commande \caption{...} (figure), dans la -commande \thanks{...} (\maketitle), et dans les -expression en &arobase; des environnements tabular et array -(tabular). +\enlargethispage{size} -Si vous obtenez des erreurs étranges de commandes utilisées au sein -d&textrsquo;arguments mouvants, essayez des les précéder d&textrsquo;un \protect. Il -faut un \protect pour chacune des commandes fragiles. +\enlargethispage*{size} -Bien qu&textrsquo;en général la commande \protect ne fait pas de mal, les -commandes de gestion de longueurs sont robustes et ne devraient pas être -précédées d&textrsquo;une commande \protect. Une commande \protect -ne peut pas non plus être utilisée au sein de l&textrsquo;argument d&textrsquo;une commande -\addtocounter\addtocounter ou -\setcounter\setcounter. +Agrandit la \textheight de la page courante de la quantité +spécifiée ; par exemple \enlargethispage{\baselineskip} permet +d&textrsquo;avoir une ligne de plus. -Dans l&textrsquo;exemple qui suit la commande \caption produit une erreur -mystérieuse +La forme étoilée essaie de comprimer le matériel sur la page autant que +possible. Ceci est normalement utilisé en même temps qu&textrsquo;un +\pagebreak explicite. - -
\begin{figure}
-  ...
-  \caption{Company headquarters of A\raisebox{1pt}{B}\raisebox{-1pt}{C}}
-\end{figure}
-
-Dans l&textrsquo;exemple suivant la commande \tableofcontents produit une -erreur à cause du \(..\) dans le titre de section qui se -développe en code incorrect &tex; dans le fichier .toc. Vous -pouvez résoudre ceci en remplaçat \(..\) -par \protect\(..\protect\). +
+\pagebreak & \nopagebreak\enlargethispagePage breaking +
\pagebreak & \nopagebreak +\pagebreak +\nopagebreak +saut de page, forcer +saut de page, empécher + +Synopsis : -
\begin{document}
-\tableofcontents
-...
-\section{Einstein's \( e=mc^2 \)}
-...
+
\pagebreak[priorité]
+\nopagebreak[priorité]
 
+Par défaut, la commande \pagebreak (\nopagebreak) force +(empèche) un saut de page à la position courante. Avec +\pagebreak, l&textrsquo;espace verticale sur la page est dilatée où c&textrsquo;est +possible de sorte à s&textrsquo;étendre jusqu&textrsquo;à la marge inférieure normale. + +Avec l&textrsquo;argument optionnel priorité, vous pouvez convertique la +commande \pagebreak d&textrsquo;une demande à une exigence. Le nombre doit +être compris entre 0 et 4. Plus grand est le nombre, et plus insistant +est l&textrsquo;exigence. +
-CountersLengthsDefinitionsTop -Compteurs -compteurs, a list of -variables, a list of +FootnotesDefinitionsPage breakingTop +Note en bas de page +note en bas de page, créer +bas de page, créer des notes -Tout ce que &latex; numérote pour vous a un compteur associé avec -soi. Le nom du compteur est le même que le nom de l&textrsquo;environnement ou de -la commande qui produit le numéro, sauf qu&textrsquo;il ne pas de \. -(enumi&textndash;enumiv sont utilisés pour les environnements -enumerate imbriqués). Ci-dessous se trouve une liste des -compteurs utilisée dans les classes standardes de documents &latex; -pour contrôler la numérotation. +Mettez une note en bas de la page courante avec la commande +\footnote comme ci-dessous. -
part paragraphe figure enumi
-chapter subparagraph table enumii
-section page footnote enumiii
-subsection équation mpfootnote enumiv
-subsubsection
+
Noël Coward a dit plaisamment que lire une note en bas de page, c'est
+comme devoir descendre répondre à la porte d'entrée alors qu'on est en
+train de faire l'amour\footnote{Je ne peux pas le savoir ; je ne lis
+jamais les notes en bas de page}
 
+Vous pouvez placer beaucoup de notes en bas de page dans une page. Si le +texte devient trop long alors il est continué sur la page suivante. + +Vous pouvez aussi produire des notes en bas de page en combinant les +commandes \footnotemark et \footnotetext, ce qui est +utiles dans des circonstances speciales. + -\alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol
Taper la valeur d&textrsquo;un compteur.
-
\usecounter
Utiliser un  compteur spécifié dans un environnement de liste.
-
\value
Utiliser la valeur d&textrsquo;un compteur dans une expression.
-
\setcounter
Régler la valeur d&textrsquo;un compteur.
-
\addtocounter
Ajouter une quantité à un compteur.
-
\refstepcounter
Ajouter au compteur, re-initialiser les compteurs subsidiaires.
-
\stepcounter
Ajouter au compteur, re-initialiser les compteurs subsidiaires.
-
\day \month \year
Valeur de date numériques.
+\footnote
Insérer une note en bas de page.
+
\footnotemark
Insérer la marque seulement d&textrsquo;une note en bas de page.
+
\footnotetext
Insérer le texte seulement d&textrsquo;une note en bas de page.
+
Notes dans un tableauFootnotes in a table
Notes de tableau.
+
Notes en bas de page dans les titres de rubriquesFootnotes in section headings
Titre de chapitre ou de rubrique.
+
Paramètres des notes en bas de pageFootnote parameters
Les paramètre pour formatter les notes en bas de page.
 
-\alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol\usecounterCounters -
\alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol: Taper des compteurs +\footnote\footnotemarkFootnotes +
\footnote -Toutes ces commandes prennent un unique compteur en argument, par -exemple, \alph{enumi}. - - -\alph\alph -tape compteur en utilisant des lettre en bas de casse : &textlsquo;a&textrsquo;, &textlsquo;b&textrsquo;, &enddots; - -\Alph\Alph -Utilise des lettres capitales : &textlsquo;A&textrsquo;, &textlsquo;B&textrsquo;, &enddots; - -\arabic\arabic -Utilise des numéro en chiffres arabes : &textlsquo;1&textrsquo;, &textlsquo;2&textrsquo;, &enddots; +\footnote + +Synopsis : -\roman\roman -Utilise des nombres romains en bas de casse : &textlsquo;i&textrsquo;, &textlsquo;ii&textrsquo;, &enddots; + +
\footnote[numéro]{texte}
+
+ +Place en bas de la page courante une note texte numérotée. -
\Roman\Roman -Utilise des nombres romains en capitales : &textlsquo;I&textrsquo;, &textlsquo;II&textrsquo;, &enddots; + +
Il y a plus d'un milier de notes en bas de page dans \textit{Histoire
+Du Déclin Et De La Chute De L'empire Romain}\footnote{Après la lecture
+d'une version préléminaire, David Hume s'est plaint, « On souffre d'un
+fléau avec ces notes, selon la méthode acutelle d'imprimer le livre » et
+il suggera qu'elles « ne soient seulement imprimée dans la marge ou en
+bas de page »} d'Édouard Gibbon.
+
+ +L&textrsquo;argument optionnel numéro vous perme de spécifier le numéro de +la note. Le compteur footnote donnant le numéro de la note n&textrsquo;est +pas incrémenté si vous utilisez cette option, mais l&textrsquo;est dans le cas +contraire. -
\fnsymbol\fnsymbol -Tape la valeur de compteur dans une séquence spécifique de neuf -symboles (utilisés par convention pour la numérotation des notes en bas -de page). La valeur de compteur doit être comprise entre 1 -et 9 inclus. +note en bas de page, symboles au lieu de numéros +\fnsymbol, et note en bas de page +\&arobase;fnsymbol +Changez l&textrsquo;aspect que &latex; donne au compteur de note en bas de page +avec quelque chose du genre de +\renewcommand{\thefootnote}{\fnsymbol{footnote}}, ce qui +utilise une séquence de symboles (\alph \Alph \arabic \roman +\Roman \fnsymbol). Pour rendre ce changement global mettez cela dans +le préambule. Si vous faite ce changement local alors vous désirerez +sans doute réinitialiser le compte avec +\setcounter{footnote}{0}. Par défaut &latex; utilise des +nombres arabes. -Voici ces symboles : - - -NomCommandeÉquivalent Unicode - -astérisque\ast* - -obèle\dagger† - -double-obèle\ddagger‡ - -marque-de-section\S§ - -marque-de-paragraphe\P¶ - -parallèle\parallel‖ - -asterisque-double\ast\ast** - -obèle-double\dagger\dagger†† - -double-obèle-double\ddagger\ddagger‡‡ - - -
+ + + + + + + + + + + + + + + + + + + -
-\usecounter\value\alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbolCounters -
\usecounter{compteur} -\usecounter -article d&textrsquo;une liste, compteur spécifiant -articles numérotés, compteur spécifiant - -Synopsis : +Le comportement par défaut de &latex; met beaucoup de restrictions sur +l&textrsquo;endroit où l&textrsquo;on peut utiliser une \footnote ; par exemple, vous +ne pouvez pas l&textrsquo;utiliser dans l&textrsquo;argument d&textrsquo;une commande de rubricage +telle que \chapter (elle ne peut être utilisée seulement en mode +paragraphe le plus externe). Il y a des contournements ; voir les +rubriques suivantes. + - -
\usecounter{compteur}
-
- -La commande \usecounter est utilisée dans le second argument de -l&textrsquo;environnement list pour spécifier le compteur à utiliser -pour numéroter les articles de la liste. +Notes en bas de page, au sein d&textrsquo;une minipage +mpfootnote, compteur +Au sein d&textrsquo;un environnement minipage la commande \footnote +utilise le compteur mpfootnote au lieu de footnote, de +sorte que les notes sont numérotéee indépendemment. Elles apparaissent +au bas de l&textrsquo;environnement, et non au bas de la page. Et par défaut +elles apparaissent alphabétiquement. minipage.
-\value\setcounter\usecounterCounters -
\value{compteur} -\value -compteurs, obtenir la valeur d&textrsquo;un +\footnotemark\footnotetext\footnoteFootnotes +
\footnotemark + +\footnotemark Synopsis : -
\value{compteur}
+
\footnotemark
 
-La commande \value produit la valeur de compteur. Ça peut -être utilisé partout là où &latex; attend un nombre, par exemple : +Sans l&textrsquo;argument optionnel, la commande \footnotemark place dans +le texte le numéro de la note courante. Cette commande peut être +utilisée en mode paragraphe interne. Vous pouvez donner le texte de la +note séparément la commande \footnotetext. + +Cette commande pour produire plusieurs marque de note en bas de page +faisant référence à la même note avec -
\setcounter{moncompteur}{3}
-\addtocounter{moncompteur}{1}
-\hspace{\value{moncompteur}\parindent}
+
\footnotemark[\value{footnote}]
 
+ +après la première commande \footnote. +
-\setcounter\addtocounter\valueCounters -
\setcounter{compteur}{value} -\setcounter -compteurs, réglage -réglage de compteurs +\footnotetextFootnotes in a table\footnotemarkFootnotes +
\footnotetext +\footnotetext -Synopsis : +Synopsis, l&textrsquo;un des deux : -
\setcounter{compteur}{value}
+
\footnotetext{texte}
+\footnotetext[numéro]{texte}
 
-La commande \setcounter règle la valeur de compteur à -l&textrsquo;argument value. +Place texte au bas de la page comme une note en bas de page. Cette +This commande peut appraître n&textrsquo;importe où après la commande +\footnotemark. L&textrsquo;argument optionnel numéro change le numéro +de note affiché. La commande \footnotetext ne doit être utilisée +qu&textrsquo;en mode paragraphe externe.
-\addtocounter\refstepcounter\setcounterCounters -
\addtocounter{compteur}{valeur} -\addtocounter +Footnotes in a tableFootnotes in section headings\footnotetextFootnotes +
Notes en bas de page dans un tableau -La commande \addtocounter incrémente compteur de la -quantité spécifiée par l&textrsquo;argument valeur, qui peut être negatif. +Notes en bas de page, dans un tableau + +Au sein d&textrsquo;un environnement table la commande \footnote ne +fonctionne pas. Par exemple, si le code ci-dessous apparaît sans plus +alors la note disapaît tout simplement ; il y aura une marque de note +dans la cellule du tableau mais rien n&textrsquo;est composé en bas de la page. + +
\begin{center}
+     \begin{tabular}{l|l}
+     \textsc{Ship}  &\textsc{Book} \\ \hline
+     \textit{HMS Sophie}     &Master and Commander  \\
+     \textit{HMS Polychrest} &Post Captain  \\
+     \textit{HMS Lively}     &Post Captain \\
+     \textit{HMS Surprise}   &A number of books\footnote{Starting with
+                                HMS Surprise.}
+     \end{tabular}
+\end{center}
+
-
-\refstepcounter\stepcounter\addtocounterCounters -
\refstepcounter{compteur} -\refstepcounter +La solution est d&textrsquo;entourer l&textrsquo;environnement the tabular d&textrsquo;un environnement +minipage, comme ci-après (minipage). + + +
\begin{center}
+  \begin{minipage}{.5\textwidth}
+    .. matériel tabulaire ..
+  \end{minipage}
+\end{center}
+
-La commande \refstepcounter fonctionne de la même façon que -\stepcounter \stepcounter, à ceci près qu&textrsquo;elle définit -également la valeur courante de \ref comme le résultat de -\thecounter. +La même technique marche au sein d&textrsquo;un environnement table +flottant (table). To get the footnote at the bottom of the page +use the tablefootnote package, comme illustré dans l&textrsquo;exemple +ci-apès. Si vous placez \usepackage{tablefootnote} dans le +préambule et utilisez le code source ci-dessous, alors la note +apparaîtra en bas de la page et sera numérotée dans la même séquence que +les autres notes en bas de page. + +
\begin{table}
+  \centering
+     \begin{tabular}{l|l}
+     \textsc{Date}  &\textsc{Campagne} \\ \hline
+     1862           &Fort Donelson \\
+     1863           &Vicksburg     \\
+     1865           &Armée de Virginie du Nord\footnote{Fin de la
+                     guerre.}
+     \end{tabular}
+    \caption{Forces capturées par le général Grant}
+\end{table}
+
+
-\stepcounter\day \month \year\refstepcounterCounters -
\stepcounter{compteur} -\stepcounter +Footnotes in section headingsFootnote parametersFootnotes in a tableFootnotes +
Note en bas de page dont le renvoi est au sein d&textrsquo;un titre de rubrique -La commande \stepcounter ajouter un à compteur et -re-initialise tous les compteurs subsidiaires. +notes en bas de page, dans les titres de rubrique +table des matières, éviter les notes en bas de page +Mettre une note en bas de page depuis un titre de rubrique, comme dans : + +
\section{Les ensembles complets\protect\footnote{Ce texte est dû à ...}}
+
-
-\day \month \year\stepcounterCounters -
\day \month \year: Predefined compteurs -\day -\month -\year +paquetage footmisc +footmisc, paquetage -&latex; définit des compteurs pour le quantième du mois (\day, -1&textndash;31), le mois de l&textrsquo;année (\month, 1&textndash;12), et l&textrsquo;année -(\year, de l&textrsquo;ère chrétienne). Quand &tex; démarre, ils sont mis -à la valeur courante du système sur lequel &tex; s&textrsquo;exécute. Ils ne sont -pas remis à jour pendant que le traitement par &tex; progresse. +stable, option du paquetage footmisc +option stable du paquetage footmisc + +a pour effet que la note en bas de page apparaît à la fois en bas de la +page où la rubrique commence, et de celle où son titre apparaît dans la +table des matières, ce qui vraisembablement n&textrsquo;est pas voulu. Pour +qu&textrsquo;elle n&textrsquo;apparaisse pas sur la table des matières utilisez le paquetage +footmisc avec l&textrsquo;option stable. -En relation avec ces compteurs, la commande \today produit une -chaîne représentant le jour courant (\today). + +
\usepackage[stable]{footmisc}
+ ..
+\begin{document}
+ ..
+\section{Les ensembles complets\footnote{Ce texte est dû à R~Jones.}}
+
+ +Notez que le \protect a disparu ; l&textrsquo;inclure aurait pour effet que +la note en bas de page apparaîtrait de nouveau dans la table des +matières. + +
+Footnote parametersFootnotes in section headingsFootnotes +
Paramètres des notes en bas de page +notes en bas de page, paramètres +paramètres, pour notes en bas de page + + +\footnoterule\footnoterule +Produit le filet de séparation entre texte principal sur une page et les +notes en bas de cette page. Les dimension par défaut : épaisseur (ou +largeur) 0.4pt, et longueur 0.4\columnwidth dans les +classes standard de document (à l&textrsquo;exception slide, où elle +n&textrsquo;apparaît pas). + +\footnotesep\footnotesep +La hauteur de l&textrsquo;étai placé au début de la note en bas de page. Par +défaut, c&textrsquo;est réglé à l&textrsquo;étai nomal pour des police de taille +\footnotesize (Font sizes), donc il n&textrsquo;y a pas d&textrsquo;espace +supplémentaire entre les notes. Cela vaut 6.65pt pour des polices +à 10pt, 7.7pt pour 11pt, et 8.4pt pour +12pt. + +
-LengthsMaking paragraphsCountersTop -Longueurs -longueurs, définir et utiliser +DefinitionsCountersFootnotesTop +Définitions +définitions -longueur -Une longeur est une mesure de distance. Beaucoup de commandes -&latex; prennent une longueur en argument. +&latex; prend en charges la fabrication de nouvelles commandes de bien +des genres. + + + -Unités de longueurUnits of length
Les unités que &latex; connaît.
-
\setlength
Règle la valeur d&textrsquo;une longueur.
-
\addtolength
Ajoute une quantité à une longueur.
-
\settodepth
Assigne à une longueur la profondeur de quelque-chose.
-
\settoheight
Assigne à une longueur la hauteur de quelque-chose.
-
\settowidth
Assigne à une longueur la largeur de quelque-chose.
-
Longueurs prédéfiniesPredefined lengths
Les longueur qui sont, en quelque sorte, prédéfinies.
+\newcommand & \renewcommand
(Re)définir une nouvelle commande.
+
\providecommand
Définir une commande, si le nom n&textrsquo;est pas utilsé.
+
\makeatletter et \makeatother\makeatletter & \makeatother
Change la catégorie du caractère arobe.
+
\&arobase;ifstar
Définir vos propres commandes étoilées.
+
\newcounter
Définir un nouveau compteur.
+
\newlength
Définir une nouvelle longueur.
+
\newsavebox
Définir une nouvelle boîte.
+
\newenvironment & \renewenvironment
Définir un nouvel environnement.
+
\newtheorem
Définir un nouvel environnement de semblable à theorem.
+
\newfont
Définir un nouveau nom de police.
+
\protect
Utiliser des commandes fragile.
 
-Units of length\setlengthLengths -
Unités de longueur - -unités, de longueur +\newcommand & \renewcommand\providecommandDefinitions +
\newcommand & \renewcommand +\newcommand +commandes, en définir de nouvelles +définir une nouvelle commande +nouvelle commandes, définir -&tex; et &latex; connaissent ces unités aussi bien en mode -mathématique qu&textrsquo;en dehors de celui-ci. +\newcommand définit une nouvelle commande, et +\renewcommand la redéfinit. - -pt -pt -Point -Point (1/72,27)pouce. La conversion en unités métriques units, avec deux -chiffres après la virgule, est 1point = 2,85mm = 28,45cm. +Synopsis : -pc -pica -pc -Pica, 12pt + +
  \newcommand{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
+\renewcommand{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
+  \newcommand*{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
+\renewcommand*{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
+
+ + +Définit ou redéfinit une commande (voir aussi la discussion de +\DeclareRobustCommand dans Class and package commands). -
in -in -pouce (inch) -Pouce, 72,27pt +forme en *, définir de nouvelles commandes +forme étoilée, définir de nouvelles commandes +\long +La forme étoilée (en *) de ces commandes interdit que les +arguments contiennent une multiplicité de paragraphes de texte (la +commande n&textrsquo;est pas \long, dans la terminologie de +&tex; de base). Avec la forme par défaut, il est possible qu&textrsquo;un +argument soit une multiplicité de paragraphes. -bp -bp -Big point -Big point, 1/72 pouce. Cette longueur est la défition d&textrsquo;un point en -PostScript et dans beaucoup d&textrsquo;autres systèmes bureautiques d&textrsquo;éditique -(PAO). +
+cmd +Obligatoire ; \cmd est le nom de la commande. Pour +\newcommand, il ne doit pas être déja défini et ne doit pas +commencer avec \end ; pour \renewcommand, il doit être +déja défini. -cm -Centimètre -cm -Centimetre +nargs +Optionnel ; un entier compris entre 1 et 9 spécifiant le nombre +d&textrsquo;arguments que commande peut prendre, y compris un éventuel argument +optionnel. Si cet argument n&textrsquo;est pas présent, alors la spécification par +défaut est que la commande ne prend aucun argument. Lorsque on redéfinit +une commande, la nouvelle version peut prendre un nombre différent +d&textrsquo;arguments par rapport à l&textrsquo;ancienne. -mm -Millimètre -mm -Millimètre +optargdéfaut +Optionnel ; si cet argument est present, alors le premier argument de la +commande \cmd en définition est optionnel, et sa valeur par +défaut est optargdéfaut (qui peut être une chaîne vide). Si cet +argument n&textrsquo;est pas présent, alors \cmd ne prend pas +d&textrsquo;argument optionnel. -dd -point Didot -dd -Point Didot, 1,07pt +paramètre positionnel +C&textrsquo;est à dire que si \cmd est utilisé avec des crochets à la +suite, comme dans \cmd[maval], alors au sein de +défn le premier paramètre positionnel #1 se développe +en maval. Par contre si \cmd est appelé sans crochet à +la suite, alors au sein de défn le paramètre positionnel #1 +se développe en la valeur par défaut optargdéfaut. Dans tous les +cas, tout argument obligatoire sera désigné en commençant par #2. -cc -Cicero -cc -Cicero, 12dd +Omettre [maval] dans un appel n&textrsquo;est pas la même chose +qu&textrsquo;avoir les crochets ne contenant rien, comme dans []. Dans le +premier cas le paramètre #1 se développe en optargdéfaut ; +alors que dans le second #1 se développe en une chaîne vide. -sp -Point proportionné (Scaled point) -sp -Point proportionné, (1/65536)pt +défn +Le texte par lequel substituer chaque occurrence de \cmd ; le +paramètre positionnel #n au sein de défn est +remplacée par le texte passé comme nième argument.
-cadratin -x, hauteur d&textrsquo;un -m, largeur d&textrsquo;un -ex -em -em -Deux autre longueurs sont souvent utilisées et sont des valeurs réglées -par les créateurs de caractères typographiques. La hauteur ex -d&textrsquo;un x de la fonte coutante , traditionnellement la hauteur de la lettre -x en bas de casse, est souvent utilisée pour les longueurs -verticales. De même le em, traditionnellement la largeur de la -lettre M capitale, est souvant utilisée pour les longueurs horizontales -(il y a aussi \enspace qui vaut 0.5em). L&textrsquo;utilisation de -ces unités peut aider améliorer le fonctionnement d&textrsquo;une définition lors -des changements de fonte. Par exemple, il est plus probable qu&textrsquo;une -définition de l&textrsquo;espace verticale entre les articles d&textrsquo;une liste donnée -comme \setlength{\itemsep}{1ex plus 0.05ex minus 0.01ex} -reste raisonnable si la fonte est changée que si elle était exprimée en -points. +&tex; ignore les espaces dans le code source à la suite d&textrsquo;une commande (ou de +toute séquence de contrôle), comme dans \cmd . Si vous désirez une +espace réellement à cet endroit, une solution est de taper {} après la +commande (\cmd{} ), et un autre est d&textrsquo;utiliser un espace de contrôle +explicite (\cmd\ ). -mu, unité mathématique -mu -En mode mathématique, beaucoup de définitions sont exprimées dans -l&textrsquo;unité mathématique mu donnée par 1em = 18mu, où le -em est pris de la famille courante des symboles mathématiques. -Spacing in math mode. +Un exemple simple de définition d&textrsquo;une nouvelle commande : +\newcommand{\JM}{Jean Martin} a pour effet le remplacement de +l&textrsquo;abréviation \JM par le texte plus long de la définition. - -
-\setlength\addtolengthUnits of lengthLengths -
\setlength -\setlength -longueur, régler une - -Synopsis : +La redéfinition d&textrsquo;une commande existante est similaire : +\renewcommand{\symbolecqfd}{{\small CQFD}}. + +Voici la définition d&textrsquo;une commande avec un argument obligatoire : -
\setlength{\longueur}{valeur}
+
\newcommand{\defref}[1]{Définition~\ref{#1}}
 
-La commande \setlength règle la valeur d&textrsquo;une commande de -longueur -commande de longueur -longueur, commande de -\longueur à l&textrsquo;argument valeur qui peut être -exprimé dans n&textrsquo;importe quelle unité comprise par &latex;, c.-à-d.&noeos; des -pouces (in), des millimètres (mm), des points (pt), -des « big points » (bp), etc. + Alors, \defref{def:basis} se développe en +Définition~\ref{def:basis}, ce qui en fin de compte se développera en +quelque-chose du genre de Définition~3.14. -
-\addtolength\settodepth\setlengthLengths -
\addtolength -\addtolength -longueur, ajouter à une - -Synopsis : +Un exemple avec deux arguments obligatoires : +\newcommand{\nbym}[2]{$#1 \times #2$} est invoqué comme +\nbym{2}{k}. + +Un exemple avec un argument optionnel : -
\addtolength{\longueur}{valeur}
+
\newcommand{\salutation}[1][Madame, Monsieur]{#1,}
 
-La commande \addtolength incrémente une commande de longueur -\longueur de la quantité spécifiée par l&textrsquo;argument -quantité, ce qui peut être négatif. + Alors, \salutation donne Madame, Monsieur, alors +\salutation[Cher Jean] donne Cher Jean,. Et +\salutation[] donne ,. -
-\settodepth\settoheight\addtolengthLengths -
\settodepth -\settodepth - -Synopsis : +Les accolades autour de défn ne définissent pas un groupe, c.-à-d.&noeos; +qu&textrsquo;elle ne délimitent pas la portée du résultat du développement de défn. +Ainsi la définition \newcommand{\nomnavire}[1]{\it #1} est problématique ; +dans cette phrase -
\settodepth{\longueur}{texte}
+
Le \nomnavire{Monitor} rencontra le \nomnavire{Merrimac}.
 
-La commande \settodepth règle la valeur d&textrsquo;une commande le -longueur \longueur à la profondeur de l&textrsquo;argument texte. + les mots rencontra le sont mis incorrectement en +italique. Une paire supplémentaire d&textrsquo;accolades est nécessaire, comme cela : +\newcommand{\nomnavire}[1]{{\it #1}}. Ces accolades font partie de +la définition et par conséquent définissent bien un groupe. + + +
-\settoheight\settowidth\settodepthLengths -
\settoheight -\settoheight +\providecommand\makeatletter & \makeatother\newcommand & \renewcommandDefinitions +
\providecommand +\providecommand +commandes, définir de nouvelles +définir une nouvelle commande +nouvelles commandes, définir + +Définit une commande, du moment qu&textrsquo;aucune commande de même nom n&textrsquo;existe déjà. + Synopsis : -
\settoheight{\longueur}{texte}
+
\providecommand{cmd}[nargs][optargdéfaut]{defn}
+\providecommand*{cmd}[nargs][optargdéfaut]{defn}
 
-La commande \settoheight règle la valeur d&textrsquo;une commande le -longueur \longueur à la hauteur de l&textrsquo;argument texte. - +Si aucune commande de ce nom n&textrsquo;existe alors ceci a le même effet que +\newcommand (\newcommand & \renewcommand). Si une +commande de ce nom existe déjà alors cette définition est sans +effet. Ceci est particulièrement utile dans un fichier de style, ou dans +tout fichier susceptible d&textrsquo;être chargé plus d&textrsquo;une fois. +
-\settowidthPredefined lengths\settoheightLengths -
\settowidth -\settowidth +\makeatletter & \makeatother\&arobase;ifstar\providecommandDefinitions +
\makeatletter et \makeatother Synopsis : -
\settowidth{\longueur}{texte}
+
\makeatletter
+  ... définition de commande comprenant &arobase; dans leur nom ..
+\makeatother
 
- -La commande \settoheight règle la valeur d&textrsquo;une commande le -longueur \longueur à la largeur de l&textrsquo;argument texte. +Utilisez cette paire de commande quand vous redéfinissser les commandes +&latex; dont le nom comprend un caractère arobe &arobase;. La +déclaration \makeatletter a pour effet que le caractère +arobase &arobase; ait le code de catégorie des lettres, c.-à-d.&noeos; 11. La +déclaration \makeatother règle de code de catégorie de &arobase; +à 12, sa valeur d&textrsquo;origine. +À mesure que chaque caractère est lu par &tex; pour &latex;, un code +de catégorie lui est assigné. On appelle aussi ce code +catcode +code de catégorie de caractère +catégorie, code de caractère +catcode pour faire court. Par exemple, la contre-oblique \ +reçoit le catcode 0. Les noms de commande consistent en un caractère de +catégorie 0, d&textrsquo;ordinaire une contr&textrsquo;oblique, suivi par des lettres, +c-à-d.&noeos; des caractères de catégorie 11 (à ceci près qu&textrsquo;une commande +peut également consister en un caractère de catégorie 0 suivi d&textrsquo;un +unique caractère qui n&textrsquo;est pas une lettre). + +Le code source de &latex; suit la convention que certaines commandes +utilisent &arobase; dans leur nom. Ces commandes sont principalement +destinées aux auteurs de paquetages ou de classes. Cette convention +empèche les auteurs qui sont juste utilisateurs d&textrsquo;un paquetage ou d&textrsquo;une +classe de remplacer accidentellement une telle commande par une commande +définie par eux, puisque par défaut l&textrsquo;arobe a le catcode 12 (other). + +Utilisez la paire \makeatletter et \makeatother au sein +d&textrsquo;un fichier .tex, typiquement dans le préambule, quand vous +définissez ou redéfinissez des commandes dont le nom comprend &arobase;, +en entourant votre définition par elles. Ne les utilisez pas au sein de +fichiers .sty ou .cls puisque les commandes +\usepackage et \documentclass font déjà le nécessaire pour +que l&textrsquo;arobe ait le catcode d&textrsquo;une lettre, à savoir 11. + +paquetage macros2e +macros2e, paquetage + +Pour une liste complète des macros contenant une arobase dans leur nom, +voir le document http://ctan.org/pkg/macros2e. + + + + +Dans l&textrsquo;exemple suivant une commande \these&arobase;nomuniversite se +trouve dans le fichier de classe, et l&textrsquo;utilisateur veut changer sa +définition. Pour cela, il suffit d&textrsquo;insérer les trois lignes suivantes +dans le préambule, avant le \begin{document} : + + +
\makeatletter
+\renewcommand{\these&arobase;nomuniversite}{Université Lyon III Jean Moulin}
+\makeatother
+
+
-Predefined lengths\settowidthLengths -
Longueurs prédéfinies -longueurs prédéfinies -prédéfinies, longueurs +\&arobase;ifstar\newcounter\makeatletter & \makeatotherDefinitions +
\&arobase;ifstar -\width -\width - -\height -\height +\&arobase;ifstar +commandes, variantes étoilées +étoilées, variantes de commandes + + + + + +Vous l&textrsquo;avez sans doute remarqué, beaucoup d&textrsquo;environnements ou commandes +standards de &latex; existent sous une variante étoilée. Vous pouvez avoir +envie de reprendre cette idée quand vous définissez vos commandes et arguments. -\depth -\depth +Si vous avez lu \newenvironment & \renewenvironment, vous aurez compris +que c&textrsquo;est immédiat pour les environnements car l&textrsquo;étoile est un caractère +autorisé dans les noms d&textrsquo;environnements. Il vous suffit donc de faire +\newenvironment{monenv} et +\newenvironment{monenv*} avec les définitions souhaitées. -\totalheight -\totalheight +Pour les commandes, c&textrsquo;est plus compliqué car l&textrsquo;étoile ne peut pas faire partie +du nom de la commande. Il y aura donc une première commande, qui devra être +capable de regarder si elle est ou non suivie d&textrsquo;une étoile et d&textrsquo;adapter son +comportement en conséquence. Cette première commande ne pourra pas accepter +d&textrsquo;argument, mais pourra faire appel à des commandes qui en acceptent. Par +ailleurs, on utilise la commande \&arobase;ifstar interne du noyau &latex; et +vous pouvez vous reportez à « \makeatletter & \makeatother » pour +comprendre pourquoi cela implique l&textrsquo;usage d&textrsquo;un bloc +\makeatletter...\makeatother. -Ces paramètres de longueur peuvent être utilisés au sein des arguments -des commandes de fabrication de boîte (Boxes). Il spécifient la -largeur naturelle, etc., du texte dans la boîte. \totalheight -vaut &backslashchar;height + -&backslashchar;depth. Pour frabriquer une boîte dont le texte -est dilaté au double de sa taille naturelle, écrivez par ex.&noeos; : +Dans cet exemple, on définit \ciel comme une commande avec un +argument obligatoire et admettant une variante étoilée \ciel* +également avec un argument obligatoire : -
\makebox[2\width]{Dilatez moi}
+
\makeatletter
+\newcommand*\ciel&arobase;starred[1]{ciel #1 étoilé}
+\newcommand*\ciel&arobase;unstarred[1]{ciel #1 non étoilé}
+\newcommand\ciel{\&arobase;ifstar{\ciel&arobase;starred}{\ciel&arobase;unstarred}}
+\makeatother
 
- -
- -Making paragraphsMath formulasLengthsTop -Faire des paragraphes -Faire des paragraphes -paragraphes - -Un paragraphe se termine par une ou plusieurs lignes complètement blanches -&textmdash; des lignes ne contenant même pas un %. Une ligne à blanc ne -devrait pas apparaître là où un nouveau paragraphe n&textrsquo;a pas le droit de -commencer, tel que en mode mathématique ou dans l&textrsquo;argument d&textrsquo;une -commande de rubricage. + ainsi, \ciel{bleu} composera « ciel bleu non étoilé » tandis que +\ciel*{nocturne} composera « ciel nocturne étoilé ». - -\indent
Renfoncer ce paragraphe.
-
\noindent
Ne pas renfoncer ce paragraphe.
-
\parskip
L&textrsquo;espace ajouté avant les paragraphes.
-
Notes en margeMarginal notes
Mettre des remarques dans la marge.
-
- - -\indent\noindentMaking paragraphs -
\indent -\indent -\parindent -renfoncement, forcer - -\indent produit un espace horizontal dont la largeur est égale à -la longueur \parindent, le -renfoncement, forcer -renfoncement normal d&textrsquo;un paragraphe. Elle est utilisée pour -ajouter un renfoncement de paragraphe là où il serait autrement -supprimé. +Notez que les commandes intermédiaires \ciel&arobase;starred et +\ciel&arobase;unstarred comportent un &arobase; dans leur nom ce qui est +possible puisque elles apparaissent au sein d&textrsquo;un bloc +\makeatletter...\makeatother. Ceci assure qu&textrsquo;elles ne puissent pas être +utilisées directement dans le document. L&textrsquo;utilisation de &arobase; dans le nom +comporte certes un risque de collision avec une commande interne du noyeau +&latex;, mais une telle collision est facile à détecter et corriger car +\newcommand*{\cmd} vérifie que si la commande \cmd +n&textrsquo;est pas déjà définie et génère une erreur si c&textrsquo;est le cas. -La valeur par défaut de \parindent est 1em en mode -two-column, autrement elle vaut 15pt pour les documents -10pt, 17pt pour 11pt, et 1.5em pour -12pt. +Voici un autre exemple, où la commande \agentsecret comporte deux +arguments, tandis que sa variante étoilée \agentsecret* n&textrsquo;en présente qu&textrsquo;un seul : + +
\makeatletter
+\newcommand*\agentsecret&arobase;starred[1]{\textsc{#1}}
+\newcommand*\agentsecret&arobase;unstarred[2]{\textit{#1} \textsc{#2}}
+\newcommand\agentsecret{\&arobase;ifstar{\agentsecret&arobase;starred}
+{\agentsecret&arobase;unstarred}}
+\makeatother
+
-
-\noindent\parskip\indentMaking paragraphs -
\noindent -\noindent -renfoncement, supprimer - -Utilisée au commencement d&textrsquo;un paragraphe, la commande -\noindent supprime tout renfoncement de paragraphe. + Avec cette définition, la célèbre réplique de l&textrsquo;agent 007 : -
... fin du paragraphe précédent.
-
-\noindent Ce paragraphe n'est pas renfoncé.
+
Je m'appelle \agentsecret*{Bond}, \agentsecret{James}{Bond}.
 
- -Elle est sans effet quand elle est utilisée au milieu d&textrsquo;un paragraphe. - -Pour éliminer le renfoncement de paragraphe dans tout un document, mettez -\setlength{\parindent}{0pt} dans le préambule. + est équivalente à : + +
Je m'appelle \textsc{Bond}, \textit{James} textsc{Bond}.
+
-
-\parskipMarginal notes\noindentMaking paragraphs -
\parskip -\parskip -espace vertical avant les paragraphes - -\parskip est une longueur élastique définissant l&textrsquo;espace vertical -additionnel ajouté avant chaque paragraphe. La valeur par défaut est 0pt -plus1pt. +Un dernier mot : +dans le nom d&textrsquo;une commande, l&textrsquo;étoile est comme une sorte d&textrsquo;argument optionnel. +Ceci est différent des noms d&textrsquo;environnement, où l&textrsquo;étoile fait partie +du nom lui-même, et peut donc être à n&textrsquo;importe quelle position ! +D&textrsquo;un point de vue purement &tex;nique il est donc possible de mettre un nombre indéfini +d&textrsquo;espaces entre la commande et l&textrsquo;étoile. Ainsi \agentsecret*{Bond} et +\agentsecret *{Bond} sont équivalents. Toutefois la pratique commune +est de ne jamais insérer de tels espaces. -
-Marginal notes\parskipMaking paragraphs -
Notes en marge -Notes en marge -notes dans la marge -remarks in the marge -\marginpar +\newcounter\newlength\&arobase;ifstarDefinitions +
\newcounter : allouer un compteur +\newcounter +compteurs, définir de nouveaux Synopsis : -
\marginpar[gauche]{droite}
+
\newcounter{nomcompteur}
+\newcounter{nomcompteur}[super]
 
-La commande \marginpar crée une note dans la marge. La première -ligne de la note a la même ligne de base que la ligne dans le texte où le -\marginpar se trouve. - -Lorsque vous spécifiez seulement l&textrsquo;argument obligatoire droite, le texte -est placé - - - -dans la marge de droite pour une disposition en recto simple (option -oneside, voir Document class options) ; - -dans la marge extérieure pour une disposition en recto-verso (option -twoside, voir Document class options) ; - -dans la nearest la plus proche pour une disposition à deux colonnes -(option twocolumn, voir Document class options). - - -\reversemarginpar -\normalmarginpar -La commande \reversemarginpar place les notes en marge suivante -sur la marge opposée (interne). \normalmarginpar les replace -dans la position par défaut. - -Lorsque vous spécifier les deux arguments, gauche est utilisé pour -is used la marge de gauche, et droite est utilisé pour la marge de -is used droite. - -Le premier mot doit normalement ne pas être sujet à une césure ; Vous -pouvez activer la césure à cet endroit en commençant le nœud avec -\hspace{0pt}. - -Ces paramètres affectent le formattage de la note : - - -\marginparpush\marginparpush -Espace verticale minimale entre les notes ; par défaut 7pt pour -des documents à 12pt, 5pt sinon. - -\marginparsep\marginparsep -Espace horizontale entre le texte principal et la note ; par défaut -11pt pour des documents à 10pt, 10pt sinon. +La commande \newcounter définit un nouveau compteur nommé nomcompteur. +Le nouveau compteur est initialisé à zéro. -\marginparwidth\marginparwidth -Largeur de la note même ; la valeur par défaut est 90pt pour un -document en recto simple et à 10pt , 83pt pour -11pt, et 68pt pour 12pt ; 17pt de plus dans -chacun de ces cas pour un document recto-verso. En mode à deux colonnes, -la valeur par défaut est 48pt. +Quand l&textrsquo;argument optionnel [super] est fourni, le compteur +nomcompteur est réinitialisé à chaque incrémentation du compteur +nommé super. - - -La routine standarde de &latex; pour les notes en marge n&textrsquo;empêche pas -les notes de déborder hors du bas de la page. - - - +Counters, pour plus d&textrsquo;information à propos des compteurs.
- -Math formulasModesMaking paragraphsTop -Formules mathématiques - -formules mathématiques -formules, math -mode mathématique, entrer -environnement math -math, environnement -environnement displaymath -displaymath, environnement -environnement equation -equation, environnement -Il y a trois environnements qui mettent &latex; en mode mathématique : - - -math -Pour les formules qui apparaissent directement dans le texte. -displaymath -Pour les formules qui apparaissent sur leur propre ligne. -equation -Parail que l&textrsquo;environnement displaymath sauf qu&textrsquo;il ajoute un -numéro d&textrsquo;équation dans la marge de droite. -
+\newlength\newsavebox\newcounterDefinitions +
\newlength : allouer une longueur +\newlength +longueurs, allouer de nouvelles +longueurs élastiques, définir de nouvelles +élastiques, définir de nouvelles longueurs +pas, registre de, &tex; de base +ressort, registre de, &tex; de base -\( -\) -\[ -\] -L&textrsquo;environnement math peut être utilsé aussi bien en mode -paragraphe qu&textrsquo;en mode LR, mais les environnements displaymath et -equation ne peuvent être utilisés qu&textrsquo;en mode paragraphe. Les -environnements math et displaymath sont utilisés si -souvent qu&textrsquo;ils ont les formes abrégées suivantes : +Alloue un nouveau registre de longueur. Synopsis : -
\(...\) au lieu de \begin{math}...\end{math}
-\[...\] au lieu de \begin{displaymath}...\end{displaymath}
+
\newlength{\arg}
 
-$ -En fait, l&textrsquo;environnement math est si fréquent qu&textrsquo;il a une forme -encore plus courte : +Cette commande prnedre un argument obligatoire qui doit commencer par +une contr&textrsquo;oblique (\). Elle crée un nouveau registre de longueur +nommé \arg, ce qui constitue un emplacement où détenir des +longueurs (élastiques) telles que 1in plus.2in minus.1in (ce que +&tex; de base appelle un registre skip, ou regristre de +pas). Le registre est crée avec une valeur initiale de zéro. La séquence +de contrôle \arg doit ne pas être déjà définie. - -
$ ... $ au lieu de \(...\)
-
- -\boldmath -\unboldmath -La commande \boldmath change les lettres and symboles -mathématiques pour qu&textrsquo;il soient en gras. Elle est utilisée en -dehors du mode mathématique. À l&textrsquo;inverse, la commande -\unboldmath change les glyphes mathématique pour qu&textrsquo;ils soient -dans une fonte normale ; elle aussi est à utiliser en dehors du -mode mathématique. +Lengths, pour plus d&textrsquo;information à propos des longueurs. - -\displaystyle -La déclaration \displaystyle force la taille et le style de la -formule à être ceux de displaymath, par ex., avec les limites au -dessus et en dessous le signe de sommation. Par exemple - -
$\displaystyle \sum_{n=0}^\infty x_n $
-
- - - - -Indices inférieurs & supérieursSubscripts & superscripts
Également connue comme exposant ou indice.
-
Symboles mathématiquesMath symbols
Gribouillis mathématiques divers.
-
Fonction mathématiquesMath functions
Nom de fonctions mathématiques comme sin et exp.
-
Accents en mathMath accents
Accents en math.
-
Espacement en mode mathématiqueSpacing in math mode
Espaces épaisse, moyenne, fine et négative.
-
Miscellanée mathématiqueMath miscellany
Tout ce qu&textrsquo;on n&textrsquo;a pas pu casé ailleurs.
-
+
+\newsavebox\newenvironment & \renewenvironment\newlengthDefinitions +
\newsavebox : allouer une boîte -Subscripts & superscriptsMath symbolsMath formulas -
Indices inférieurs & supérieurs -indice supérieur -indice inférieur -exposant -_ -^ +\newsavebox +boîte, allouer une nouvelle -En mode mathématique, utilisez le caractère caret ^ pour qu&textrsquo;une -expression exp apparaisse en indice supérieur, c.-à-d.&noeos; tapez -^{exp}. Similairement, en mode mathémtique, -_{exp} fait un indice inférieur de exp. - -Dans cet exemple le 0 et le 1 apparaissent comme indices -inférieurs alors que le 2 est un indice supérieur. +Alloue un « baquet » pour détenir une boîte. Synopsis : -
\( (x_0+x_1)^2 \)
+
\newsavebox{\cmd}
 
-Pour avoir plus d&textrsquo;un caractère au sein de exp utilisez des -accolades comme dans e^{-2x}. +Définit \cmd pour se référer à un nouveau baquet pour stocker +des boîtes. Une telle boîte sert à détenir du matériel composé, pour +l&textrsquo;utiliser plusieurs fois (Boxes) ou pour le mesurer ou le +manipuler. Le nom \cmd doit commencer par une +contr&textrsquo;oblique, et ne doit pas être déjà défini. -&latex; manipule la mise en indice supérieur d&textrsquo;un matériel et tout ce -qui tient de cela de la manière naturelle, de sorte que des expressions -telles que e^{x^2} et x_{a_0} seront composées comme -il faut. Il fait même ce qu&textrsquo;il faut quand quelque-chose a à la fois un -indice supérieur et un indice inférieur. Dans cet exemple le 0 -apparaît au bas du signe intégrale alors que le 10 apparaît en -haut. - - -
\int_0^{10} x^2 \,dx
-
- -Vous pouvez mettre un indice supérieur ou inférieur avant un symbole -avec une construction telle que {}_t K^2 en mode mathématique -(le {} initial empèche l&textrsquo;indice préfixé d&textrsquo;être attaché à -quelque symbole qui le précède dans l&textrsquo;expression). - -En dehors du mode mathématique, une construction comme Un -test$_\textnormal{indice inf.}$ produit un indice inférieur composé -en mode texte, non pas en mode mathémque. Notez qu&textrsquo;il y a des paquetage -spécialisée pour écrire des formule chimique, tel que mhchem. - +L&textrsquo;allocation d&textrsquo;une boîte est globale. Cette commande est fragile +(\protect). -
-Math symbolsMath functionsSubscripts & superscriptsMath formulas -
Symboles mathématiques -symboles mathématiques -symbols, mathématiques -Lettre grecques +\newenvironment & \renewenvironment\newtheorem\newsaveboxDefinitions +
\newenvironment & \renewenvironment +\newenvironment +\renewenvironment +environnements, defining +defining new environnements +redefining environnements -&latex; fournit presque tout symbole mathématique dont vous êtes -susceptible d&textrsquo;avoir besoin. Par exemple, si vous incluez $\pi$ -dans votre code source, alors vous obtenez le symbole pi π. - -Ci-dessous se trouve une liste de symboles généralement disponibles. Ce -n&textrsquo;est en aucun cas une liste exhaustive. Chaque symbole y est décrit -brièvement et avec sa classe de symbole (qui détermine l&textrsquo;espacement -autour de lui) qui est donnée entre parenthèses. Les commandes pour ces -symboles peuvent, sauf mention contraire, être utilisées seulement en -mode mathématique. +Ces commandes définissent ou redéfinissent un environnement env, +c.-à-d., \begin{env} corps \end{env}. -Pour redéfinir une commande de sorte à pouvoir l&textrsquo;utiliser quel que soit -le mode, voir \ensuremath. +Synopsis : - - + +
  \newenvironment{env}[nargs][argoptdéfaut]{défdébut}{déffin}
+  \newenvironment*{env}[nargs][argoptdéfaut]{défdébut}{déffin}
+\renewenvironment{env}[nargs]{défdébut}{déffin}
+\renewenvironment*{env}[nargs]{défdébut}{déffin}
+
- -\|\| -∥ Parallèle (relation). Synonyme : \parallel. +forme étoilée des commandes d&textrsquo;environnement +forme en * des commandes d&textrsquo;environnement +La forme étoilée de ces commandes exige que les arguments (à ne pas +confondre avec le corps de l&textrsquo;environnement) ne contiennent pas de +paragraphes de texte. -\aleph\aleph -ℵ Aleph, cardinal transfini (ordinaire). + +env +Obligatoire ; le nom de l&textrsquo;environnement. Il est constitué seulement de +lettres ou du caractère astérisque *, et donc ne commence pas par +une contr&textrsquo;oblique \. Il ne doit pas commencer par la chaîne +end. Pour \newenvironment, env ne doit pas être le +nom d&textrsquo;un environnement déjà existant, et la commande \env +ne doit pas être définie. Pour \renewenvironment, env doit +être le nom d&textrsquo;un environnement déjà existant. -\alpha\alpha -α Lettre grecque en bas de casse alpha (ordinaire). +nargs +Optionnel ; un entier de 0 à 9 indiquant le nombre d&textrsquo;arguments que +l&textrsquo;environnement attend. Quand l&textrsquo;environnement est utilisé, ces arguments +apparaissent après le \begin, comme dans +\begin{env}{arg1}&dots;{argn}. Si cet +argument n&textrsquo;est pas présent, alors par défaut l&textrsquo;environment n&textrsquo;attend pas +d&textrsquo;argument. Lorsqu&textrsquo;on redéfinit un environment, la nouvelle version peut +prendre un nombre différent d&textrsquo;arguments que la précédente. -\amalg\amalg -⨿ Union disjointe (binaire) +argoptdéfaut +Optionnel ; si cet argument est présent alors le premier argument de +l&textrsquo;environnement en définition est optionnel, et sa valeur par défaut est +argoptdéfaut (éventuellement une chaîne vide). Si cet argument +n&textrsquo;est pas présent alors l&textrsquo;environnement ne prend pas d&textrsquo;argument +optionnel. -\angle\angle -∠ Angle géometrique (ordinaire). Similaire : -sign inférieur-à < et chevron \langle. +c.-à-d.&noeos; que si [argoptdéfaut] est présent dans la +définition de l&textrsquo;environnement, et que \begin{env} est +utilisé avec des crochets à la suite, comme dans +\begin{env}[maval], alors, au sein de +défdébut, le paramètre positionnel #1 se développe en +maval. Si par contre \begin{env} est appéelé sans +être suivi de crochet, alors, au sein de défdébut, le +paramètre positionnel +paramètre positionnel #1 se développe en la valeur par défaut, +c.-à-d.&noeos; optargdéfaut. Dans les deux cas, le premier paramètre +positionnel faisant référence à argument obligatoire est #2. -\approx\approx -≈ Presque égal à (relation). +Omettre [maval] dans l&textrsquo;appel est différent d&textrsquo;avoir des +crochets sans contenu, c.-à-d.&noeos; []. Dans le premier cas +#1 se développe en argoptdéfaut, et dans le second en une +chaîne vide. -\ast\ast -∗ Opérateur astérisque, convolution, à six branches -(binaire). Synonyme : *, ce qui est souvent un indice -supérieur ou inférieur, comme dans l&textrsquo;étoile de -Kleene. Similaire : \star, qui est à cinq branches, et est -quelque-fois utilisée comme une opération binaire générale, and -quelques-fois reservée pour la corrélation-croisée. +défdébut +Obligatoire ; le texte qui est développé à toute occurrence de +\begin{env} ; au sein de défdébut, le nième +paramètre positionnel, (c.-à-d.&noeos; #n), est remplacé au sein +de défdébut par le texte du nième argument. -\asymp\asymp -≍ Équivalent asymptomatiquement (relation). +déffin +Obligatoire ; le texte développé à toute occurrence de +\end{env}. Il ne doit contenir aucun paramètre +positionnel, ainsi #n ne peut pas être utilisé ici (mais +voyez l&textrsquo;exemple final ci-après). -\backslash\backslash -\ contr&textrsquo;oblique (ordinaire). Similaire : soustraction -d&textrsquo;ensemble \setminus, et \textbackslash pour une -contr&textrsquo;oblique en-dehors du mode mathématique. +
+ +Tous les environnements, c&textrsquo;est à dire le code de défdébut, le +corps de l&textrsquo;environnement, et le code déffin, sont traités au sein +d&textrsquo;un groupe. Ansi, dans le premier exemple ci-dessous, l&textrsquo;effet de +\small est limité à la citation et ne s&textrsquo;étend pas au matériel qui +suit l&textrsquo;environnement. -
\beta\beta -β Lettre grecque en bas de casse beta (ordinaire). +Cet exemple dont un environnement semblable à quotation de +&latex; à ceci près qu&textrsquo;il sera composé dans une taille de police plus +petite : -\bigcap\bigcap -⋂ De taille Variable, ou n-aire, intersection (opérateur). Similaire : -intersection binaire \cap. + +
\newenvironment{smallquote}{%
+  \small\begin{quotation}
+}{%
+  \end{quotation}
+}
+
+ +Celui-ci montre l&textrsquo;utilisation des arguments ; cela donne un environnement de +citation qui affiche l&textrsquo;auteur : -
\bigcirc\bigcirc -⚪ Cercle, plus grand (binaire). Similaire : composition de -fonction \circ. - + +
\newenvironment{citequote}[1][Corneille]{%
+  \begin{quotation}
+  \noindent\textit{#1}:
+}{%
+  \end{quotation}
+}
+
+ + Le nom de l&textrsquo;auteur est optionnel, et vaut par défaut Corneille. +Dans le document, utilisez l&textrsquo;environnement comme ceci : -
\bigcup\bigcup -⋃ De taille variable, ou n-aire, union (opérateur). Similaire : union -binaire \cup. + +
\begin{citequote}[Clovis, roi des Francs]
+  ...
+\end{citequote}
+
+ +Ce dernier exemple montre comment sauvegarder la valeur d&textrsquo;un argument +pour l&textrsquo;utiliser dans déffin, dans ce cas dans une boîte +(\sbox). -
\bigodot\bigodot -⨀ De taille variable, ou n-aire, opérateur point encerclé (opérateur). + +
\newsavebox{\quoteauthor}
+\newenvironment{citequote}[1][Corneille]{%
+  \sbox\quoteauthor{#1}%
+  \begin{quotation}
+}{%
+  \hspace{1em plus 1fill}---\usebox{\quoteauthor}
+  \end{quotation}
+}
+
+ + +
+\newtheorem\newfont\newenvironment & \renewenvironmentDefinitions +
\newtheorem +\newtheorem +théorèmes, définition +définir de nouveaux théorèmes + +théorème, environnement simili- +environnement simili-théorème + +Définit une nouvel environnement simili-théorème. Synopsis : -\bigoplus\bigoplus -⨁ De taille variable, ou n-aire, opérateur plus encerclé (opérateur). + + +
\newtheorem{nom}{titre}[numéroté_au_sein_de]
+\newtheorem{nom}[numéroté_comme]{titre}
+
+ +Ces deux commandes crééent un environnement simili-théorème +nom. Utiliser la première des deux formes, -
\bigotimes\bigotimes -⨂ De taille variable, ou n-aire, opérateur multiplié encerclé (opérateur). + +
\newtheorem{nom}{titre}[numéroté_au_sein_de]
+
+ + avec l&textrsquo;argument optionnel après le second argument +obligatoire, crée un environnement dont le compteur est subordonné au +compteur déjà existant numéroté_au_sein_de, c.-à-d.&noeos; qui est +réinitialisé à it will chaque réinitialisation de +numéroté_au_sein_de. -
\bigtriangledown\bigtriangledown -▽ De taille variable, ou n-aire, triangle ouvert -pointant vers le bas(opérateur). +Utiliser la seconde forme, -\bigtriangleup\bigtriangleup -△ De taille variable, ou n-aire, triangle ouvert -pointant vers le haut (opérateur). + +
\newtheorem{nim}[numéroté_comme]{titre}
+
+ + avec l&textrsquo;argument optionnel entre les deux arguments +obligatoire, crée une environnement dont le compteur partage le compteur +déjà défini numéroté_comme. -
\bigsqcup\bigsqcup -⨆ De taille variable, ou n-aire, union carrée (opérateur). +Vous pouvez spécifier l&textrsquo;un seul de numéroté_au_sein_de et +numéroté_comme, ou ni l&textrsquo;un ni l&textrsquo;autre, mais non les deux à la +fois. -\biguplus\biguplus -⨄ De taille variable, ou n-aire, opérateur union avec un plus -(opérateur). (Notez que le nom a juste un p.) +Cette commande crée un compteur nommé name. De plus, à moins que +l&textrsquo;argument optionnel numéroté_comme soit utilisé, la valeur +courrante de \ref est celle de +\thenuméroté_au_sein_de (\ref). -\bigvee\bigvee -⋁ De taille variable, ou n-aire, et-logique (opérateur). +Cette déclaration est globale. Elle est fragile (\protect). -\bigwedge\bigwedge -⋀ De taille variable, ou n-aire, ou-logique (opérateur). + +nom +Le nom de l&textrsquo;environnement. Il ne doit pas commencer avec une +contr&textrsquo;oblique (\). Il ne doit pas être le nom d&textrsquo;un environnement +déjà exisant ; en fait le nom de commande \nom ne doit pas +être déjà défini de quelque façon que ce soit. -\bot\bot -⊥ Taquet vers le haut, minimum, plus petit élément d&textrsquo;un ensemble -partiellement ordonné, ou une contradiction -(ordinaire). Voir aussi \top. +titre +Le texte imprimé au début de l&textrsquo;environnement, avant le numéro. Par +exemple, Théorème. -\bowtie\bowtie -⋈ Jonction naturelle de deux relations (relation). +numéroté_au_sein_de +Optionnel ; le nom d&textrsquo;un compteur déjà défini, d&textrsquo;ordinaire une unité +sectionnelle telle que chapter ou section. Lorsque le +compteur numéroté_au_sein_de est re-initialisé, alors le compteur +de l&textrsquo;environnement nom l&textrsquo;est aussi. -\Box\Box -□ Opérateur modal pour la nécessité ; boîte ouverte carrée -(ordinaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. - +Si cet argument optionnel est omis alors la commande +\thenom est définie comme \arabic{nom}. -\bullet\bullet -symbole puce -• Puce (binaire). Similaire : point de -multiplication \cdot. +numéroté_comme +Optionnel ; le nom d&textrsquo;un environement simil-théorème déjà défini. Le +nouvel environnement se numéroté en séquence avec numéroté_comme. -\cap\cap -∩ Intersection de deux ensembles (binaire). Similaire : -opérateur de taille variable \bigcap. +
+ +En l&textrsquo;absence des arguments optionnels les environnement sont numérotés +en séquence. L&textrsquo;exemple suivant a une déclaration dans le préambule qui +résulte en Définition 1 et Définition 2 en +sortie. -
\cdot\cdot -⋅ Multiplication (binaire). Similaire : Point -puce \bullet. - -\chi\chi -χ Lettre grecque en bas de casse chi (ordinaire). - -\circ\circ -∘ Composition de fonctions, opérateur rond (binaire). Similaire : -opérateur de taille variable \bigcirc. - -\clubsuit\clubsuit -♣ Trèfle de carte à jouer (ordinaire). - -\complement\complement -∁ Complement d&textrsquo;ensemble, utilisée en indice supérieur -comme dans $S^\complement$ (ordinaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. On utilise aussi : $S^{\mathsf{c}}$ -ou $\bar{S}$. - -\cong\cong -≅ Congruent (relation). + +
\newtheorem{defn}{Définition}
+\begin{document}
+\section{...}
+\begin{defn}
+  Première déf.
+\end{defn}
+
+\section{...}
+\begin{defn}
+  Seconde déf.
+\end{defn}
+
+ +Parce que l&textrsquo;exemple suivant spécifie section comme argument optionnel +numéroté_au_sein_de à \newtheorem, l&textrsquo;exemple, reprenant le +même corps de document que l&textrsquo;exemple précédent, donne Définition 1.1 +et Définition 2.1. -
\coprod\coprod -∐ Coproduit (opérateur). + +
\newtheorem{defn}{Definition}[section]
+\begin{document}
+\section{...}
+\begin{defn}
+  Première déf.
+\end{defn}
+
+\section{...}
+\begin{defn}
+  Seconde déf.
+\end{defn}
+
+ +Dans l&textrsquo;exemple suivant il y a deux déclarations dans le préambule, la +seconde desquelle appelle le nouvel environnement thm pour +utilise le même compteur que defn. Cela donne +Définition 1.1, suivi de Théorème 2.1 et Définition 2.2. -
\cup\cup -∪ Réunion de deux ensembles (binaire). opérateur de taille -variable \bigcup. + +
\newtheorem{defn}{Définition}[section]
+\newtheorem{thm}[defn]{Théorème}
+\begin{document}
+\section{...}
+\begin{defn}
+  Première déf.
+\end{defn}
+
+\section{...}
+\begin{thm}
+  Premier théorème
+\end{thm}
+
+\begin{defn}
+  Seconde déf.
+\end{defn}
+\section{...}
+
+ + +
+\newfont\protect\newtheoremDefinitions +
\newfont: définit une nouvelle police (obsolète) +\newfont +polices, commandes pour déclarer de nouvelles +définir de nouvelles polices + + +\newfont, desormais obsolète, définit une commande qui commute la +police de caractère. Synopsis : -\dagger\dagger -† Relation obèle (binaire). + +
\newfont{\cmd}{description_police}
+
+ +Ceci définit une séquence de contrôle \cmd qui change la +police courante. &latex; cherche sur votre système un fichier nommé +nompolice.tfm. La séquence de contrôle ne doit pas être +déjà définie. Elle doit commencer par une contr&textrsquo;oblique (\). -
\dashv\dashv -⊣ Taquet gauche, tiret avec barre verticale à droite, -tourniquet pour gauchers (relation). Similaire : taquet droit, -tourniquet \vdash. + + +.fd fichier +Cette commande est obsolète. c&textrsquo;est une commande de bas niveau pour +mettre en place une police individuelle. De nos jours, les polices sont +pratiquement toujours définies en familles (ce qui vous permet, par +exemple, d&textrsquo;associer un gras et un romain) au travers de ce qu&textrsquo;il est +convenu de nommer le « Nouveau Plan de Sélection de Polices de +caractère », soit en utilisant des fichier .fd ou à travers +l&textrsquo;utilisation d&textrsquo;un moteur qui sait accéder au système de polices de +caractère, tel que Xe&latex; (&tex; enginesLes moteurs +&tex;). + -\ddagger\ddagger -‡ Relation double obèle (binaire). + +clause at, au sein d&textrsquo;une définition de police +taille de conception, au sein d&textrsquo;une définition de police +Mais puisque cela fait partie de &latex;, voici l&textrsquo;explication : le +paramètre description_police consiste en un nompolice et une +clause at optionnelle ; celle-ci peut avoir soit la forme at +dimen ou scaled facteur, où un facteur de +1000 signifie aucune dilatation/contraction. Pour l&textrsquo;usage de +&latex;, tout ce que ceci fait est de dilater ou contracter le +caractère et les autre dimension relative à la taille de conception de +la police, ce qui est une valeur définie dans le fichier en .tfm. -\Delta\Delta -Δ Delta grec capital, utilisé pour indiquer une -incrémentation (ordinaire). +Cet exemple défnit deux polices équivalente et compose quelques +caractères dans chacune d&textrsquo;elles : -\delta\delta -δ Delta grec bas-de-casse (ordinaire). + +
\newfont{\testpoliceat}{cmb10 at 11pt}
+\newfont{\testpolicedilatee}{cmb10 scaled 1100}
+\testpoliceat abc
+\testpolicedilatee abc
+
+ + +
+\protect\newfontDefinitions +
\protect +\protect + +commandes fragiles +commandes robustes +fragile, commande +robuste, commande + +Toutes les commandes de &latex; sont soit fragiles soit +robustes. Les notes en bas de page, les saut de ligne, toute +commande prenant un argument optionnel, et bien d&textrsquo;autres, sont +fragiles. Une commande fragile peut se disloquer et causer une erreur +lorsque elle est utilisée au sein de l&textrsquo;argument de certaines +commandes. Pour empécher la dislocation de ces commandes l&textrsquo;une des +solutions est de les précéder de la commande \protect. -\Diamond\Diamond -◇ Opérateur grand carreau (ordinaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. - +Par exemple, lorsque &latex; execute la commande +\section{nom-rubrique} il écrit le texte +nom-rubrique dans le fichier auxiliaire .aux, de sorte à +pouvoir le tirer de là pour l&textrsquo;utiliser dans d&textrsquo;autres partie du document +comme la table des matières. On appelle +arguments mouvants +argument mouvant tout argument qui est développé en interne par +&latex; sans être directement composé en sortie. Une commande est dite +fragile si elle se développe pendant ce processus en un code &tex; non +valide. Certains exemples d&textrsquo;arguments mouvants sont ceux qui apparaissent +au sein des commandes \caption{...} (figure), dans la +commande \thanks{...} (\maketitle), et dans les +expression en &arobase; des environnements tabular et array +(tabular). -\diamond\diamond -⋄ Opérateur Carreau, ou puce carreau (binaire). Similaire : grand -carreau \Diamond, puce disque \bullet. +Si vous obtenez des erreurs étranges de commandes utilisées au sein +d&textrsquo;arguments mouvants, essayez des les précéder d&textrsquo;un \protect. Il +faut un \protect pour chacune des commandes fragiles. -\diamondsuit\diamondsuit -♢ Carreau de carte à jouer (ordinaire). +Bien qu&textrsquo;en général la commande \protect ne fait pas de mal, les +commandes de gestion de longueurs sont robustes et ne devraient pas être +précédées d&textrsquo;une commande \protect. Une commande \protect +ne peut pas non plus être utilisée au sein de l&textrsquo;argument d&textrsquo;une commande +\addtocounter\addtocounter ou +\setcounter\setcounter. -\div\div -÷ Signe de division, obélus (binaire). +Dans l&textrsquo;exemple qui suit la commande \caption produit une erreur +mystérieuse -\doteq\doteq -≐ Approche la limite (relation). Similaire : -géométriquement égal à \Doteq. + +
\begin{figure}
+  ...
+  \caption{Company headquarters of A\raisebox{1pt}{B}\raisebox{-1pt}{C}}
+\end{figure}
+
+ +Dans l&textrsquo;exemple suivant la commande \tableofcontents produit une +erreur à cause du \(..\) dans le titre de section qui se +développe en code incorrect &tex; dans le fichier .toc. Vous +pouvez résoudre ceci en remplaçant \(..\) +par \protect\(..\protect\). -
\downarrow\downarrow -↓ Flèche vers le bas, converge (relation). Similaire : -flèche à ligne double vers le bas \Downarrow. + +
\begin{document}
+\tableofcontents
+...
+\section{Einstein's \( e=mc^2 \)}
+...
+
+ + +
+ +CountersLengthsDefinitionsTop +Compteurs +compteurs, a list of +variables, a list of + +Tout ce que &latex; numérote pour vous a un compteur associé avec +soi. Le nom du compteur est le même que le nom de l&textrsquo;environnement ou de +la commande qui produit le numéro, sauf qu&textrsquo;il ne pas de \. +(enumi&textndash;enumiv sont utilisés pour les environnements +enumerate imbriqués). Ci-dessous se trouve une liste des +compteurs utilisée dans les classes standardes de documents &latex; +pour contrôler la numérotation. -\Downarrow\Downarrow -⇓ Flèche à ligne double vers le bas (relation). -Similaire : flèche à ligne simple vers le bas \downarrow. + +
part paragraphe figure enumi
+chapter subparagraph table enumii
+section page footnote enumiii
+subsection équation mpfootnote enumiv
+subsubsection
+
+ + +\alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol
Taper la valeur d&textrsquo;un compteur.
+
\usecounter
Utiliser un  compteur spécifié dans un environnement de liste.
+
\value
Utiliser la valeur d&textrsquo;un compteur dans une expression.
+
\setcounter
Régler la valeur d&textrsquo;un compteur.
+
\addtocounter
Ajouter une quantité à un compteur.
+
\refstepcounter
Ajouter au compteur, re-initialiser les compteurs subsidiaires.
+
\stepcounter
Ajouter au compteur, re-initialiser les compteurs subsidiaires.
+
\day \month \year
Valeur de date numériques.
+
+ + +\alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol\usecounterCounters +
\alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol: Taper des compteurs + +Toutes ces commandes prennent un unique compteur en argument, par +exemple, \alph{enumi}. -\ell\ell -ℓ Lettre l bas de casse cursive (ordinaire). + +\alph\alph +tape compteur en utilisant des lettre en bas de casse : &textlsquo;a&textrsquo;, &textlsquo;b&textrsquo;, &enddots; -\emptyset\emptyset -∅ Symbole ensemble vide (ordinaire). La forme en -variante est \varnothing. - +\Alph\Alph +Utilise des lettres capitales : &textlsquo;A&textrsquo;, &textlsquo;B&textrsquo;, &enddots; -\epsilon\epsilon -ϵ Lettre grecque bas de casse epsilon lunaire -(ordinaire). Sembable à la lettre en texte grec. En mathématiques on -utilise plus fréquemment l&textrsquo;epsilon minuscule de ronde -\varepsilon ε. En relation avec : la relation -ensembliste « appartenir à » \in ∈. - - +\arabic\arabic +Utilise des numéro en chiffres arabes : &textlsquo;1&textrsquo;, &textlsquo;2&textrsquo;, &enddots; -\equiv\equiv -≡ Équivalence (relation). +\roman\roman +Utilise des nombres romains en bas de casse : &textlsquo;i&textrsquo;, &textlsquo;ii&textrsquo;, &enddots; -\eta\eta -η Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +\Roman\Roman +Utilise des nombres romains en capitales : &textlsquo;I&textrsquo;, &textlsquo;II&textrsquo;, &enddots; -\exists\exists -∃ Quanteur « Il existe » (ordinaire). +\fnsymbol\fnsymbol +Tape la valeur de compteur dans une séquence spécifique de neuf +symboles (utilisés par convention pour la numérotation des notes en bas +de page). La valeur de compteur doit être comprise entre 1 +et 9 inclus. -\flat\flat -♭ Bémol (ordinaire). +Voici ces symboles : + + +NomCommandeÉquivalent Unicode + +astérisque\ast* + +obèle\dagger† + +double-obèle\ddagger‡ + +marque-de-section\S§ + +marque-de-paragraphe\P¶ + +parallèle\parallel‖ + +asterisque-double\ast\ast** + +obèle-double\dagger\dagger†† + +double-obèle-double\ddagger\ddagger‡‡ + + + + + +
+\usecounter\value\alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbolCounters +
\usecounter{compteur} +\usecounter +article d&textrsquo;une liste, compteur spécifiant +articles numérotés, compteur spécifiant + +Synopsis : -\forall\forall -∀ Quanteur « Pour tout » (ordinaire). + +
\usecounter{compteur}
+
+ +La commande \usecounter est utilisée dans le second argument de +l&textrsquo;environnement list pour spécifier le compteur à utiliser +pour numéroter les articles de la liste. -
\frown\frown -⌢ Moue (ordinaire). + +
+\value\setcounter\usecounterCounters +
\value{compteur} +\value +compteurs, obtenir la valeur d&textrsquo;un + +Synopsis : -\Gamma\Gamma -Γ Lettre grecque en capitale (ordinaire). + +
\value{compteur}
+
+ +Cette commande se développe en la valeur de compteur. Elle est +souvent utilisé dans \setcounter ou \addtocoutner, mais +\value peut être utilisé partout là où &latex; attend un +nombre. Elle ne doit pas être précédée par \protect +(\protect). -
\gamma\gamma -γ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +La commande \value n&textrsquo;est pas utiliser pour composer la valeur du +compteur. \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol. -\ge\ge -≥ Supérieur ou égal à (relation). Synonyme : \geq. +Cet exemple produit en sortie Le compteur essai vaut 6. Le +compteur autre vaut 5. -\geq\geq -≥ Supérieur ou égal à (relation). Synonyme : \ge. + +
\newcounter{essai} \setcounter{essai}{5}
+\newcounter{autre} \setcounter{autre}{\value{essai}}
+\addtocounter{essai}{1}
+
+Le comppteur essai vaut \arabic{essai}.
+Le compteur autre vaut \arabic{autre}.
+
+ +Cet exemple insère \hspace{4\parindent}. -
\gets\gets -← Auquel est assignée la valeur (relation). -Synonyme : \leftarrow. + +
\setcounter{moncptr}{3} \addtocounter{moncptr}{1}
+\hspace{\value{moncptr}\parindent}
+
+ + +
+\setcounter\addtocounter\valueCounters +
\setcounter{compteur}{value} +\setcounter +compteurs, réglage +réglage de compteurs + +Synopsis : -\gg\gg -≫ Beaucoup plus grand que (relation). Similaire : Beaucoup -plus petit que \ll. + +
\setcounter{compteur}{value}
+
+ +La commande \setcounter règle la valeur de compteur à +l&textrsquo;argument value. -
\hbar\hbar -ℏ Constante de Planck sur deux pi (ordinaire). + +
+\addtocounter\refstepcounter\setcounterCounters +
\addtocounter{compteur}{valeur} +\addtocounter + +La commande \addtocounter incrémente compteur de la +quantité spécifiée par l&textrsquo;argument valeur, qui peut être negatif. -\heartsuit\heartsuit -♡ Cœur de carte jouer (ordinaire). + +
+\refstepcounter\stepcounter\addtocounterCounters +
\refstepcounter{compteur} +\refstepcounter + +La commande \refstepcounter fonctionne de la même façon que +\stepcounter \stepcounter, à ceci près qu&textrsquo;elle définit +également la valeur courante de \ref comme le résultat de +\thecounter. -\hookleftarrow\hookleftarrow -↩ Flèche vers la gauche avec crochet (relation). + +
+\stepcounter\day \month \year\refstepcounterCounters +
\stepcounter{compteur} +\stepcounter + +La commande \stepcounter ajouter un à compteur et +re-initialise tous les compteurs subsidiaires. -\hookrightarrow\hookrightarrow -↪ Flèche vers la gauche avec crochet (relation). + +
+\day \month \year\stepcounterCounters +
\day \month \year: Predefined compteurs +\day +\month +\year + +&latex; définit des compteurs pour le quantième du mois (\day, +1&textndash;31), le mois de l&textrsquo;année (\month, 1&textndash;12), et l&textrsquo;année +(\year, de l&textrsquo;ère chrétienne). Quand &tex; démarre, ils sont mis +à la valeur courante du système sur lequel &tex; s&textrsquo;exécute. Ils ne sont +pas remis à jour pendant que le traitement par &tex; progresse. -\iff\iff -⟷ Si et seulement si (relation). C&textrsquo;est un \Longleftrightarrow -avec un \thickmuskip de chaque côté. +En relation avec ces compteurs, la commande \today produit une +chaîne représentant le jour courant (\today). -\Im\Im -ℑ Partie imaginaire (ordinaire). Voir aussi : partie réelle \Re. + +
+
+LengthsMaking paragraphsCountersTop +Longueurs +longueurs, définir et utiliser + +Une longueur est une mesure de distance. Beaucoup de commandes +&latex; prennent une longueur en argument. -\in\in -∈ Appartient à (relation). Voir aussi : lettre grecque bas de -casse epsilon lunaire \epsilon ϵ et l&textrsquo;epsilon -minuscule de ronde \varepsilon. +rigides, longueurs +élastiques, longueurs +dimen &tex; de base +skip &tex; de base +glue &tex; de base +Il y a deux types de longueur. Une longueur rigide telle que +10pt ne contient pas de composante en plus ou +minus. (En &tex; de base on appelle cela une dimen). +Une longueur élastique (ce qu&textrsquo;en &tex; de base on appel un +skip ou une glue) telle que dans 1cm plus0.05cm +minus0.01cm peut contenir l&textrsquo;un ou l&textrsquo;autre de ces composantes ou les +deux. Dans cette longueur élastique, le 1cm est la longueur +naturelle alors que les deux autres, les composantes en plus et +minus, permette à &tex; à dilater ou contracter la longueur pour +optimiser la disposition. -\infty\infty -∞ Infini (ordinaire). +Les exemples qui suivent utilisent ces deux commandes. -\int\int -∫ Intégrale (opérateur). + +
% Fait une barre noire de 10pt de haut et #1 de large
+\newcommand{\blackbar}[1]{\rule{#1}{10pt}}
+
+% Fait une boîte autour de #2 qui est #1 de large (sans la bordure)
+\newcommand{\showhbox}[2]{%
+  \fboxsep=0pt\fbox{\hbox to #1{#2}}} 
+
+ + +Cet exemple utilise ces commandes pour afficher une barre noire de +100 points de long entre XXX et YYY. Cette longueur est +rigide. -
\iota\iota -ι Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + +
XXX\showhbox{100pt}{\blackbar{100pt}}YYY
+
+ +Quant au longueur élastiques, la contraction est le plus simple des +deux : avec 1cm minus 0.05cm, la longueur naturelle est 1cm +mais &tex; peut la contracter jusqu&textrsquo;à 0,95cm. &tex; refuse de +contracter plus que cela. Ainsi, ci-dessous le premier \showhbox +fonctionne bien, un espace de 98 points étant produit entre les deux +barres. -
\Join\Join -⨝ Symbole jointure condensé (relation). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. + +
XXX\showhbox{300pt}{%
+  \blackbar{101pt}\hspace{100pt minus 2pt}\blackbar{101pt}}YYY
+
+XXX\showhbox{300pt}{%
+  \blackbar{105pt}\hspace{100pt minus 1pt}\blackbar{105pt}}YYY
+
+ + +Mais le second produit un avertissement du genre de Overfull +\hbox (1.0pt too wide) detected at line 17. En sortie le premier +Y est écrasé par la fin de la barre noire, parce que la matière +contenue par la boîte est plus large que les 300pt alloués, et que +&tex; a refusé de contracter le total en deçà de 309 points. -
\kappa\kappa -κ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +Dilater est similaire à contracter, à ceci près que si &tex; doit +dilater plus que la quantité disponible, alors il le fait. Ci-dessous +la première ligne fonctionne bien, et produit un espace de 110 points +entre les barres. -\Lambda\Lambda -Λ Lettre grecque en capitale (ordinaire). + +
XXX\showhbox{300pt}{%
+  \blackbar{95pt}\hspace{100pt plus 10pt}\blackbar{95pt}}YYY
+
+XXX\showhbox{300pt}{%
+  \blackbar{95pt}\hspace{100pt plus 1pt}\blackbar{95pt}}YYY
+
+ + +Dans la seconde ligne &tex; a besoin de dilater de 10 points alors que +seulement 1 point a été spécifié. &tex; dilate l&textrsquo;espace jusqu&textrsquo;à la +longueur requise mais il produit un avertissement du genre de +Underfull \hbox (badness 10000) detected at line 22. (On ne +discute pas ici de ce que signifie « badness »). -
\lambda\lambda -λ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +Il est possible de mettre à la fois de la dilatation et de la +contraction dans la même longueur, comme dans 1ex plus 0.05ex +minus 0.02ex. -\land\land -∧ Et logique (binaire). Synonyme : \wedge. -Voir aussi ou-logique \lor. +Si &tex; ajuste plus d&textrsquo;une longueur élastique alors il alloue la +dilatation ou la contraction proportionnellement. -\langle\langle -⟨ Chevron mathématique gauche, ou séquence, crochet -(ouvrant). Similaire : inférieur à <. Correspond -à \rangle. + +
XXX\showhbox{300pt}{%
+  \blackbar{100pt}%  gauche
+  \hspace{0pt plus 50pt}\blackbar{80pt}\hspace{0pt plus 10pt}%  milieu
+  \blackbar{100pt}}YYY  % droite
+
+ + +Les barres de gauche et de droite prennent 100 points, de sorte que celle +du milieu a besoin également de 100. La barre du milieu fait 80 points +et donc les deux \hspace doivent se dilater de 20 points. +Comme les deux sont plus 50pt et plus 10pt, &tex; obtient +5/6 de la dilatation du premier espace et 1/6 du second. + +La composante plus ou minus d&textrsquo;une longueur élastique peut +contenir un composante en fill, comme dans 1in plus2fill. +Cela donne à la longueur une dilatabilité ou contractabilité infinie de +sorte que &tex; puisse l&textrsquo;ajuster à n&textrsquo;importe quelle distance. Dans +l&textrsquo;exemple suivant les deux figures sont également espacées +horizontalement sur la page. + + +
\begin{minipage}{\linewidth}
+  \hspace{0pt plus 1fill}\includegraphics{godel.png}%
+  \hspace{0pt plus 1fill}\includegraphics{einstein.png}%
+  \hspace{0pt plus 1fill}
+\end{minipage}
+
+ +&tex; en réalité a trois niveaux d&textrsquo;infinité pour les composantes +élastiques : fil, fill, et filll dans l&textrsquo;ordre +d&textrsquo;infinité croissante. D&textrsquo;ordinaire les auteurs de documents n&textrsquo;utilisent +que celle du milieu (\hfill et \vfill). -
\lbrace\lbrace -&lbracechar; Accolade gauche -(ouvrant). Synonyme : \{. Correspond à \rbrace. +Multiplier une longueur élastique par un nombre la transforme en une +longueur rigide, de sorte qu&textrsquo;après \setlength{\ylength}{2.5cm +plus 0.5cm} et \setlength{\zlength}{3\ylength} alors la +valeur de \zlength est 2.5cm. -\lbrack\lbrack -[ Crochet gauche (ouvrant). -Synonyme : [. Correspond à \rbrack. + + +Unités de longueurUnits of length
Les unités que &latex; connaît.
+
\setlength
Règle la valeur d&textrsquo;une longueur.
+
\addtolength
Ajoute une quantité à une longueur.
+
\settodepth
Assigne à une longueur la profondeur de quelque-chose.
+
\settoheight
Assigne à une longueur la hauteur de quelque-chose.
+
\settowidth
Assigne à une longueur la largeur de quelque-chose.
+
Longueurs prédéfiniesPredefined lengths
Les longueur qui sont, en quelque sorte, prédéfinies.
+
+ +Units of length\setlengthLengths +
Unités de longueur + +unités, de longueur + +&tex; et &latex; connaissent ces unités aussi bien en mode +mathématique qu&textrsquo;en dehors de celui-ci. -\lceil\lceil -⌈ Plafond à gauche, ressemble à un crochet mais avec le -pied coupé (ouvrant). Correspond à \rceil. + +pt +pt +Point +Point (1/72,27)pouce. La conversion en unités métriques units, avec deux +chiffres après la virgule, est 1point = 2,85mm = 28,45cm. -\le\le -≤ Inférieur ou égal à (relation). C&textrsquo;est un synonyme -de \leq. +pc +pica +pc +Pica, 12pt -\leadsto\leadsto -⇝ flèche vers la droite en tire-bouchon (relation). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. +in +in +pouce (inch) +Pouce, 72,27pt -\Leftarrow\Leftarrow -⇐ Est impliqué par, flèche vers la gauche à -double-ligne (relation). Similaire : flèche vers la gauche à simple -ligne \leftarrow. +bp +bp +Big point +Big point, 1/72 pouce. Cette longueur est la défition d&textrsquo;un point en +PostScript et dans beaucoup d&textrsquo;autres systèmes bureautiques d&textrsquo;éditique +(PAO). -\leftarrow\leftarrow -← Flèche vers la gauche à simple ligne (relation). -Synonyme : \gets. Similaire : Flèche vers la gauche à -double-ligne \Leftarrow. +cm +Centimètre +cm +Centimetre -\leftharpoondown\leftharpoondown -↽ Harpon vers la gauche à simple ligne avec -crochet vers le bas (relation). +mm +Millimètre +mm +Millimètre -\leftharpoonup\leftharpoonup -↼ Harpon vers la gauche à simple ligne avec -crochet vers le haut (relation). +dd +point Didot +dd +Point Didot, 1,07pt -\Leftrightarrow\Leftrightarrow -⇔ Bi-implication ; double flèche bilatérale -(relation). Similaire : flèche bilatérale \leftrightarrow. +cc +Cicero +cc +Cicero, 12dd -\leftrightarrow\leftrightarrow -↔ Flèche bilatérale (relation). Similaire : -double flèche bilatérale \Leftrightarrow. +sp +Point proportionné (Scaled point) +sp +Point proportionné, (1/65536)pt -\leq\leq -≤ Inférieur ou égal à (relation). Synonyme : \le. +
+ +cadratin +x, hauteur d&textrsquo;un +m, largeur d&textrsquo;un +ex +em +em +Deux autre longueurs sont souvent utilisées et sont des valeurs réglées +par les créateurs de caractères typographiques. La hauteur ex +d&textrsquo;un x de la fonte coutante , traditionnellement la hauteur de la lettre +x en bas de casse, est souvent utilisée pour les longueurs +verticales. De même le em, traditionnellement la largeur de la +lettre M capitale, est souvant utilisée pour les longueurs horizontales +(il y a aussi \enspace qui vaut 0.5em). L&textrsquo;utilisation de +ces unités peut aider améliorer le fonctionnement d&textrsquo;une définition lors +des changements de fonte. Par exemple, il est plus probable qu&textrsquo;une +définition de l&textrsquo;espace verticale entre les articles d&textrsquo;une liste donnée +comme \setlength{\itemsep}{1ex plus 0.05ex minus 0.01ex} +reste raisonnable si la fonte est changée que si elle était exprimée en +points. -
\lfloor\lfloor -⌊ Plancher à gauche (ouvrant). Correspond à : -\rfloor. +mu, unité mathématique +mu +En mode mathématique, beaucoup de définitions sont exprimées dans +l&textrsquo;unité mathématique mu donnée par 1em = 18mu, où le +em est pris de la famille courante des symboles mathématiques. +Spacing in math mode. -\lhd\lhd -◁ Pointe de flèche, c.-à-d.&noeos; triangle pointant vers la -gauche (binaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. For the normal -subgroup symbol you should load amssymb and -use \vartriangleleft (qui est une relation et ainsi donne un -meilleur espacement). - -\ll\ll -≪ Beaucoup plus petit que (relation). Similaire : Beaucoup -plus grand que \gg. - -\lnot\lnot -¬ Négation logique (ordinaire). Synonyme : \neg. + +
+\setlength\addtolengthUnits of lengthLengths +
\setlength +\setlength +longueur, régler une + +Synopsis : -\longleftarrow\longleftarrow -⟵ Longue flèche vers la gauche à ligne simple (relation). -Similaire : longue flèche gauche à ligne double \Longleftarrow. + +
\setlength{\longueur}{valeur}
+
+ +La commande \setlength règle la valeur d&textrsquo;une commande de +longueur +commande de longueur +longueur, commande de +\longueur à l&textrsquo;argument valeur qui peut être +exprimé dans n&textrsquo;importe quelle unité comprise par &latex;, c.-à-d.&noeos; des +pouces (in), des millimètres (mm), des points (pt), +des « big points » (bp), etc. -
\longleftrightarrow\longleftrightarrow -⟷ Longue flèche bilatérale à ligne simple -(relation). Similaire : longue flèche bilatérale à ligne -double \Longleftrightarrow. +
+\addtolength\settodepth\setlengthLengths +
\addtolength +\addtolength +longueur, ajouter à une + +Synopsis : -\longmapsto\longmapsto -⟼ Longue flèche d&textrsquo;un taquet vers la droite à ligne -simple (relation). Similaire : version courte \mapsto. + +
\addtolength{\longueur}{valeur}
+
+ +La commande \addtolength incrémente une commande de longueur +\longueur de la quantité spécifiée par l&textrsquo;argument +quantité, ce qui peut être négatif. -
\longrightarrow\longrightarrow -⟶ Longue flèche vers la droite à ligne simple -(relation). Similaire : longue flèche vers la droite à ligne -double \Longrightarrow. +
+\settodepth\settoheight\addtolengthLengths +
\settodepth +\settodepth + +Synopsis : -\lor\lor -∨ Ou-logique (binaire). Synonyme : \wedge. + +
\settodepth{\longueur}{texte}
+
+ +La commande \settodepth règle la valeur d&textrsquo;une commande le +longueur \longueur à la profondeur de l&textrsquo;argument texte. -
\mapsto\mapsto -↦ Flèche d&textrsquo;un taquet vers la droite (relation). - Similaire : version longue \longmapsto. +
+\settoheight\settowidth\settodepthLengths +
\settoheight +\settoheight + +Synopsis : -\mho\mho -℧ Conductance, symbole Ohm culbuté (ordinaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. + +
\settoheight{\longueur}{texte}
+
+ +La commande \settoheight règle la valeur d&textrsquo;une commande le +longueur \longueur à la hauteur de l&textrsquo;argument texte. -
\mid\mid -∣ Barre verticale à ligne simple (relation). une utilisation -typique de \mid est pour un ensemble \{\, x \mid x\geq 5 -\,\}. +
+\settowidthPredefined lengths\settoheightLengths +
\settowidth +\settowidth + +Synopsis : -Similaire : \vert et | produisent le même symbole de barre -verticale à ligne simple mais sans aucun espacement (on les classe comme -« ordinaires ») et vous ne devriez pas les utiliser comme symbole de -relation mais seulement comme des ordinaux, c.-à-d.&noeos; comme des symboles -de note en bas de page. Pour dénoter une valeur absolue, voir l&textrsquo;entrée -de \vert et pour une norme voir l&textrsquo;entrée de \Vert. + +
\settowidth{\longueur}{texte}
+
+ + +La commande \settoheight règle la valeur d&textrsquo;une commande le +longueur \longueur à la largeur de l&textrsquo;argument texte. -\models\models -⊨ Vrai, ou satisfait ; double turnstile, short double dash -(relation). Similaire : long double dash \vDash. + +
+Predefined lengths\settowidthLengths +
Longueurs prédéfinies +longueurs prédéfinies +prédéfinies, longueurs + +\width +\width -\mp\mp -∓ Moins ou plus (relation). +\height +\height -\mu\mu -μ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +\depth +\depth -\nabla\nabla -∇ Del de Hamilton, ou différentiel, opérateur (ordinaire). +\totalheight +\totalheight -\natural\natural -♮ Bécarre (ordinaire). +Ces paramètres de longueur peuvent être utilisés au sein des arguments +des commandes de fabrication de boîte (Boxes). Il spécifient la +largeur naturelle, etc., du texte dans la boîte. \totalheight +vaut &backslashchar;height + +&backslashchar;depth. Pour frabriquer une boîte dont le texte +est dilaté au double de sa taille naturelle, écrivez par ex.&noeos; : -\ne\ne -≠ Non égal (relation). Synonyme : \neq. + +
\makebox[2\width]{Dilatez moi}
+
+ + +
+
+Making paragraphsMath formulasLengthsTop +Faire des paragraphes +Faire des paragraphes +paragraphes + +Un paragraphe se termine par une ou plusieurs lignes complètement blanches +&textmdash; des lignes ne contenant même pas un %. Une ligne à blanc ne +devrait pas apparaître là où un nouveau paragraphe n&textrsquo;a pas le droit de +commencer, tel que en mode mathématique ou dans l&textrsquo;argument d&textrsquo;une +commande de rubricage. -\nearrow\nearrow -↗ Flèche nord-est (relation). + +\indent
Renfoncer ce paragraphe.
+
\noindent
Ne pas renfoncer ce paragraphe.
+
\parindent & \parskip
L&textrsquo;espace ajouté avant les paragraphes.
+
Notes en margeMarginal notes
Mettre des remarques dans la marge.
+
+ + +\indent\noindentMaking paragraphs +
\indent +\indent +\parindent +renfoncement, forcer + +\indent produit un espace horizontal dont la largeur est égale à +la longueur \parindent, le +renfoncement, forcer +renfoncement normal d&textrsquo;un paragraphe. Elle est utilisée pour +ajouter un renfoncement de paragraphe là où il serait autrement +supprimé. -\neg\neg -¬ Négation logique (ordinaire). -Synonyme : \lnot. Utilisé parfois au lieu du symbole de -négation: \sim. +La valeur par défaut de \parindent est 1em en mode +two-column, autrement elle vaut 15pt pour les documents +10pt, 17pt pour 11pt, et 1.5em pour +12pt. -\neq\neq -≠ Non égal (relation). Synonyme : \ne. + +
+\noindent\parindent & \parskip\indentMaking paragraphs +
\noindent +\noindent +renfoncement, supprimer + +Utilisée au commencement d&textrsquo;un paragraphe, la commande +\noindent supprime tout renfoncement de paragraphe. -\ni\ni -∋ Signe d&textrsquo;appartenance réfléchi ; « contient comme élément » -(relation). Synonyme : \owns. Similaire : « appartient -à » \in. + +
... fin du paragraphe précédent.
+
+\noindent Ce paragraphe n'est pas renfoncé.
+
+ + +Elle est sans effet quand elle est utilisée au milieu d&textrsquo;un paragraphe. -
\not\not -̸ Barre oblique longue utilisée pour rayer un - opérateur la suivant (relation). - +Pour éliminer le renfoncement de paragraphe dans tout un document, mettez +\setlength{\parindent}{0pt} dans le préambule. -Beaucoup opérateurs en négation qui n&textrsquo;ont pas besoin de \not sont -disponibles, en particulier avec le paquetage amssymb. Par -exemple, \notin est sans doute préférable à \not\in d&textrsquo;un -point de vue typographique. + +
+\parindent & \parskipMarginal notes\noindentMaking paragraphs +
\parindent & \parskip +\parskip +espace vertical avant les paragraphes + +\parskip est une longueur élastique définissant l&textrsquo;espace vertical +additionnel ajouté avant chaque paragraphe. La valeur par défaut est 0pt +plus1pt. -\notin\notin -∉ N&textrsquo;appartient pas à (relation). Similaire : non contenu -dans \nsubseteq. + +
+Marginal notes\parindent & \parskipMaking paragraphs +
Notes en marge +Notes en marge +notes dans la marge +remarks in the marge +\marginpar + +Synopsis : -\nu\nu -ν Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + +
\marginpar[gauche]{droite}
+
+ +La commande \marginpar crée une note dans la marge. La première +ligne de la note a la même ligne de base que la ligne dans le texte où le +\marginpar se trouve. -
\nwarrow\nwarrow -↖ Flèche nord-ouest (relation). +Lorsque vous spécifiez seulement l&textrsquo;argument obligatoire droite, le texte +est placé -\odot\odot -⊙ Point cerclé (binaire). Similaire : opérateur de taille -variable \bigodot. + + +dans la marge de droite pour une disposition en recto simple (option +oneside, voir Document class options) ; + +dans la marge extérieure pour une disposition en recto-verso (option +twoside, voir Document class options) ; + +dans la nearest la plus proche pour une disposition à deux colonnes +(option twocolumn, voir Document class options). + + +\reversemarginpar +\normalmarginpar +La commande \reversemarginpar place les notes en marge suivante +sur la marge opposée (interne). \normalmarginpar les replace +dans la position par défaut. -\oint\oint -∮ Intégrale de contour, intégrale avec un cercle au milieu (opérateur). +Lorsque vous spécifier les deux arguments, gauche est utilisé pour +is used la marge de gauche, et droite est utilisé pour la marge de +is used droite. -\Omega\Omega -Ω Lettre grecque en capitale (ordinaire). +Le premier mot doit normalement ne pas être sujet à une césure ; Vous +pouvez activer la césure à cet endroit en commençant le nœud avec +\hspace{0pt}. -\omega\omega -ω Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +Ces paramètres affectent le formattage de la note : -\ominus\ominus -⊖ Signe moins, ou tiret, cerclé (binaire). + +\marginparpush\marginparpush +Espace verticale minimale entre les notes ; par défaut 7pt pour +des documents à 12pt, 5pt sinon. -\oplus\oplus -⊕ Signe plus cerclé (binaire). Similaire : opérateur de -taille variable \bigoplus. +\marginparsep\marginparsep +Espace horizontale entre le texte principal et la note ; par défaut +11pt pour des documents à 10pt, 10pt sinon. -\oslash\oslash -⊘ Barre de fraction, ou barre oblique, cerclée (binaire). +\marginparwidth\marginparwidth +Largeur de la note même ; la valeur par défaut est 90pt pour un +document en recto simple et à 10pt , 83pt pour +11pt, et 68pt pour 12pt ; 17pt de plus dans +chacun de ces cas pour un document recto-verso. En mode à deux colonnes, +la valeur par défaut est 48pt. -\otimes\otimes -⊗ Signe de multiplication, ou croix, cerclé (binaire). Similaire : -opérateur de taille variable \bigotimes. + + +La routine standarde de &latex; pour les notes en marge n&textrsquo;empêche pas +les notes de déborder hors du bas de la page. + + + -\owns\owns -∋ Epsilon d&textrsquo;appartenance réfléchi ; « contient comme -élément » (relation). Synonyme : \ni. Similaire : appartient -à \in. + +
+
+Math formulasModesMaking paragraphsTop +Formules mathématiques + +formules mathématiques +formules, math +mode mathématique, entrer +environnement math +math, environnement + +environnement displaymath +displaymath, environnement + +environnement equation +equation, environnement + +Il y a trois environnements qui mettent &latex; en mode mathématique : -\parallel\parallel -∥ Parallèle (relation). Synonyme : \|. + +math +Pour les formules qui apparaissent directement dans le texte. +displaymath +Pour les formules qui apparaissent sur leur propre ligne. +equation +Parail que l&textrsquo;environnement displaymath sauf qu&textrsquo;il ajoute un +numéro d&textrsquo;équation dans la marge de droite. +
+ +\( +\) +\[ +\] +L&textrsquo;environnement math peut être utilsé aussi bien en mode +paragraphe qu&textrsquo;en mode LR, mais les environnements displaymath et +equation ne peuvent être utilisés qu&textrsquo;en mode paragraphe. Les +environnements math et displaymath sont utilisés si +souvent qu&textrsquo;ils ont les formes abrégées suivantes : -
\partial\partial -∂ Différentielle partielle (ordinaire). + +
\(...\) au lieu de \begin{math}...\end{math}
+\[...\] au lieu de \begin{displaymath}...\end{displaymath}
+
+ +$ +En fait, l&textrsquo;environnement math est si fréquent qu&textrsquo;il a une forme +encore plus courte : -
\perp\perp -⟂ Perpendiculaire (relation). Similaire : \bot -utilise le même glyphe mais l&textrsquo;espacement est différent parce qu&textrsquo;il est -dans la classe ordinaire. + +
$ ... $ au lieu de \(...\)
+
+ +\boldmath +\unboldmath +La commande \boldmath change les lettres and symboles +mathématiques pour qu&textrsquo;il soient en gras. Elle est utilisée en +dehors du mode mathématique. À l&textrsquo;inverse, la commande +\unboldmath change les glyphes mathématique pour qu&textrsquo;ils soient +dans une fonte normale ; elle aussi est à utiliser en dehors du +mode mathématique. -
\phi\phi -ϕ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est -\varphi φ. + +\displaystyle +La déclaration \displaystyle force la taille et le style de la +formule à être ceux de displaymath, par ex., avec les limites au +dessus et en dessous le signe de sommation. Par exemple + +
$\displaystyle \sum_{n=0}^\infty x_n $
+
+ + + + +Indices inférieurs & supérieursSubscripts & superscripts
Également connue comme exposant ou indice.
+
Symboles mathématiquesMath symbols
Gribouillis mathématiques divers.
+
Fonction mathématiquesMath functions
Nom de fonctions mathématiques comme sin et exp.
+
Accents en mathMath accents
Accents en math.
+
Espacement en mode mathématiqueSpacing in math mode
Espaces épaisse, moyenne, fine et négative.
+
Miscellanée mathématiqueMath miscellany
Tout ce qu&textrsquo;on n&textrsquo;a pas pu casé ailleurs.
+
+ + +Subscripts & superscriptsMath symbolsMath formulas +
Indices inférieurs & supérieurs +indice supérieur +indice inférieur +^ indice supérieur +_ indice inférieur +exposant + +En mode mathématique, utilisez le caractère caret ^ pour qu&textrsquo;une +expression exp apparaisse en indice supérieur, c.-à-d.&noeos; tapez +^{exp}. Similairement, en mode mathémtique, +_{exp} fait un indice inférieur de exp. -\Pi\Pi -Π Lettre grecque en capitale (ordinaire). +Dans cet exemple le 0 et le 1 apparaissent comme indices +inférieurs alors que le 2 est un indice supérieur. -\pi\pi -π Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est -\varpi ϖ. + +
\( (x_0+x_1)^2 \)
+
+ +Pour avoir plus d&textrsquo;un caractère au sein de exp utilisez des +accolades comme dans e^{-2x}. -
\pm\pm -± Plus or minus (binaire). +&latex; manipule la mise en indice supérieur d&textrsquo;un matériel et tout ce +qui tient de cela de la manière naturelle, de sorte que des expressions +telles que e^{x^2} et x_{a_0} seront composées comme +il faut. Il fait même ce qu&textrsquo;il faut quand quelque-chose a à la fois un +indice supérieur et un indice inférieur. Dans cet exemple le 0 +apparaît au bas du signe intégrale alors que le 10 apparaît en +haut. -\prec\prec -≺ Précède (relation). Similaire : inférieur à <. + +
\int_0^{10} x^2 \,dx
+
+ +Vous pouvez mettre un indice supérieur ou inférieur avant un symbole +avec une construction telle que {}_t K^2 en mode mathématique +(le {} initial empèche l&textrsquo;indice préfixé d&textrsquo;être attaché à +quelque symbole qui le précède dans l&textrsquo;expression). -
\preceq\preceq -⪯ Précède ou égal, précède par-dessus signe égal à une -ligne (relation). Similaire : inférieur ou égal \leq. +En dehors du mode mathématique, une construction comme Un +test$_\textnormal{indice inf.}$ produit un indice inférieur composé +en mode texte, non pas en mode mathémque. Notez qu&textrsquo;il y a des paquetage +spécialisée pour écrire des formule chimique, tel que mhchem. + -\prime\prime -′ Prime, ou minute au sein d&textrsquo;une expression temporelle -(ordinaire). Typiquement utilisé en indice supérieur $A^\prime$. -Il est à noter sque $f^\prime$ et $f'$ produisent le même -résultat. Un avantage de la seconde forme est que $f'''$ produit -le symbole désiré, c.-à-d.&noeos; le même résultat que -$f^{\prime\prime\prime}$, mais en nécessitant moins de -saisie. Il est à noter que vous ne pouvez utiliser \prime qu&textrsquo;en -mode mathématique. Utiliser le quote ' en mode texte produit un -caractère différent (apostrophe ou guillemet anglais simple de droite). + + +
+Math symbolsMath functionsSubscripts & superscriptsMath formulas +
Symboles mathématiques +symboles mathématiques +symbols, mathématiques +Lettre grecques + +&latex; fournit presque tout symbole mathématique dont vous êtes +susceptible d&textrsquo;avoir besoin. Par exemple, si vous incluez $\pi$ +dans votre code source, alors vous obtenez le symbole pi π. -\prod\prod -∏ Produit (opérateur). +Ci-dessous se trouve une liste de symboles généralement disponibles. Ce +n&textrsquo;est en aucun cas une liste exhaustive. Chaque symbole y est décrit +brièvement et avec sa classe de symbole (qui détermine l&textrsquo;espacement +autour de lui) qui est donnée entre parenthèses. Les commandes pour ces +symboles peuvent, sauf mention contraire, être utilisées seulement en +mode mathématique. -\propto\propto -∝ Proportionnel à (relation) +Pour redéfinir une commande de sorte à pouvoir l&textrsquo;utiliser quel que soit +le mode, voir \ensuremath. -\Psi\Psi -Ψ Lettre grecque en capitale (ordinaire). + + + +\|\| +∥ Parallèle (relation). Synonyme : \parallel. -\psi\psi -ψ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +\aleph\aleph +ℵ Aleph, cardinal transfini (ordinaire). -\rangle\rangle -⟩ Chevron mathématique droit, ou séquence, crochet -(fermant). Similaire : supérieur à >. Correspond -à \langle. +\alpha\alpha +α Lettre grecque en bas de casse alpha (ordinaire). -\rbrace\rbrace -&rbracechar; Accolade de droite -(fermante). Synonyme : \}. Correspond à \lbrace. +\amalg\amalg +⨿ Union disjointe (binaire) -\rbrack\rbrack -] Crochet droit (fermant). Synonyme : ]. Correspond -à \lbrack. +\angle\angle +∠ Angle géometrique (ordinaire). Similaire : +sign inférieur-à < et chevron \langle. -\rceil\rceil -⌉ Plafond droit (fermant). Correspond à \lceil. +\approx\approx +≈ Presque égal à (relation). -\Re\Re -ℜ Partie réelle, nombres réels, R capital gothique -(ordinaire). En relation avec : R majuscule ajouré, ou gras de tableau -d&textrsquo;école \mathbb{R} ; pour accéder à cela charger le paquetage -amsfonts. +\ast\ast +∗ Opérateur astérisque, convolution, à six branches +(binaire). Synonyme : *, ce qui est souvent un indice +supérieur ou inférieur, comme dans l&textrsquo;étoile de +Kleene. Similaire : \star, qui est à cinq branches, et est +quelque-fois utilisée comme une opération binaire générale, and +quelques-fois reservée pour la corrélation-croisée. -\restriction\restriction -↾ Restriction d&textrsquo;une fonction -(relation). Synonyme : \upharpoonright. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. +\asymp\asymp +≍ Équivalent asymptomatiquement (relation). -\revemptyset\revemptyset -⦰ Symbole ensemble vide inversé (ordinaire). -En relation avec : \varnothing. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage stix. +\backslash\backslash +\ contr&textrsquo;oblique (ordinaire). Similaire : soustraction +d&textrsquo;ensemble \setminus, et \textbackslash pour une +contr&textrsquo;oblique en-dehors du mode mathématique. -\rfloor\rfloor -⌋ Plancher droit, un crochet droit avec la dent du haut -coupée (fermant). Correspond à \lfloor. +\beta\beta +β Lettre grecque en bas de casse beta (ordinaire). -\rhd\rhd -◁ Pointe de flèche, c.-à-d.&noeos; u triangle pointant vers la -droite (binaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. Pour le symbole -normal de sousgroupe vous devriez plutôt charger amssymb et -utiliser \vartriangleright (qui est une relation et ainsi donne -un meilleur espacement). +\bigcap\bigcap +⋂ De taille Variable, ou n-aire, intersection (opérateur). Similaire : +intersection binaire \cap. -\rho\rho -ρ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est -\varrho ϱ. +\bigcirc\bigcirc +⚪ Cercle, plus grand (binaire). Similaire : composition de +fonction \circ. + -\Rightarrow\Rightarrow -⇒ Implique, flèche vers la droite à double-ligne -(relation). Similaire : flèche vers la droite \rightarrow. +\bigcup\bigcup +⋃ De taille variable, ou n-aire, union (opérateur). Similaire : union +binaire \cup. -\rightarrow\rightarrow -→ Flèche vers la droite à ligne simple -(relation). Synonyme : \to. Similaire : flèche vers droite à -ligne double \Rightarrow. +\bigodot\bigodot +⨀ De taille variable, ou n-aire, opérateur point encerclé (opérateur). -\rightharpoondown\rightharpoondown -⇁ Harpon vers la droite avec crochet vers le bas -(relation). +\bigoplus\bigoplus +⨁ De taille variable, ou n-aire, opérateur plus encerclé (opérateur). -\rightharpoonup\rightharpoonup -⇀ Harpon vers la droite avec crochet vers la haut (relation). +\bigotimes\bigotimes +⨂ De taille variable, ou n-aire, opérateur multiplié encerclé (opérateur). -\rightleftharpoons\rightleftharpoons -⇌ Harpon vers la droite avec crochet vers le -haut au dessus d&textrsquo;un harpon vers la gauche avec crochet vers le bas -(relation). +\bigtriangledown\bigtriangledown +▽ De taille variable, ou n-aire, triangle ouvert +pointant vers le bas(opérateur). -\searrow\searrow -↘ Flèche pointant sud-est (relation). +\bigtriangleup\bigtriangleup +△ De taille variable, ou n-aire, triangle ouvert +pointant vers le haut (opérateur). -\setminus\setminus -⧵ Difference ensembliste, barre de faction inversée ou -contr&textrsquo;oblique, comme \ (binaire). Similaire : -contr&textrsquo;oblique \backslash et aussi \textbackslash hors du -mode mathémaitque. +\bigsqcup\bigsqcup +⨆ De taille variable, ou n-aire, union carrée (opérateur). -\sharp\sharp -♯ Dièse (ordinaire). +\biguplus\biguplus +⨄ De taille variable, ou n-aire, opérateur union avec un plus +(opérateur). (Notez que le nom a juste un p.) -\Sigma\Sigma -Σ Lettre grecque en capitale (ordinaire). +\bigvee\bigvee +⋁ De taille variable, ou n-aire, et-logique (opérateur). -\sigma\sigma -σ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en -variante est \varsigma ς. +\bigwedge\bigwedge +⋀ De taille variable, ou n-aire, ou-logique (opérateur). -\sim\sim -∼ Similaire à, dans une relation (relation). +\bot\bot +⊥ Taquet vers le haut, minimum, plus petit élément d&textrsquo;un ensemble +partiellement ordonné, ou une contradiction +(ordinaire). Voir aussi \top. -\simeq\simeq -≃ Similaire ou égal à, dans une relation (relation). +\bowtie\bowtie +⋈ Jonction naturelle de deux relations (relation). -\smallint\smallint -∫ Signe intégrale qui ne change pas en taille plus -grande au sein d&textrsquo;une formule hors texte (opérateur). +\Box\Box +□ Opérateur modal pour la nécessité ; boîte ouverte carrée +(ordinaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. + -\smile\smile -⌣ Arc concave en haut, sourire (ordinaire). +\bullet\bullet +symbole puce +• Puce (binaire). Similaire : point de +multiplication \cdot. -\spadesuit\spadesuit -♠ Pique de carte à jouer (ordinaire). +\cap\cap +∩ Intersection de deux ensembles (binaire). Similaire : +opérateur de taille variable \bigcap. -\sqcap\sqcap -⊓ Symbole d&textrsquo;intersection carré (binaire). Similaire : -intersection cap. +\cdot\cdot +⋅ Multiplication (binaire). Similaire : Point +puce \bullet. -\sqcup\sqcup -⊔ Symbole d&textrsquo;union carré (binaire). Similaire : -union \cup. En relation avec : opérateur de taille -variable \bigsqcup. +\chi\chi +χ Lettre grecque en bas de casse chi (ordinaire). -\sqsubset\sqsubset -⊏ Symbole carré de sous-ensemble (relation). Similaire : -sous-ensemble \subset. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. +\circ\circ +∘ Composition de fonctions, opérateur rond (binaire). Similaire : +opérateur de taille variable \bigcirc. -\sqsubseteq\sqsubseteq -⊑ Symbole carré de sous-ensemble ou égal à -(binaire). Similaire : subset or égal à \subseteq. +\clubsuit\clubsuit +♣ Trèfle de carte à jouer (ordinaire). -\sqsupset\sqsupset -⊐ Symbole carré de sur-ensemble (relation). Similaire : -superset \supset. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. +\complement\complement +∁ Complement d&textrsquo;ensemble, utilisée en indice supérieur +comme dans $S^\complement$ (ordinaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. On utilise aussi : $S^{\mathsf{c}}$ +ou $\bar{S}$. -\sqsupseteq\sqsupseteq -⊒ Symbole carré de sur-ensemble ou égal à -(binaire). Similaire : sur-ensemble ou égal \supseteq. +\cong\cong +≅ Congruent (relation). -\star\star -⋆ Étoile à cinq branches, quelque-fois utilisée comme une -opération binaire générale mais quelque-fois réservée pour la -corrélation croisée (binaire). Similaire : les -synonymes astérisque * anet \ast, qui sont à six branches, -et apparaissent plus souvent comme indice supérieur et inférieur, comme -c&textrsquo;est le cas avec l&textrsquo;étoile de Kleene. +\coprod\coprod +∐ Coproduit (opérateur). -\subset\subset -⊂ Est contenu (occasionnellement, est impliqué par) (relation). +\cup\cup +∪ Réunion de deux ensembles (binaire). opérateur de taille +variable \bigcup. -\subseteq\subseteq -⊆ Est contenu ou égal à (relation). +\dagger\dagger +† Relation obèle (binaire). -\succ\succ -≻ Vient après, suit (relation). Similaire : inférieur -à >. +\dashv\dashv +⊣ Taquet gauche, tiret avec barre verticale à droite, +tourniquet pour gauchers (relation). Similaire : taquet droit, +tourniquet \vdash. -\succeq\succeq -⪰ Suit ou est égal à (relation). Similaire : inférieur ou égal à \leq. +\ddagger\ddagger +‡ Relation double obèle (binaire). -\sum\sum -∑ Summation (opérateur). Similaire : Lettre grecque -capitale \Sigma. +\Delta\Delta +Δ Delta grec capital, utilisé pour indiquer une +incrémentation (ordinaire). -\supset\supset -⊃ Contient (relation). +\delta\delta +δ Delta grec bas-de-casse (ordinaire). -\supseteq\supseteq -⊇ Contient ou est égal à (relation). +\Diamond\Diamond +◇ Opérateur grand carreau (ordinaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. + -\surd\surd -√ Symbole racine (ordinaire). La commande &latex; -\sqrt{..} compose la racine de l&textrsquo;argument, avec une barre qui -s&textrsquo;étend pour couvrir l&textrsquo;argument. +\diamond\diamond +⋄ Opérateur Carreau, ou puce carreau (binaire). Similaire : grand +carreau \Diamond, puce disque \bullet. -\swarrow\swarrow -↙ Flèche pointant au sud-ouest (relation). +\diamondsuit\diamondsuit +♢ Carreau de carte à jouer (ordinaire). -\tau\tau -τ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +\div\div +÷ Signe de division, obélus (binaire). -\theta\theta -θ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en -variante est \vartheta ϑ. +\doteq\doteq +≐ Approche la limite (relation). Similaire : +géométriquement égal à \Doteq. -\times\times -× Signe de multiplication d&textrsquo;école primaire (binaire). Voir aussi \cdot. +\downarrow\downarrow +↓ Flèche vers le bas, converge (relation). Similaire : +flèche à ligne double vers le bas \Downarrow. -\to\to -→ Flèche en ligne simple vers la droite (relation). -Synonyme : \rightarrow. +\Downarrow\Downarrow +⇓ Flèche à ligne double vers le bas (relation). +Similaire : flèche à ligne simple vers le bas \downarrow. -\top\top -⊤ Taquet vers le haut ; dessus, plus grand élément d&textrsquo;un -poset (ordinaire). Voir aussi \bot. +\ell\ell +ℓ Lettre l bas de casse cursive (ordinaire). -\triangle\triangle -△ Triangle (ordinaire). +\emptyset\emptyset +∅ Symbole ensemble vide (ordinaire). La forme en +variante est \varnothing. + -\triangleleft\triangleleft -◁ Triangle non-rempli pointant à gauche -(binaire). Similaire : \lhd. Pour le symbole normal de -sous-groupe vous devez charger amssymb et -utiliser \vartriangleleft (qui est une relation et ainsi -donne un meilleur espacement). +\epsilon\epsilon +ϵ Lettre grecque bas de casse epsilon lunaire +(ordinaire). Sembable à la lettre en texte grec. En mathématiques on +utilise plus fréquemment l&textrsquo;epsilon minuscule de ronde +\varepsilon ε. En relation avec : la relation +ensembliste « appartenir à » \in ∈. + + -\triangleright\triangleright -▷ Triangle non-rempli pointant à droite -(binaire). Pour le symbole normal de sousgroupe vous devez à la place -charger amssymb et utiliser \vartriangleright (qui -est une relation et ainsi donne un meilleur espacement). +\equiv\equiv +≡ Équivalence (relation). -\unlhd\unlhd -⊴ Pointe de flèche non-pleine soulignée pointant vers la -gauche, c.-à-d.&noeos; triangle avec une ligne en dessous -(binaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. Pour le symbole normal de sous-groupe -chargez amssymb et utilisez \vartrianglelefteq (qui est -une relation et ainsi donne un meilleur espacement). +\eta\eta +η Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). -\unrhd\unrhd -⊵ Pointe de flèche non-pleine soulignée pointant vers la -droite, c.-à-d.&noeos; triangle avec une ligne en dessous -(binaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. Pour le symbole normal de sous-groupe -chargez amssymb et utilisez \vartrianglerighteq (qui est -une relation et ainsi donne un meilleur espacement). +\exists\exists +∃ Quanteur « Il existe » (ordinaire). -\Uparrow\Uparrow -⇑ Flèche vers le haut à ligne double -(relation). Similaire : flèche vers le haut à ligne -simple \uparrow. +\flat\flat +♭ Bémol (ordinaire). -\uparrow\uparrow -↑ Single-line upward-pointing flèche, diverges (relation). Similaire : -double-line up-pointing flèche \Uparrow. +\forall\forall +∀ Quanteur « Pour tout » (ordinaire). -\Updownarrow\Updownarrow -⇕ Double-line upward-and-downward-pointing flèche (relation). Similaire : -single-line upward-and-downward-pointing flèche \updownarrow. +\frown\frown +⌢ Moue (ordinaire). -\updownarrow\updownarrow -↕ flèche haut et bas à ligne simple (relation). Similaire : -flèche haut et bas à ligne double \Updownarrow. +\Gamma\Gamma +Γ Lettre grecque en capitale (ordinaire). -\upharpoonright\upharpoonright -↾ Harpon vers le haut avec crochet à droite -(relation). Synonyme : &backslashchar;restriction. -Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. +\gamma\gamma +γ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). -\uplus\uplus -⊎ Union de multiensemble, un symbole union avec un symbole -plus en son sein (binaire). Similaire : union \cup. En relation -avec : opérateur de taille variable \biguplus. +\ge\ge +≥ Supérieur ou égal à (relation). Synonyme : \geq. -\Upsilon\Upsilon -Υ Lettre grecque en capitale (ordinaire). +\geq\geq +≥ Supérieur ou égal à (relation). Synonyme : \ge. -\upsilon\upsilon -υ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +\gets\gets +← Auquel est assignée la valeur (relation). +Synonyme : \leftarrow. -\varepsilon\varepsilon -ε Epsilon de ronde en bas de casse (ordinaire). Plus -largement utilise en mathematique que la forme non variante epsilon -lunaire \epsilon ϵ. En relation avec : -« appartient à » \in. +\gg\gg +≫ Beaucoup plus grand que (relation). Similaire : Beaucoup +plus petit que \ll. -\vanothing\vanothing -∅ Symbole ensemble vide. Similaire : -\emptyset. En relation avec : -\revemptyset. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. +\hbar\hbar +ℏ Constante de Planck sur deux pi (ordinaire). -\varphi\varphi -φ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). -La forme non en variante est \phi ϕ. +\heartsuit\heartsuit +♡ Cœur de carte jouer (ordinaire). -\varpi\varpi -ϖ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). -La forme non en variante est \pi π. +\hookleftarrow\hookleftarrow +↩ Flèche vers la gauche avec crochet (relation). -\varrho\varrho -ϱ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). -La forme non en variante est \rho ρ. +\hookrightarrow\hookrightarrow +↪ Flèche vers la gauche avec crochet (relation). -\varsigma\varsigma -ς Variante de la lettre grecque bas de casse -(ordinaire). La forme non en variante est \sigma σ. +\iff\iff +⟷ Si et seulement si (relation). C&textrsquo;est un \Longleftrightarrow +avec un \thickmuskip de chaque côté. -\vartheta\vartheta -ϑ Variante de la lettre grecque bas de casse -(ordinaire). La forme non en variante est \theta θ. +\Im\Im +ℑ Partie imaginaire (ordinaire). Voir aussi : partie réelle \Re. -\vdash ⊢ Taquet droit ; prouve, implique ;\vdash ⊢ Taquet droit ; prouve, implique ; -portillon/tourniquet ; barre verticale et un tiret -(relation). Similaire : portillon inversé \dashv. +\in\in +∈ Appartient à (relation). Voir aussi : lettre grecque bas de +casse epsilon lunaire \epsilon ϵ et l&textrsquo;epsilon +minuscule de ronde \varepsilon. -\vee\vee -∨ Ou logique ; une forme de v pointant vers le bas -(binaire). En relation avec : Et logique \wedge. Similaire : -Opérateur de taille variable \bigvee. +\infty\infty +∞ Infini (ordinaire). -\Vert\Vert -‖ Double barre verticale (ordinaire). Similaire : barre -verticale simple \vert. +\int\int +∫ Intégrale (opérateur). -Pour une norme vous pouvez utiliser le paquetage mathtools et -ajouter \DeclarePairedDelimiter\norm{\lVert}{\rVert} à votre -préambule. Ceci vous donne trois variantes de commande pour faire des -barres verticales correctement espacées horizontalement : si dans le -corps du document vous écrivez la version étoilée -$\norm*{M^\perp}$ alors la hauteur des barres verticales -correspond à celle de l&textrsquo;argument, alors qu&textrsquo;avec \norm{M^\perp} -les barres ne grnadissent pas avec la hauteur de l&textrsquo;argument mais à la -place reste de la hauteur par défaut, et -\norm[commande-taille]{M^\perp} donne aussi des barres -qui ne grandissent pas mais sont de la taille donnée dans la -commande-taille, par ex.&noeos; \Bigg. +\iota\iota +ι Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). -\vert\vert -| Barre verticale simple (ordinaire). Similaire : barre à -double-ligne verticale \Vert. Pour usage tel qu&textrsquo;au sein de la -définition d&textrsquo;un ensemble, utilisez \mid parce que c&textrsquo;est une -relation. +\Join\Join +⨝ Symbole jointure condensé (relation). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. -Pour une valeur aboslue vous pouvez utilise le paquetage -mathtools et ajouter -\DeclarePairedDelimiter\abs{\lvert}{\rvert} à votre -préambule. Ceci vous donne trois variantes de commande pour les barres -simples verticales qui sont correctement espacées verticalement : si -dans le corps du document vous écrivrez la version étoilée -$\abs*{\frac{22}{7}}$ alors la hauteur des barres -verticales correspond à la hauteur de l&textrsquo;argument, alors qu&textrsquo;avec -\abs{\frac{22}{7}} les pabarres ne grandissent pas avec -l&textrsquo;argument ais à la place sont de la hauteur par défaut, et -\abs[commande-taille]{\frac{22}{7}} donne aussi des -barres qui ne grandissent pas mais qui sont rélgées à la taille donnée -par la commande-taille, par ex.&noeos; \Bigg. +\kappa\kappa +κ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). -\wedge\wedge -∧ Et logique (binaire). Synonyme : \land. Voir aussi -ou logique \vee. Similaire : opérateur de taille variable \bigwedge. +\Lambda\Lambda +Λ Lettre grecque en capitale (ordinaire). -\wp\wp -℘ « p » de Weierstrass, fonction elliptique de -Weierstrass (ordinaire). +\lambda\lambda +λ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). -\wr\wr -≀ Produit couronnne (binaire). +\land\land +∧ Et logique (binaire). Synonyme : \wedge. +Voir aussi ou-logique \lor. -\Xi\Xi -Ξ Lettre grecque en capitale (ordinaire). +\langle\langle +⟨ Chevron mathématique gauche, ou séquence, crochet +(ouvrant). Similaire : inférieur à <. Correspond +à \rangle. -\xi\xi -ξ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +\lbrace\lbrace +&lbracechar; Accolade gauche +(ouvrant). Synonyme : \{. Correspond à \rbrace. -\zeta\zeta -ζ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). +\lbrack\lbrack +[ Crochet gauche (ouvrant). +Synonyme : [. Correspond à \rbrack. - - -
-Math functionsMath accentsMath symbolsMath formulas -
Fonctions mathématiques -fonctions mathématiques -math, fonctions - -En mode mathématique ces commandes produisent des noms de fonction en -police romaine et avec l&textrsquo;espacement adéquat. +\lceil\lceil +⌈ Plafond à gauche, ressemble à un crochet mais avec le +pied coupé (ouvrant). Correspond à \rceil. - -\arccos\arccos -\arccos +\le\le +≤ Inférieur ou égal à (relation). C&textrsquo;est un synonyme +de \leq. -\arcsin\arcsin -\arcsin +\leadsto\leadsto +⇝ flèche vers la droite en tire-bouchon (relation). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. -\arctan\arctan -\arctan +\Leftarrow\Leftarrow +⇐ Est impliqué par, flèche vers la gauche à +double-ligne (relation). Similaire : flèche vers la gauche à simple +ligne \leftarrow. -\arg\arg -\arg +\leftarrow\leftarrow +← Flèche vers la gauche à simple ligne (relation). +Synonyme : \gets. Similaire : Flèche vers la gauche à +double-ligne \Leftarrow. -\bmod\bmod -Opérateur modulo binaire (x \bmod y) +\leftharpoondown\leftharpoondown +↽ Harpon vers la gauche à simple ligne avec +crochet vers le bas (relation). -\cos\cos -\cos +\leftharpoonup\leftharpoonup +↼ Harpon vers la gauche à simple ligne avec +crochet vers le haut (relation). -\cosh\cosh -\cosh +\Leftrightarrow\Leftrightarrow +⇔ Bi-implication ; double flèche bilatérale +(relation). Similaire : flèche bilatérale \leftrightarrow. -\cot\cot -\cos +\leftrightarrow\leftrightarrow +↔ Flèche bilatérale (relation). Similaire : +double flèche bilatérale \Leftrightarrow. -\coth\coth -\cosh +\leq\leq +≤ Inférieur ou égal à (relation). Synonyme : \le. -\csc\csc -\csc +\lfloor\lfloor +⌊ Plancher à gauche (ouvrant). Correspond à : +\rfloor. -\deg\deg -\deg +\lhd\lhd +◁ Pointe de flèche, c.-à-d.&noeos; triangle pointant vers la +gauche (binaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. For the normal +subgroup symbol you should load amssymb and +use \vartriangleleft (qui est une relation et ainsi donne un +meilleur espacement). -\det\det +\ll\ll +≪ Beaucoup plus petit que (relation). Similaire : Beaucoup +plus grand que \gg. + +\lnot\lnot +¬ Négation logique (ordinaire). Synonyme : \neg. + +\longleftarrow\longleftarrow +⟵ Longue flèche vers la gauche à ligne simple (relation). +Similaire : longue flèche gauche à ligne double \Longleftarrow. + +\longleftrightarrow\longleftrightarrow +⟷ Longue flèche bilatérale à ligne simple +(relation). Similaire : longue flèche bilatérale à ligne +double \Longleftrightarrow. + +\longmapsto\longmapsto +⟼ Longue flèche d&textrsquo;un taquet vers la droite à ligne +simple (relation). Similaire : version courte \mapsto. + +\longrightarrow\longrightarrow +⟶ Longue flèche vers la droite à ligne simple +(relation). Similaire : longue flèche vers la droite à ligne +double \Longrightarrow. + +\lor\lor +∨ Ou-logique (binaire). Synonyme : \wedge. + +\mapsto\mapsto +↦ Flèche d&textrsquo;un taquet vers la droite (relation). + Similaire : version longue \longmapsto. + +\mho\mho +℧ Conductance, symbole Ohm culbuté (ordinaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. + +\mid\mid +∣ Barre verticale à ligne simple (relation). une utilisation +typique de \mid est pour un ensemble \{\, x \mid x\geq 5 +\,\}. + +Similaire : \vert et | produisent le même symbole de barre +verticale à ligne simple mais sans aucun espacement (on les classe comme +« ordinaires ») et vous ne devriez pas les utiliser comme symbole de +relation mais seulement comme des ordinaux, c.-à-d.&noeos; comme des symboles +de note en bas de page. Pour dénoter une valeur absolue, voir l&textrsquo;entrée +de \vert et pour une norme voir l&textrsquo;entrée de \Vert. + +\models\models +⊨ Vrai, ou satisfait ; double turnstile, short double dash +(relation). Similaire : long double dash \vDash. + +\mp\mp +∓ Moins ou plus (relation). + +\mu\mu +μ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + +\nabla\nabla +∇ Del de Hamilton, ou différentiel, opérateur (ordinaire). + +\natural\natural +♮ Bécarre (ordinaire). + +\ne\ne +≠ Non égal (relation). Synonyme : \neq. + +\nearrow\nearrow +↗ Flèche nord-est (relation). + +\neg\neg +¬ Négation logique (ordinaire). +Synonyme : \lnot. Utilisé parfois au lieu du symbole de +négation: \sim. + +\neq\neq +≠ Non égal (relation). Synonyme : \ne. + +\ni\ni +∋ Signe d&textrsquo;appartenance réfléchi ; « contient comme élément » +(relation). Synonyme : \owns. Similaire : « appartient +à » \in. + +\not\not +̸ Barre oblique longue utilisée pour rayer un + opérateur la suivant (relation). + + +Beaucoup opérateurs en négation qui n&textrsquo;ont pas besoin de \not sont +disponibles, en particulier avec le paquetage amssymb. Par +exemple, \notin est sans doute préférable à \not\in d&textrsquo;un +point de vue typographique. + +\notin\notin +∉ N&textrsquo;appartient pas à (relation). Similaire : non contenu +dans \nsubseteq. + +\nu\nu +ν Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + +\nwarrow\nwarrow +↖ Flèche nord-ouest (relation). + +\odot\odot +⊙ Point cerclé (binaire). Similaire : opérateur de taille +variable \bigodot. + +\oint\oint +∮ Intégrale de contour, intégrale avec un cercle au milieu (opérateur). + +\Omega\Omega +Ω Lettre grecque en capitale (ordinaire). + +\omega\omega +ω Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + +\ominus\ominus +⊖ Signe moins, ou tiret, cerclé (binaire). + +\oplus\oplus +⊕ Signe plus cerclé (binaire). Similaire : opérateur de +taille variable \bigoplus. + +\oslash\oslash +⊘ Barre de fraction, ou barre oblique, cerclée (binaire). + +\otimes\otimes +⊗ Signe de multiplication, ou croix, cerclé (binaire). Similaire : +opérateur de taille variable \bigotimes. + +\owns\owns +∋ Epsilon d&textrsquo;appartenance réfléchi ; « contient comme +élément » (relation). Synonyme : \ni. Similaire : appartient +à \in. + +\parallel\parallel +∥ Parallèle (relation). Synonyme : \|. + +\partial\partial +∂ Différentielle partielle (ordinaire). + +\perp\perp +⟂ Perpendiculaire (relation). Similaire : \bot +utilise le même glyphe mais l&textrsquo;espacement est différent parce qu&textrsquo;il est +dans la classe ordinaire. + +\phi\phi +ϕ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est +\varphi φ. + +\Pi\Pi +Π Lettre grecque en capitale (ordinaire). + +\pi\pi +π Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est +\varpi ϖ. + +\pm\pm +± Plus or minus (binaire). + +\prec\prec +≺ Précède (relation). Similaire : inférieur à <. + +\preceq\preceq +⪯ Précède ou égal, précède par-dessus signe égal à une +ligne (relation). Similaire : inférieur ou égal \leq. + +\prime\prime +′ Prime, ou minute au sein d&textrsquo;une expression temporelle +(ordinaire). Typiquement utilisé en indice supérieur $A^\prime$. +Il est à noter sque $f^\prime$ et $f'$ produisent le même +résultat. Un avantage de la seconde forme est que $f'''$ produit +le symbole désiré, c.-à-d.&noeos; le même résultat que +$f^{\prime\prime\prime}$, mais en nécessitant moins de +saisie. Il est à noter que vous ne pouvez utiliser \prime qu&textrsquo;en +mode mathématique. Utiliser le quote ' en mode texte produit un +caractère différent (apostrophe ou guillemet anglais simple de droite). + +\prod\prod +∏ Produit (opérateur). + +\propto\propto +∝ Proportionnel à (relation) + +\Psi\Psi +Ψ Lettre grecque en capitale (ordinaire). + +\psi\psi +ψ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + +\rangle\rangle +⟩ Chevron mathématique droit, ou séquence, crochet +(fermant). Similaire : supérieur à >. Correspond +à \langle. + +\rbrace\rbrace +&rbracechar; Accolade de droite +(fermante). Synonyme : \}. Correspond à \lbrace. + +\rbrack\rbrack +] Crochet droit (fermant). Synonyme : ]. Correspond +à \lbrack. + +\rceil\rceil +⌉ Plafond droit (fermant). Correspond à \lceil. + +\Re\Re +ℜ Partie réelle, nombres réels, R capital gothique +(ordinaire). En relation avec : R majuscule ajouré, ou gras de tableau +d&textrsquo;école \mathbb{R} ; pour accéder à cela charger le paquetage +amsfonts. + +\restriction\restriction +↾ Restriction d&textrsquo;une fonction +(relation). Synonyme : \upharpoonright. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. + +\revemptyset\revemptyset +⦰ Symbole ensemble vide inversé (ordinaire). +En relation avec : \varnothing. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage stix. + +\rfloor\rfloor +⌋ Plancher droit, un crochet droit avec la dent du haut +coupée (fermant). Correspond à \lfloor. + +\rhd\rhd +◁ Pointe de flèche, c.-à-d.&noeos; u triangle pointant vers la +droite (binaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. Pour le symbole +normal de sousgroupe vous devriez plutôt charger amssymb et +utiliser \vartriangleright (qui est une relation et ainsi donne +un meilleur espacement). + +\rho\rho +ρ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est +\varrho ϱ. + +\Rightarrow\Rightarrow +⇒ Implique, flèche vers la droite à double-ligne +(relation). Similaire : flèche vers la droite \rightarrow. + +\rightarrow\rightarrow +→ Flèche vers la droite à ligne simple +(relation). Synonyme : \to. Similaire : flèche vers droite à +ligne double \Rightarrow. + +\rightharpoondown\rightharpoondown +⇁ Harpon vers la droite avec crochet vers le bas +(relation). + +\rightharpoonup\rightharpoonup +⇀ Harpon vers la droite avec crochet vers la haut (relation). + +\rightleftharpoons\rightleftharpoons +⇌ Harpon vers la droite avec crochet vers le +haut au dessus d&textrsquo;un harpon vers la gauche avec crochet vers le bas +(relation). + +\searrow\searrow +↘ Flèche pointant sud-est (relation). + +\setminus\setminus +⧵ Difference ensembliste, barre de faction inversée ou +contr&textrsquo;oblique, comme \ (binaire). Similaire : +contr&textrsquo;oblique \backslash et aussi \textbackslash hors du +mode mathémaitque. + +\sharp\sharp +♯ Dièse (ordinaire). + +\Sigma\Sigma +Σ Lettre grecque en capitale (ordinaire). + +\sigma\sigma +σ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en +variante est \varsigma ς. + +\sim\sim +∼ Similaire à, dans une relation (relation). + +\simeq\simeq +≃ Similaire ou égal à, dans une relation (relation). + +\smallint\smallint +∫ Signe intégrale qui ne change pas en taille plus +grande au sein d&textrsquo;une formule hors texte (opérateur). + +\smile\smile +⌣ Arc concave en haut, sourire (ordinaire). + +\spadesuit\spadesuit +♠ Pique de carte à jouer (ordinaire). + +\sqcap\sqcap +⊓ Symbole d&textrsquo;intersection carré (binaire). Similaire : +intersection cap. + +\sqcup\sqcup +⊔ Symbole d&textrsquo;union carré (binaire). Similaire : +union \cup. En relation avec : opérateur de taille +variable \bigsqcup. + +\sqsubset\sqsubset +⊏ Symbole carré de sous-ensemble (relation). Similaire : +sous-ensemble \subset. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. + +\sqsubseteq\sqsubseteq +⊑ Symbole carré de sous-ensemble ou égal à +(binaire). Similaire : subset or égal à \subseteq. + +\sqsupset\sqsupset +⊐ Symbole carré de sur-ensemble (relation). Similaire : +superset \supset. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. + +\sqsupseteq\sqsupseteq +⊒ Symbole carré de sur-ensemble ou égal à +(binaire). Similaire : sur-ensemble ou égal \supseteq. + +\star\star +⋆ Étoile à cinq branches, quelque-fois utilisée comme une +opération binaire générale mais quelque-fois réservée pour la +corrélation croisée (binaire). Similaire : les +synonymes astérisque * anet \ast, qui sont à six branches, +et apparaissent plus souvent comme indice supérieur et inférieur, comme +c&textrsquo;est le cas avec l&textrsquo;étoile de Kleene. + +\subset\subset +⊂ Est contenu (occasionnellement, est impliqué par) (relation). + +\subseteq\subseteq +⊆ Est contenu ou égal à (relation). + +\succ\succ +≻ Vient après, suit (relation). Similaire : inférieur +à >. + +\succeq\succeq +⪰ Suit ou est égal à (relation). Similaire : inférieur ou égal à \leq. + +\sum\sum +∑ Summation (opérateur). Similaire : Lettre grecque +capitale \Sigma. + +\supset\supset +⊃ Contient (relation). + +\supseteq\supseteq +⊇ Contient ou est égal à (relation). + +\surd\surd +√ Symbole racine (ordinaire). La commande &latex; +\sqrt{..} compose la racine de l&textrsquo;argument, avec une barre qui +s&textrsquo;étend pour couvrir l&textrsquo;argument. + +\swarrow\swarrow +↙ Flèche pointant au sud-ouest (relation). + +\tau\tau +τ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + +\theta\theta +θ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en +variante est \vartheta ϑ. + +\times\times +× Signe de multiplication d&textrsquo;école primaire (binaire). Voir aussi \cdot. + +\to\to +→ Flèche en ligne simple vers la droite (relation). +Synonyme : \rightarrow. + +\top\top +⊤ Taquet vers le haut ; dessus, plus grand élément d&textrsquo;un +poset (ordinaire). Voir aussi \bot. + +\triangle\triangle +△ Triangle (ordinaire). + +\triangleleft\triangleleft +◁ Triangle non-rempli pointant à gauche +(binaire). Similaire : \lhd. Pour le symbole normal de +sous-groupe vous devez charger amssymb et +utiliser \vartriangleleft (qui est une relation et ainsi +donne un meilleur espacement). + +\triangleright\triangleright +▷ Triangle non-rempli pointant à droite +(binaire). Pour le symbole normal de sousgroupe vous devez à la place +charger amssymb et utiliser \vartriangleright (qui +est une relation et ainsi donne un meilleur espacement). + +\unlhd\unlhd +⊴ Pointe de flèche non-pleine soulignée pointant vers la +gauche, c.-à-d.&noeos; triangle avec une ligne en dessous +(binaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. Pour le symbole normal de sous-groupe +chargez amssymb et utilisez \vartrianglelefteq (qui est +une relation et ainsi donne un meilleur espacement). + +\unrhd\unrhd +⊵ Pointe de flèche non-pleine soulignée pointant vers la +droite, c.-à-d.&noeos; triangle avec une ligne en dessous +(binaire). Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. Pour le symbole normal de sous-groupe +chargez amssymb et utilisez \vartrianglerighteq (qui est +une relation et ainsi donne un meilleur espacement). + +\Uparrow\Uparrow +⇑ Flèche vers le haut à ligne double +(relation). Similaire : flèche vers le haut à ligne +simple \uparrow. + +\uparrow\uparrow +↑ Single-line upward-pointing flèche, diverges (relation). Similaire : +double-line up-pointing flèche \Uparrow. + +\Updownarrow\Updownarrow +⇕ Double-line upward-and-downward-pointing flèche (relation). Similaire : +single-line upward-and-downward-pointing flèche \updownarrow. + +\updownarrow\updownarrow +↕ flèche haut et bas à ligne simple (relation). Similaire : +flèche haut et bas à ligne double \Updownarrow. + +\upharpoonright\upharpoonright +↾ Harpon vers le haut avec crochet à droite +(relation). Synonyme : &backslashchar;restriction. +Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. + +\uplus\uplus +⊎ Union de multiensemble, un symbole union avec un symbole +plus en son sein (binaire). Similaire : union \cup. En relation +avec : opérateur de taille variable \biguplus. + +\Upsilon\Upsilon +Υ Lettre grecque en capitale (ordinaire). + +\upsilon\upsilon +υ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + +\varepsilon\varepsilon +ε Epsilon de ronde en bas de casse (ordinaire). Plus +largement utilise en mathematique que la forme non variante epsilon +lunaire \epsilon ϵ. En relation avec : +« appartient à » \in. + +\vanothing\vanothing +∅ Symbole ensemble vide. Similaire : +\emptyset. En relation avec : +\revemptyset. Ceci n&textrsquo;est pas disponible en &tex; de base. En &latex; vous devez charger le paquetage amssymb. + +\varphi\varphi +φ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). +La forme non en variante est \phi ϕ. + +\varpi\varpi +ϖ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). +La forme non en variante est \pi π. + +\varrho\varrho +ϱ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). +La forme non en variante est \rho ρ. + +\varsigma\varsigma +ς Variante de la lettre grecque bas de casse +(ordinaire). La forme non en variante est \sigma σ. + +\vartheta\vartheta +ϑ Variante de la lettre grecque bas de casse +(ordinaire). La forme non en variante est \theta θ. + +\vdash ⊢ Taquet droit ; prouve, implique ;\vdash ⊢ Taquet droit ; prouve, implique ; +portillon/tourniquet ; barre verticale et un tiret +(relation). Similaire : portillon inversé \dashv. + +\vee\vee +∨ Ou logique ; une forme de v pointant vers le bas +(binaire). En relation avec : Et logique \wedge. Similaire : +Opérateur de taille variable \bigvee. + +\Vert\Vert +‖ Double barre verticale (ordinaire). Similaire : barre +verticale simple \vert. + +Pour une norme vous pouvez utiliser le paquetage mathtools et +ajouter \DeclarePairedDelimiter\norm{\lVert}{\rVert} à votre +préambule. Ceci vous donne trois variantes de commande pour faire des +barres verticales correctement espacées horizontalement : si dans le +corps du document vous écrivez la version étoilée +$\norm*{M^\perp}$ alors la hauteur des barres verticales +correspond à celle de l&textrsquo;argument, alors qu&textrsquo;avec \norm{M^\perp} +les barres ne grnadissent pas avec la hauteur de l&textrsquo;argument mais à la +place reste de la hauteur par défaut, et +\norm[commande-taille]{M^\perp} donne aussi des barres +qui ne grandissent pas mais sont de la taille donnée dans la +commande-taille, par ex.&noeos; \Bigg. + +\vert\vert +| Barre verticale simple (ordinaire). Similaire : barre à +double-ligne verticale \Vert. Pour usage tel qu&textrsquo;au sein de la +définition d&textrsquo;un ensemble, utilisez \mid parce que c&textrsquo;est une +relation. + +Pour une valeur aboslue vous pouvez utilise le paquetage +mathtools et ajouter +\DeclarePairedDelimiter\abs{\lvert}{\rvert} à votre +préambule. Ceci vous donne trois variantes de commande pour les barres +simples verticales qui sont correctement espacées verticalement : si +dans le corps du document vous écrivrez la version étoilée +$\abs*{\frac{22}{7}}$ alors la hauteur des barres +verticales correspond à la hauteur de l&textrsquo;argument, alors qu&textrsquo;avec +\abs{\frac{22}{7}} les pabarres ne grandissent pas avec +l&textrsquo;argument ais à la place sont de la hauteur par défaut, et +\abs[commande-taille]{\frac{22}{7}} donne aussi des +barres qui ne grandissent pas mais qui sont rélgées à la taille donnée +par la commande-taille, par ex.&noeos; \Bigg. + +\wedge\wedge +∧ Et logique (binaire). Synonyme : \land. Voir aussi +ou logique \vee. Similaire : opérateur de taille variable \bigwedge. + +\wp\wp +℘ « p » de Weierstrass, fonction elliptique de +Weierstrass (ordinaire). + +\wr\wr +≀ Produit couronnne (binaire). + +\Xi\Xi +Ξ Lettre grecque en capitale (ordinaire). + +\xi\xi +ξ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + +\zeta\zeta +ζ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). + + + +
+Math functionsMath accentsMath symbolsMath formulas +
Fonctions mathématiques +fonctions mathématiques +math, fonctions + +En mode mathématique ces commandes produisent des noms de fonction en +police romaine et avec l&textrsquo;espacement adéquat. + + +\arccos\arccos +\arccos + +\arcsin\arcsin +\arcsin + +\arctan\arctan +\arctan + +\arg\arg +\arg + +\bmod\bmod +Opérateur modulo binaire (x \bmod y) + +\cos\cos +\cos + +\cosh\cosh +\cosh + +\cot\cot +\cos + +\coth\coth +\cosh + +\csc\csc +\csc + +\deg\deg \deg -\dim\dim -\dim +\det\det +\deg + +\dim\dim +\dim + +\exp\exp +\exp + +\gcd\gcd +\gcd + +\hom\hom +\hom + +\inf\inf +\inf + +\ker\ker +\ker + +\lg\lg +\lg + +\lim\lim +\lim + +\liminf\liminf +\liminf + +\limsup\limsup +\limsup + +\ln\ln +\ln + +\log\log +\log + +\max\max +\max + +\min\min +\min + +\pmod\pmod +Modulo parenthésé, comme dans (\pmod 2^n - 1) + +\Pr\Pr +\Pr + +\sec\sec +\sec + +\sin\sin +\sin + +\sinh\sinh +\sinh + +\sup\sup +\sup + + + + + +\tan\tan +\tan + +\tanh\tanh +\tanh + + + + +
+Math accentsSpacing in math modeMath functionsMath formulas +
Accents mathématiques +Accents mathématiques +math, accents + +&latex; fournit diverse commandes pour produire des lettres accentuées en +math. Elles diffèrent de celles concernant les accents en texte normal +(Accents). + + +\acute\acute +accent aigu en math +math, accent aigu +Accent aigu mathématique : \acute{x}. + +\bar\bar +accent barre suscrite en math +accent macron en math +math, accent barre suscrite +math, accent macron +Accent barre suscrite mathématique : \bar{x}. + +\breve\breve +accent brève en math +math, accent brève +Accent brève mathématique : \breve{x}. + +\check\check +accent caron en math +accent hacek en math +Accent hacek (caron) mathématique : \check{x}. + +\ddot\ddot +accent tréma en math +accent diérèse en math +Accent diérèse (tréma) mathématique : \ddot{x}. + +\dot\dot +accent point suscrit en math +math, accent point suscrit +Accent point suscrit mathématique : \dot{x}. + +\grave\grave +accent grave en math +math, accent grave +Accent grave mathématique : \grave{x}. + +\hat\hat +accent chapeau en math +accent circonflexe en math +Accent chapeau (circonflexe) mathématique : \hat{x}. + +\imath\imath +i sans point en math +I sans point mathématique. + +\jmath\jmath +j sans point en math +J sans point mathématique. + +\mathring\mathring +accent rond-en-chef en math +math, accent rond-en-chef +Accent rond-en-chef mathématique : x. + +\tilde\tilde +accent tilde en math +Accent tilde mathématique : \tilde{x}. + +\vec\vec +symbole vecteur en math +Symbole vecteur mathématique : \vec{x}. + +\widehat\widehat +wide hat accent, math +Accent chapeau large mathématique : \widehat{x+y}. + +\widetilde\widetilde +wide tilde accent, math +Accent tilde mathématique : \widetilde{x+y}. + + + + +
+Spacing in math modeMath miscellanyMath accentsMath formulas +
Espacement en mode mathématique + +espacement au sein du mode mathématique +mode mathématique, espacement + +Au sein d&textrsquo;un environnement math, &latex; ignore les espaces que +vous tapez et met à la place l&textrsquo;espacement correspondant aux règles +normales pour les textes mathématiques. + +En mode mathématique, beaucoup de définitions sont exprimées dans +l&textrsquo;unité mathématique mu donnée par 1 em = 18 mu, où le em est pris +de la famille courante des symboles mathématiques (Units of length). + + +\; +thickspace +\; +\thickspace +Normalement 5.0mu plus 5.0mu. Le nom long est +\thickspace. Utilisable seulement en mode mathématique. + +\: +\> +\: +\> +\medspace +Normalement 4.0mu plus 2.0mu minus 4.0mu. The longer name is +\medspace. Utilisable seulement en mode mathématique. + +\, +thinspace +\, +\thinspace +Normalement 3mu. Le nom long est \thinspace. Utilisable à +la fois en mode mathématique et en mode texte. \thinspace. + +\! +\! +Une espace finie négative. Normalement -3mu. Utilisable +seulement en mode mathématique. + + +\quad +quad +\quad +Vaut 18mu, c.-à-d.&noeos; 1em. Souvent utilisé pour l&textrsquo;espace +entourant les équation ou expression, par ex.&noeos; pour l&textrsquo;espace entre deux +équation au sein d&textrsquo;un environnement displaymath. Utilisable à la +fois en mode mathématique et en mode texte. + +\qquad +\qquad +Une longueur de 2 quads, soit 36mu = 2em. Utilisable à la +fois en mode mathématique et en mode texte. +
+ +Dans cet exemple une espace fine sépare la fonction de la forme +différentielle. + + +
\int_0^1 f(x)\,dx
+
+ + +
+Math miscellanySpacing in math modeMath formulas +
Recueil de diverses commandes utiles en math +math, miscellanées +miscellanées en math + + + +\*\* +multiplication discrétionnaire +symbole de multiplication, saut de ligne discretionnaire +Un symbole de multipliciation discrétionnaire, sur lequel un saut +de ligne est autorisé. En l&textrsquo;absence de saut, la multiplication est +indiquée implicitement par un espace, alors qu&textrsquo;en cas de saut un symbole +× est imprimé immédiatement avant le saut. Ainsi + + +
\documentclass{article}
+\usepackage[utf8]{inputenc}
+\usepackage{french}
+\begin{document}
+Mais \(A_3 = 0\), ainsi le produit de tous les termes de
+\(A_1\) à \(A_4\), c.-à-d.\ \(A_1\* A_2\* A_3 \* A_4\),
+est égal à zéro.
+\end{document}
+
+ +produit une sortie de ce type + (on a omis une partie du texte pour faire apparaître la césure au +même endroit que dans une sortie &tex;) + : + + +Mais A_3 = 0, ainsi +[&dots;] +de A_1A_4, c.-à-d.&noeos; A_1 A_2 \times&linebreak;A_3 A_4, est +égal à zéro. + + +
\cdots\cdots +Des points de suspension élevés au centre de la ligne. + + + +\ddots\ddots +Des points de suspension en diagonale : \ddots. + +\frac{num}{dén}\frac{num}{dén} +\frac +Produit la fraction num divisé par dén. + +\left delim1 ... \right delim2\left delim1 ... \right delim2 +\right +délimiteur nul +Les deux délimiteurs ne se correspondent par nécessairement ; . +tient lieu de délimiteur nul, ne produisant rien en sortie. Les +délimiteurs sont dimensionnés selon la portion de formule mathématique +qu&textrsquo;ils embrassent. Exemple : \left( \sum_{i=1}^{10} a_i +\right]. + +\mathdollar\mathdollar +Signe dollar en mode mathématique : $. + +\mathellipsis\mathellipsis +Points de suspension (épacés pour du texte) en mode mathématique : &dots;. + +\mathparagraph\mathparagraph +Signe paragraphe (pied-de-mouche) en mode mathématique : ¶. + +\mathsection\mathsection +Signe section en mode mathématique. + +\mathsterling\mathsterling +Signe livre sterling mode mathématique : £. + +\mathunderscore\mathunderscore +Signe « souligné » en mode mathématique : _. + +\overbrace{math}\overbrace{math} +Génère une accolade au dessus de math. +Par exemple, \overbrace{x+\cdots+x}^{k \;\textrm{fois}}. + +\overline{texte}\overline{texte} +Génère une ligne horizontale au dessus de texte. +Par exemple, \overline{x+y}. + +\sqrt[nième]{arg}\sqrt[nième]{arg} +Produit la représentation de la racine carrée de arg. L&textrsquo;argument +optionnel nième détermine quelle racine produire. Par exemple, la +racine cubique de x+y serait tapée comme +$\sqrt[3]{x+y}$. + +\stackrel{texte}{relation}\stackrel{texte}{relation} +Place texte au dessus de relation. Par exemple, +\stackrel{f}{\longrightarrow}. + +\underbrace{math}\underbrace{math} +Génère math avec une accolade en-dessous. Par exemple, \underbrace{x+y+z}_{>\,0}. + +\underline{texte}\underline{texte} +A pour effet que texte, ce qui peut être ou non en mode +mathématique, soit souligné. La ligne est toujours sous le texte, en +prenant en compte les jambages. + +\vdots\vdots +Produit des points de suspension alignés verticalement. + +
+ + +
+
+ModesPage stylesMath formulasTop +Modes +modes +mode paragraphe +mode math +mode gauche-à-droite (left-to-right) +mode LR + + +Quand &latex; traite votre texte en entrée, il est forcément dans l&textrsquo;un +de ces trois modes : + + + +Mode paragraphe + +Mode math + +Mode gauche-à-doite, appelé également mode LR (left-to-right) pour +faire bref + + +&latex; change le mode seulement lorsqu&textrsquo;il monte ou descend un escalier +le menant à un niveau différent, quoique tous les changement de niveau +ne produisent pas de changement de mode. Les changements de mode se +produisent seulement lorsqu&textrsquo;on entre dans ou quitte un environnement, ou +quand &latex; traite l&textrsquo;argument de cetraines commandes qui produisent +du texte. + +Le « mode paragraphe » est le plus usuel ; c&textrsquo;est celui dans lequel +&latex; se trouve lorsqu&textrsquo;il traite du texte ordinaire. Dans ce +mode-là, &latex; fragments votre texte en lignes et fragmentes les +lignes en pages. &latex; est en « mode math » quand il est en train de +générer une formule mathématique. En « mode LR », comme en mode +paragraphe, &latex; considère la sortie qu&textrsquo;il produit comme une chaîne +de mots avec des espaces entre eux. Toutefois, contrairement au mode +paragraphe, &latex; continue à progresser de la gauche vers la droite ; +il ne démarre jamais une nouvelle ligne en mode LR. Même si vous mettez +une centraine de mots dans une \mbox, &latex; continue à les +composer de gauche à droite au sein d&textrsquo;une seule boîte, et ensuite se +plaindra que la boîte résultante est trop large pour tenir dans la +ligne. -\exp\exp -\exp +&latex; est en mode LR quand il commence à fabriquer une boîte avec une +commande \mbox. Vous pouver le faire entrer dans un mode +different mode au sein de la boîte &textmdash; par exemple, vous pouvez le faire +entrer en mode math pour mettre un forume dans la boîte. Il y a aussi +plusieurs commandes qui produisent du texte et environnement pour +fabriquer une boîte qui mettre &latex; en mode paragraphe. La boîte +fabriquée par l&textrsquo;une de ces commandes ou environnements est appelée une +parbox. Quand &latex; est en mode paragraphe alors qu&textrsquo;il +fabrique une boîte, on dit qu&textrsquo;il est en « mode paragraphe interne ». +Son mode paragraphe normal, celui dans lequel il démarre, est appelé +« mode paragraphe externe ». -\gcd\gcd -\gcd + +\ensuremath
Assurer qu&textrsquo;on est en mode mathématique
+
+ +\ensuremathModes +
\ensuremath + +Synopsis : -\hom\hom -\hom + +
\ensuremath{formule}
+
+ +La commande \ensuremath assure que formule est composée en +mode mathématique quel que soit le mode courant où la commande apparaît. + +Par exemple : + + +
\documentclass{report}
+\usepackage{french}
+\newcommand{\ab}{\ensuremath{(\delta, \varepsilon)}}
+\begin{document}
+Le couple \ab\ vaut alors \(\ab = (\frac{1}{\pi}, 0)\), ...
+\end{document}
+
+ +Il est possible de redéfinir des commandes qui ne peuvent être utilisées +qu&textrsquo;en mode mathématique pour qu&textrsquo;elles puissent être utilisées en tout +mode comme dans l&textrsquo;exemple ci-dessous avec \leadsto : + + +
\documentclass{report}
+\usepackage{amssymb}
+\usepackage{french}
+\newcommand{\originalMeaningOfLeadsTo}{}
+\let\originalMeaningOfLeadsTo\leadsto
+\renewcommand\leadsto{\ensuremath{\originalMeaningOfLeadsTo}}
+\begin{document}
+Tous les chemins \leadsto\ Rome.
+\end{document}
+
+ + +
+
+Page stylesSpacesModesTop +Styles de page +styles, page +page styles + +La commande \documentclass détermine la taille et la position de +l&textrsquo;en-tête et du bas de page. Le style de page détermine leur contenu. + + +\maketitle
Génère une page de titre.
+
\pagenumbering
Règle le style utilisé pour les numéros de pages.
+
\pagestyle
Change le style des en-têtes et bas de pages.
+
\thispagestyle
Change le style de l&textrsquo;en-tête et bas de pages de la
+  page courante.
+
+ + +\maketitle\pagenumberingPage styles +
\maketitle + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
+\pagenumbering\pagestyle\maketitlePage styles +
\pagenumbering +\pagenumbering +numérotation de page, style +style de numérotation de page + +Synopsis : + + +
\pagenumbering{style}
+
+ +Spécifie le style des numéros de page numbers selon +style. \pagenumbering remet également le numéro de page à +1. L&textrsquo;argument style peut prendre les valeurs suivantes : + + +arabic +nombres arabes + +roman +Nombres romain en bas de casse + +Roman +Nombres romain en capitales + +alph +Lettres en bas de casse + +Alph +Lettre en capitales +
+ + +
+\pagestyle\thispagestyle\pagenumberingPage styles +
\pagestyle + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
+\thispagestyle\pagestylePage styles +
\thispagestyle{style} +\thispagestyle + +La commande \thispagestyle fonctionne de la même manière que la +commande \pagestyle (voir section pécédente) à ceci près qu&textrsquo;elle +change en style pour la page courante seulement. + + +
+
+SpacesBoxesPage stylesTop +Espaces +espaces + +&latex; a beaucoup de façons de produire de l&textrsquo;espace blanc (ou rempli). + +Une autre commande produisant de l&textrsquo;espace est \, pour produire une +espace « fine » (d&textrsquo;habitude 1/6quad). Elle peut être utilisée en +mode texte, mais est le plus souvent utile en mode math (Spacing +in math modeEspacement en mode mathématique). + + +
Espace horizontal
+
\hspace
Espace horizontal fixe.
+
\hfill
Espace horizontal extensible.
+
\<espace> et \&arobase;\(SPACE) and \&arobase;
Espace après un point.
+
\<espace> après séq.&noeos; de control\(SPACE) after control sequence
Espaces (avalement des) après une séquence de contrôle.
+
\frenchspacing
Rendre égaux les espacements inter-phrase et inter-mot.
+
\thinspace
Un sixième d&textrsquo;em.
+
\/
Correction italique par caractère.
+
\hrulefill \dotfill
Filet ou pointillés horizontaux extensibles.
+
+Espace vertical
+
\addvspace
Ajouter un espace vertical arbitraire si besoin est.
+
\bigskip \medskip \smallskip
Espaces verticaux fixes.
+
\vfill
Espace vertical extensible indéfiniment.
+
\vspace
Ajouter de l&textrsquo;espace vertical en quantité arbitraire.
+
+ + +\hspace\hfillSpaces +
\hspace +\hspace + +Synopsis : -\inf\inf -\inf + +
\hspace{longueur}
+\hspace*{longueur}
+
+ +La commande \hspace ajoute de l&textrsquo;espace horizontal. L&textrsquo;argument +longueur peut être exprimé en toute unité que &latex; comprend : +points, pouces, etc.&noeos; C&textrsquo;est une longueur élastique. Vous pouvez +ajouter aussi bien de l&textrsquo;espace négatif que de l&textrsquo;espace positif avec une +commande \hspace ; ajouter de l&textrsquo;espace negatif revient à +retourner en arrière. -
\ker\ker -\ker +&latex; enlève normalement l&textrsquo;espace horizontal qui vient au début ou à +la fin d&textrsquo;une ligne. Pour préserver cet espace, utilisez la forme +étoilée, c.-à-d.&noeos; avec le suffixe * optionnel. -\lg\lg -\lg + +
+\hfill\(SPACE) and \&arobase;\hspaceSpaces +
\hfill + +\hfill +La commande \hfill de remplissage produit une &textldquo;longueur +élastique&textrdquo; qui n&textrsquo;a aucun espace naturel mais peut s&textrsquo;allonger ou se +rétrécir horizontalement autant que nécessaire. -\lim\lim -\lim +\fill +Le paramètre \fill est la longueur élastique elle-même (c.-à-d.&noeos; +pour parler technique, la valeur de glue 0pt plus1fill) ; ainsi, +\hspace\fill équivaut à \hfill. -\liminf\liminf -\liminf + +
+\(SPACE) and \&arobase;\(SPACE) after control sequence\hfillSpaces +
\<espace> et \&arobase; +\espace +\tabulation +\sautdeligne + +Ces commandes permettent de marquer un caractère de ponctuation, +typiquement un point, comme soit finissant une phrase, soit finissant +une abréviation. -\limsup\limsup -\limsup +Par défaut, lorsque &latex; justifie une ligne il ajuste l&textrsquo;espace après +le point final de chaque phrase (ou le point d&textrsquo;interrogation, la +virgule, ou le deux-points) plus que pour l&textrsquo;espace inter-mot +(\frenchspacing). &latex; suppose que le point finit une phrase +à moins qu&textrsquo;il soit précédé d&textrsquo;une lettre capitale, dans quel cas il +considère que ce point fait partie d&textrsquo;une abréviation. Il est à noter que +si un point final de phrase est immédiatement suivit d&textrsquo;une parenthèse ou +crochet de droite, ou d&textrsquo;un guillemet-apostrophe simple ou double de droite, +alors l&textrsquo;espace inter-phrase suit cette parenthèse ou ce guillemet. -\ln\ln -\ln +Si vous avez un point finissant une abréviation dont la dernière lettre +n&textrsquo;est pas une capitale, et que cette abréviation n&textrsquo;est pas le dernier +mot d&textrsquo;une phrase, alors faites suivre ce point d&textrsquo;un +contr&textrsquo;oblique-espace (\ ), où d&textrsquo;un tilde (~). Voici des +exemples : Nat.\ Acad.\ Science, et Mr.~Bean, et (du +fumier, etc.)\ à vendre. -\log\log -\log +Pour une autre utilisation de \ , \(SPACE) after control +sequence\ après une séquence de contrôle. -\max\max -\max +Dans la situation opposée, si vous avez une lettre capitale suivi d&textrsquo;un point +qui finit la phrase, alors placez \&arobase; avant ce point. Par ex., +book by the MAA\&arobase;. aura l&textrsquo;espacement inter-phrase après ce point. -\min\min -\min +Par contre, placer \&arobase; après un point dit à &tex; que ce point ne finit +pas la phrase. Dans l&textrsquo;exemple les mot réservés (if, then, etc.\&arobase;) sont +différents, &tex; met un espace inter-mot après la parenthèse fermante (notez +que \&arobase; est avant la parenthèse). -\pmod\pmod -Modulo parenthésé, comme dans (\pmod 2^n - 1) +
+\(SPACE) after control sequence\frenchspacing\(SPACE) and \&arobase;Spaces +
\ après une séquence de contrôle + +La commande \ est aussi souvent utilisée après les +séquences de contrôle pour les empêcher d&textrsquo;avaler les espaces qui +suivent, comme dans \TeX\ c'est chouette. Et, +dans des circonstances normales, \tabulation et +\sautdeligne sont équivalents à \ . Pour une autre utilisation de \ , voir aussi \(SPACE) and \&arobase;. -\Pr\Pr -\Pr +Certaines personnes préfèrent utiliser {} dans le même but, comme dans +\TeX{} c'est chouette. Ceci a l&textrsquo;avantage que vous écrivez toujours la +même chose, en l&textrsquo;occurrence \TeX{}, qu&textrsquo;elle soit suivie d&textrsquo;un espace ou +d&textrsquo;un signe de ponctuation. Comparez : -\sec\sec -\sec + +
\TeX\ est un chouette système. \TeX, un chouette système.&linebreak;
+\TeX{} est un chouette système. \TeX{}, un chouette système.
+
+ + +paquetage xspace +xspace, paquetage + +Certaines commandes, notamment celles définies avec le paquetage +xspace, ne suivent pas ce comportement standard. -
\sin\sin -\sin + +
+\frenchspacing\thinspace\(SPACE) after control sequenceSpaces +
\frenchspacing, rendre égaux les espacements inter-phrase et inter-mot + +\frenchspacing +\nonfrenchspacing +espacement inter-phrase + +Cette déclaration (provenant de &tex; de base) cause que &latex; +traite l&textrsquo;espacement inter-phrase de la même façon que l&textrsquo;espacement inter-mot. -\sinh\sinh -\sinh +En justifiant le texte sur une ligne, certaine traditions typographique, +y comrpis l&textrsquo;anglaise, préfèrent ajuster l&textrsquo;espace entre les phrase (ou +après d&textrsquo;autres signes de ponctuation) plus que l&textrsquo;espace entre les +mots. À la suite de cette déclaration, tous les espaces sont traités de +la même façon. -\sup\sup -\sup - - - +Revenez au comportement par défaut en déclarant +\nonfrenchspacing. +
+\thinspace\/\frenchspacingSpaces +
\thinspace +\thinspace -\tan\tan -\tan - -\tanh\tanh -\tanh +\thinspace produit une espace insécable et non-élastique qui vaut + 1/6 d&textrsquo;em. C&textrsquo;est l&textrsquo;espace adéquate entre des guillemets anglais + simples emboîtés, comme dans &textrsquo;&textrdquo;. + - -
-Math accentsSpacing in math modeMath functionsMath formulas -
Accents mathématiques -Accents mathématiques -math, accents +\/\hrulefill \dotfill\thinspaceSpaces +
\/ : insérer une correction italique +\/ +Correction italique -&latex; fournit diverse commandes pour produire des lettres accentuées en -math. Elles diffèrent de celles concernant les accents en texte normal -(Accents). - - -\acute\acute -accent aigu en math -math, accent aigu -Accent aigu mathématique : \acute{x}. - -\bar\bar -accent barre suscrite en math -accent macron en math -math, accent barre suscrite -math, accent macron -Accent barre suscrite mathématique : \bar{x}. +La commande \/ produit une correction italique. C&textrsquo;est une +espace fine deéfni par le créateur de caractères typographiques pour un +caractère donné, pour éviter que le caractère entre en collision avec ce +qui suit. Le caractère italique f a typiquement une valeur +importante de correction italique. -\breve\breve -accent brève en math -math, accent brève -Accent brève mathématique : \breve{x}. +Si le caractère suivant est un point ou une virgule, il n&textrsquo;est pas +nécessaire d&textrsquo;insérer une correction italique, puisque ces symboles de +ponctuation ont une très faible hauteur. Toutefois, avec les +point-virgules ou les deux-points, de même qu&textrsquo;avec les lettres normales, +il peut être utilie. Comparez : + + +f: f; (dans la sortie &tex;, les &textlsquo;f&textrsquo;s sont séparés joliment) +avec f: f;. -\check\check -accent caron en math -accent hacek en math -Accent hacek (caron) mathématique : \check{x}. +Lorsque on change de fontes avec des commandes telles que +\textit{italic text} ou {\itshape italic text}, +&latex; insère automatiquement une correction italique appropriée si +nécessaire (Font styles). -\ddot\ddot -accent tréma en math -accent diérèse en math -Accent diérèse (tréma) mathématique : \ddot{x}. +Malgré leur nom, les caractères romains peuvent aussi avoir une +correction italique. Comparez : + + +pdf&tex; (dans la sortie &tex;, il y a une espace fine après le &textlsquo;f&textrsquo;) +avec pdf&tex;. -\dot\dot -accent point suscrit en math -math, accent point suscrit -Accent point suscrit mathématique : \dot{x}. +Le concept de correction italique n&textrsquo;existe pas en mode mathématique ; +l&textrsquo;espacement y est fait d&textrsquo;une façon différente. -\grave\grave -accent grave en math -math, accent grave -Accent grave mathématique : \grave{x}. + +
+\hrulefill \dotfill\addvspace\/Spaces +
\hrulefill \dotfill +\hrulefill +\dotfill + +Produit une longueur élastique infinie (Lengths) remplie avec un +filled filet horizontal (c.-à-d.&noeos; une ligne) ou avec des pointillés, au +lieu de just de l&textrsquo;espace blanche. -\hat\hat -accent chapeau en math -accent circonflexe en math -Accent chapeau (circonflexe) mathématique : \hat{x}. +Quand on le place entre deux lignes à blanc cet exemple crée un +paragraphe qui est justifié à gauche et à droite, où l&textrsquo;espace au milieu +est rempli avec des pointillés uniformément espacés. -\imath\imath -i sans point en math -I sans point mathématique. + +
\noindent Jack Aubrey\dotfill Melbury Lodge
+
+ +Pour que le filet ou les pointillés aillent jusqu&textrsquo;au bout de la ligne +utilisez \null au début ou à la fin. -
\jmath\jmath -j sans point en math -J sans point mathématique. +Pour changer l&textrsquo;épaisseur du filet, copiez la définition et ajustez là, +comme avec \renewcommand{\hrulefill}{\leavevmode\leaders\hrule +height 1pt\hfill\kern\z&arobase;}, ce qui cuange l&textrsquo;épaisseur par défaut de +0.4pt à 1pt. De même, ajustez l&textrsquo;espacement inter-pointillé +comme avec +\renewcommand{\dotfill}{\leavevmode\cleaders\hb&arobase;xt&arobase; +1.00em{\hss .\hss }\hfill\kern\z&arobase;}, ce qui change la longeur par +défaut de 0.33em à 1.00em. -\mathring\mathring -accent rond-en-chef en math -math, accent rond-en-chef -Accent rond-en-chef mathématique : x. + +
+\addvspace\bigskip \medskip \smallskip\hrulefill \dotfillSpaces +
\addvspace +\addvspace +espace vertical +espace vertical, insérer + +\addvspace{length} -\tilde\tilde -accent tilde en math -Accent tilde mathématique : \tilde{x}. +Ajoute un espace vertical de longeur length, ce qui est une +longueur élatsique (Lengths). Toutefois, si l&textrsquo;espace vertical a +déjà été ajouté au même point de la sortie par une commande +\addvspace précédente, alors cette commande n&textrsquo;ajoutera pas plus +d&textrsquo;espace que nécessaire à fabriquer la longeur naturelle de l&textrsquo;espace +vertical total égale à length. -\vec\vec -symbole vecteur en math -Symbole vecteur mathématique : \vec{x}. +Utilisez cette commande pour ajuster l&textrsquo;espace vertical au-dessus ou +au-dessous d&textrsquo;un environnement qui commence un nouveau paragraphe. (Par +exemple, un environnement Theorem est défini pour commencer et finir en +\addvspace{..} de sorte que deux Theorem consécutifs sont +séparés par un espace vertical, et non deux.) -\widehat\widehat -wide hat accent, math -Accent chapeau large mathématique : \widehat{x+y}. +Cette commande est fragile (\protect). -\widetilde\widetilde -wide tilde accent, math -Accent tilde mathématique : \widetilde{x+y}. +L&textrsquo;erreur Something's wrong--perhaps a missing \item signifie que +vous n&textrsquo;étiez pas en mode vertical quand vous avez invoqué cette +commande ; une façon pour sortir de cela et de faire précéder cette +commande d&textrsquo;une commande \par. - -
-Spacing in math modeMath miscellanyMath accentsMath formulas -
Espacement en mode mathématique - -espacement au sein du mode mathématique -mode mathématique, espacement +\bigskip \medskip \smallskip\vfill\addvspaceSpaces +
\bigskip \medskip \smallskip -Au sein d&textrsquo;un environnement math, &latex; ignore les espaces que -vous tapez et met à la place l&textrsquo;espacement correspondant aux règles -normales pour les textes mathématiques. - -En mode mathématique, beaucoup de définitions sont exprimées dans -l&textrsquo;unité mathématique mu donnée par 1 em = 18 mu, où le em est pris -de la famille courante des symboles mathématiques (Units of length). - - -\; -thickspace -\; -\thickspace -Normalement 5.0mu plus 5.0mu. Le nom long est -\thickspace. Utilisable seulement en mode mathématique. - -\: -\> -\: -\> -\medspace -Normalement 4.0mu plus 2.0mu minus 4.0mu. The longer name is -\medspace. Utilisable seulement en mode mathématique. +Ces commandes produisent une quantité donnée d&textrsquo;espace, spécifiée par la +classe de document. -\, -thinspace -\, -\thinspace -Normalement 3mu. Le nom long est \thinspace. Utilisable à -la fois en mode mathématique et en mode texte. \thinspace. + +\bigskip\bigskip +\bigskipamount +La même chose que \vspace{\bigskipamount}, ordinairement environ +l&textrsquo;espace d&textrsquo;une ligne, avec dilatation et rétrécissement (la valeur par +défaut pour les classes book et article et 12pt +plus 4pt minus 4pt). -\! -\! -Une espace finie négative. Normalement -3mu. Utilisable -seulement en mode mathématique. +\medskip\medskip +\medskipamount +La même chose que \vspace{\medskipamount}, ordinairement +environ la moitié de l&textrsquo;espace d&textrsquo;une ligne, avec dilatation et +rétrécissement (la valeur par défaut pour les classes book et +article et 6pt plus 2pt minus 2pt). - -\quad -quad -\quad -Vaut 18mu, c.-à-d.&noeos; 1em. Souvent utilisé pour l&textrsquo;espace -entourant les équation ou expression, par ex.&noeos; pour l&textrsquo;espace entre deux -équation au sein d&textrsquo;un environnement displaymath. Utilisable à la -fois en mode mathématique et en mode texte. +\smallskip\smallskip +\smallskipamount +La même chose que \vspace{\smallskipamount}, ordinairement +environ le quart de l&textrsquo;espace d&textrsquo;une ligne, avec dilatation et +rétrécissement (la valeur par défaut pour les classes book et +article et 3pt plus 1pt minus 1pt). -\qquad -\qquad -Une longueur de 2 quads, soit 36mu = 2em. Utilisable à la -fois en mode mathématique et en mode texte. -
+ -Dans cet exemple une espace fine sépare la fonction de la forme -différentielle. +
+\vfill\vspace\bigskip \medskip \smallskipSpaces +
\vfill +\vfill + +dilatation verticale infinie +verticale infinie, dilatation + +Finit le paragraphe courant et insère une longueur élastique verticale +(Lengths) qui est infinie, de sorte qu&textrsquo;elle puisse se dilater ou +se rétrécir autant que nécessaire. + +On l&textrsquo;utilise souvent de la même façon que \vspace{\fill}, à +ceci près que \vfill finit le paragraphe courant, tandis que +\vspace{\fill} ajoute un espace vertical infini sous sa +ligne sans tenir compte de la structure du paragraphe. Dans les deux +cas cet espace disparaît à la fin de la page ; pour éviter cela +voir \vspace. + +Dans l&textrsquo;exemple qui suit la page est remplie, de sorte que les lignes en +haut et en bas contiennent le texte Chien perdu ! et que le +troisième Chien perdu ! est exactement à mi-chemin entre eux. -
\int_0^1 f(x)\,dx
+
\begin{document}
+Chien perdu !
+\vfill
+Chien perdu !
+\vfill
+Chien perdu !
+\end{document}
 
-Math miscellanySpacing in math modeMath formulas -
Recueil de diverses commandes utiles en math -math, miscellanées -miscellanées en math +\vspace\vfillSpaces +
\vspace +\vspace +espace verticale +verticale, espace - - -\*\* -multiplication discrétionnaire -symbole de multiplication, saut de ligne discretionnaire -Un symbole de multipliciation discrétionnaire, sur lequel un saut -de ligne est autorisé. En l&textrsquo;absence de saut, la multiplication est -indiquée implicitement par un espace, alors qu&textrsquo;en cas de saut un symbole -× est imprimé immédiatement avant le saut. Ainsi +Synopsis, l&textrsquo;une des deux formes suivantes : -
\documentclass{article}
-\usepackage[utf8]{inputenc}
-\usepackage{french}
-\begin{document}
-Mais \(A_3 = 0\), ainsi le produit de tous les termes de
-\(A_1\) à \(A_4\), c.-à-d.\ \(A_1\* A_2\* A_3 \* A_4\),
-est égal à zéro.
-\end{document}
+
\vspace{longueur}
+\vspace*{longueur}
 
-produit une sortie de ce type - (on a omis une partie du texte pour faire apparaître la césure au -même endroit que dans une sortie &tex;) - : - - -Mais A_3 = 0, ainsi -[&dots;] -de A_1A_4, c.-à-d.&noeos; A_1 A_2 \times&linebreak;A_3 A_4, est -égal à zéro. - - -\cdots\cdots -Des points de suspension élevés au centre de la ligne. - - - -\ddots\ddots -Des points de suspension en diagonale : \ddots. - -\frac{num}{dén}\frac{num}{dén} -\frac -Produit la fraction num divisé par dén. - -\left delim1 ... \right delim2\left delim1 ... \right delim2 -\right -délimiteur nul -Les deux délimiteurs ne se correspondent par nécessairement ; . -tient lieu de délimiteur nul, ne produisant rien en sortie. Les -délimiteurs sont dimensionnés selon la portion de formule mathématique -qu&textrsquo;ils embrassent. Exemple : \left( \sum_{i=1}^{10} a_i -\right]. - -\mathdollar\mathdollar -Signe dollar en mode mathématique : $. - -\mathellipsis\mathellipsis -Points de suspension (épacés pour du texte) en mode mathématique : &dots;. - -\mathparagraph\mathparagraph -Signe paragraphe (pied-de-mouche) en mode mathématique : ¶. +Ajout l&textrsquo;espace verticale longueur. Celle-ci peut-être négative ou positive, +et c&textrsquo;est une longueur élastique (Lengths). -\mathsection\mathsection -Signe section en mode mathématique. +&latex; enlève l&textrsquo;espace verticale provenant de \vspace aux sauts +de page, c.-à-d.&noeos; au sommet et au bas des pages. La version étoilée +\vspace*{...} permet de conserver cette espace. -\mathsterling\mathsterling -Signe livre sterling mode mathématique : £. +Si \vspace est utilisée au milieu d&textrsquo;un paragraphe (c.-à-d.&noeos; en +mode horizontal), l&textrsquo;esace est insérée après la ligne comprenant +la commande \vspace sans commencer un nouveau paragraphe. -\mathunderscore\mathunderscore -Signe « souligné » en mode mathématique : _. +Dans cet exemple les deux questions sont espacées uniformément +verticalement sur la page, avec au moins 2,5cm d&textrsquo;espace sous +chacune d&textrsquo;elle. -\overbrace{math}\overbrace{math} -Génère une accolade au dessus de math. -Par exemple, \overbrace{x+\cdots+x}^{k \;\textrm{fois}}. + +
\begin{document}
+1) Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la
+\vspace{2.5cm plus 1fill}
+
+2) Où est donc passé ce chien ? Je le cherche partout
+\vspace{2.5cm plus 1fill}
+\end{document}
+
+ + +
+ +BoxesColorSpacesTop +Boîtes +boîtes + +Tous les paramètres de longueurs prédéfinies (Predefined lengths) +peuvent être utilisés au sein des arguments des commandes de fabrication +de boîtes. -\overline{texte}\overline{texte} -Génère une ligne horizontale au dessus de texte. -Par exemple, \overline{x+y}. + +\mbox
Boîtes horizontales.
+
\fbox and \framebox
Mettre un cadre autour d&textrsquo;une boîte.
+
lrbox
Un environnement similaire à \sbox.
+
\makebox
Boîte, adjustable position.
+
\parbox
Boîte avec du texte en mode paragraphe.
+
\raisebox
Élève ou abaisse le texte.
+
\savebox
Comme \makebox, mais sauvegarde le texte pour usage ultérieur.
+
\sbox
Comme \mbox, mais sauvegarde le texte pour usage ultérieur.
+
\usebox
Compose le texte sauvegardé.
+
+ + +\mbox\fbox and \frameboxBoxes +
\mbox{texte} +\mbox + +césure, empécher +coupure de mot, empécher +La commande \mbox crée un boîte qui a la largeur juste du texte +créé par son argument. Le texte n&textrsquo;est pas coupé en plusieurs +lignes, c&textrsquo;est pourquoi cette commande peut être utilisée pour empécher +la césure. -\sqrt[nième]{arg}\sqrt[nième]{arg} -Produit la représentation de la racine carrée de arg. L&textrsquo;argument -optionnel nième détermine quelle racine produire. Par exemple, la -racine cubique de x+y serait tapée comme -$\sqrt[3]{x+y}$. + +
+\fbox and \frameboxlrbox\mboxBoxes +
\fbox and \framebox + +\fbox +\framebox + +Synopsis : -\stackrel{texte}{relation}\stackrel{texte}{relation} -Place texte au dessus de relation. Par exemple, -\stackrel{f}{\longrightarrow}. + +
\fbox{texte}
+\framebox[largeur][position]{texte}
+
+ +Les commandes \fbox et \framebox sont similaires à +\mbox, à ceci près qu&textrsquo;elle mettent un cadre autour de l&textrsquo;extérieur +de la boîte ainsi créée. -
\underbrace{math}\underbrace{math} -Génère math avec une accolade en-dessous. Par exemple, \underbrace{x+y+z}_{>\,0}. +De plus, la commande \framebox permet de spécifier explicitement +la largeur de la boîte avec l&textrsquo;argument optionnel largeur +(une longueur), et sa position sur la ligne avec l&textrsquo;argument optionnel position. -\underline{texte}\underline{texte} -A pour effet que texte, ce qui peut être ou non en mode -mathématique, soit souligné. La ligne est toujours sous le texte, en -prenant en compte les jambages. +\fboxrule +\fboxsep +Les deux commandes produisent un filet d&textrsquo;épaisseur \fboxrule +(valant par défaut .4pt), et laisse un espace de \fboxsep +(valant par défaut 3pt) entre le filet et le contenu de la boîte. -\vdots\vdots -Produit des points de suspension alignés verticalement. +\framebox (picture), pour la commande \framebox dans +l&textrsquo;environnement picture. - -
-
-ModesPage stylesMath formulasTop -Modes -modes -mode paragraphe -mode math -mode gauche-à-droite (left-to-right) -mode LR - +lrbox\makebox\fbox and \frameboxBoxes +
lrbox +lrbox -Quand &latex; traite votre texte en entrée, il est forcément dans l&textrsquo;un -de ces trois modes : +Synopsis : - - -Mode paragraphe - -Mode math - -Mode gauche-à-doite, appelé également mode LR (left-to-right) pour -faire bref - + +
\begin{lrbox}{\cmd}
+  texte 
+\end{lrbox}
+
-&latex; change le mode seulement lorsqu&textrsquo;il monte ou descend un escalier -le menant à un niveau différent, quoique tous les changement de niveau -ne produisent pas de changement de mode. Les changements de mode se -produisent seulement lorsqu&textrsquo;on entre dans ou quitte un environnement, ou -quand &latex; traite l&textrsquo;argument de cetraines commandes qui produisent -du texte. - -Le « mode paragraphe » est le plus usuel ; c&textrsquo;est celui dans lequel -&latex; se trouve lorsqu&textrsquo;il traite du texte ordinaire. Dans ce -mode-là, &latex; fragments votre texte en lignes et fragmentes les -lignes en pages. &latex; est en « mode math » quand il est en train de -générer une formule mathématique. En « mode LR », comme en mode -paragraphe, &latex; considère la sortie qu&textrsquo;il produit comme une chaîne -de mots avec des espaces entre eux. Toutefois, contrairement au mode -paragraphe, &latex; continue à progresser de la gauche vers la droite ; -il ne démarre jamais une nouvelle ligne en mode LR. Même si vous mettez -une centraine de mots dans une \mbox, &latex; continue à les -composer de gauche à droite au sein d&textrsquo;une seule boîte, et ensuite se -plaindra que la boîte résultante est trop large pour tenir dans la -ligne. - -&latex; est en mode LR quand il commence à fabriquer une boîte avec une -commande \mbox. Vous pouver le faire entrer dans un mode -different mode au sein de la boîte &textmdash; par exemple, vous pouvez le faire -entrer en mode math pour mettre un forume dans la boîte. Il y a aussi -plusieurs commandes qui produisent du texte et environnement pour -fabriquer une boîte qui mettre &latex; en mode paragraphe. La boîte -fabriquée par l&textrsquo;une de ces commandes ou environnements est appelée une -parbox. Quand &latex; est en mode paragraphe alors qu&textrsquo;il -fabrique une boîte, on dit qu&textrsquo;il est en « mode paragraphe interne ». -Son mode paragraphe normal, celui dans lequel il démarre, est appelé -« mode paragraphe externe ». +Ceci est la forme environnement de la commande \sbox\sbox. + +Le texte au sein de l&textrsquo;environnement est sauvegarder dans une boîte +\cmd qui doit avoir préalablement été déclarée avec +\newsavebox. - -\ensuremath
Assurer qu&textrsquo;on est en mode mathématique
-
-\ensuremathModes -
\ensuremath +
+\makebox\parboxlrboxBoxes +
\makebox +\makebox Synopsis : -
\ensuremath{formule}
+
\makebox[largeur][position]{texte}
 
-La commande \ensuremath assure que formule est composée en -mode mathématique quel que soit le mode courant où la commande apparaît. +La commande \makebox crée une boîte juste assez large pour +contenir le texte spécifié. La largeur de la boîte peut-être +emportée par l&textrsquo;argument optionnel largeur. La position du +texte au sein de la boîte est determinée par l&textrsquo;argument optionnel +position qui peut prendre l&textrsquo;une des valeurs suivantes : -Par exemple : + +c +Centré (par défaut). +l +(Left) justifié à gauche. +r +(Right) justifié à droite. +s +(Stretch) justifié à travers la largeur entière ; texte doit +contenir de l&textrsquo;espace dilatable pour que cela marche. +
+ +\makebox est aussi utilisé au sein de l&textrsquo;environnement picture, +\makebox (picture). + + +
+\parbox\raisebox\makeboxBoxes +
\parbox +\parbox +paragraphe, mode +paragraphe, dans une boîte + + +Synopsis, l&textrsquo;un parmi les suivants : -
\documentclass{report}
-\usepackage{french}
-\newcommand{\ab}{\ensuremath{(\delta, \varepsilon)}}
-\begin{document}
-Le couple \ab\ vaut alors \(\ab = (\frac{1}{\pi}, 0)\), ...
-\end{document}
+
\parbox{largeur}{contenu}
+\parbox[position]{largeur}{contenu}
+\parbox[position][hauteur]{largeur}{contenu}
+\parbox[position][hauteur][pos-interne]{largeur}{contenu}
 
-Il est possible de redéfinir des commandes qui ne peuvent être utilisées -qu&textrsquo;en mode mathématique pour qu&textrsquo;elles puissent être utilisées en tout -mode comme dans l&textrsquo;exemple ci-dessous avec \leadsto : +mode paragraphe +paragraphe, mode +La commande \parbox produit une boîte de texte de largeur +largeur. Cette commande peut être utilisée pour fabriquer une +boîte à partir de petits morceaux de texte, et contenant un seul +paragraphe. Cette commande est fragile (\protect). -
\documentclass{report}
-\usepackage{amssymb}
-\usepackage{french}
-\newcommand{\originalMeaningOfLeadsTo}{}
-\let\originalMeaningOfLeadsTo\leadsto
-\renewcommand\leadsto{\ensuremath{\originalMeaningOfLeadsTo}}
-\begin{document}
-Tous les chemins \leadsto\ Rome.
-\end{document}
+
\begin{picture}(0,0)
+  ...
+  \put(1,2){\parbox{4.5cm}{\raggedright Le graphique étant une
+    droite sur une échelle logarithmique, la relation est
+    exponentielle.}}
+\end{picture}
 
- -
- -Page stylesSpacesModesTop -Styles de page -styles, page -page styles - -La commande \documentclass détermine la taille et la position de -l&textrsquo;en-tête et du bas de page. Le style de page détermine leur contenu. +Le contenu est taité en mode texte (Modes) ainsi +&latex; fait des sauts de ligne de sorte à former un paragraphe. Mais +il ne fabriquera pas plusieurs paragraphes ; pour cela, utilisez un +environnement minipage (minipage). + +Les options d&textrsquo;une \parbox (à l&textrsquo;exception du contenu) sont +les mêmes que pour une minipage. Par commodité on rappelle ces +options ici plus bas, mais se référer à minipage pour une +description complète. + +Il y a deux arguments obligatoires. La largeur est une longueur +rigide (Lengths). Elle règle la largeur de la boîte dans +laquelle &latex; compose le contenu. Le contenu est le +texte qui est placé dans cette boîte. Il ne devrait pas avoir de +composants qui fabriquent des paragraphes. + +Il y a trois arguments optionnels, position, hauteur, et +pos-interne. La position donne l&textrsquo;alignement vertical de la +parbox relativement au texte alentour. La valeurs prises en charge +sont c ou m pour que le centre selon la dimension +verticale de la parbox soit aligné avec le centre de la ligne de texte +adjacente (c&textrsquo;est le réglage par défaut), ou t pour s&textrsquo;accorder la +ligne du haut de la parbox avec la ligne de base du texte alentour, ou +b pour accorder la ligne du bas. + +L&textrsquo;argument optionnel hauteur l&textrsquo;emporte sur la hauteur naturelle de +la boîte. + +L&textrsquo;argument optionnel pos-interne contrôle la position du +contenu au sein de la parbox. Les valeurs possibles sont : +t pour le centrer verticalement, b pour le place en bas de +la boîte, et s pour le dilater verticalement (pour cela, le texte +doit contenir de l&textrsquo;espace vertical eslastique). - -\maketitle
Génère une page de titre.
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Règle le style utilisé pour les numéros de pages.
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-
- - -\maketitle\pagenumberingPage styles -
\maketitle - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
-\pagenumbering\pagestyle\maketitlePage styles -
\pagenumbering -\pagenumbering -numérotation de page, style -style de numérotation de page +\raisebox\savebox\parboxBoxes +
\raisebox +\raisebox Synopsis : -
\pagenumbering{style}
+
\raisebox{distance}[hauteur][profondeur]{texte}
 
-Spécifie le style des numéros de page numbers selon -style. \pagenumbering remet également le numéro de page à -1. L&textrsquo;argument style peut prendre les valeurs suivantes : +La commande \raisebox élève ou abaisse du texte. Le +premier argument obligatoire spécifie la longueur dont le texte +doit être élevé (ou abaissé si c&textrsquo;est une longueur négative). Le +texte lui-même est traité en mode LR. - -arabic -nombres arabes +Les arguments optionnels hauteur et profondeur sont des +longueurs. S&textrsquo;ils sont spécifiés, &latex; traite texte comme s&textrsquo;il +s&textrsquo;étendait une certaine distance (hauteur) au-dessus de la ligne +de base, ou au dessous (profondeur), en ignorant ses hauteur et +profondeur naturelles. -roman -Nombres romain en bas de casse + + +\savebox\sbox\raiseboxBoxes +
\savebox +\savebox + +Synopsis : -Roman -Nombres romain en capitales + +
\savebox{\boxcmd}[largeur][pos]{texte}
+
+ +Cette commande compose texte dans une boîte de la même façon +qu&textrsquo;avec \makebox (\makebox), à ceci près qu&textrsquo;au lieu +d&textrsquo;imprimer la boîte résultante, elle la sauvegarde dans une boîte +étiquettée \boxcmd, ce qui doit avoir été déclaré avec +\newsavebox (\newsavebox). -
alph -Lettres en bas de casse + +
+\sbox\usebox\saveboxBoxes +
\sbox{\boxcmd}{texte} +\sbox + +Synopsis : -Alph -Lettre en capitales -
+ +
\sbox{\boxcmd}{texte}
+
+\sbox tape texte au sein d&textrsquo;une boîte tout comme \mbox +(\mbox) à ceci près qu&textrsquo;au lieu que la boîte résultante soit +incluse dans la sortie normale, elle est sauvegardée dans la boîte +étiquetée \boxcmd. \boxcmd doit avoir été préalablement +déclarée avec \newsavebox (\newsavebox). +
-\pagestyle\thispagestyle\pagenumberingPage styles -
\pagestyle - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - +\usebox\sboxBoxes +
\usebox{\boxcmd} +\usebox + +Synopsis : + + +
\usebox{\boxcmd}
+
+ +\usebox produit la boîte la plus récemment sauvegardée dans le +bac \boxcmd par une commande \savebox (\savebox). +
-\thispagestyle\pagestylePage styles -
\thispagestyle{style} -\thispagestyle + +ColorGraphicsBoxesTop +Couleur + +couleur + +Vous pouvez colorer du texte, des filets, etc. Vous pouvez également +colorer l&textrsquo;intérieur d&textrsquo;une boîte ou une page entière et écrire du texte +par dessus. + +La prise en charge des couleurs se fait via un paquetage +supplementaire. Aussi, toutes les commandes qui suivent ne fonctionnent +que si le préambule de votre document contient +\usepackage{color}, qui fournit le paquetage standard. + +Beaucoup d&textrsquo;autres paquetages complémentent également les possibilité de +&latex; en matière de couleurs. Notamment xcolor est largement +utilisé et étend significativement les possibilités décrites ici, y +compris par l&textrsquo;ajout des modèles de couleur HTML et Hsb. + + +Option du paquetage colorColor package options
Options de chargement du paquetage standard.
+
Modèles de couleurColor models
Comment sont représentées les couleurs.
+
Commandes pour colorCommands for color
Les commandes disponibles.
+
-La commande \thispagestyle fonctionne de la même manière que la -commande \pagestyle (voir section pécédente) à ceci près qu&textrsquo;elle -change en style pour la page courante seulement. + +Color package optionsColor modelsColor +
Options du paquetage color +color options du paquetage +options, paquetage color + +Synopsis (à mettre dans le préambule du document) : + + +
\usepackage[liste d'option séparées par des virgules]{color}
+
+ +Quand vous chargez le paquetage color il y a deux types d&textrsquo;options +disponbiles. + +Le premier spécifie le pilote d&textrsquo;impression. &latex; ne contient +pas d&textrsquo;information sur les diférents système de sortie, mais au lieu de +cela dépend de l&textrsquo;information stockée dans un fichier. Normalement vous +ne devriez pas spécifier les options de pilote dans le document, mais au +lieu de cela vous vous reposez sur les valeurs par défaut de votre +système. Un avantage de procéder ainsi est que cela rend votre document +portable entre systèmes. Pour être complet nous incluons une liste des +pilotes. Ceux présentement pertinents sont : dvipdfmx, +dvips, dvisvgm, luatex, pdftex, +xetex. Les deux pilotes xdvi et oztex sont pour +l&textrsquo;essentiel des alias de dvips (et xdvi est monochrome). +Ceux qui ne devraient pas être utilisés pour de nouveaux systèmes récent +sont : dvipdf, dvipdfm, dviwin, dvipsone, +emtex, pctexps, pctexwin, pctexhp, +pctex32, truetex, tcidvi, vtex (et +dviwindo est un alias de dvipsone). + +Les options du second type, autres que les pilotes, sont listées ci-dessous. + + + +monochrome +Désactive les commande de couleur, de sorte qu&textrsquo;elles ne produisent pas +d&textrsquo;erreur, mais ne produisent pas non plus de couleurs. +dvipsnames +Rend disponible une liste de 68 noms de couleur qui sont d&textrsquo;usage +fréquent, en particulier dans des documents qui ne sont pas modernes. +Ces noms de couelurs étaient à l&textrsquo;origine fournis par le pilote +dvips, d&textrsquo;où le nom de l&textrsquo;option. + +nodvipsnames +Ne charge pas cette liste de noms de couleur, faisant faire à &latex; +une toute petite économie d&textrsquo;espace mémoire. + +
+
-
-SpacesBoxesPage stylesTop -Espaces -espaces +Color modelsCommands for colorColor package optionsColor +
Modèles de couleur -&latex; a beaucoup de façons de produire de l&textrsquo;espace blanc (ou rempli). +modèles de couleur + +Un modèle de couleur est une façon de représenter les couleurs. +Les possibilité de &latex; dépendent du pilote d&textrsquo;impression. Toutefois, +les pilotes pdftex, xetex, et luatex sont de nos +jours de loin les plus largement utilisés. Les modèles ci-après +fonctionnent pour ces pilotes. À une exception près ils sont également +pris en charge par tous les autre pilotes d&textrsquo;impression utilisés +aujourd&textrsquo;hui. -Une autre commande produisant de l&textrsquo;espace est \, pour produire une -espace « fine » (d&textrsquo;habitude 1/6quad). Elle peut être utilisée en -mode texte, mais est le plus souvent utile en mode math (Spacing -in math modeEspacement en mode mathématique). +Il est à noter qu&textrsquo;une combinaison de couleur peut être additive, ou +soustractive. Les combinaisons additives mélangent les couleurs de la +lumière, de sorte que par exemple combiner des instensités pleines de +rouge, vert et bleu produit du blanc. Les combinaisons soustractives +mélangent les pigments, tels que les encres, de sorte que combiner des +intensités pleine de cyan, magenta et jaune produit du noir. + + +color models cmyk +cmyk +Un liste séparée de virgule avec quatre nombres réel compris entre 0 et +1 inclus. Le premier nombre est l&textrsquo;intensité du cyan, le deuxième celle +du magenta, et les autres celle du jaune et du noir. Un valeur du +nombre de 0 signifie l&textrsquo;intensité minimale, alors que 1 correspond à +l&textrsquo;intensité pleine. Ce modèle est fréquemment utilisé pour l&textrsquo;impression +de couleur. C&textrsquo;est un modèle soustractif. + +color models gray +gray +Un unique nombre réèl compris entre 0 et 1 inclus. Les couleurs sont +des nuances de gris. Le nombre 0 produit du noir, alors que le 1 donne +du blanc. +color models rgb +rgb +Une liste séparée de virgules avec trois nombres réèls compris entre 0 +et 1, inclusive. Le premier nombre est l&textrsquo;intensité de la composante +rouge, la deuxième correspond au vert, et la troisière au bleu. Une +valeur de 0 donnée au nombre signifie qu&textrsquo;en rien cette composante n&textrsquo;est +ajouté à la couleur, alors que 1 signifie que cela est fait à pleine +intensité. C&textrsquo;est un modèle additif. + +color models RGB +RGB +(pilotes pdftex, xetex, luatex) Une liste séparée +par des vidugles avec trois entiers compris entre 0 et 255 inclus. Ce +modèle est une commodité pour utiliser rgb étant donnée qu&textrsquo;en +dehors de &latex; les couleurs sont souvent décrites dans un modèle +rouge-vert-bleu utilisant des nombres dans cette plage. Les valeurs +entrées sont converties vers le modèle rgb en divisant par 255. + +color models named +named +On accède au couleur par des noms tels que PrussianBlue. La +liste des noms dépend du pilote, mais tous prennennt en charge les noms +black, blue, cyan, green, magenta, +red, white, et yellow (Voir l&textrsquo;option +dvipsnames dans Color package options). + +
+ + +
+Commands for colorColor modelsColor +
Commandes pour color + +color, commandes du paquetage + +Voici les commandes disponibles avec le paquetage color. -
Espace horizontal
-
\hspace
Espace horizontal fixe.
-
\hfill
Espace horizontal extensible.
-
\<espace> et \&arobase;\(SPACE) and \&arobase;
Espace après un point.
-
\<espace> après séq.&noeos; de control\(SPACE) after control sequence
Espaces (avalement des) après une séquence de contrôle.
-
\frenchspacing
Rendre égaux les espacements inter-phrase et inter-mot.
-
\thinspace
Un sixième d&textrsquo;em.
-
\/
Correction italique par caractère.
-
\hrulefill \dotfill
Filet ou pointillés horizontaux extensibles.
-
-Espace vertical
-
\addvspace
Ajouter un espace vertical arbitraire si besoin est.
-
\bigskip \medskip \smallskip
Espaces verticaux fixes.
-
\vfill
Espace vertical extensible indéfiniment.
-
\vspace
Ajouter de l&textrsquo;espace vertical en quantité arbitraire.
+Define colors
Nommer une couleur.
+
Colored text
Du texte ou des filets en couleur.
+
Colored boxes
Une boîte en couleur, par dessus laquelle écrire.
+
Colored pages
Une page entière en couleur.
 
- - -\hspace\hfillSpaces -
\hspace -\hspace + + +Define colorsColored textCommands for color +Definir des couleurs + +couleur +définir une couleur +couleur, définir Synopsis : -
\hspace{longueur}
-\hspace*{longueur}
+
\definecolor{nom}{model}{spécification}
 
-La commande \hspace ajoute de l&textrsquo;espace horizontal. L&textrsquo;argument -longueur peut être exprimé en toute unité que &latex; comprend : -points, pouces, etc.&noeos; C&textrsquo;est une longueur elastique. Vous pouvez -ajouter aussi bien de l&textrsquo;espace négatif que de l&textrsquo;espace positif avec une -commande \hspace ; ajouter de l&textrsquo;espace negatif revient à -retourner en arrière. +Donne le nom nom à la couleur. Par exemple, après +\definecolor{silver}{rgb}{0.75,0.75,0.74} vous pouvez +utiliser cette couleur avec Hé ho, +\textcolor{silver}{Silver}~!. -&latex; enlève normalement l&textrsquo;espace horizontal qui vient au début ou à -la fin d&textrsquo;une ligne. Pour préserver cet espace, utilisez la forme -étoilée, c.-à-d.&noeos; avec le suffixe * optionnel. +Cet exemple donne à la couleur un nom plus abstrait, de sort qu&textrsquo;on +puisse la changer sans que cela prête à confusion. + +
\definecolor{logocolor}{RGB}{145,92,131}    % RGB nécessite pdflatex
+\newcommand{\logo}{\textcolor{logocolor}{Les Brioches de Robert}}
+
-
-\hfill\(SPACE) and \&arobase;\hspaceSpaces -
\hfill +Il est fréquent que les couleurs d&textrsquo;un document soient définies dans son +préambule, ou dans sa classe + +ou style, plutôt que dans le corps du document. + + +Colored textColored boxesDefine colorsCommands for color +Mettre du texte en couleur -\hfill -La commande \hfill de remplissage produit une &textldquo;longueur -élastique&textrdquo; qui n&textrsquo;a aucun espace naturel mais peut s&textrsquo;allonger ou se -rétrécir horizontalement autant que nécessaire. +couleur +coloré, texte +texte en couleur + +Synopsis : -\fill -Le paramètre \fill est la longueur élastique elle-même (c.-à-d.&noeos; -pour parler technique, la valeur de glue 0pt plus1fill) ; ainsi, -\hspace\fill équivaut à \hfill. + +
\textcolor{nom}{...}
+\textcolor[modèle de couleur]{spécification de couleur}{...}
+
+ +ou + +
\color{nom}
+\color[modèle de couleur]{spécification}
+
-
-\(SPACE) and \&arobase;\(SPACE) after control sequence\hfillSpaces -
\<espace> et \&arobase; -\espace -\tabulation -\sautdeligne +Le texte affecté prend la couleur correspondante. La ligne suivante + + +
\textcolor{magenta}{Je suis Ozymandias, roi des rois~:} Voyez mon œuvre, ô puissants, et desespérez~!
+
-Ces commandes permettent de marquer un caractère de ponctuation, -typiquement un point, comme soit finissant une phrase, soit finissant -une abréviation. + +met la première moitié en magenta alors que le reste est en noir. Vous +pouvez utiliser une couleur déclarée avec \definecolor exactement +de la même façon dont nous venons d&textrsquo;utiliser la couleur prédéfinie +magenta. -Par défaut, lorsque &latex; justifie une ligne il ajuste l&textrsquo;espace après -le point final de chaque phrase (ou le point d&textrsquo;interrogation, la -virgule, ou le deux-points) plus que pour l&textrsquo;espace inter-mot -(\frenchspacing). &latex; suppose que le point finit une phrase -à moins qu&textrsquo;il soit précédé d&textrsquo;une lettre capitale, dans quel cas il -considère que ce point fait partie d&textrsquo;une abréviation. Il est à noter que -si un point final de phrase est immédiatement suivit d&textrsquo;une parenthèse ou -crochet de droite, ou d&textrsquo;un guillemet-apostrophe simple ou double de droite, -alors l&textrsquo;espace inter-phrase suit cette parenthèse ou ce guillemet. + +
\definecolor{CriseDeLaQuarantaine}{rgb}{1.0,0.11,0.0}
+Je considère l'idée de m'acheter une \textcolor{CriseDeLaQuarantaine}{voiture de sport}.
+
+ +Les deux formes de commandes \textcolor et \color +diffèrent en ce que la première forme prend le texte à colorer en +argument. Ceci est souvent plus commode, ou tout du moins plus +explicite. La seconde forme est une déclaration, comme dans La +lune est composé de fromage {\color{vert}}, de sorte qu&textrsquo;elle est en +vigueur jusqu&textrsquo;à la fin du groupe ou de l&textrsquo;environnement courant. Ceci +est parfois utile quand on écrit des macros, ou comme ci-dessous où on +colore tout le contenu de l&textrsquo;environnement center, y compris les +lignes verticales et horizontales. -Si vous avez un point finissant une abréviation dont la dernière lettre -n&textrsquo;est pas une capitale, et que cette abréviation n&textrsquo;est pas le dernier -mot d&textrsquo;une phrase, alors faites suivre ce point d&textrsquo;un -contr&textrsquo;oblique-espace (\ ), où d&textrsquo;un tilde (~). Voici des -exemples : Nat.\ Acad.\ Science, et Mr.~Bean, et (du -fumier, etc.)\ à vendre. + +
\begin{center} \color{blue}
+  \begin{tabular}{l|r}
+    HG &HD \\ \hline
+    BG &BD 
+  \end{tabular}
+\end{center}
+
+ +Vous pouvez utiliser des couleurs dans les équations. Un document peut +avoir \definecolor{couleurvedette}{RGB}{225,15,0} dans le +préambule, et ensuite contenir cette équation : -Pour une autre utilisation de \ , \(SPACE) after control -sequence\ après une séquence de contrôle. + +
\begin{equation}
+  \int_a^b \textcolor{couleurvedette}{f'(x)}\,dx=f(b)-f(a)
+\end{equation}
+
+ +Typiquement les couleurs utilisées dans un document sont déclarée dans +une classe ou dans un style mais il arrive qu&textrsquo;on désire fonctionner au +coup par coup. C&textrsquo;est le cas d&textrsquo;usage des secondes forme du synopsis. -Dans la situation opposée, si vous avez une lettre capitale suivi d&textrsquo;un point -qui finit la phrase, alors placez \&arobase; avant ce point. Par ex., -book by the MAA\&arobase;. aura l&textrsquo;espacement inter-phrase après ce point. + +
Des couleurs de \textcolor[rgb]{0.33,0.14,0.47}{violet} et {\color[rgb]{0.72,0.60,0.37}doré} pour l'équipe
+
+ +Le format de spécification de couleur dépend du modèle de couleur +(Color models). Par exemple, alors que rgb prend trois +nombbres, gray n&textrsquo;en prend qu&textrsquo;un. -Par contre, placer \&arobase; après un point dit à &tex; que ce point ne finit -pas la phrase. Dans l&textrsquo;exemple les mot réservés (if, then, etc.\&arobase;) sont -différents, &tex; met un espace inter-mot après la parenthèse fermante (notez -que \&arobase; est avant la parenthèse). + +
La sélection a été \textcolor[gray]{0.5}{grisée}.
+
+ +Des couleurs au sein d&textrsquo;autres couleurs ne se combinent pas. Ainsi -
-\(SPACE) after control sequence\frenchspacing\(SPACE) and \&arobase;Spaces -
\ après une séquence de contrôle + +
\textcolor{green}{une sorte de \textcolor{blue}{bleu}}
+
-La commande \ est aussi souvent utilisée après les -séquences de contrôle pour les empêcher d&textrsquo;avaler les espaces qui -suivent, comme dans \TeX\ c'est chouette. Et, -dans des circonstances normales, \tabulation et -\sautdeligne sont équivalents à \ . Pour une autre utilisation de \ , voir aussi \(SPACE) and \&arobase;. + +se termine par un mot en bleu, et non pas dans une combinaison de bleu +et de vert. -Certaines personnes préfèrent utiliser {} dans le même but, comme dans -\TeX{} c'est chouette. Ceci a l&textrsquo;avantage que vous écrivez toujours la -même chose, en l&textrsquo;occurrence \TeX{}, qu&textrsquo;elle soit suivie d&textrsquo;un espace ou -d&textrsquo;un signe de ponctuation. Comparez : + + + + +Colored boxesColored pagesColored textCommands for color +Faire des boîtes en couleur + +couleur +colorées, boîtes +boîtes colorées + +Synopsis : -
\TeX\ est un chouette système. \TeX, un chouette système.&linebreak;
-\TeX{} est un chouette système. \TeX{}, un chouette système.
+
\colorbox{nom}{...}
+\colorbox[nom modèle]{spécification couleur arrière-plan boîte}{...}
 
- -paquetage xspace -xspace, paquetage -Certaines commandes, notamment celles définies avec le paquetage -xspace, ne suivent pas ce comportement standard. + +ou + +
\fcolorbox{couleur cadre}{couleur arrière-plan boîte}{...}
+\fcolorbox[nom modèle]{spécification couleur cadre}{spécification arrière-plan boîte}{...}
+
-
-\frenchspacing\thinspace\(SPACE) after control sequenceSpaces -
\frenchspacing, rendre égaux les espacements inter-phrase et inter-mot +Fabrique une boite avec la couleur d&textrsquo;arrière-plan indiquée. La commande \fcolorbox +place un cadre autour de la boîte. Par exemple ceci : + + +
Nom~:~\colorbox{cyan}{\makebox[5cm][l]{\strut}}
+
-\frenchspacing -\nonfrenchspacing -espacement inter-phrase + +fabrique une boîte de couleur cyanqui fait cinqu centimètres de long et +dont la profondeur et la hauteur sont déterminées par le \strut +(de sorte que la profondeur est -.3\baselineskip et la hauteur +est \baselineskip). Ceci met un texte blanc sur un arrière plan +bleu : + + +
\colorbox{blue}{\textcolor{white}{Welcome to the machine.}}
+
-Cette déclaration (provenant de &tex; de base) cause que &latex; -traite l&textrsquo;espacement inter-phrase de la même façon que l&textrsquo;espacement inter-mot. +La commande \fcolorbox utilise les mêmes paramètres que +\fbox (\fbox and \framebox), à savoir \fboxrule et +\fboxsep, pour régler l&textrsquo;épaisseur du filet et de la séparation +entre l&textrsquo;intérieur de la boîte et le filet l&textrsquo;entourant. Les valeurs par +défaut de &latex; sont 0.4pt et 3pt respectivement. -En justifiant le texte sur une ligne, certaine traditions typographique, -y comrpis l&textrsquo;anglaise, préfèrent ajuster l&textrsquo;espace entre les phrase (ou -après d&textrsquo;autres signes de ponctuation) plus que l&textrsquo;espace entre les -mots. À la suite de cette déclaration, tous les espaces sont traités de -la même façon. +L&textrsquo;exemple suivant change l&textrsquo;épaisseur de la bordure en 0,8 points. +Notez qu&textrsquo;il est entre accolades de sorte que le changement cesse d&textrsquo;être +en vigueur à la fin de la seconde ligne. -Revenez au comportement par défaut en déclarant -\nonfrenchspacing. + +
{\setlength{\fboxrule}{0.8pt}
+\fcolorbox{black}{red}{En aucun cas ne tournez cette poignée.}}
+
+ + +Colored pagesColored boxesCommands for color +Faire des pages en couleur + +couleur +colorée, page +page colorée +arrière-plan coloré + +Synopsis : -
-\thinspace\/\frenchspacingSpaces -
\thinspace -\thinspace + +
\pagecolor{nom}
+\pagecolor[modèle de couleur]{spécification de couleur}
+\nopagecolor
+
-\thinspace produit une espace insécable et non-elastique qui vaut - 1/6 d&textrsquo;em. C&textrsquo;est l&textrsquo;espace adéquate entre des guillemets anglais - simples emboîtés, comme dans &textrsquo;&textrdquo;. - +Les deux premières commandes règlent l&textrsquo;arrière-plan de la page, et de +toutes les pages suivantes, à la couleur indiquée. Pour une explication +de la spécification dans la seconde forme Colored text. La +troisième fait revenir l&textrsquo;arrière-plan à la normale, c-à-d.&noeos; un +arrière-plan transparent. (Si cela n&textrsquo;est pas pris en charge, alors +utilisez \pagecolor{white}, bien que cela produit un +arrière-plan blanc au lieu de l&textrsquo;arrière-plan transparent par défaut.) + +
 ...
+\pagecolor{cyan}
+ ...
+\nopagecolor
+
+ +
-\/\hrulefill \dotfill\thinspaceSpaces -
\/ : insérer une correction italique -\/ -Correction italique + +GraphicsSpecial insertionsColorTop +Graphiques -La commande \/ produit une correction italique. C&textrsquo;est une -espace fine deéfni par le créateur de caractères typographiques pour un -caractère donné, pour éviter que le caractère entre en collision avec ce -qui suit. Le caractère italique f a typiquement une valeur -importante de correction italique. +graphiques +graphics, paquetage + +Vous pouvez utiliser des graphiques tel que des fichier PNG ou PDF dans +vos documents &latex;. Vous aurez besoin d&textrsquo;un paquetage supplémentaire +standard de &latex;. Cet exemple montre en bref comment : -Si le caractère suivant est un point ou une virgule, il n&textrsquo;est pas -nécessaire d&textrsquo;insérer une correction italique, puisque ces symboles de -ponctuation ont une très faible hauteur. Toutefois, avec les -point-virgules ou les deux-points, de même qu&textrsquo;avec les lettres normales, -il peut être utilie. Comparez : - - -f: f; (dans la sortie &tex;, les &textlsquo;f&textrsquo;s sont séparés joliment) -avec f: f;. + +
\include{graphicx}  % dans le préambule
+  ...
+\includegraphics[width=0.5\linewidth]{graphique.pdf}
+
+ +Pour utiliser les commandes décrite ici, le préambule de votre document +doit contenir soit \usepackage{graphicx}, soit +\usepackage{graphics}. (Le plus souvent, c&textrsquo;est graphicx +qui est préférable.) + +Les graphiques peuvent être de deux types, matriciels ou vectoriels. +&latex; peut utiliser les deux. Dans les graphiques matriciels le +fichier comprend pour chaque position dans un tableau une entrée +décrivant la couleur de celle-ci. Un exemple de ceci est une +photograpgie en format JPG. Dans une graphique vectoriel, le fichier +contient une liste d&textrsquo;instructions telles que dessin un cercle avec +tel rayon et tel centre. Un exemple de ceci est le dessin d&textrsquo;une ligne +produit par le programme Asymptote en format PDF. En général les +graphiques vectoriel sont plus utiles car on peut les redimensionner +sans pixélisation ou autres problèmes, et parce que la plupart du temps +ils ont une taille plus petites. + +Il y a des systèmes particulièrement bien adapté pour produire des +graphiques pour un document &latex;. Par exemple, qui vous permettent +d&textrsquo;utiliser les mêmes polices que dans votre document. &latex; comprend +un environnement picture (picture) qui a des possibilités +de base. En plus de cela, il y a d&textrsquo;autres façons d&textrsquo;inclure des +commandes de production de graphiques dans le document. Deux systèmes +pour cela sont les paquetages PSTricks et TikZ. Il y a aussi des +systèmes externe à &latex; qui génèrent un graphique qu&textrsquo;on peut inclure +en utilisant les commandes de ce chapitre. Il y a aussi deux autres +systèmes qui utilisent un langage de programmation : Asymptote et +MetaPost. Encore un autre système qui utilise une interface graphique : +Xfig. Une description complète des ces systèmes est hors du champ +d&textrsquo;application de ce document ; reportez vous à leur documentation sur le +CTAN. -Lorsque on change de fontes avec des commandes telles que -\textit{italic text} ou {\itshape italic text}, -&latex; insère automatiquement une correction italique appropriée si -nécessaire (Font styles). + +Options du paquetage graphicsGraphics package options
Options au chargement du paquetage.
+
Configuration du paquetage graphicsGraphics package configuration
Où sont les fichiers, quels types de fichiers.
+
Commandes pour graphiquesCommands for graphics
Les commandes disponibles.
+
+ + +Graphics package optionsGraphics package configurationGraphics +
Options du paquetage graphics + +graphics, options du paquetage +options, paquetage graphics + +Synopsis (à placer dans le préambule du document) : -Malgré leur nom, les caractères romains peuvent aussi avoir une -correction italique. Comparez : - - -pdf&tex; (dans la sortie &tex;, il y a une espace fine après le &textlsquo;f&textrsquo;) -avec pdf&tex;. + +
\usepackage[liste d'option séparée par des virgules]{graphics}
+
+ +ou -Le concept de correction italique n&textrsquo;existe pas en mode mathématique ; -l&textrsquo;espacement y est fait d&textrsquo;une façon différente. + +
\usepackage[liste d'option séparée par des virgules]{graphicx}
+
+ +Le paquetage graphicx a un format pour les arguments optionnels +passés à \includegraphics qui est commode (c&textrsquo;est le format +clef/valeur), ainsi c&textrsquo;est le meilleur des deux choix pour les nouveaux +documents. Quand vous chargez les paquetages graphics ou +graphicx avec \usepackage il y a deux sortes d&textrsquo;options +disponibles. + +La première est que &latex; ne contient pas d&textrsquo;information concernant +les différents systèmes de sortie, mais au lieu de cela dépend de +l&textrsquo;informtion stockée dans un fichier pilote d&textrsquo;impression. +Normalment vous ne devriez pas spécifier l&textrsquo;option de pilote dans le +document, mais au lieu de cela vous reposer sur les valeurs par défaut +du système. Un avantage de procéder ainsi et que cela rend les documents +portables entre systèmes. + +Pour être complet voici une liste des pilotes. Ceux qui sont +actuellement pertinents sont : dvipdfmx, dvips, +dvisvgm, luatex, pdftex, xetex. Les deux +pilotes xdvi and oztex sont essentiellement des alias de +dvips (et xdvi est monochrome). Ceux qu&textrsquo;on ne devrait pas +utiliser pour de nouveaux systèmes sont : dvipdfmx, dvips, +dvisvgm, luatex, pdftex, xetex. Les deux +pilotes xdvi et oztex sont essentiellement des alias de +dvips (et xdvi est monochrome). Ceux qui ne devraient pas +être utilisés pour de nouveaux systèmes sont : dvipdf, +dvipdfm, dviwin, dvipsone, emtex, +pctexps, pctexwin, pctexhp, pctex32, +truetex, tcidvi, vtex (et dviwindo est un +alias de dvipsone). Ces pilotes sont stockés dans des fichiers +avec une extension .def, tels que pdftex.def. + +La seconde sorte d&textrsquo;options est décrite ci-après. + + +demo +Au lieu d&textrsquo;un fichier d&textrsquo;image, &latex; met un rectangle de 150 pt +sur 100 pt (à moins qu&textrsquo;une autre taille soit spécifiée dans la +commande \includegraphics). + +draft +Aucun des fichier grahpique n&textrsquo;est affiché, mais au lieu de cela le nom +du fichier est imprimé au sein d&textrsquo;une boîte de la bonne taille. De sorte +à ce que la taille soit déterminée, le fichier doit être présent. + +final +(Option par défaut) L&textrsquo;emporte sur toute options draft précédente, +de sorte que le document afficher le contenu des fichiers graphiques. + +hiderotate +Ne montre pas le texte ayant subi une rotation. (Ceci permet d&textrsquo;utiliser +une visionneuse ne prenant pas en charge le texte ayant subi une +rotation). + + +hidescale +Ne montre pas le texte rétréci/dilaté. (Ceci permet d&textrsquo;utiliser une +visionneuse ne prenant pas en charge le texte ayant subi un +rétrécissment/une dilatation.) + + +hiresbb +Dans un fichier PS ou EPS la taille du graphique peut être spécifiée de +deux façons. Les lignes %%BoundingBox décrivent la taille du +graphique en utilisant des multiples entiers d&textrsquo;un point PostScript, +c-à-d.&noeos; des multiples entiers d&textrsquo; 1/72 de pouce. Une addition plus +récente au langage PostScript autorise les multiples décimaux, tel que +1.23, dans les lignes %%HiResBoundingBox. Cette option fait que +&latex; lit la taille à partir de %%HiResBoundingBox plutôt que +de %%BoundingBox. +
-\hrulefill \dotfill\addvspace\/Spaces -
\hrulefill \dotfill -\hrulefill -\dotfill +Graphics package configurationCommands for graphicsGraphics package optionsGraphics +
Configuration du paquetage graphics -Produit une longueur elastique infinie (Lengths) remplie avec un -filled filet horizontal (c.-à-d.&noeos; une ligne) ou avec des pointillés, au -lieu de just de l&textrsquo;espace blanche. +graphics +graphics, paquetage +configuration du paquetage graphics +EPS, fichiers +JPEG, fichiers +JPG, fichiers +PDF, fichiers graphiques +PNG, fichiers + +Ces commandes configurent la façon dont &latex; recherche le graphique +dans le système le fichier. -Quand on le place entre deux lignes à blanc cet exemple crée un -paragraphe qui est justifié à gauche et à droite, où l&textrsquo;espace au milieu -est rempli avec des pointillés uniformément espacés. +Le comportement du code de recherche dans le système de fichier dépend +nécessairement de la plateforme. Dans ce document nous couvrons +GNU/Linux, Macintosh, et Windows, étant donné que ces systèmes ont des +configurations typiques. Pour les autres situations consultez la +documentation dans grfguide.pdf, ou le source &latex;, ou la +documentationn de votre distribution &tex;. + + +\graphicspath
Répertoire dans lequels chercher.
+
\DeclareGraphicsExtensions
Types de fichier, tels que JPG ou EPS.
+
\DeclareGraphicsRule
Comment manipuler les types de fichier.
+
+ + +\graphicspath\DeclareGraphicsExtensionsGraphics package configuration +\graphicspath + +\graphicspath + +Synopsis : -
\noindent Jack Aubrey\dotfill Melbury Lodge
+
\graphicspath{liste des répertoires entre les accolades}
 
-Pour que le filet ou les pointillés aillent jusqu&textrsquo;au bout de la ligne -utilisez \null au début ou à la fin. +Déclare une liste de répertoires dans lesquels rechercher des fichiers +graphiques. Ceci permet d&textrsquo;écrire plus tard quelque chose du genre de +\includegraphics{lion.png} au lieu de donner son chemin. -Pour changer l&textrsquo;épaisseur du filet, copiez la définition et ajustez là, -comme avec \renewcommand{\hrulefill}{\leavevmode\leaders\hrule -height 1pt\hfill\kern\z&arobase;}, ce qui cuange l&textrsquo;épaisseur par défaut de -0.4pt à 1pt. De même, ajustez l&textrsquo;espacement inter-pointillé -comme avec -\renewcommand{\dotfill}{\leavevmode\cleaders\hb&arobase;xt&arobase; -1.00em{\hss .\hss }\hfill\kern\z&arobase;}, ce qui change la longeur par -défaut de 0.33em à 1.00em. +&latex; recherche toujours en premier les fichiers graphiques dans le +répertoire courant (et dans le répertoire de sortie, si spécifié ; +output directory). La déclaration ci-dessous dit au système de +regarder ensuite dans le sous-répertoire img, et ensuite +../img. - -
-\addvspace\bigskip \medskip \smallskip\hrulefill \dotfillSpaces -
\addvspace -\addvspace -espace vertical -espace vertical, insérer + +
\usepackage{graphicx}   % ou graphics; à mettre dans le préambule
+  ...
+\graphicspath{ {img/} {../img/} }
+
-\addvspace{length} +La déclaration \graphicspath est optionnelle. Si vous ne +l&textrsquo;incluez pas, alors le comportement par défaut de &latex; est de +rechercher dans tous les endroits où il recherche d&textrsquo;habitude un fichier +(il utilise la commande \input&arobase;path de &latex;). En +particulier, dans ce cas l&textrsquo;un l&textrsquo;un des endroit où il regarde est le +répertoire courant. -Ajoute un espace vertical de longeur length, ce qui est une -longueur élatsique (Lengths). Toutefois, si l&textrsquo;espace vertical a -déjà été ajouté au même point de la sortie par une commande -\addvspace précédente, alors cette commande n&textrsquo;ajoutera pas plus -d&textrsquo;espace que nécessaire à fabriquer la longeur naturelle de l&textrsquo;espace -vertical total égale à length. +Mettez chaque nom de répertoire entre accolades ; en particulier, +ci-dessus on a écrit {img}. Faites ainsi même si il n&textrsquo;y +a qu&textrsquo;un seul répertoire. Chaque nom de répertoire doit se terminer par +une oblique vers l&textrsquo;avant /. Ceci est vrai même sur Windows, où +la bonne pratique est d&textrsquo;utilise des obliques vers l&textrsquo;avant pour tous les +séparateur de répertoire puisque cela rend le document portable vers +d&textrsquo;autres plateformes. Si vous avez des espace dans votre nom de +répertoire alors utilisez des guillemets anglais, comme dans +{"mes docs/"}. Enfreindre l&textrsquo;une de ces règles aura pour effet +que &latex; rapportera une erreur Error: File `filename' not found. -Utilisez cette commande pour ajuster l&textrsquo;espace vertical au-dessus ou -au-dessous d&textrsquo;un environnement qui commence un nouveau paragraphe. (Par -exemple, un environnement Theorem est défini pour commencer et finir en -\addvspace{..} de sorte que deux Theorem consécutifs sont -séparés par un espace vertical, et non deux.) +Pour faire simple, l&textrsquo;algorithme est que dans l&textrsquo;exemple qui suit, après +avoir regardé dans le répertoire courant, -Cette commande est fragile (\protect). + +
\graphicspath{ {img/} {../img/} }
+...
+\usepackage{lion.png}
+
+ + +pour chacun des répertoires listés, &latex; le concatène avec le nom du +fichier et recherche le fichier ainsi nommé, eh cherchant +img/lion.png et puis ../img/lion.png. Cet algorithme +signifie que la commande \graphicspath ne recherche pas +récursivement dans les sous-répertoires : si vous faites +\graphicspath{{a/}} et que le graphique est dans +a/b/lion.png alors &latex; ne le trouvera pas. Cela signifie +aussi que vous pouvez utiliser des chemins absolus tels que +\graphicspath{{/home/jim/logos/}} ou +\graphicspath{{C:/Users/Albert/Pictures/}}. Toutefois, faire +cela rend votre document non portable. (Vous pourriez préserver la +portabilité en ajustant vos le paramètre TEXINPUTS du fichier de +configuration des réglages système &tex; ; voir la documentation de +votre système). + +Vous pouvez utiliser \graphicspath n&textrsquo;improte-où dans le +document. Vous pouvez l&textrsquo;utiliser plus d&textrsquo;une fois. Sa valeur peut être +affichée avec \makeatletter\typeout{\Ginput&arobase;path}\makeatother. + +Les répertoires sont à donner relativement au fichier de base. Pour +faire clair, supposez que vous travaillez sur un document basé sur +livre/livre.tex et qu&textrsquo;il contienne +\include{chapitres/chap1}. Si dans chap1.tex vous +mettez \graphicspath{{graphiques/}} alors &latex; ne +cherchera pas les graphiques dans livre/chapitres/graphiques, +mais dans livre/graphiques. -L&textrsquo;erreur Something's wrong--perhaps a missing \item signifie que -vous n&textrsquo;étiez pas en mode vertical quand vous avez invoqué cette -commande ; une façon pour sortir de cela et de faire précéder cette -commande d&textrsquo;une commande \par. + + +\DeclareGraphicsExtensions\DeclareGraphicsRule\graphicspathGraphics package configuration +\DeclareGraphicsExtensions + +\DeclareGraphicsExtensions + +Synopsis : + +
\DeclareGraphicsExtensions{liste séparée par des virgules d'extentions de fichier}
+
-
-\bigskip \medskip \smallskip\vfill\addvspaceSpaces -
\bigskip \medskip \smallskip +Déclare les extensions de nom de fichier à essayer. Ceci vous permet de +spécifier l&textrsquo;ordre dans lequel les formats graphiques sont choisis quant +les fichiers graphiques sont inclus en donnant le nom de fichier sans +l&textrsquo;extension, comme dans \includegraphics{courbe_de_fonction}. + +Dans l&textrsquo;exemple qui suit, &latex; trouve les fichiers au format PNG +avant les fichiers PDF. + + +
\DeclareGraphicsExtensions{.png,PNG,.pdf,.PDF}
+  ...
+\includegraphics{lion}   % trouve lion.png avant lion.pdf 
+
-Ces commandes produisent une quantité donnée d&textrsquo;espace, spécifiée par la -classe de document. + +Du fait que le nom lion ne contient pas de point, &latex; +utilise la liste d&textrsquo;extension. Pour chacun des répertoires dans la liste +de chemins graphiques (\graphicspath), &latex; essaie les +extensions dans l&textrsquo;ordre donné. S&textrsquo;il ne trouve aucun fichier +correspondant après avoir essayé tous les répertoires et toutes les +extensions, alors il renvoie une erreur ! LaTeX Error: File +`lion' not found. Notez que vous devez inclure le point au +début de chaque extension. - -\bigskip\bigskip -\bigskipamount -La même chose que \vspace{\bigskipamount}, ordinairement environ -l&textrsquo;espace d&textrsquo;une ligne, avec dilatation et rétrécissement (la valeur par -défaut pour les classes book et article et 12pt -plus 4pt minus 4pt). +Du fait que les noms de fichiers sous GNU/Linux et Macintosh sont +sensibles à la casse, la liste des extensions de fichier est sensible à +la casse sur ces plateformes. La plateforme Windows n&textrsquo;est pas sensible +à la casse. -\medskip\medskip -\medskipamount -La même chose que \vspace{\medskipamount}, ordinairement -environ la moitié de l&textrsquo;espace d&textrsquo;une ligne, avec dilatation et -rétrécissement (la valeur par défaut pour les classes book et -article et 6pt plus 2pt minus 2pt). +Vous n&textrsquo;êtes pas tenu d&textrsquo;inclure \DeclareGraphicsExtensions dans +votre document ; le pilote d&textrsquo;impression a une valeur par défaut +raisonnable. Par exemple, la version la plus récente de +pdftex.def a cette liste d&textrsquo;extensions. -\smallskip\smallskip -\smallskipamount -La même chose que \vspace{\smallskipamount}, ordinairement -environ le quart de l&textrsquo;espace d&textrsquo;une ligne, avec dilatation et -rétrécissement (la valeur par défaut pour les classes book et -article et 3pt plus 1pt minus 1pt). + +
.png,.pdf,.jpg,.mps,.jpeg,.jbig2,.jb2,.PNG,.PDF,.JPG,.JPEG,.JBIG2,.JB2
+
+ +Vous pouvez utiliser cette commande n&textrsquo;importe où dans le document. Vous +pouvez l&textrsquo;utiliser plus d&textrsquo;une fois. On peut afficher la valeur courante +avec \makeatletter\typeout{\Gin&arobase;extensions}\makeatother. -
-
-\vfill\vspace\bigskip \medskip \smallskipSpaces -
\vfill -\vfill + +\DeclareGraphicsRule\DeclareGraphicsExtensionsGraphics package configuration +\DeclareGraphicsRule -dilatation verticale infinie -verticale infinie, dilatation +\DeclareGraphicsRule -Finit le paragraphe courante et insère une longueur elastique verticale -(Lengths) qui est infinie, de sorte qu&textrsquo;elle puisse se dilater ou -that is se rétrécire autant que nécessaire. +Synopsis : -On l&textrsquo;utilise souvent de la même façon que \vspace{\fill}, à -ceci près que \vfill finit le paragraphe courant, tandis que -\vspace{\fill} ajoute une espace verticale infinin sous sa -ligne sans tenir compte de la structure du paragraphe. Dans les deux -cas cette espace disparaît à la fin de la page ; pour éviter cela -voir \vspace. + +
\DeclareGraphicsRule{extension}{type}{extension taille-fic}{commande}
+
+ +Declare comment gérer les fichiers graphiques dont le nom se termine en +extension. -Dans l&textrsquo;exemple qui suit la page est remplie, de sorte que les lignes en -haut et en bas contiennent le texte Chien perdu ! et que le -troisième Chien perdu ! est exactement à mi-chemin entre eux. +L&textrsquo;exemple suivant déclare que tous le fichiers dont ele est de la forme +nomfichier-sans-point.mps doivent être traité comme une sortie de +MetaPost, ce qui signifie que le pilote d&textrsquo;impression utilisera son code +de gestion MetaPost pour traiter le fichier en entrée. -
\begin{document}
-Chien perdu !
-\vfill
-Chien perdu !
-\vfill
-Chien perdu !
-\end{document}
+
\DeclareGraphicsRule{.mps}{mps}{.mps}{}
+
+ +La déclaration suivante + + +
\DeclareGraphicsRule{*}{mps}{*}{}
 
+ +dit à &latex; qu&textrsquo;il doit traiter comme une sortie MetaPost tout fichier +avec extension non couverte par une autre règle, ainsi il couvre +nomfichier.1, nomfichier.2, etc. + +Ici on décrit les quatre arguments. + + +extension +L&textrsquo;extension de nom de fichier à laquelle la règle considérée +s&textrsquo;applique. L&textrsquo;extension commence au premier point dans le nom de +fichier, en incluant le point. Utiliser l&textrsquo;astérisque, *, pour +désigner la comportement par défaut pour toutes les extensions non +déclarées. + +type +Le type du fichier considéré. Ce type est une chaîne de caractères qui +doit être définie dans le pilote d&textrsquo;impression. Par exemple, les fichiers +avec les extensions .ps, .eps, ou .ps.gz peuvent +tous être classifiés sous le type eps. Tous les fichiers de même +type sont traités en entrée avec la même commande interne par le pilote +d&textrsquo;impression. Par exemple, les types de fichiers reconnus par +pdftex sont : jpg, jbig2, mps, pdf, +png, tif. + +extension taille-fic +L&textrsquo;extension du fichier à lire pour déterminer la taille du graphique, si +un tel fichier existe. Elle peut être la même que extension mais +aussi être différente. + +Considérons par exemple un graphique PostScript. Pour le rendre plus +petit, il peut être compressé en un fichier .ps.gz. Les fichiers +compressé ne sont pas lu simplement par &latex; aussi vous pouvez +mettre l&textrsquo;information de boîte englobante dans une fichier séparé. Si +extension taille-fic est vide, alors vous devez spécifier +l&textrsquo;information de taill dans les arguments de \includegraphics. + +Si le fichier pilote a un procédure pour lire les tailles de fichier +pour type alors elle est utilisée, sinon il utilise la procédure +pour lire les fichiers .eps. (Ainsi vous pourriez spécifier la +taille d&textrsquo;un fichier bitmap dans un fichier avec une ligne +%%BoundingBox de style PostScript style si aucun autre format +n&textrsquo;est disponible). + +commande +Une commande à appliquer au fichier. La plupart du temps on laisse cet +argument vide. Cette commande doit commencer avec un caractère accent +grave. Ainsi, +\DeclareGraphicsRule{.eps.gz}{eps}{.eps.bb}{`gunzip -c +#1} spécifie que tout fichier ayant une extension .eps.gz doit +être traité comme un fichier eps, avec l&textrsquo;information de boîte +englobante stockée dans le fichier ayant l&textrsquo;extension .eps.bb, et +que la commande gunzip -c sera exécuté sur votre plateforme pour +décompresser le fichier. + +Une telle commande est spécifique à votre plateforme. De plus, votre +système &tex; doit autoriser l&textrsquo;exécution de commandes externes ; par +mesure de sécurité les système moderne restreigne l&textrsquo;exécution de +commandes à moins que vous l&textrsquo;autorisiez explicitement. Se référer à la +documentation de votre distribution &tex;. + +
+
-\vspace\vfillSpaces -
\vspace -\vspace -espace verticale -verticale, espace +Commands for graphicsGraphics package configurationGraphics +
Commandes du paquetage graphics -Synopsis, l&textrsquo;une des deux formes suivantes : +graphics, commandes du paquetage +commandes, paquetage graphics + +Voici les commandes disponibles dans les paquetages graphics et +graphicx. + + +\includegraphics
Utiliser un graphique dans votre document.
+
\rotatebox
Faire une rotation sur une boîte incluant un graphique.
+
\scalebox
Dilater ou rétrécir une boîte incluant un graphique.
+
\resizebox
Dilater ou rétrécir une boîte incluant un graphique à un taille donnée.
+
+ + +\includegraphics\rotateboxCommands for graphics +\includegraphics + +graphiques +graphics, paquetage +inclure des graphiques +importer des graphiques +EPS, fichiers +JPEG, fichiers +JPG, fichiers +PDF, fichiers graphiques +PNG, fichiers +\includegraphics + +Synopsis pour le paquetage graphics : -
\vspace{longueur}
-\vspace*{longueur}
+
\includegraphics{nomfichier}
+\includegraphics[urx,ury]{nomfichier}
+\includegraphics[llx,lly][urx,ury]{nomfichier}
+\includegraphics*{nomfichier}
+\includegraphics*[urx,ury]{nomfichier}
+\includegraphics*[llx,lly][urx,ury]{nomfichier}
 
-Ajout l&textrsquo;espace verticale longueur. Celle-ci peut-être négative ou positive, -et c&textrsquo;est une longueur élastique (Lengths). - -&latex; enlève l&textrsquo;espace verticale provenant de \vspace aux sauts -de page, c.-à-d.&noeos; au sommet et au bas des pages. La version étoilée -\vspace*{...} permet de conserver cette espace. +Synopsis pour le paquetage graphicx : -Si \vspace est utilisée au milieu d&textrsquo;un paragraphe (c.-à-d.&noeos; en -mode horizontal), l&textrsquo;esace est insérée après la ligne comprenant -la commande \vspace sans commencer un nouveau paragraphe. + +
\includegraphics{nomfichier}
+\includegraphics[liste-à-clefs-valeurs]{nomfichier}
+\includegraphics*{nomfichier}
+\includegraphics*[liste-à-clefs-valeurs]{nomfichier}
+
+ +Inclut un fichier graphique. La forme étoilée \includegraphics* +rogne le graphique à la taille spécifiée, alors que pour la forme +non-étoilée toute partie du graphiqe en dehors de la boîte de la taille +spécifiée se superpose à ce qui l&textrsquo;entoure. -Dans cet exemple les deux questions sont espacées uniformément -verticalement sur la page, avec au moins 2,5cm d&textrsquo;espace sous -chacune d&textrsquo;elle. +Dans cet exemple -
\begin{document}
-1) Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la
-\vspace{2.5cm plus 1fill}
+
\usepackage{graphicx}  % dans le préambule
+  ...
+\begin{center}
+  \includegraphics{trace.pdf}
+\end{center}
+
-2) Où est donc passé ce chien ? Je le cherche partout -\vspace{2.5cm plus 1fill} -\end{document} + +on incorpore dans le document le graphique dans plot.pdf, centré +et à sa taille nominale. Vous pouvez aussi donner un chemin au fichier, +comme dans \includegraphics{graphiques/trace.pdf}. Pour +spécifier une liste de répertoire ou rechercher le fichier, +\graphicspath. + +Si votre nom de fichier comprend des espaces, alors placer le entre +guillemets anglais. Par exemple comme dans +\includegraphics{"image complementaire.jpg"}. + +La commande \includegraphics{nomfichier} décide du type +de graphique en segmentant nomfichier sur le premier point +(.). Vous pouvez utiliser nomfichier sans extension de nom +de fihcier, comme dans \includegraphics{turing} et &latex; +essaie une séquence d&textrsquo;extension telle que .png et .pdf +jusqu&textrsquo;à ce qu&textrsquo;il trouve un fichier avec cette extension +(\DeclareGraphicsExtensions). + +Si votre fichier comprend des points avantr l&textrsquo;extension alors vous +pouvez les cacher avec des accolades, comme dans +\includegraphics{{plot.2018.03.12.a}.pdf}. Ou, si vous +utilisez le paquetage graphicx alors vous pouvez utiliser les +options type et ext ; voir plus bas. Ces problèmes de +noms de fichiers, et d&textrsquo;autres sont aussi traités par le paquetage +grffile. + +L&textrsquo;exemple ci-après place un graphique dans un environnement +figure de sorte que &latex; puisse le déplacer sur la page +suivante si le faire rentrer dans la page courante rend mal +(figure). + + +
\begin{figure}
+  \centering
+  \includegraphics[width=3cm]{rayonxpoumon.jpg}
+  \caption{Ça saute aux yeux : vous ne devriez arrêter de fumer}  \label{fig:rayon-x}
+\end{figure}
 
+L&textrsquo;exemple suivant place un graphique non flottant, de sorte +à garantir qu&textrsquo;il apparaisse à ce point-ci du document même si cela +oblige &latex; à dilater le texte ou à recourir à des zones blanche sur +la page. Le graphique est centré est a une légende. + + +
\usepackage{caption}  % dans le préambule
+  ...
+\begin{center}
+  \includegraphics{sans/images.png}
+  \captionof{figure}{L'esprit de la nuit} \label{sans:images} % optionnel
+\end{center}
+
-
- -BoxesSpecial insertionsSpacesTop -Boîtes -boîtes +L&textrsquo;exemple suivant place une boîte avec un graphique le long d&textrsquo;une autre +boîte contenant du texte, les deux boîtes étant verticalement centrées : + + +
\newcommand*{\vcenteredhbox}[1]{\begin{tabular}{&arobase;{}c&arobase;{}}#1\end{tabular}}
+  ...
+\begin{center}
+  \vcenteredhbox{\includegraphics[width=0.4\textwidth]{trace}}
+  \hspace{1em}
+  \vcenteredhbox{\begin{minipage}{0.4\textwidth}
+                   \begin{displaymath}
+                     f(x)=x\cdot \sin (1/x)
+                   \end{displaymath}
+                 \end{minipage}}
+\end{center}
+
-Tous les paramètres de longueurs prédéfinies (Predefined lengths) -peuvent être utilisés au sein des arguments des commandes de fabrication -de boîtes. +Si vous utilisez le paquetage graphics alors les seules options +disponibles concernent la taille du graphique (mais voir +\rotatebox et \scalebox). Quand un argument optionnel est +présent alors c&textrsquo;est [urx,ury] et il donne les +coordonnées du coin en haut à droite de l&textrsquo;image, comme une paire de +dimensions &tex; (Units of length). Si les unités sont omises, +alors par défaut l&textrsquo;unité considérée est le bp. Dans ce cas, le +coin en bas à gaéuche de l&textrsquo;image est supposée être à (0,0). Si deux +arguments optionnels sont présents alors le premier est +[llx,lly], et il spécifie les coordonnées du coin en +bas à gauche de l&textrsquo;image. Ainsi, +\includegraphics[1in,0.618in]{...} demande que le graphique +soit placé de sorte a avoir 1 inch de largeur et 0,618 inches de hauteur +et donc son origine est à (0,0). - -\mbox
Boîtes horizontales.
-
\fbox and \framebox
Mettre un cadre autour d&textrsquo;une boîte.
-
lrbox
Un environnement similaire à \sbox.
-
\makebox
Boîte, adjustable position.
-
\parbox
Boîte avec du texte en mode paragraphe.
-
\raisebox
Élève ou abaisse le texte.
-
\savebox
Comme \makebox, mais sauvegarde le texte pour usage ultérieur.
-
\sbox
Comme \mbox, mais sauvegarde le texte pour usage ultérieur.
-
\usebox
Compose le texte sauvegardé.
-
+Le paquetage graphicx vous offre beaucoup plus d&textrsquo;options. +Spécifiez les sous la forme de paires clef-valeur, comme ci-après : + + +
\begin{center}
+  \includegraphics[width=3cm,angle=90]{lion}
+  \hspace{2em}
+  \includegraphics[angle=90,width=3cm]{lion}
+\end{center}
+
+ +Les options sont lues de gauche à doite. Ainsi le premier graphique +ci-dessus est dilaté à une largeur de 3cm, et ensuite subit une +rotation de 90degrés, alors que le second subit la rotation en +premier et ensuite est dilaté à 3cm de largeur. Ainsi, à moins +que le graphique soit parfaitement carré, à la fin les deux n&textrsquo;ont pas +les mêmes largeurs et hauteurs. + +Il y a beaucoup d&textrsquo;options. Les principales sont listées en premier. + +boîte englobante +englobante, boîte +Notez qu&textrsquo;un graphique est placé par &latex; dans une boîte, qu&textrsquo;on +désigne traditionnellement comme sa boîte englobante (distincte de +la BoundingBox PostScript décrite plus bas). La zone sur laquelle le +graphique s&textrsquo;imprime peut aller au delà de cette boîte, ou s&textrsquo;inscrire +dans cette boîte, mais quand &latex; fabrique une page il assemble des +boîtes, et celle-ci est la boîte allouée pour le graphique. + + +includegraphics width +width +Le graphique est affiché de sorte que sa boîte englobante ait cette +largeur. Un exemple est \includegraphics[width=2.5cm]{trace}. +Vous pouvez utiliser les unités de longueur standardes de &tex; +(Units of length) et également il est commode d&textrsquo;utiliser +\linewidth, ou, dans un document recto-verso, \columnwidth +(Page layout parameters). Un exemple est qu&textrsquo;en utilisant le +paquetage calc vous pouvez rendre le graphique 1cm plus +étroit que la largeur du texte avec +\includegraphics[width=\linewidth-1.0cm]{hefferon.jpg}. + +height +includegraphics height -\mbox\fbox and \frameboxBoxes -
\mbox{texte} -\mbox +Le graphique est affiché de sorte que sa boîte englobante est de cette +hauteur. Vous pouvez utiliser les unités de longueur standardes de +&tex; (Units of length), et également il est commode d&textrsquo;utiliser +\pageheight et \textheight (Page layout +parameters). Par exemple, la commande +\includegraphics[height=0.25\textheight]{godel} rend le +graphique d&textrsquo;une hauteur d&textrsquo;un quart de celle de la zone de texte. + +totalheight +includegraphics totalheight -césure, empécher -coupure de mot, empécher -La commande \mbox crée un boîte qui a la largeur juste du texte -créé par son argument. Le texte n&textrsquo;est pas coupé en plusieurs -lignes, c&textrsquo;est pourquoi cette commande peut être utilisée pour empécher -la césure. +Le graphique est affiché de sorte que sa boîte englobante ait cette +hauteur plus profondeur. Ceci diffère de la hauteur si le graphique a +subi une rotation. Par exemple, s&textrsquo;il a subi une rotation de -90 degrès +alors il a une hauteur nulle mais une grande profondeur. + +keepaspectratio +includegraphics keepaspectratio +Si réglé à true, ou juste spécifié comme ci-dessous + +
\includegraphics[...,keepaspectratio,...]{...}
+
-
-\fbox and \frameboxlrbox\mboxBoxes -
\fbox and \framebox + +et que vous donnez en option à la fois width et height (ou +totalheight), alors &latex; rendra le graphique aussi grand que +possible sans le déformer. C&textrsquo;est à dire que &latex; assure que le +graphique n&textrsquo;est ni plus large que width ni plus haut que +height (ou totalheight). + +scale +Facteur par lequel dilater/contracter le graphique. On peut rendre + graphique à deux fois sa taille nominale avec + \includegraphics[scale=2.0]{...}. Ce nombre peut prendre + n&textrsquo;importe quelle valeur ; un nombre entre 0 et 1 contracte le graphique + et un nombre négatif lui applique une réflexion. + +angle +Applique une rotation au graphique. L&textrsquo;angle est exprimé en degrès et +dans le sens anti-horaire. La rotation est effectuée autour de +l&textrsquo;origine donnée par l&textrsquo;option origin ; s&textrsquo;y référer. Pour une +descrition complète de la compositiion de matériel ayant subi une +rotation, \rotatebox. + +origin +Le point du graphique autour duquel la rotation s&textrsquo;effectue. Les valeurs +possibles sont toute chaîne contenant un ou deux caractères parmi : +l pour gauche (left), r pour droite (right), b pour +bas, c pour centré, t pour haut (top), et B pour +ligne de base. Ainsi, saisir la commande +\includegraphics[angle=180,origin=c]{moon} a pour effet de +mettre la figure tête en bas en tournant autour du centre de l&textrsquo;image, +alors que la commande +\includegraphics[angle=180,origin=lB]{LeBateau} fait la +rotation autour du point gauche de la ligne de base. (Le caractère +c désigne le centre horizontal dans bc ou tc, mais +le centre vertical dans lc rc). Le réglage par défaut est +lB. + +Pour faire une rotation autour d&textrsquo;un point arbitraire, +\rotatebox. + +
-\fbox -\framebox +Voici maintenant des options moins usuelles. + + +includegraphics viewport +viewport +Désigne une sous-région du graphique à afficher. Prend quatre +arguments, séparés par des espaces et exprimés comme des dimensions +&tex;, comme dans \includegraphics[.., viewport=0in 0in 1in +0.618in]{...}. Quand l&textrsquo;unité est omise, les dimensions sont par +défaut en big points, bp. Elle sont prises relativement à +l&textrsquo;origine spécifiée par la boîte englobante. Voir aussi l&textrsquo;option +trim. + +includegraphics trim +trim +Désigne les parties du graphique à ne pas afficher. Prend quatre +arguments, séparés par des espaces, et exprimés comme des dimensions +&tex; dimensions, comme dans \includegraphics[.., trim= 0in 0.1in +0.2in 0.3in, ...]{...}. Ceci donne la quantité du graphique à ne pas +afficher, c-à-d.&noeos; que &latex; rogne l&textrsquo;image de 0 pouce sur la gauche +left, 0.1 pouce sur la bas, 0.2 pouce sur la droite, et 0.3 pouce sur le +haut. Voir aussi l&textrsquo;option viewport. + +includegraphics clip +clip +Si réglé à true, ou juste spécifié comme ci-dessous + + +
\includegraphics[...,clip,...]{...}
+
-Synopsis : + +alors le graphique est rogné à sa boîte englobante. Ceci revient au +même que d&textrsquo;utiliser la forme étoilée de la commande, +\includegraphics*[...]{...}. + +includegraphics page +
page +Donne le numéro de page pour un fichier PDF multi-page. La valeur par +défaut est page=1. + +includegraphics pagebox +pagebox +Spécifie quelle boîte englobante utiliser pour les fichier PDF parmi les +suivantes mediabox, cropbox, bleedbox, +trimbox, ou artbox. Les fichier PDF n&textrsquo;ont pas la +BoundingBox que les fichiers PostScript ont, mais peuvent spécifier +jusqu&textrsquo;à quatre rectangle prédéfinis. La boîte MediaBox donne les +frontière du médium physique. La boîte CropBox est la région à laquelle +le contenu de la page devrait être épinglé quand il est affiché. La +boite BleedBox la région à laqeulle le contenu de la page devrait être +épinglé en production. La boîte TrimBox est correspond au dimensions +désirée de la page finie. La boîte ArtBox est l&textrsquo;étendu du contenu de la +page ayant du sens. Le pilote règle la taille de l&textrsquo;image en se basant +sur la CropBox si elle est présente, sinon il n&textrsquo;utilise pas les autres, +avec un ordre de préférence propre au pilote. La MediaBox est toujours +présente. + +includegraphics interpolate +interpolate +Active ou désactive l&textrsquo;interpolation des images matricielles par la +visionneuse. On peut régler l&textrsquo;option avec interpolate=true ou +juste comme ci-dessous : -
\fbox{texte}
-\framebox[largeur][position]{texte}
+
\includegraphics[...,interpolate,...]{...}
 
-Les commandes \fbox et \framebox sont similaires à -\mbox, à ceci près qu&textrsquo;elle mettent un cadre autour de l&textrsquo;extérieur -de la boîte ainsi créée. - -De plus, la commande \framebox permet de spécifier explicitement -la largeur de la boîte avec l&textrsquo;argument optionnel largeur -(une longueur), et sa position sur la ligne avec l&textrsquo;argument optionnel position. +includegraphics quiet +quiet +N&textrsquo;écrit pas d&textrsquo;information dans le journal. On peut régler l&textrsquo;option avec +quiet=true ou juste en la spécifiant avec +\includegraphics[...,quiet,...]{...}, -\fboxrule -\fboxsep -Les deux commandes produisent un filet d&textrsquo;épaisseur \fboxrule -(valant par défaut .4pt), et laisse un espace de \fboxsep -(valant par défaut 3pt) entre le filet et le contenu de la boîte. +includegraphics draft +draft +Lorsqu&textrsquo;on règle l&textrsquo;option avec draft=true ou juste ainsi -\framebox (picture), pour la commande \framebox dans -l&textrsquo;environnement picture. + +
\includegraphics[...,draft,...]{...}
+
+ + +alors le graphique n&textrsquo;apparaît pas dans le document, ce qui permet +éventuellement d&textrsquo;économiser l&textrsquo;imprimante couleur. À la place &latex; +place une boîte vide de la bonne taille avec le nom du fichier imprimé +dedans. +
-
-lrbox\makebox\fbox and \frameboxBoxes -
lrbox -lrbox +Les options suivantes traitent de la boîte englobante pour les fichiers +graphique de type PostScript Encapsulé, leur taille est spécifié avec +une ligne %%BoundingBox qui apparaît dans le fichier. Elle a +quatre valeurs donant la coordonnée x inférieure, la coordonnée +y inférieure, la coordonnée x supérieure, et la coordonnée +y supérieure. L&textrsquo;unité est le point PostScript, équivalent au big +point de &tex;, à savoir 1/72 de pouce. Par exemple, si un fichier +.eps a la ligne %%BoundingBox 10 20 40 80 alors sa taille +naturelle est 30/72 de pouche de large pour 60/72 de pouce de haut. + + +includegraphics bb +bb +Spécifie la boîte englobante de la région affichée. L&textrsquo;argument est +constitué de quatre dimensions séparées par des espaces, comme dans +\includegraphics[.., bb= 0in 0in 1in 0.618in]{...}. +D&textrsquo;ordinaire \includegraphics lit les ces nombre BoundingBox dans +le fichier EPS automatiqument, de sorte que cette option n&textrsquo;est utile que +si la définition de la boîte englobante est absente du fihcier ou si +vous désirez la changer. + +includegraphics bbllx +includegraphics bblly +includegraphics bburx +includegraphics bbury +bbllx, bblly, bburx, bbury +Règke la boîte englobante box. Ces quatre options là sont obsolète, +mais existent encore pour maintenir la rétrocompatibilité avec des +paquetages anciens. + +includegraphics natwidth +includegraphics natheight +natwidth, natheight +Une alternative à bb. Régler + + +
\includegraphics[...,natwidth=1in,natheight=0.618in,...]{...}
+
-Synopsis : + +revient au même que régler bb=0 0 1in 0.618in. + +includegraphics hiresbb +
hiresbb +Si réglé à true, ou juste spécifié comme dans -
\begin{lrbox}{\cmd}
-  texte 
-\end{lrbox}
+
\includegraphics[...,hiresbb,...]{...}
 
-Ceci est la forme environnement de la commande \sbox\sbox. + +alors &latex; recherche la ligne %%HiResBoundingBox plutôt que +la ligne %%BoundingBox. (La ligne BoundingBox n&textrsquo;utilise +que des nombres entiers naturels alors que la ligne +HiResBoundingBox utilise des décimaux ; les deux utilisent une +unité équivalente au big point de &tex;, 1/72 de pouce). Pour +l&textrsquo;emporter sur un réglage précédent à true, on peut la régler à +false. -Le texte au sein de l&textrsquo;environnement est sauvegarder dans une boîte -\cmd qui doit avoir préalablement été déclarée avec -\newsavebox. +
+ +Les options suivantes permettent à l&textrsquo;utilisateur de l&textrsquo;emporter sur la +méthode par laquelle &latex; choisit le type d&textrsquo;un graphique en fonction +de son extension de nom de fichier. Par exemple avec +\includegraphics[type=png,ext=.xxx,read=.xxx]{lion} le fichier +lion.xxx est lu comme s&textrsquo;il s&textrsquo;agissait de lion.png. Pour +plus ample information, \DeclareGraphicsRule. + +includegraphics type +type +Spécifie le type de graphique. + +includegraphics ext +ext +Spécifie l&textrsquo;extension du graphique. À n&textrsquo;utiliser qu&textrsquo;en conjonction avec +l&textrsquo;option type. + +includegraphics read +read +Spécifie l&textrsquo;extension du fichier lu. À n&textrsquo;utiliser qu&textrsquo;en conjonction avec +l&textrsquo;option type. + +includegraphics command +command +Spécifie une commande à appliquer à ce fichier. À n&textrsquo;utiliser qu&textrsquo;en +conjonction avec l&textrsquo;option type. Command line options, +pour une discussion sur l&textrsquo;activation de la fonctionalité \write18 +pour exécuter des commandes externes. + +
-
-\makebox\parboxlrboxBoxes -
\makebox -\makebox -Synopsis : + +\rotatebox\scalebox\includegraphicsCommands for graphics +\rotatebox + +rotation +rotating graphics +rotating text +\rotatebox + +Synopsis for graphics package: -
\makebox[largeur][position]{texte}
+
\rotatebox{angle}{material}
 
-La commande \makebox crée une boîte juste assez large pour -contenir le texte spécifié. La largeur de la boîte peut-être -emportée par l&textrsquo;argument optionnel largeur. La position du -texte au sein de la boîte est determinée par l&textrsquo;argument optionnel -position qui peut prendre l&textrsquo;une des valeurs suivantes : +Synopses for graphicx package: - -c -Centré (par défaut). -l -(Left) justifié à gauche. -r -(Right) justifié à droite. -s -(Stretch) justifié à travers la largeur entière ; texte doit -contenir de l&textrsquo;espace dilatable pour que cela marche. -
+ +
\rotatebox{angle}{material}
+\rotatebox[liste-à-clefs-valeurs]{angle}{material}
+
-\makebox est aussi utilisé au sein de l&textrsquo;environnement picture, -\makebox (picture). +Put material in a box and rotate it angle degrees counterclockwise. - -
-\parbox\raisebox\makeboxBoxes -
\parbox -\parbox - -Synopsis : +This example rotates the table column heads forty five degrees. -
\parbox[position][hauteur][pos-interne]{largeur}{texte}
+
\begin{tabular}{ll}
+  \rotatebox{45}{Character} &\rotatebox{45}{NATO phonetic}   \\
+  A                         &AL-FAH  \\
+  B                         &BRAH-VOH
+\end{tabular}
 
-mode paragraphe -paragraphe, mode -La commande \parbox produit une boîte dont le contenu est créé en -mode paragraphe. On devrait l&textrsquo;utiliser pour fabriquer une boîte à -partir de petits moreaux de texte, avec rien de trop élaboré à -l&textrsquo;intérieur. En particulier, vous ne devriez utiliser aucun -environnement de fabrication de paragraphe au sein de l&textrsquo;argument -texte d&textrsquo;une \parbox. Pour des morceaux de texte de plus -grande taille, y compris ceux comprenant un environnement de -fabrication de paragraphe, vous devriez utiliser un environnement -minipage (minipage). +The material can be anything that goes in a box, including a graphic. -\parbox a deux arguments obligatoires : - - -largeur -la largeur de la parbox; -texte -le texte qui à mettre dans la parbox. -
+ +
  \rotatebox[origin=c]{45}{\includegraphics[width=1in]{lion}}
+
-Par défault &latex; positionne verticallement un parbox de sorte que -son centre soit aligné avec le centre de la ligne de texte -alentour. Lorsque l&textrsquo;argument optionnel position est présent et -vaut soit t soit b, cela vous permet respectivement -d&textrsquo;aligner soit la ligne du haut, soit la ligne du bas de la parbox avec -la ligne de base du texte alentour. Il est possible de spécifier -position à m pour avoir le comportement par défaut. +You can get the same effect using the graphicx package alone +(\includegraphics). -L&textrsquo;argument optionnel hauteur l&textrsquo;emporte sur la hauteur naturelle de la -boîte. +To place the rotated material, the first step is that &latex; sets +material in a box, with a reference point on the left baseline. +The second step is the rotation, by default about the reference point. +The third step is that &latex; computes a box to bound the rotated +material. Fourth, &latex; moves this box horizontally so that the left +edge of this new bounding box coincides with the left edge of the box +from the first step (they need not coincide vertically). This new +bounding box, in its new position, is what &latex; uses as the box when +typesetting this material. -L&textrsquo;argument pos-interne contrôle la position du texte au sein de la -boîte, comme suit ; s&textrsquo;il n&textrsquo;est pas spécifié, position est utilisé. +If you use the graphics package then the rotation is about the +reference point of the box. If you use graphicx then these are +the options that can go in the liste-à-clefs-valeurs. -t -le texte est placé en haut de la boîte. -c -le texte est centré dans la boîte. -b -le texte est placé en bas de la boîte. -s -dilatation (stretch) verticale ; le texte doit contenir de l&textrsquo;espaces -dilatable verticalement pour que cela fonctionne. -
+origin +The point of the material&textrsquo;s box about which the rotation happens. +Possible values are any string containing one or two of: l for +left, r for right, b for bottom, c for center, +t for top, and B for baseline. Thus, +\includegraphics[angle=180,origin=c]{moon} will turn the +picture upside down from the center, while +\includegraphics[angle=180,origin=lB]{LeBateau} will turn its +picture upside down about its left baseline. (The character c +gives the horizontal center in bc or tc but gives the +vertical center in lc or rc.) The default is lB. + +x, y +Specify an arbitrary point of rotation with +\rotatebox[x=&tex; dimension,y=&tex; +dimension]{...} (Units of length). These give the offset +from the box&textrsquo;s reference point. + +units +This key allows you to change the default of degrees counterclockwise. +Setting units=-360 changes the direction to degrees clockwise and +setting units=6.283185 changes to radians counterclockwise. + + -
-\raisebox\savebox\parboxBoxes -
\raisebox -\raisebox + +\scalebox\resizebox\rotateboxCommands for graphics +\scalebox -Synopsis : +graphics, scaling +graphics, resizing +scaling +resizing +text, scaling +text, resizing +\scalebox +\reflectbox + +Synopses: -
\raisebox{distance}[hauteur][profondeur]{texte}
+
\scalebox{horizontal factor}{material}
+\scalebox{horizontal factor}[vertical factor]{material}
+\reflectbox{material}
 
-La commande \raisebox élève ou abaisse du texte. Le -premier argument obligatoire spécifie la longueur dont le texte -doit être élevé (ou abaissé si c&textrsquo;est une longueur négative). Le -texte lui-même est traité en mode LR. - -Les arguments optionnels hauteur et profondeur sont des -longueurs. S&textrsquo;ils sont spécifiés, &latex; traite texte comme s&textrsquo;il -s&textrsquo;étendait une certaine distance (hauteur) au-dessus de la ligne -de base, ou au dessous (profondeur), en ignorant ses hauteur et -profondeur naturelles. +Scale the material. - -
-\savebox\sbox\raiseboxBoxes -
\savebox -\savebox - -Synopsis : +This example halves the size, both horizontally and vertically, of the +first text and doubles the size of the second. -
\savebox{\boxcmd}[largeur][pos]{texte}
+
\scalebox{0.5}{DRINK ME} and \scalebox{2.0}{Eat Me}
 
-Cette commande compose texte dans une boîte de la même façon -qu&textrsquo;avec \makebox (\makebox), à ceci près qu&textrsquo;au lieu -d&textrsquo;imprimer la boîte résultante, elle la sauvegarde dans une boîte -étiquettée \boxcmd, ce qui doit avoir été déclaré avec -\newsavebox (\newsavebox). +If you do not specify the optional vertical factor then it +defaults to the same value as the horizontal factor. + +You can use this command to resize a graphic, as with +\scalebox{0.5}{\includegraphics{lion}}. If you use the +graphicx package then you can accomplish the same thing with +optional arguments to \includegraphics +(\includegraphics). + +The \reflectbox command abbreviates +\scalebox{-1}[1]{material}. Thus, Able was +I\reflectbox{Able was I} will show the phrase Able was I +immediately followed by its mirror reflection. -
-\sbox\usebox\saveboxBoxes -
\sbox{\boxcmd}{texte} -\sbox + +\resizebox\scaleboxCommands for graphics +\resizebox -Synopsis : +graphics, scaling +graphics, resizing +scaling +resizing +text, scaling +text, resizing +\resizebox + +Synopses: -
\sbox{\boxcmd}{texte}
+
\resizebox{horizontal length}{vertical length}{material}
+\resizebox*{horizontal length}{vertical length}{material}
 
-\sbox tape texte au sein d&textrsquo;une boîte tout comme \mbox -(\mbox) à ceci près qu&textrsquo;au lieu que la boîte résultante soit -incluse dans la sortie normale, elle est sauvegardée dans la boîte -étiquetée \boxcmd. \boxcmd doit avoir été préalablement -déclarée avec \newsavebox (\newsavebox). +Given a size, such as 3cm, transform material to make it +that size. If either horizontal length or vertical length +is an exclamation point ! then the other argument is used +to determine a scale factor for both directions. - -
-\usebox\sboxBoxes -
\usebox{\boxcmd} -\usebox - -Synopsis : +This example makes the graphic be a half inch wide and scales it +vertically by the same factor to keep it from being distorted. -
\usebox{\boxcmd}
+
\resizebox{0.5in}{!}{\includegraphics{lion}}
 
-\usebox produit la boîte la plus récemment sauvegardée dans le -bac \boxcmd par une commande \savebox (\savebox). +The unstarred form \resizebox takes vertical length to be +the box&textrsquo;s height while the starred form \resizebox* takes it to +be height+depth. For instance, make the text have a height+depth of a +quarter inch with \resizebox*{!}{0.25in}{\parbox{1in}{This +box has both height and depth.}}. + +You can use \depth, \height, \totalheight, and +\width to refer to the original size of the box. Thus, make the +text two inches wide but keep the original height with +\resizebox{2in}{\height}{Two inches}. +
-Special insertionsSplitting the inputBoxesTop +Special insertionsSplitting the inputGraphicsTop Insertions spéciales &latex; fournit des commandes pour insérer les caractères qui ont une @@ -9387,46 +13067,48 @@ que vous pouvez taper. Caractères réservésReserved characters
Insérer # $ % & { } _ ~ ^ \
+
Capitale et bas de casseUpper and lower case
Changer la casse du texte.
 
Symboles d&textrsquo;une policeSymbols by font position
Insérer des symboles d&textrsquo;une police par leur numéro.
 
Symboles dans du texteText symbols
Insérer d&textrsquo;autres symboles non-lettre dans le texte.
 
Accents
Insérer des accents.
-
Caractères non-anglaisNon-English characters
Insérer d&textrsquo;autres caractères non-Américain.
+
Lettres latines supplémentairesAdditional Latin letters
Insérer d&textrsquo;autres caractères non-Américain.
 
\rule
Insérer des lignes et des  rectangles.
 
\today
Insérer la date du jour.
 
-Reserved charactersSymbols by font positionSpecial insertions +Reserved charactersUpper and lower caseSpecial insertions
Caractères réservés -caractères réservés -réservés, caractères -caractères spéciaux -spéciaux, caractères +caractères réservés +réservés, caractères +caractères spéciaux +spéciaux, caractères &latex; réserve les caractères suivant à un usage spécial (par exemple, le signe pourcent % sert aux commentaires) c&textrsquo;est pourquoi on les -appelle caractères réservés ou caractères spéciaux. +appelle caractères réservés ou caractères spéciaux. Ils sont +chacun l&textrsquo;objet d&textrsquo;une discussion ailleurs dans ce manuel.
# $ % & { } _ ~ ^ \
 
-\# -\$ -\% -\& -\_ -\{ -\} -Si vous voulez qu&textrsquo;un caractère réservés soit imprimé comme lui-même, +\# +\$ +\% +\& +\_ +\{ +\} +Si vous voulez qu&textrsquo;un caractère réservé soit imprimé comme lui-même, dans la même police que le corps du texte, alors pour tous les caractères hormis les trois derniers de cette liste il suffit de les faire précéder d&textrsquo;une contr&textrsquo;oblique \. Ainsi \$1.23 produit $1.23 en sortie. -\~ -\^ -\textbackslash +\~ +\^ +\textbackslash Quant aux trois derniers caractères, pour faire un tilde dans la police du corps du texte utilisez \~{} (sans les accolades cela mettrait un accent tilde sur le caractère suivant). De même pour faire @@ -9434,8 +13116,9 @@ un accent circonflexe dans la police du corps du texte utilisez \^{}. Une contr&textrsquo;oblique dans la police du corps de texte se fait avec \textbackslash{}. -Pour produire les caractères réservé dans la police d&textrsquo;une machine à écrire utilisez -\verb!! comme ci-dessous : +Pour produire les caractères réservés dans la police tapuscrite utilisez +\verb!! comme ci-dessous (la double contr&textrsquo;oblique \\ n&textrsquo;est +là que pour aller à la ligne en sortie) :
\begin{center}
@@ -9449,13 +13132,89 @@ sauter à la ligne.
 
 
 
-Symbols by font positionText symbolsReserved charactersSpecial insertions +Upper and lower caseSymbols by font positionReserved charactersSpecial insertions +
Capitales et bas de casse + +Capitales +Bas de casse +Casse de caractères +Changer la casse de caractères + +Synopsis : + + +
\uppercase{texte}
+\lowercase{texte}
+\MakeUppercase{texte}
+\MakeLowercase{texte}
+
+ +Change la casse des caractères. Les commandes primitives de &tex; +\uppercase et \lowercase ne fonctionnent que pour les +26 lettres sans diacritiques a-z et A-Z. Les commandes &latex; +\MakeUppercase et \MakeLowercase changent aussi les +caractères accessibles par des commandes telles que \ae ou +\aa. Ces commandes \MakeUppercase et +\MakeLowercase sont robustes, mais elles ont des arguments +mouvants (\protect). + +Ces commandes ne changent pas la casse des lettres utilisées dans le nom +d&textrsquo;une commande au sein de texte. Mais par contre elles changent la +casse de tout autre lettre latine au sein de l&textrsquo;argument texte. +Ainsi, \MakeUppercase{Soit $y=f(x)$} produit SOIT +Y=F(X). Un autre exemple est que le nom de tout environnement est +changé, de sorte que \MakeUppercase{\begin{tabular} +... \end{tabular}} produit une erreur puisque la première moitié est +changée en \begin{TABULAR}. + +&latex; utilise la même table pour changer la casse tout au long du +document. La table utilisée est conçue pour le codage T1 ; ceci +fonctionne bien avec les polices standardes de &tex; pour tous les +alphabets latins, mais cause des problèmes avec d&textrsquo;autres alphabets. + +Pour changer la casse du texte qui résulte d&textrsquo;une macro au sein de +texte il est nécessaire de faire un développement. Dans l&textrsquo;exemple +qui suit la macro \Nomecole produit UNIVERSITÉ DE MATHÉMATIQUES. + + +
\newcommand{\nomecole}{Universit\'e de math\'ematiques}
+\newcommand{\Nomecole}{\expandafter\MakeUppercase\expandafter{\nomecole}}
+
+ +paquetage textcase +textcase, paquetage + +Le paquetage textcase comble certaines des lacunes des commandes +standardes \MakeUppercase et \MakeLowerCase de &latex;. + +paquetage mfirstuc +mfirstuc, paquetage + +Pour mettre en capitale seulement la première lettre d&textrsquo;un mot, on peut +utiliser le paquetage mfirstuc. + +paquetage expl3 +expl3, paquetage + +Wright, Joseph + +Gérer toutes les règles concernant la casse spécifiée par Unicode, par +ex. pour les scripts non latins, est une tâche bien plus conséquente que +ce qui avait été considéré dans les &tex; et &latex; d&textrsquo;origine. Cela +a été implémenté dans le paquetage expl3 à compter de +2020. L&textrsquo;article « Case changing: From &tex; primitives to the Unicode +algorithm », (Joseph Wright, TUGboat 41:1, +https://tug.org/TUGboat/tb41-1/tb127wright-case.pdf), donne un bon +aperçu du sujet, passé et présent. + +
+Symbols by font positionText symbolsUpper and lower caseSpecial insertions
Symboles appelés par leur position dans une police -\symbol -accéder à un caractère quelconque d&textrsquo;une police -symboles d&textrsquo;une police, par leur numéro -police, symboles par leur numéro +\symbol +accéder à un caractère quelconque d&textrsquo;une police +symboles d&textrsquo;une police, par leur numéro +police, symboles par leur numéro Vous pouvez accéder à n&textrsquo;importe quel caractère de la police courante en utilisant son numéro avec la commande \symbol. Par exemple, le @@ -9472,8 +13231,8 @@ comme \symbol{'40} ou \symbol{"20&r Text symbolsAccentsSymbols by font positionSpecial insertions
Symboles en texte -symboles texte -textcomp, paquetage +symboles texte +textcomp, paquetage &latex; fournit des commandes pour générer divers symboles qui ne sont pas des lettres dans le cours sein du texte. Certaines d&textrsquo;entre elles, en particulier les plus obscures, ne sont pas disponible en OT1 ; il se @@ -9481,154 +13240,154 @@ peut que vous deviez charger le paquetage textcomp. -\copyright\copyright -\textcopyright\textcopyright -droit d&textrsquo;auteur, symbole -symbole droit d&textrsquo;auteur +\copyright\copyright +\textcopyright\textcopyright +droit d&textrsquo;auteur, symbole +symbole droit d&textrsquo;auteur Le symbole « droit d&textrsquo;auteur », ©right;. -\dag\dag -obèle, dans le texte +\dag\dag +obèle, dans le texte Le symbole obèle (dans le texte). -\ddag\ddag -double obèle, dans le texte +\ddag\ddag +double obèle, dans le texte Le symbole double obèle (dans le texte). -\LaTeX\LaTeX -&latex;, logo -logo &latex; +\LaTeX\LaTeX +&latex;, logo +logo &latex; Le logo &latex;. -\LaTeXe\LaTeXe -&latex;2e logo -logo &latex;2e +\LaTeXe\LaTeXe +&latex;2e logo +logo &latex;2e Le logo &latex;2e. -\guillemotleft («)\guillemotleft («) -\guillemotright (»)\guillemotright (») -\guilsinglleft (‹)\guilsinglleft (‹) -\guilsinglright (›)\guilsinglright (›) -guillemets double -guillemets simple -chevron gauche, guillemets -chevron droit, guillemets -chevron double, guillemets -chevron simple, guillemets -guillemets français -français, guillemets +\guillemotleft («)\guillemotleft («) +\guillemotright (»)\guillemotright (») +\guilsinglleft (‹)\guilsinglleft (‹) +\guilsinglright (›)\guilsinglright (›) +guillemets double +guillemets simple +chevron gauche, guillemets +chevron droit, guillemets +chevron double, guillemets +chevron simple, guillemets +guillemets français +français, guillemets Guillemets à chevron double et simple, utilisés communément en français : «, », ‹, ›. -\ldots\ldots -\dots\dots -\textellipsis\textellipsis -points de suspension -suspension, points de +\ldots\ldots +\dots\dots +\textellipsis\textellipsis +points de suspension +suspension, points de Des points de suspension (trois points sur la ligne de base) : &textlsquo;&dots;&textrsquo;. \ldots et \dots peuvent également être utilisés en mode mathématique. -\lq\lq -gauche, guillemet-apostrophe simple de -ouvrant, , guillemet-apostrophe simple +\lq\lq +gauche, guillemet-apostrophe simple de +ouvrant, , guillemet-apostrophe simple guillemet-apostrophe simple de gauche (ouvrant) : &textlsquo;. -\P\P -\textparagraph\textparagraph -paragraphe, symbole -Pied-de-mouche +\P\P +\textparagraph\textparagraph +paragraphe, symbole +Pied-de-mouche Signe paragraphe : ¶ (pied-de-mouche). -\pounds\pounds -\textsterling\textsterling -livre, symbole -sterling, symbole +\pounds\pounds +\textsterling\textsterling +livre, symbole +sterling, symbole Livre sterling anglais : £. -\quotedblbase („)\quotedblbase („) -\quotesinglbase (‚)\quotesinglbase (‚) -guillemet-virgule inférieur double -guillemet-virgule inférieur simple -inférieur, guillemet-virgule simple -inférieur, guillemet-virgule double -guillemets-virgule inférieurs, simple et double +\quotedblbase („)\quotedblbase („) +\quotesinglbase (‚)\quotesinglbase (‚) +guillemet-virgule inférieur double +guillemet-virgule inférieur simple +inférieur, guillemet-virgule simple +inférieur, guillemet-virgule double +guillemets-virgule inférieurs, simple et double Guillemets-virgule inférieur double et simple : „ et ‚. -\rq\rq -droite, guillemet-apostrophe simple -fermant, guillemet-apostrophe simple -droite, guillemet anglais simple -fermant, guillemet anglais simple -Guillemet-apostrophe simple de gauche (fermant) : &textrsquo;. +\rq\rq +droite, guillemet-apostrophe simple +fermant, guillemet-apostrophe simple +droite, guillemet anglais simple +fermant, guillemet anglais simple +Guillemet-apostrophe simple de droite (fermant) : &textrsquo;. -\S\S +\S\S \itemx \textsection -section, symbole +section, symbole Signe section : §. -\TeX\TeX -logo &tex; -&tex;, logo +\TeX\TeX +logo &tex; +&tex;, logo Le logo &tex;. -\textasciicircum\textasciicircum -circonflexe ASCII, dans le texte -ASCII, circonflexe dans le texte +\textasciicircum\textasciicircum +circonflexe ASCII, dans le texte +ASCII, circonflexe dans le texte circonflexe ASCII : ^. -\textasciitilde\textasciitilde -tilde ASCII, dans le texte -ASCII, tilde dans le texte +\textasciitilde\textasciitilde +tilde ASCII, dans le texte +ASCII, tilde dans le texte tilde ASCII : ~. -\textasteriskcentered\textasteriskcentered -astérisque centré, dans le texte -centré, astérisque, dans le texte +\textasteriskcentered\textasteriskcentered +astérisque centré, dans le texte +centré, astérisque, dans le texte Astérisque centré : *. -\textbackslash\textbackslash -contr&textrsquo;oblique, dans le texte +\textbackslash\textbackslash +contr&textrsquo;oblique, dans le texte Contr&textrsquo;oblique : \. -\textbar\textbar -verticale, barre dans le texte -barre verticale, dans le texte +\textbar\textbar +verticale, barre dans le texte +barre verticale, dans le texte Barre verticale : |. -\textbardbl\textbardbl -barre verticale double, dans le texte -barre, double verticale, dans le texte -double, barre verticale, dans le texte +\textbardbl\textbardbl +barre verticale double, dans le texte +barre, double verticale, dans le texte +double, barre verticale, dans le texte Barre verticale double. -\textbigcircle\textbigcircle -Grand rond, symbole, dans le texte -rond, grand symbole, dans le texte +\textbigcircle\textbigcircle +Grand rond, symbole, dans le texte +rond, grand symbole, dans le texte Symbole grand rond. -\textbraceleft\textbraceleft -accolade gauche, dans le texte -gauche, accolade, dans le texte +\textbraceleft\textbraceleft +accolade gauche, dans le texte +gauche, accolade, dans le texte Accolade gauche : {. -\textbraceright\textbraceright -accolade droite, dans le texte -droite, accolade, dans le texte +\textbraceright\textbraceright +accolade droite, dans le texte +droite, accolade, dans le texte Accolade droite : }. -\textbullet\textbullet -puce, dans le texte +\textbullet\textbullet +puce, dans le texte Puce : •. -\textcircled{lettre}\textcircled{lettre} -encerclée, lettre, dans le texte +\textcircled{lettre}\textcircled{lettre} +encerclée, lettre, dans le texte lettre dans un cercle, comme dans ®istered;. -\textcompwordmark\textcompwordmark -\textcapitalcompwordmark\textcapitalcompwordmark -\textascendercompwordmark\textascendercompwordmark +\textcompwordmark\textcompwordmark +\textcapitalcompwordmark\textcapitalcompwordmark +\textascendercompwordmark\textascendercompwordmark @@ -9636,149 +13395,149 @@ Signe section : §. hauteur de capitale de la fonte, alors que la forme \textascender... a la hauteur de hampe. -\textdagger\textdagger -obèle, dans le texte +\textdagger\textdagger +obèle, dans le texte Obèle : \dag. -\textdaggerdbl\textdaggerdbl -obèle double, dans le texte -double, obèle, dans le texte +\textdaggerdbl\textdaggerdbl +obèle double, dans le texte +double, obèle, dans le texte Double-obèle : \ddag. -\textdollar (ou \$)\textdollar (ou \$) -dollar, signe -monnaie, dollar +\textdollar (ou \$)\textdollar (ou \$) +dollar, signe +monnaie, dollar Signe Dollar : $. -\textemdash (ou ---)\textemdash (ou ---) -cadratin +\textemdash (ou ---)\textemdash (ou ---) +cadratin Cadratin : &textmdash; (pour la ponctuation). -\textendash (ou --)\textendash (ou --) -cadratin, demi -demi-cadratin +\textendash (ou --)\textendash (ou --) +cadratin, demi +demi-cadratin Demi cadratin : &textndash; (pour les plages en anglais). -\texteuro\texteuro -euro, symbole -monnaie, euro +\texteuro\texteuro +euro, symbole +monnaie, euro Le symbole Euro : €. -\textexclamdown (ou !`)\textexclamdown (ou !`) -point d&textrsquo;exclamation culbuté +\textexclamdown (ou !`)\textexclamdown (ou !`) +point d&textrsquo;exclamation culbuté Point d&textrsquo;exclamation culbuté : ¡. -\textgreater\textgreater -supérieur à, symbole dans le texte +\textgreater\textgreater +supérieur à, symbole dans le texte Supérieur à : >. -\textless\textless -inférieur à, symbole dans le texte +\textless\textless +inférieur à, symbole dans le texte Inférieur à : <. -\textleftarrow\textleftarrow -flèche gauche, left, dans le texte -gauche, flèche, dans le texte +\textleftarrow\textleftarrow +flèche gauche, left, dans le texte +gauche, flèche, dans le texte Flèche gauche. -\textordfeminine\textordfeminine -\textordmasculine\textordmasculine -féminin, symbole ordinal -masculin, symbole ordinal -Ordinaux, féminin et masculin -Ordinaux espagnols, féminin et masculin +\textordfeminine\textordfeminine +\textordmasculine\textordmasculine +féminin, symbole ordinal +masculin, symbole ordinal +Ordinaux, féminin et masculin +Ordinaux espagnols, féminin et masculin Symboles ordinaux féminin et masculin : ª, º. -\textperiodcentered\textperiodcentered -point centré, dans le texte -centré, point, dans le texte +\textperiodcentered\textperiodcentered +point centré, dans le texte +centré, point, dans le texte Point centré : ·. -\textquestiondown (ou ?`)\textquestiondown (ou ?`) -point d&textrsquo;interrogation culbuté +\textquestiondown (ou ?`)\textquestiondown (ou ?`) +point d&textrsquo;interrogation culbuté Point d&textrsquo;interrogation culbuté : ¿. -\textquotedblleft (ou ``)\textquotedblleft (ou ``) -guillemet-apostrophe double culbuté -double, guillemet-apostrophe culbuté +\textquotedblleft (ou ``)\textquotedblleft (ou ``) +guillemet-apostrophe double culbuté +double, guillemet-apostrophe culbuté Guillemet-apostrophe double culbuté : &textldquo;. -\textquotedblright (ou '')\textquotedblright (ou '') -guillemet-apostrophe de droite double -double, guillemet-apostrophe de droite +\textquotedblright (ou '')\textquotedblright (ou '') +guillemet-apostrophe de droite double +double, guillemet-apostrophe de droite Guillemet-apostrophe de droite double : &textrdquo;. -\textquoteleft (ou `)\textquoteleft (ou `) -guillemet-apostrophe simple culbuté -simple, guillemet-apostrophe culbuté +\textquoteleft (ou `)\textquoteleft (ou `) +guillemet-apostrophe simple culbuté +simple, guillemet-apostrophe culbuté Guillemet-apostrophe simple culbuté : &textlsquo;. -\textquoteright (ou ')\textquoteright (ou ') -guillemet-apostrophe simple -simple, guillemet-apostrophe +\textquoteright (ou ')\textquoteright (ou ') +guillemet-apostrophe simple +simple, guillemet-apostrophe Guillemet-apostrophe simple : &textrsquo;. -\textquotesingle\textquotesingle -guillemet-apostrophe simple droit -simple droit, guillemet-apostrophe -droit, guillemet-apostrophe simple +\textquotesingle\textquotesingle +guillemet-apostrophe simple droit +simple droit, guillemet-apostrophe +droit, guillemet-apostrophe simple Guillemet-apostrophe simple droit. (Du codage TS1.) -\textquotestraightbase\textquotestraightbase -\textquotestraightdblbase\textquotestraightdblbase -guillemet droit simple sur la ligne de base -droit, guillemet simple sur la ligne de base -guillemet droit double sur la ligne de base -droit, guillemet double sur la ligne de base +\textquotestraightbase\textquotestraightbase +\textquotestraightdblbase\textquotestraightdblbase +guillemet droit simple sur la ligne de base +droit, guillemet simple sur la ligne de base +guillemet droit double sur la ligne de base +droit, guillemet double sur la ligne de base Guillemets droit simple et double sur la ligne de base. -\textregistered\textregistered -marque déposée, symbole -symbole marque déposée +\textregistered\textregistered +marque déposée, symbole +symbole marque déposée Symbole « marque déposée » : ®istered;. -\textrightarrow\textrightarrow -flèche droite, dans le texte -droite, flèche, dans le texte +\textrightarrow\textrightarrow +flèche droite, dans le texte +droite, flèche, dans le texte Flèche droite. -\textthreequartersemdash\textthreequartersemdash -trois-quarts, cadratin -cadratin, trois-quarts +\textthreequartersemdash\textthreequartersemdash +trois-quarts, cadratin +cadratin, trois-quarts Cadratin « trois quarts ». -\texttrademark\texttrademark -marque de fabrique, symbole -symbole marque de fabrique +\texttrademark\texttrademark +marque de fabrique, symbole +symbole marque de fabrique Symbole marque de commerce : ™. -\texttwelveudash\texttwelveudash -deux-tiers cadratin -cadratin, deux tiers +\texttwelveudash\texttwelveudash +deux-tiers cadratin +cadratin, deux tiers Deux-tiers cadratin. -\textunderscore\textunderscore -souligné, dans le texte -tiret bas, dans le texte +\textunderscore\textunderscore +souligné, dans le texte +tiret bas, dans le texte Tiret bas : _. -\textvisiblespace\textvisiblespace -visible, symbole espace, dans le texte -espace visible, symbole, dans le texte -Symbol espace visible. +\textvisiblespace\textvisiblespace +visible, symbole espace, dans le texte +espace visible, symbole, dans le texte +Symbole espace visible.
-AccentsNon-English charactersText symbolsSpecial insertions +AccentsAdditional Latin lettersText symbolsSpecial insertions
Accents -accents -signes diacrtitiques -diacrtitiques, signes -accentuées, lettres -accentués, caractères +accents +signes diacrtitiques +diacrtitiques, signes +accentuées, lettres +accentués, caractères &latex; a une prise en charge très large de beaucoup des scripts et langages du monde, à travers ce qu&textrsquo;offre le paquetage babel. @@ -9794,165 +13553,165 @@ disponible avec l&textrsquo;OT1. \" \capitaldieresis -\" (accent tréma) -\capitaldieresis -accent tréma -diacrtique tréma +\" (accent tréma) +\capitaldieresis +accent tréma +diacrtique tréma Produit une tréma, comme dans o. \' \capitalacute -\' (acute accent) -\capitalacute -accent aigu -diacrtique accent aigu +\' (acute accent) +\capitalacute +accent aigu +diacrtique accent aigu Produit un accent aigu, comme dans o. Dans l&textrsquo;environnement tabbing, pousse la colonne courante à droite de la colonne précédente (tabbing). \. -\. (dot-over accent) -accent point -accent point suscrit -accent point en chef -diacritique point suscrit -point en chef, diacritique -point suscrit, diacritique +\. (dot-over accent) +accent point +accent point suscrit +accent point en chef +diacritique point suscrit +point en chef, diacritique +point suscrit, diacritique Produit un point suscrit à la lettre qui suit, comme dans o. \= \capitalmacron -\= (macron accent) -\capitalmacron -macron, diacritique -barre, diacritique -barre par-dessus, accent +\= (macron accent) +\capitalmacron +macron, diacritique +barre, diacritique +barre par-dessus, accent Produit un macron (une barre) suscrit à la lettre qui suit, comme dans o. \^ \capitalcircumflex -\^ (accent circonflexe) -\capitalcircumflex -accent circonflexe -diacritique circonflexe -circonflexe, accent -circonflexe, diacritique -chapeau, accent +\^ (accent circonflexe) +\capitalcircumflex +accent circonflexe +diacritique circonflexe +circonflexe, accent +circonflexe, diacritique +chapeau, accent Produit un accent circonflexe (un chapeau) suscrit à la lettre qui suit, comme dans o. \` \capitalgrave -\` (accent grave) -\capitalgrave -grave accent +\` (accent grave) +\capitalgrave +grave accent Produit un accent grave suscrit à la lettre qui suit, comme dans o. Au sein de l&textrsquo;environnement tabbing, déplace le texte qui suit à la marge de droite (tabbing). \~ \capitaltilde -\~ (accent tilde) -\capitaltilde -diacritique tilde -tilde, diacritique +\~ (accent tilde) +\capitaltilde +diacritique tilde +tilde, diacritique Produit un diacritique tilde suscrit à la lettre qui suit, comme dans n. \b -\b (accent barre-souscrite) -diacritique barre-souscrite -diacritique macron-souscrit -barre-souscrite, diacritique -macron-souscrit, diacritique +\b (accent barre-souscrite) +diacritique barre-souscrite +diacritique macron-souscrit +barre-souscrite, diacritique +macron-souscrit, diacritique Produit un diacritique barre souscrite à la lettre qui suit, comme dans o. Voir aussi \underbar ci-après. \c \capitalcedilla -\c (cédille) -\capitalcedilla -cédille, diacritique -diacritique cédille +\c (cédille) +\capitalcedilla +cédille, diacritique +diacritique cédille Produit une cedille souscrite à la lettre qui suit, comme dans c. \d \capitaldotaccent -\d (dot-under accent) -\capitaldotaccent -diacritique point-souscrit +\d (dot-under accent) +\capitaldotaccent +diacritique point-souscrit Produit un point souscrit à la lettre qui suit, comme dans o. \H \capitalhungarumlaut -\H (tréma hongrois) -\capitalhungarumlaut -accent tréma hongrois -tréma hongrois, accent -diacritique tréma hongrois -tréma hongrois, diacritique +\H (tréma hongrois) +\capitalhungarumlaut +accent tréma hongrois +tréma hongrois, accent +diacritique tréma hongrois +tréma hongrois, diacritique Produit un long tréma hongrois suscrit à la lettre qui suit, comme dans o. \i -\i (i sans point) -i sans point +\i (i sans point) +i sans point Produit un i sans point, comme dans &textlsquo;i&textrsquo;. \j -\j (j sans point) -j sans point +\j (j sans point) +j sans point Produit un j sans point, comme dans &textlsquo;j&textrsquo;. \k \capitalogonek -\k (ogonek) -\capitalogonek -ogonek, diacritique -diacritique ogonek +\k (ogonek) +\capitalogonek +ogonek, diacritique +diacritique ogonek Produit un ogonek, comme dans &textlsquo;o&textrsquo;. Non disponible dans le codage OT1. \r \capitalring -\r (ring accent) -\capitalring -accent rond en chef -diacritique rond en chef -rond en chef, diacritique +\r (ring accent) +\capitalring +accent rond en chef +diacritique rond en chef +rond en chef, diacritique Produit un rond en chef, comme dans &textlsquo;o&textrsquo;. \t \capitaltie \newtie \capitalnewtie -\t (tie-after accent) -\capitaltie -\newtie -\capitalnewtie -diacritique tirant susscrit -diacritique double-brève-renversée -accent double-brève-renversée -double-brève-renversée, diacritique -tirant suscrit, diacritique +\t (tie-after accent) +\capitaltie +\newtie +\capitalnewtie +diacritique tirant susscrit +diacritique double-brève-renversée +accent double-brève-renversée +double-brève-renversée, diacritique +tirant suscrit, diacritique Produit un tirant suscrit (double brève renversée), comme dans &textlsquo;oo&textrsquo;. La forme \newtie est centrée dans sa boîte. \u \capitalbreve -\u (breve accent) -\capitalbreve -brève, accent -brève, diacritique -diacritique brève +\u (breve accent) +\capitalbreve +brève, accent +brève, diacritique +diacritique brève Produit un accent brève, comme dans &textlsquo;o&textrsquo;. \underbar -\underbar -barre sousscite -barre au-dessous +\underbar +barre sousscite +barre au-dessous Ce n&textrsquo;est pas vraiement un diacritique. Produit une barre au-dessous de l&textrsquo;argument texte. L&textrsquo;argument est toujours traité en mode horizontal. La barre est toujours à une position fixée sous la ligne de base, de la @@ -9961,26 +13720,27 @@ sorte elle traverse les descentes. Voir aussi \underline dans \v \capitalcaron -\v (breve accent) -\capitalcaron -accent hacek -diacritique hacek -accent caron -diacritique caron -caron, diacritique +\v (breve accent) +\capitalcaron +accent hacek +diacritique hacek +accent caron +diacritique caron +caron, diacritique Produit un accent hacek (caron), comme dans &textlsquo;o&textrsquo;.
-Non-English characters\ruleAccentsSpecial insertions +Additional Latin letters\ruleAccentsSpecial insertions
Lettres latines supplémentaires +Non-English characters -caractères speciaux -speciaux, caractères -caractères latins non diacrités -lettres latines non diacritées +caractères speciaux +speciaux, caractères +caractères latins non diacrités +lettres latines non diacritées Voici les commandes de base de &latex; pour insérer des caractères utilisés généralement utilisés dans des langages autres que l&textrsquo;anglais. @@ -9989,34 +13749,34 @@ utilisés généralement utilisés dans des langages autres que l&textrsquo;angl \aa \AA -\aa (å) -\AA (Å) -a rond-en-chef +\aa (å) +\AA (Å) +a rond-en-chef å et Å. \ae \AE -\ae (æ) -\AE (Æ) -a, e dans l&textrsquo;a -e dans l&textrsquo;a -a e liés +\ae (æ) +\AE (Æ) +a, e dans l&textrsquo;a +e dans l&textrsquo;a +a e liés æ et Æ. \dh \DH -\dh (ð) -\DH (Ð) -eth islandais -eth, lettre islandaise +\dh (ð) +\DH (Ð) +eth islandais +eth, lettre islandaise Lettre islandaise eth : ð et Ð. Non disponible dans le codage OT1, il vous faut le paquetage fontenc pour sélectionner un autre codage de police, tel que T1. \dj \DJ -\dj -\DJ +\dj +\DJ d et D barre, lettre d capitale et bas-de-casse avec une barre traversant la hampe. Non disponible dans le codage OT1, il vous faut le paquetage fontenc pour sélectionner un autre codage de @@ -10024,56 +13784,56 @@ police, tel que T1. \ij \IJ -\ij (ij) -\IJ (IJ) -lettre ij, Holandais +\ij (ij) +\IJ (IJ) +lettre ij, Holandais ij et IJ (à ceci près que les deux lettre apparaissent plus liées qu&textrsquo;ici). \l \L -\l (&lslash;) -\L (&Lslash;) -l polonais +\l (&lslash;) +\L (&Lslash;) +l polonais &lslash; et &Lslash;. \ng \NG -\ng -\NG +\ng +\NG Lettre eng laponais, utilisé aussi en phonétique. Non disponible dans le codage OT1, il vous faut le paquetage fontenc pour sélectionner un autre codage de police, tel que T1. \o \O -\o (ø) -\O (Ø) -oslash +\o (ø) +\O (Ø) +oslash ø et Ø. \oe \OE -\oe (œ) -\OE (Œ) -o e liés -o, e dans l&textrsquo;o -e dans l&textrsquo;o +\oe (œ) +\OE (Œ) +o e liés +o, e dans l&textrsquo;o +e dans l&textrsquo;o œ et Œ. \ss \SS -\ss (ß) -\SS (SS) -eszet lettre allemande -s long +\ss (ß) +\SS (SS) +eszet lettre allemande +s long ß et SS. \th \TH -\th (þ) -\TH (Þ) -Icelandic thorn -thorn, lettre islandaise +\th (þ) +\TH (Þ) +Icelandic thorn +thorn, lettre islandaise Lettre islandaise thorn : þ et Þ. Non disponible dans le codage OT1, il vous faut le paquetage fontenc pour sélectionner un autre codage de police, tel que T1. @@ -10082,9 +13842,9 @@ autre codage de police, tel que T1.
-\rule\todayNon-English charactersSpecial insertions +\rule\todayAdditional Latin lettersSpecial insertions
\rule -\rule +\rule Synopsis : @@ -10110,8 +13870,8 @@ un rectangle. Les arguments sont :
\today\ruleSpecial insertions
\today -\today -date d&textrsquo;aujourd&textrsquo;hui +\today +date d&textrsquo;aujourd&textrsquo;hui La commande \today produit la date d&textrsquo;aujourd&textrsquo;hui, par défaut dans le format mois jj, aaaa ; par exemple, &textlsquo;July 4, @@ -10133,8 +13893,9 @@ suivant produit 4 juillet 1976 :
-paquetage datetime -datetime, paquetage +paquetage datetime +datetime, paquetage + Le paquetage datetime, entre autres, produit un large choix d&textrsquo;autres formats de date. @@ -10143,78 +13904,272 @@ d&textrsquo;autres formats de date.
Splitting the inputFront/back matterSpecial insertionsTop Partitionner le fichier d&textrsquo;entrée -partitionner le fichier d&textrsquo;entrée -fichier d&textrsquo;entrée - -Un document de grande taille nécessite beaucoup de données en -entrée. Plutôt que de mettre toutes les entrées dans un seul grand -fichier, il est plus efficace de les partitionner en plusieurs fichiers -plus petits. Indépendamment du nombre de fichiers distincts que vous -utilisez, il y en a un seul qui est le -racine, fichier -fichier racine -fichier racine ; c&textrsquo;est le fichier dont vous passer le nom à la -ligne de commande quand vous exécutez &latex;. - -filecontents, pour un environnement qui permet de grouper un -fichier externe à créer avec le document principal. - +partitionner le fichier d&textrsquo;entrée +fichier d&textrsquo;entrée + +&latex; vous permet de partitionner un document de grande taille en +plusieurs plus petits. Ceci peut simplifier son édition et permette à +plusieurs auteurs d&textrsquo;y travailler. Cela peut aussi accélerer le +traitement. + +Indépendamment du nombre de fichiers distincts que vous +utilisez, il y a toujours un seul +racine, fichier +fichier racine +fichier racine sur lequel la compilation &latex; +démarre. L&textrsquo;exemple ci-dessous illuste un tel fichier avec cinq fichiers +inclus. + + +
\documentclass{book}
+\includeonly{
+  % mettre en commentaire les lignes ci-dessous pour ne pas compiler le fichier
+  pref,
+  chap1,
+  chap2,
+  append,
+  bib
+  }
+\begin{document}
+\frontmatter
+\include{pref} 
+\mainmatter
+\include{chap1} 
+\include{chap2}
+\appendix
+\include{append}
+\backmatter
+\include{bib} 
+\end{document}
+
+ + +Dans cet example on prend le matériel de pref.tex, +chap1.tex, chap2.tex, append.tex, et +bib.tex. Si vous compilez ce fichier, et ensuite mettez en +commentaire toutes les lignes au sein de \includeonly{...} +hormis chap1, et compilez de nouveau, alors &latex; traite +seulement le matériel du premier chapitre. Ainsi, la sortie apparaît +plus rapidement et est plus courte à imprimer. Cependant, l&textrsquo;avantage +de la commande \includeonly est que &latex; retient les numéros +de page et toute l&textrsquo;information de renvoi des autres parties du document +de sorte qu&textrsquo;elles apparaissent correctement en sortie. + +Larger book template pour un autre exemple de \includeonly. + + + + + -\include
Inclure conditionnellement un fichier.
-
\includeonly
Determiner quels fichiers sont à inclure.
-
\input
Inclure inconditionnellement un fichier.
+\endinput
Ne plus include le matériel d&textrsquo;un fichier.
+
\include & \includeonly
Inclure conditionnellement des fichiers.
+
\input
Inclure inconditionnellement un fichier.
 
-\include\includeonlySplitting the input -
\include -\include +\endinput\include & \includeonlySplitting the input +
\endinput + +\endinput Synopsis : -
\include{fichier}
+
\endinput
 
-Si aucune commande \includeonly n&textrsquo;est présente, la commande -\include exécute un \clearpage pour commencer une nouvelle -page (\clearpage), puis elle lit fichier, et ensuite fait -encore un \clearpage. - -Précédé d&textrsquo;une commande \includeonly, les actions de -\include ne sont exécutées que si fichier est un élément des -fichiers listés en argument de l&textrsquo;\includeonly. Voir \includeonly. +Quand vous écrivez \include{nomfichier}, alors au sein de +nomfichier.tex le matériel qui vient après \endinput n&textrsquo;est +pas inclus. Cette commande est optionnelle ; si nomfichier.tex +ne comprend pas de \endinput alors &latex; lit tout le fichier. -\include emboîtés interdits -La commande \include ne doit apparaître ni dans le préambule, ni -au sein d&textrsquo;un fichier lu par une autre commande \include. +Par exemple, supposons que le fichier racine d&textrsquo;un document a un +\input{chap1} que ce le contenu de chap1.tex est ce qui +suit : + +
\chapter{One} Ce matériel apparaît dans le document.  \endinput Ceci
+n'apparaît pas.
+
+Ceci peut être utile pour placer de la documentation ou des commentaire +à la fin d&textrsquo;un fichier, ou pour éviter des caractères indésirable qui +pourraît s&textrsquo;ajouter si le fichier est transmis dans le corps d&textrsquo;un +courriel. C&textrsquo;est également utile pour déboguer : une stratégie pour +localiser des erreurs est de placer un \endinput à mi-chemin en +cours des fichiers inclus et de voir si l&textrsquo;erreur disparaît. Ensuite, +sachant quelle moitié contient l&textrsquo;erreur, en déplaçant le +\endinput à mi-chemin de cette zone circonscrit de plus près +l&textrsquo;endroit où elle se trouve. Ainsi on trouve rapidement la ligne +fautive. + +Après avoir lu \endinput, &latex; continue à lire jusqu&textrsquo;à la fin +de la ligne, ansi il est possible de faire suivre cette ligne par +quelque-chose qui sera tout de même lu. Ceci vous permet entre autre de +fermer un \if... par un \fi. +
-\includeonly\input\includeSplitting the input -
\includeonly -\includeonly +\include & \includeonly\input\endinputSplitting the input +
\include & \includeonly +\include +\includeonly Synopsis : -
\includeonly{fichier1,fichier2,...}
+
\includeonly{  % dans le préambule du document
+  ...
+  nomfichier,
+  ...
+  }
+  ...
+\include{nomfichier}  % dans le corps du document
+
+ +Apporte du matériel d&textrsquo;un fichier externe nomfichier.tex +dans un document &latex;. + +La commande \include fait trois choses : elle exécute +\clearpage (\clearpage & \cleardoublepage), puis elle +insère le matériel à partir du fichier nomfichier.tex dans +le document, ensuite fait encore un \clearpage. Cette commande ne +peut apparaître que dans le corps du document. + +La commande \includeonly contrôle quels fichiers seront lus par +&latex; lors des commandes \include suivantes. Sa liste de noms +de fichier est séparée par des virgules, et la commande ne peut +apparaître que dans le préambule, ou même plus tôt, par ex. dans la +ligne de commande : elle ne peut pas apparaître dans le corps du +document. + +Dans le document racine en exemple ci-dessous, constitution.tex, on +inclut trois fichiers, preambule.tex, articles.tex, et +amendements.tex. + + +
\documentclass{book}
+\includeonly{
+  preambule,
+  articles,
+  amendements
+  }
+\begin{document}
+\include{preambule}
+\include{articles}
+\include{amendements}
+\end{document}
+
+ + +Le fichier preambule.tex ne contient aucun code spécial ; vous +avez juste extrait ce chapitre de consitution.tex pour le mettre +dans un fichier séparé pour rendre son édition plus commode. + + +
\chapter{Préambule}
+Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de
+l’Homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont
+été définis par la Déclaration de 1789, ...
+
+ + +Exécuter &latex; sur constitution.tex fait apparaître le +matériel issu de ces trois fichiers dans le document mais génère +également les fichiers auxiliaires preamble.aux, +articles.aux, et amendements.aux. Ceux-ci contiennent de +l&textrsquo;information telle que les numéros de page et les renvois (Cross +references). Si maintenant vous mettez en commentaire les lignes de +\includeonly contenant preambule et amendements et +exécutez &latex; de nouveau alors le document résultant ne contiendra +que le matériel issu de articles.tex, mais pas celui de +preamblue.tex ni de amendements.tex. Néanmois, la +totalité de l&textrsquo;information auxiliaire issue des fichiers omis est +toujours là, y compris le numéro de la page où commence le chapitre. + +S&textrsquo;il n&textrsquo;y a pas de \includeonly dans le préambule du document, +alors &latex; inclut tous les fichiers demandés par des commandes +\include. + +La commande \include fabrique une nouvelle page. Pour éviter +cela, voir \input (ce qui, cependant, ne retient pas l&textrsquo;information +auxiliaire). + +Larger book template pour un autre exemple utilisant +\include et \includeonly. Cet exemple utilise également +\input pour certain matériel qui ne débute pas nécessairement sur +une nouvelle page. + +Les noms de fichiers peuvent impliquer un chemin. + + +
\documentclass{book}
+\includeonly{
+  chapitres/chap1,
+  }
+\begin{document}
+\include{chapitres/chap1}
+\end{document}
+
+ +Pour rendre votre document portable vis à vis des diverses distributions +et plateformes vous devriez éviter les espaces dans les noms de +fichier. Traditionnnelement on utilise des tirets de 6 ou de 8 à la +place. Néanmoins, pour le nom amo amas amat, ce qui suit +fonctionne sous &tex; Live sur GNU/Linux: + + +
\documentclass{book}
+\includeonly{
+  "amo\space amas\space amat"
+  }
+\begin{document}
+\include{"amo\space amas\space amat"}
+\end{document}
+
+ +et ceci fonctionne sous MiK&tex; sur Windows: + + +
\documentclass{book}
+\includeonly{
+  {"amo amas amat"}
+  }
+\begin{document}
+\include{{"amo amas amat"}}
+\end{document}
 
-La commande \includeonly contrôle quels fichiers sont lisible par -toute commande \include venant ensuite. La liste des noms de -fichier est à éléments séparés par des virgules. Chaque élément -fichier1, fichier2, &dots; doit exactement correspondre à -un nom de fichier spécifié en argument d&textrsquo;une commande \include -pour que la sélection soit effective. +\include imbriqués non autorisés +imbrication de \include non autorisée +Vous ne pouvez pas utiliser \include au sein d&textrsquo;un fichier qui +lui-même est inclus via \include, sans quoi vous obtenez l&textrsquo;erreur +LaTeX Error: \include cannot be nested. La commande +\include ne peut pas apparaître dans le préambule ; sans quoi +vous obtenez l&textrsquo;erreur LaTeX Error: Missing \begin{document}. + +Si un fichier que vous incluez par \include n&textrsquo;existe pas, par +exemple si vous tapez la commande \include{athiesme} par erreur +à la place de \include{atheisme}, alors &latex; ne produit pas +une erreur mais un avertissement No file athiesme.tex. (Il crée +également le fichier athiesme.aux). -Cette commande ne peut apparaître que dans le préambule. +Si vous faites un \include du fichier racine dans lui-même alors +vous obtenez tout d&textrsquo;abord LaTeX Error: Can be used only in +preamble. Les exécutions suivantes donnent TeX capacity +exceeded, sorry [text input levels=15]. Pour réparer cela, vous devez +enlever l&textrsquo;inclusion \include{racine} mais aussi détruire +le fichier racine.aux et exécuter de nouveau &latex;. + + + +
-\input\includeonlySplitting the input +\input\include & \includeonlySplitting the input
\input -\input +\input Synopsis : @@ -10235,53 +14190,170 @@ n&textrsquo;est trouvé avec ce nom, alors on essaie le nomfichier or
Front/back matterLettersSplitting the inputTop -Prologue et épilogue +Parties pré/post-liminaires -Table des matièresTables of contents
-
GlossairesGlossaries
-
IndexIndexes
+Table des matières etc.Table of contents etc.
Table des matière, liste des figures, liste des tableaux.
+
GlossairesGlossaries
Génère un glossaire.
+
IndexIndexes
Génère un indexe.
 
-Tables of contentsGlossariesFront/back matter -
Tables des matières +Table of contents etc.GlossariesFront/back matter +
Table des matières etc. + +table des matière, création + +\tableofcontents +.toc, fichier +\listoffigures +\listoftables +.lof fichier +.lot fichier + +Synopsis, l&textrsquo;un parmi ceux qui suivent : + + +
\tableofcontents
+\listoffigures
+\listoftables
+
+ +Produit une table des matières, ou une liste des figures, ou une liste +des tableaux. Placez la commande à l&textrsquo;endroit même où vous voulez que la +table ou liste apparaisse. Vous n&textrsquo;avez pas à la renseigner ; par +exemple, typiquement les entrées de la table des matières sont +automatiquement générées à partir des commandes de rubricage +\chapter, etc. + +L&textrsquo;exemple ci-dessous illustre la première commande, +\tableofcontents. &latex; produit une table des matières sur la +première page du livre. + + +
\documentclass{book}
+% \setcounter{tocdepth}{1}
+\begin{document}
+\tableofcontents\newpage
+  ...
+\chapter{...}
+  ...
+\section{...}
+  ...
+\subsection{...}
+  ...
+\end{document}
+
-table des matière, création + +En décommentant la deuxième ligne on peut limiter la table à ne lister +que les rubriques issues de \chapter et \section, mais pas +celle issue de \subsection, parce que la commande \section +a pour niveau 1. Sectioning pour les numéros de niveaux des +rubriques. Pour plus ample information sur tocdepth +Sectioning/tocdepth. + +Un autre exemple de l&textrsquo;utilisation de \tableofcontents est dans +Larger book template. + +Si vous désirez un saut de page après la table des matières, insérez une commande +\newpage après la commande \tableofcontents, comme ci-dessus. + +Pour fabriquer la table des matières, &latex; stocke l&textrsquo;information dans +un fichier auxiliaire nommé fichier-racine.toc +(Splitting the input). Par exemple, le fichier +&latex; test.tex ci-dessous : + + +
\documentclass{article}
+\begin{document}
+\tableofcontents\newpage
+\section{Premièrement}
+\subsection{Deuxièmement}
+  ...
+
-\tableofcontents -.toc, fichier -On produit une table des matières avec la commande -\tableofcontents. Placez la commande à l&textrsquo;endroit même où vous -voulez que la table des matière apparaisse ; &latex; fera le reste pour -vous. Une seconde compilation est nécessaire pour qu&textrsquo;un fichier -.toc ait été produit à la précédente. + +écrit la ligne suivante dans test.toc : -La commande \tableofcontents produit un titre, mais il ne produit -pas automatiquement un début de nouvelle page. Si vous voulez une -nouvelle page après la table des matières, mettez une commande -\newpage après la commande \tableofcontents. + +
\contentsline {section}{\numberline {1}Premièrement}{2}
+\contentsline {subsection}{\numberline {1.1}Deuxièmement}{2}
+
+ + +L&textrsquo;indication section ou subsection donne le type de +rubrique. Le crochet \numberline vous permet de changer la façon +dont l&textrsquo;information apparaît au sein de la table des matières. Son +unique argument, 1 ou 1.1, est le numéro de la rubrique +alors que le reste du deuxième argument de \contentsline, +Premièrement ou Deuxièmement, est le titre. Finalement, +le troisième argument, 2, est le numéro de la page à laquelle les +rubriques débutent. + +Une conséquence de cette stratégie de stockage de fichier auxiliaire est +que pour obtenir correctement la page de table des matières vous devez +exécuter &latex; deux fois, une fois pour stocker l&textrsquo;information et une +fois pour l&textrsquo;obtenir. + + +En particulier, la première fois que vous exécutez &latex; sur un +nouveau document, la page de table des matières est vide hormis le titre +Table des matières. Il suffit de l&textrsquo;exécuter de nouveau. + + +Les commandes \listoffigures et \listoftables produisent +une liste des figures et une liste des tables. Elles fonctionnent de la +même façon que les commandes pour la table des martières ; notamment +elles fonctionnent avec l&textrsquo;information stockée dans des fichiers +.lof et .lot. + +Pour modifier le titre de la page de table des matières, inspirez vous +la la première ligne de l&textrsquo;exemple suivant : + + +
\renewcommand{\contentsname}{Table des matières}
+\renewcommand{\listfigurename}{Tracé de courbes}
+\renewcommand{\listtablename}{Tableaux}
+
+ + +paquetage babel +babel, paquetage -\listoffigures -\listoftables -Les commandes analogues \listoffigures et \listoftables -produisent respectivement une liste des figures et une listes des -tableaux. Le fonctionnement est exactement le même que pour la table des matières. +paquetage polyglossia +polyglossia, paquetage + +De même, les deux autres lignes s&textrsquo;occupent des deux autres. Des +paquetages d&textrsquo;internationalisation tels que babel ou +polyglossia modifient les titres en fonction de la langue de base +sélectionnée. -\nofiles -La commande \nofiles l&textrsquo;emporte sur ces commandes, et -empèche la génération de ces listes. +paquetage tocloft +tocloft, paquetage + +paquetage tocbibbind +tocbibbind, paquetage + +Le CTAN a beaucoup de paquetages traitant de la table des matières et +des listes de figures et de tableaux. L&textrsquo;un d&textrsquo;eux bien commode pour +ajuster certains aspects du traitement par défaut, tels que +l&textrsquo;espacement, est tocloft. Et tocbibbind permet d&textrsquo;ajouter +automatiquement la bibliograpghie, les indexes, etc. à la table des +matières. \addcontentsline
Ajouter une entrée dans la table des matières etc.
 
\addtocontents
Ajouter du texte directement au fichier table des matières etc.
+
\nofiles
Empêche l&textrsquo;écriture dans les fichiers auxiliaires.
 
-\addcontentsline\addtocontentsTables of contents +\addcontentsline\addtocontentsTable of contents etc. \addcontentsline -\addcontentsline{ext}{unit}{texte} -table of contents entry, manually adding +\addcontentsline{ext}{unit}{texte} +table des matières, ajouter manuellement un article + Synopsis : @@ -10318,7 +14390,7 @@ suivantes, selon la valeur de l&textrsquo;argument ext : Le texte de l&textrsquo;entrée. -\contentsline +\contentsline Ce qui est écrit dans le fichier .ext est la commande \contentsline{unit}{texte}{numéro}, où numéro est la valeur courante du compteur @@ -10328,9 +14400,9 @@ suivantes, selon la valeur de l&textrsquo;argument ext : -\addtocontents\addcontentslineTables of contents +\addtocontents\nofiles\addcontentslineTable of contents etc. \addtocontents -\addtocontents{ext}{texte} +\addtocontents{ext}{texte} La commande \addtocontents{ext}{texte} ajoute du texte (ou des commandes de formatage) directement au fichier @@ -10348,23 +14420,57 @@ figures), ou lot (liste des tableaux). Le texte à écrire. + +\nofiles\addtocontentsTable of contents etc. +\nofiles + +\nofiles + +Synopsis : + + +
\nofiles
+
+ +Empêche &latex; d&textrsquo;écrire quelque fichier auxiliaire que ce soit. Les +seules sorites seront les fichiers .log et .pdf (ou +.dvi). Cette commande ne peut être placée que dans le preambule. + +À cause de la commande \nofiles dans cet exemple aucun fichier +.toc n&textrsquo;est produit. + + +
\documentclass{book}
+\nofiles
+\begin{document}
+\tableofcontents\newpage
+\chapter{...}
+  ...
+
+ + +&latex; n&textrsquo;efface pas les fichiers auxiliaires existants, de sorte que +si vous insérer la commande \nofiles après avoir compilé le +fichier et obtenu un fichier .toc alors la page de table des +matières contiendra l&textrsquo;ancienne information. +
-GlossariesIndexesTables of contentsFront/back matter +GlossariesIndexesTable of contents etc.Front/back matter
Glossaires -glossaires +glossaires -\makeglossary +\makeglossary La commande \makeglossary active la création des glossaires. -\glossary -.glo, fichier +\glossary +.glo, fichier La commande \glossary{texte} écrit un article de glossaire pour texte dans un fichier auxiliaire nommé avec l&textrsquo;extension .glo. -\glossaryentry +\glossaryentry Plus précisément, ce qui est écrit est la commande \glossaryentry{texte}{numpage}, où numpage est la valeur courante de \thepage. @@ -10372,42 +14478,48 @@ est la valeur courante de \thepage. Le paquetage glossary disponible sur le CTAN fournit une prise en charge de glossaires plus élaborée. - +
IndexesGlossariesFront/back matter
Index -index +index -\makeindex +\makeindex La commande \makeindex active la création d&textrsquo;index. Placez là dans le préambule. -\index -.idx, fichier +\index +.idx, fichier La commande \index{texte} écrit un article d&textrsquo;index pour texte dans un fichier auxiliaire nommé avec une extention .idx. -\indexentry +\indexentry Plus précisément, ce qui est écrit est la commande \indexentry{texte}{numpage}, où numpage est la valeur courante de \thepage. -« Voir » et « Voir aussi », article d&textrsquo;index +Voir et Voir aussi, article d&textrsquo;index +article d&textrsquo;index, « Voir » et « Voir aussi » Pour générer un article d&textrsquo;index pour « toto » qui dit « Voir titi », utilisez une barre verticale : \index{toto|see{titi}}. Utilisez seealso au lieu de see pour fabriquer un article en « Voir aussi ». -\seename -\alsoname +\seename +\alsoname +paquetage babel +babel, paquetage + paquetage polyglossia +polyglossia, paquetage + Le texte « Voir » est défini par la macro \seename, et le texte « Voir aussi » par la macro \alsoname. Ils peuvent être redéfinis pour d&textrsquo;autres langages. -makeindex, programme -xindy, programle -.ind, fichier +makeindex, programme +xindy, programle +.ind, fichier Le fichier en .idx généré est ensuite trié avec une commande externe, d&textrsquo;ordinaire soit makeindex (http://mirror.ctan.org/indexing/makeindex) ou la commande ( @@ -10415,26 +14527,29 @@ multi-lingue) xindy (http://xindy.sourceforge.n Ceci résulte en un fichier en .ind, ce qui peut ensuite être lu pour composer l&textrsquo;index. -\printindex -paquetage makeidx -makeidx, paquetage +\printindex +paquetage makeidx +makeidx, paquetage + L&textrsquo;index est d&textrsquo;ordinaire généré avec la commande \printindex. Celle-ci est définie dans le paquetage makeidx, ainsi vous devez mettre \usepackage{makeidx} dans le préambule. -\indexspace +\indexspace La longueur élastique \indexspace est insérée avant chaque nouvelle lettre dans l&textrsquo;index imprimé ; sa valeur par défaut est 10pt plus5pt minus3pt. -paquetage showidx -showidx, paquetage +paquetage showidx +showidx, paquetage + Le paquetage showidx a pour effet que chaque article de l&textrsquo;index est affiché dans la marge de la page où l&textrsquo;article apparaît. Ceci peut aider à la préparation de l&textrsquo;index. -paquetage multind -multind, paquetage +paquetage multind +multind, paquetage + Le paquetage multind prend en charge la pluralité des index. Voir aussi l&textrsquo;article de la FAQ &tex; FAQ à ce propos, http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=multind. @@ -10444,8 +14559,8 @@ Voir aussi l&textrsquo;article de la FAQ &tex; FAQ à ce propos, LettersTerminal input/outputFront/back matterTop Des lettres -lettres, écrire des -écrire des lettres +lettres, écrire des +écrire des lettres Synopsis : @@ -10501,7 +14616,7 @@ typiquement par une commande \closing telle que dans \closing{Je vous prie, Madame, Monsieur, d'agréer l'expression de mes sentiments les meilleurs.}. -\\ pour les lettres +\\ pour les lettres Du matériel suppélementaire peut venir après le \closing. Vous pouvez préciser qui est en copie de la lettre avec une commande comme \cc{Le Patron\\Le Patron du Patron}. Il y a une commande @@ -10561,7 +14676,7 @@ I ne suis pas intéressé à faire affaire avec vous. \address\ccLetters
\address -\address +\address Synopsis : @@ -10590,9 +14705,9 @@ personnelle. \cc\closing\addressLetters
\cc -\cc -copie, liste des personnes en, dans une lettre -liste des personnes en copie, dans une lettre +\cc +copie, liste des personnes en, dans une lettre +liste des personnes en copie, dans une lettre Synopsis : @@ -10616,9 +14731,9 @@ les avec une double contr&textrsquo;oblique \\, comme dans : \closing\encl\ccLetters
\closing -\closing -lettres, salutation -fin d&textrsquo;une lettre +\closing +lettres, salutation +fin d&textrsquo;une lettre Synopsis : @@ -10643,8 +14758,8 @@ optionnelle). Par exemple : \encl\location\closingLetters
\encl -\encl -pièces jointes, liste +\encl +pièces jointes, liste Synopsis : @@ -10658,7 +14773,7 @@ optionnelle). Par exemple :
\location\makelabels\enclLetters
\location -\location +\location Synopsis : @@ -10673,7 +14788,7 @@ seulement si le style de la page est firstpage.
\makelabels\name\locationLetters
\makelabels -\makelabels +\makelabels Synopsis : @@ -10739,7 +14854,7 @@ préambule :
\name\opening\makelabelsLetters
\name -\name +\name \name{June Davenport} @@ -10750,8 +14865,8 @@ retour.
\opening\ps\nameLetters
\opening{texte} -\opening -lettres, commencer +\opening +lettres, commencer Synopsis : @@ -10761,7 +14876,7 @@ retour. Cette commande est obligatoire. Elle commence la lettre, en suivant le \begin{letter}{...}. L&textrsquo;argument obligatoire texte est le -appel +appel texte d&textrsquo;appel de votre lettre. Par exemple : @@ -10772,8 +14887,8 @@ texte d&textrsquo;appel de votre lettre. Par exemple :
\ps\signature\openingLetters
\ps -\ps -postscriptum, dans une lettre +\ps +postscriptum, dans une lettre Synopsis : @@ -10789,7 +14904,7 @@ texte d&textrsquo;appel de votre lettre. Par exemple :
\signature\telephone\psLetters
\signature{texte} -\signature +\signature Synopsis : @@ -10798,7 +14913,7 @@ texte d&textrsquo;appel de votre lettre. Par exemple : ... }
-\signature +\signature Le nom de l&textrsquo;expéditeur. Cette commande est optionnelle, quoique son inclusion soit habituelle. @@ -10852,7 +14967,7 @@ le préambule).
\telephone\signatureLetters
\telephone -\telephone +\telephone Synopsis : @@ -10870,17 +14985,158 @@ il apparaît en bas à droite de la page. Terminal input/outputCommand lineLettersTop Entrée/sortie console -entrée/sortie console +entrée/sortie console -\typein
Lire du texte à partir de la console.
+\openin & \openout
Ouvrir un fichier.
+
\read
Lire du texte à partir d&textrsquo;un fichier.
+
\typein
Lire du texte à partir de la console.
 
\typeout
Écrire du texte vers la console.
+
\write
Écrire du texte dans un fichier ou le terminal.
 
+\openin & \openout\readTerminal input/output +
\openin & \openout + +\openin +\openout +\closein +\closeout +file, opening +file, closing +open a file + +Synopsis : + + +
\openin numéro=nomfichier
+
+ +ou : + + +
\openout numéro=nomfichier
+
+ +Ouvre un fichier pour y lire, ou pour y écrire. Le numéro doit +être entre 0 et 15, comme dans \openin3 (dans Lua&latex; numéro +peut être entre 0 et 255). + +Ici &tex; ouvre le fichier le fichier presidents.tex en lecture. + + +
\newread\fichierpresidents
+\openin\fichierpresidents=presidents
+\typeout{fichierpresidents vaut \the\fichierpresidents}
+\read\fichierpresidents to\presidentligne
+\typeout{\presidentligne}
+
+ + +La commande \newread alloue des numéros de flux d&textrsquo;entrée de 0 +à 15 (il y a aussi une commande \newwrite). La variable +\fichierpresidents est plus facile à mémoriser mais sous le capot +ce n&textrsquo;est rien de plus qu&textrsquo;un numéro ; le premier \typeout donne +queleque-chose du genre de fichierpresidents vaut 1. De plus, +\newread garde la trace de l&textrsquo;allocation de sorte que si vous en +utilisez trop alors vous obtiendrez une erreur du genre de ! No +room for a new \read. Le second \typeout produit la première +ligne du fihcier, quelque-chose du genre de 1 Bonaparte, +Louis-Napoléon. + +D&textrsquo;ordinaire &tex; n&textrsquo;essaie pas d&textrsquo;ouvrir le fichier jusqu&textrsquo;à la prochaine +éjection de page. Pour changer cela, utilisez +\immediate\openin numéro=nomfichier ou +\immediate\openout numéro=nomfichier. + +Fermez les fichiers avec \closein numéro et +\closeout numéro. + +La façon dont &latex; manipule les noms de fichiers varie selon les +distributions, et peut même varier d&textrsquo;une version à l&textrsquo;autre d&textrsquo;une même +distribution. Si le nom de fichier n&textrsquo;a pas d&textrsquo;extension alors &tex; y +ajoute un .tex. L&textrsquo;exemple suivant crée presidents.tex, y +écrit une ligne, et le ferme. + + +
\newwrite\fichierpresidents
+\openout\fichierpresidents=presidents
+\write\fichierpresidents{1 Bonaparte, Louis-Napoléon}
+\closeout\fichierpresidents
+
+ + +Mais les noms de fichier avec un point peuvent causer des problèmes : si +&tex; tombe sur un nomfichier comme presidents.dat il se +peut qu&textrsquo;il cherche d&textrsquo;abord presidents.dat.tex et ensuite +presidents.dat, ou bien le contraire. La documentation de votre +distribution devrait en dire plus, et si cela fonctionne pour vous tant +mieux, mais pour assurer une portabilité complète le mieux et d&textrsquo;utiliser +des noms de fichier ne contenant que les vingt-six lettres ASCII +(insensible à la casse case-sensitive) et les dix chiffres, ainsi que +les tiret de 8 _ et de 6 -, et en particulier sans point +ni espace. + +Pour \openin, si &tex; ne peut pas trouver le fichier alors il +ne produit pas une erreur. Il ne fait que considérer que ce flux n&textrsquo;est +pas ouvert (ce qu&textrsquo;on peut vérifier avec \ifeof ; on peut +également recourir à la commande \InputIfFileExists, Class +and package commands). Si vous essayer d&textrsquo;utiliser le même numéro deux +fois, &latex; ne produit pas d&textrsquo;erreur. Si vous essayer d&textrsquo;utiliser un +mauvais numéro, alors vous obtiendrez un message d&textrsquo;erreur du genre de +! Bad number (16). <to be read again> = l.30 \openin16=test.jh. + +
+\read\typein\openin & \openoutTerminal input/output +
\read + +\read +fichier, lecture d&textrsquo;un +lire un fichier +lecture d&textrsquo;un fichier + +Synopsis : + + +
\read numéro tomacro
+
+ +Fait que la commande macro contienne la ligne suivante d&textrsquo;entrée du +flux de texte numéro, comme dans \read5 to\data. + +L&textrsquo;exemple suivant ouvre le fichier mel.tex en lecture, me le +contenu de la première ligne dans la commande \courriel, et +ensuite ferme le fichier. + + +
\newread\fichierreception
+\openin\fichierreception=mel
+\read\fichierreception to\courriel
+\typeout{Adresse mél : \courriel}
+\closein\fichierreception
+
+ +Si numéro est hors de l&textrsquo;intervalle de 0 à 15 ou si aucun fichier +avec ce numéro n&textrsquo;est ouvert, ou si le fichier est à sa fin, alors +\read prend son entrée à partir du terminal. Notez, cependant, +que la méthode naturelle en &latex; de prendre en entrée à partir du +terminal est \typein (\typein). + +Pour lire un fichier entier en une fois utilisez \input +(\input) ou \include (\include & \includeonly). + +paquetage datatool +datatool, paquetage + -\typein\typeoutTerminal input/output +Une raison usuelle de vouloir lire d&textrsquo;un fichier de données est de faire +du publipostage. CTAN a plusieurs paquetage pour cela ; parmi lesquels +datatool. + +
+\typein\typeout\readTerminal input/output
\typein[cmd]{msg} -\typein +\typein Synopsis : @@ -10899,9 +15155,9 @@ le texte en entrée qui a été tapé.
-\typeout\typeinTerminal input/output +\typeout\write\typeinTerminal input/output
\typeout{msg} -\typeout +\typeout Synopsis : @@ -10921,57 +15177,764 @@ commande s&textrsquo;appliquent à msg. Une commande \space^^J dans msg tape un saut à la ligne.
+\write\typeoutTerminal input/output +
\write + +\write + +Synopsis : + + +
\write numéro{chaîne}
+
+ +Écrit chaîne vers le fichier journal (.log), vers le +terminal, ou vers un fichier ouvert par \openout. Par exemple, +\write6 écrit vers le flux textuel numéro 6 + +Si le code suivant apparaît dans le fichier fichierbase.tex +alors cela ouvre le fichier fichierbase.jh, y écrit +Bonjour tout le monde ! et un saut le ligne, et ferme ce fichier. + + +
\newwrite\monfichier
+\immediate\openout\monfichier=\jobname.jh   % \jobname est le nom de base fichier racine
+...
+\immediate\write\monfichier{Bonjour tout le monde !}
+  ...
+\immediate\closeout\monfichier
+
+ +\newwrite + +Le \newwrite alloue un numéro de flux, en lui donnant un nom +symbolique pour se faciliter la vie, de sorte que flux +\newwrite\monfichier\the\monfichier produit quelque-chose du genre de +flux 3. Ensuite \openout associe le numéro de flux avec +le nom de fichier fourni. Et puis à la fin &tex; exécute +\write3 ce qui place la chaîne dans le fichier. + +journal, écrire vers le fichier +terminal, écrire vers le +-1, écrire dans le flux numéro +Typiquement numéro est compris entre 0 et 15, parce que typiquement +les auteurs &latex; suivent l&textrsquo;exemple précédent et le numéro est alloué +par le système. Si numéro est hors de l&textrsquo;intervalle de 0 à 15 ou +si il n&textrsquo;est pas associé à un fichier ouvert alors &latex; écrit +chaîne vers le fichier journal. Si numéro est positif alors +ne plus &latex; écrit chaîne vers le terminal. Ainsi, test +\write-1{Bonjour tout le monde !} place Bonjour tout le +monde ! suivi d&textrsquo;un saut de ligne dans le fichier journal (c&textrsquo;est cez que +la commande \wlog fait ; \wlog). Et +\write100{Bonjour tout le monde !} met la même chose dans le +fichier jornal mais aussi met Bonjour tout le monde ! suivi d&textrsquo;un +saut de ligne dans la sortie terminal. (Mais 16, 17, et 18 sont des +valeurs spéciales de numéro ; voir ci-dessous.) + +Lua&tex;, 256 flux de sortie dans +Dans Lua&tex;, au lieu de 16 flux de sortie il y en a 256 +(&tex; engines). + +\&arobase;auxout +\&arobase;mainaux +Utilisez \write\&arobase;auxout{chaîne} pour écrire vers le +fichier .aux courant qui est associé soit au fichier racine soit +au fichier inclus courant ; et utilisez +\write\&arobase;mainaux{chaîne} pour écrire le fichier +.aux principal. Ces noms symboliques sont définis par &latex;. + + +Par défaut &latex; n&textrsquo;écrit pas chaîne vers le fichier +immediatement. C&textrsquo;est ainsi parce que, par exemple, vous pourriez avoir +besoin de \write pour sauvegarder le numéro de page courant, mais +au moment où &tex; rencontre une commande \write tpyiquement il +ne connaît pas quel est le numéro de page, puisque il n&textrsquo;a pas encore +découpé la sortie en pages. Ainsi, vous utilisez \write dans +l&textrsquo;un des trois contextes suivants : + + +
\immediate\write\&arobase;auxout{chaîne}     %1
+\write\&arobase;auxout{chaîne}               %2
+\protected&arobase;write\&arobase;auxout{}{chaîne}   %3
+
+ + + +\write immédiat +\immediate\write +Avec le premier, &latex; écrit chaîne vers le fichier +immédiatement. Toutes les macros dans chaîne sont développées à +fond (exactement comme dans \edef de sorte que pour empêcher le +développement vous devez utiliser \noexpand, un toks, etc. +mais avec la différence que vous devez utiliser # au lieu de +##). + + +\write retardé +élément extraordinaire +\shipout et développement +Avec le deuxième, chaîne est stocké dans la liste courante des +choses (comme un élémént « extraordinaire » de &tex;) et conservé +jusqu&textrsquo;à ce que la page soit éjectée et de la même manière les macros ne +sont pas développées jusqu&textrsquo;à l&textrsquo;éjection (\shipout). Au moment du +\shipout, chaîne est développée à fond. + + +\protected&arobase;write +Le troisième, \protected&arobase;write, est sembable au deuxième sauf +que vous pouvez utiliser \protect pour éviter le +développement. Le premier argument qui est en plus vous permet d&textrsquo;insérer +locallement des définitions supplémentaires pour que plus de macros +soient protégées ou pour avoir d&textrsquo;autres définitions spéciales pendant +l&textrsquo;écriture. + + + +Voici un exemple simple de développement avec \write dans lequel +chaîne contient une séquence de contrôle \triplex que l&textrsquo;on +a définie comme le texte XYZ : + + +
\newwrite\fichierjh
+\openout\fichierjh=test.jh
+\newcommand{\triplex}{XYZ}
+\write\fichierjh{test \triplex test}
+
+ + +Ceci résulte en ce que le fichier test.jh contienne le texte +test XYZtest suivi d&textrsquo;un saut de ligne. + +\write, flux 16, 17, 18 +Les cas où numéro vaut 16, 17, ou 18 sont spéciaux. À cause du +comportement de \write quand numéro est hors de +l&textrsquo;intervalle de 0 à 15 qu&textrsquo;on a déjà décrit plus haut, dans Plain &tex; +\write16 et \write17 étaient parfois utilisés pour écrire +dans le fichier journal et le terminal ; toutefois, dans &latex;, la +façon naturelle de faire ceci est d&textrsquo;utiliser \typeout +(\typeout). La commande \write18 est encore plus +spéciale ; les systèmes &tex; modernes l&textrsquo;utilisent pour passer des +commandes au système d&textrsquo;exploitation (\write18). + +saut de ligne, dans \write +^^J, dans \write +D&textrsquo;ordinaire \write produit en sortie une unique ligne. On peut y +insérer un saut de ligne avec ^^J. Ainsi, l&textrsquo;exemple suivant +produit deux lignes dans le fichier journal : + + +
\wlog{Les lignes parallèles ont beaucoup en commun.^^JMais elles ne se
+rencontrent jamais.}
+
+ +paquetage answers +answers, paquetage + +Un cas usuel dans lequel des auteurs tentent d&textrsquo;écrire dans leur propre +fichier est pour les réponses à des exerccies, ou dans quelque autre +situation où vous désirer écrire en sortie verbatim, sans développer les +macros. CTAN a plusieurs paquetages pour cela ; parmi lesquels +answers. + + +\write et la securité\write and security
Sécurité.
+
\message
Écrit du texte vers le fichier journal et le terminal.
+
\wlog
Écrit du texte vers le fichier journal.
+
\write18
Exécute une commande du système d&textrsquo;exploitation.
+
+ +\write and security\message\write +\write et la sécurité + +securité et \write +\write et sécurité + +La possibilité d&textrsquo;écrire dans des fichier soulève des problèmes de +sécurtié. Si vous compilez un fichier &latex; téléchargé et qu&textrsquo;il +écrase votre fichier de mots de passe alors vous serez à juste titre +embêté. + +Ainsi par défaut les systèmes &tex; ne vous autorisent à ouvrir en +écriture que les fichiers qui sont dans le répertoire courant ou dans un +sousrépertoire. L&textrsquo;exemple suivant + + +
\newwrite\fichierjh
+\openout\fichierjh=../test.jh
+
+ + +produit une erreur du genre de : + +
Not writing to ../test.jh (openout_any = p).
+! I can't write on file `../test.jh'
+
+ +répertoires parents, impossible d&textrsquo;écrire vers +Il est possible d&textrsquo;avoir une telle erreur lorsqu&textrsquo;on essaie d&textrsquo;utiliser une +commande telle que \include{../nomfichier} puisque &latex; va +essayer d&textrsquo;ouvrir ../filename.aux. La solution la plus simple est +de placer les fichiers inclus dans le même répertoire que le fichier +racine, ou dans des sous-répertoires. + +
+\message\wlog\write and security\write +\message + +\message + +Synopsis : + + +
\message{chaîne}
+
+ +Écrit chaîne vers le fichier journal en .log et le +terminal. + +Typiquement, les auteurs &latex; utilisent \typeout +(\typeout) qui permet d&textrsquo;utiliser \protect sur toute +commande fragile au sein de chaîne (\protect). Mais la +commande \typeout insère un saut de ligne à la fin de +chaîne contrairement à \message, aussi cette dernière peut +être utile. + +Dans l&textrsquo;exemple ci-dessous dans le corps du document + + +
avant\message{Un Deux}\message{Trois}\message{Quatre^^JLes}
+\message{pouces vont se battre.}Après
+
+ + +dans certaines circonstances (voir ci-dessous) &latex; écrit ce qui suit +à la fois vers le terminal et le fichier journal. + + +
Un Deux Trois Quatre
+Les pouces vont se battre.
+
+ + +Un ^^J produit un saut de ligne. Aussi, dans le document +en sortie, on a entre avant et Après un seul espace (issu +de la fin de ligne suivant Les}). + +Alors que \message vous permet de mieux contrôler le formatage, +un truc à piger c&textrsquo;est que &latex; peut très bien bousiller ce formatage +là en insérant des sauts de ligne selon ce qu&textrsquo;il a déjà sorti. Comparez +ce corps de document, où le Deux a été déplacé, à celui donné en +exemple plus haut. + + +
avant\message{Un}\message{Deux Trois}\message{Quatre^^JLes}
+\message{pouces vont se battre.}Après
+
+ +La chose suivante peut se produire : lorsque &latex; produit les +messages en sortie vers le terminal, le message avec Un désormais +plus court tient à la fin de la ligne de terminal, et du coup &latex; +saute de ligne juste après lui et avant le Deux Trois. Ce saut +de ligne apparaît également dans le fichier journal. Cette insertion de +saut de ligne peut déprendre de, par exemple, la longueur des noms +complet des fichiers inclus. C&textrsquo;est pourquoi il est difficile de produire +des lignes formatées précisément et d&textrsquo;une façon qui soit portable, et de +même de demander que votre message commence au début d&textrsquo;une ligne. + + +
+\wlog\write18\message\write +\wlog + +\wlog + +Synopsis : + + +
\wlog{chaîne}
+
+ +Écrit chaîne vers le fichier journal .log. + + +
\wlog{Pour tout n différent de 0, et tout x, (sin x)/n vaut six.}
+\wlog{Ben oui, il suffit de simplifier par n.}
+
+ +D&textrsquo;ordinaire chaîne apparaît sur une seule ligne séparée. Utilisez +^^J pour insérer un saut de ligne. + + +
\wlog{C'est Helvetica qui téléphone à Times Roman :}
+\wlog{Change de ligne !^^JJe t'entends très mal.}
+
+ + +
+\write18\wlog\write +\write18 +\write18 +externes, commandes +commandes exécutées depuis &latex; +système, commandes exécutées depuis &latex; +interpréteur de commandes du système d&textrsquo;exploitation, accès à + + +Synopsis : + + +
\write18{commande_shell}
+
+ +Émet une commande vers l&textrsquo;interpréteur du système d&textrsquo;exploitation. Le +système d&textrsquo;exploitation exécute la commande et l&textrsquo;exécution de &latex; +est bloquée jusqu&textrsquo;à ce que cela soit fini. + +paquetage Asymptote +Asymptote, paquetage + +La séquence suivante (sur Unix) + + +
\usepackage{graphicx}  % dans le préambule
+  ...
+\newcommand{\numerofig}{1}
+\immediate\write18{cd pix && asy figure\numerofig}
+\includegraphics{pix\figure\numerofig.pdf}
+
+ + +exécute Asymptote (le programme asy) sur le fichier +pix/figure1.asy, de sorte que le document peut par la suite lire +le graphique en résultant (\includegraphics). Comme pour tout +\write, ici &latex; développe les macros contenues dans +commande_shell de sorte que \numerofig est remplacé par +1. + +Un autre exemple est que vous pouvez exécuter automatiquement Bib&tex; +au début de chaque exécution de &latex; (Using BibTeX) en +incluant \immediate\write18{bibtex8 \jobname} comme première +ligne du fichier. Notez que \jobname se développe par défaut en +le nom de base du fichier racine, ou bien l&textrsquo;argument de l&textrsquo;option +--jobname si celle-ci est passée sur la ligne de commande. + +Il peut arriver que vous ayez besoin de plusieurs étapes pour obtenir +l&textrsquo;information désirée. L&textrsquo;exemple suivant insère en entrée une liste de +tous les fichiers PDF du répertoire courant (voir aussi +texosquery plus bas) : + + +
\immediate\write18{ls *.pdf > tmp.dat}
+\input{tmp.dat}
+
+ +Le comportement standard de tout \write est d&textrsquo;attendre jusqu&textrsquo;à la +prochaine éjection de page avant de développer les macros ou d&textrsquo;écrire +dans le flux (\write). Mais il se peut que vous désiriez que +cela soit immédiat. Pour cela, utilisez +\immediate\write18{commande_shell}. + +Autoriser l&textrsquo;usage de commandes système au sein d&textrsquo;un fichier &latex; +pose des problème de sécurité évidents. Si vous télécharger un fichier +depuis la Toile et qu&textrsquo;il contient des commandes pour détruire tous vos +fichier, cela vous rendrait bien malheureux. Le réglage standard dans +les distributions modernes est d&textrsquo;interdire l&textrsquo;accès complet à +l&textrsquo;interpréteur de commande du système d&textrsquo;exploitation. Vous pouvez +l&textrsquo;autoriser, si vous êtes sûr qu&textrsquo;il n&textrsquo;y a pas de danger, en compilant +avec latex --enable-write18 nomfichier (Command line +options). (L&textrsquo;option --shell-escape est un synonyme dans &tex; +Live.) + +restreint, accès shell +restreint, accès interpréteur de commande du système d&textrsquo;exploitation +Au lieu de l&textrsquo;accès complet, les distributions modernes par défaut +utilisent une version restreinte qui permet à certaines commandes de +fonctionner, telles que celles qui font tourner Metafont pour générer +les polices manquantes, même si vous n&textrsquo;utilisez pas l&textrsquo;option +enable-write18. Par défaut cette liste de commandes autorisées +est courte et ne fait figurer que les commandes qui sont sous contrôle +des mainteneurs de la distribution (Command line options). + +Certains paquetage ont besoin d&textrsquo;exécuter des commandes système +externes. Par exemple sagetex vous permet de faire faire des +calcul ou tracer des graphiques au logiciel de mathématiques Sage, +puis d&textrsquo;incorporer ces sorties dans votre document. Pour cela vous devez +exécuter &latex; avec la fonction \write18 pleinement débridée. + +/bin/sh, utilisé par \write18 +sh, utilisé par \write18 +cmd.exe, utilisé par \write18 +SHELL, environnement, variables de +SHELL, variables d&textrsquo;environnement +Le texte commande_shell est toujours passé à /bin/sh sur +les systèmes d&textrsquo;exploitation unixiens, et à l&textrsquo;interpréteur de commande DOS +cmd.exe sur Windows. &latex; ignore tout réglage d&textrsquo;un autre +interpréteur de commande par l&textrsquo;utilisateur, ainsi que la variable +d&textrsquo;environnement SHELL. + +paquetage texosquery +texosquery, paquetage + +système, information +exploitation, information système de +locale, information, du système +répertoire, listage, du système +Si votre besoin c&textrsquo;est d&textrsquo;avoir de l&textrsquo;information sur le système, comme le +nom du système d&textrsquo;exploitation, celui de la locale, ou le contenu d&textrsquo;un +répertoire, alors jeter un coup d&textrsquo;œil au paquetage texosquery qui +fournit une interface commode et sûre pour cela, contrairement aux +exemples donnés plus haut utilisant \write18 à l&textrsquo;état brut : +https://ctan.org/pkg/texosquery. + +
+
Command lineDocument templatesTerminal input/outputTop Ligne de commande -ligne de commande +ligne de commande + +Synopsis (depuis la ligne de commande d&textrsquo;un terminal) : + + +
pdflatex options argument
+
+ +Exécute &latex; sur argument. À la place de pdflatex +vous pouvez aussi utiliser xelatex, ou lualatex, ou +latex. + +L&textrsquo;exemple suivant exécute &latex; sur le fichier these.tex +produisant en sortie these.pdf. + + +
pdflatex these
+
+ + +.tex, extension par défaut +Notez que .tex est l&textrsquo;extension par défault des noms de fichier. + +pdf&tex; est une évolution du programme original &tex;, comme le sont +Xe&tex; et Lua&tex; (&tex; engines). Ils sont complètement +rétrocompatibles. Mais le programme original avait son propre format de +sortie, DVI, alors que les plus récents peuvent produire directement un +PDF en sortie. Ceci leur permet de profiter des fonctions +supplémentaires des PDF tels que les hyperliens, la prise en charge de +formats modernes d&textrsquo;images tels que JPG et PNG, et les programmes de +visionnage que l&textrsquo;on trouve de partout. En bref, si vous exécutez +pdflatex ou xelatex ou lualatex alors par +défaut vous obtenez un PDF et avez accès à toutes ses fonctions +modernes. Si vous exécutez latex, ou dvilualatex, +alors vous obtenez un DVI. La description faite ici suppose +pdf&latex;. + +Command line options, pour une sélection des options de ligne de +commande les plus utiles. Quant à argument, le cas habituel est +qu&textrsquo;il ne commence pas par une contr&textrsquo;oblique, dans ce cas le système le +prend pour un nom de fichier, et compile ce fichier. Si argument +commence avec une contr&textrsquo;oblique, alors le système l&textrsquo;interprète comme une +ligne d&textrsquo;entrée à &latex;, ce qui peut être utilisé pour obtenir +certains effets spéciaux (Command line input). + +Si vous ne donnez aucun arguments ni options alors pdflatex +invite à saisir à partir du terminal. Vous pouvez vous échapper de cela +en entrant CTRL-D. + +Si &latex; trouve une erreur dans votre document alors par défaut il +s&textrsquo;arrête et vous interroge à ce propos. Recovering from errors +pour un aperçu de quoi faire. + + +Command line options
Options usuelles de ligne de commande.
+
Command line input
Spécifier du code LaTeX sur la ligne de commande.
+
Recovering from errors
Quand quelque chose se passe mal.
+
+ + +Command line optionsCommand line inputCommand line +
Options passées à la ligne de commande + +options passée à la ligne de commande + +On décrit ici les options de ligne de commande qui sont pertinentes pour +rédaction ordinaire de documents. Pour une liste complète, essayez +d&textrsquo;exécuter latex --help depuis la ligne de commande. + +Les implementations permettent en général de spécifier les options de +ligne de commande avec un prefixe - ou --. C&textrsquo;est le cas à +la fois pour &tex; Live (et Mac&tex;) et MiK&tex;. Ici on utilise +les deux conventions indistinctement. + + +--version ligne de commande, option +-version +Affiche la version courante, comme pdfTeX 3.14159265-2.6-1.40.16 +(TeX Live 2015/Debian) ainsi qu&textrsquo;une petite quantité d&textrsquo;information +supplémentaire, et se termine. + +--help ligne de commande, option +-help +Produit un message bref d&textrsquo;utilisation servant d&textrsquo;aide-mémoire et se +termine. + +interaction modes +--interaction ligne de commande, option +-interaction=mode +batchmode +scrollmode +errorstopmode +nonstopmode +z&tex; compile un document en l&textrsquo;un parmi quatre modes possibles +d&textrsquo;interaction : batchmode, nonstopmode, scrollmode, +errorstopmode. Dans le mode errorstopmode (le mode par +défaut), &tex; s&textrsquo;arrête à chaque erreur et demande une intervention de +l&textrsquo;utilisateur. Dans le mode batchmode il n&textrsquo;imprime rien sur le +terminal, on défile sur les erreurs comme si l&textrsquo;utilisateur appuyait +RETURN à chaque erreur, et les fichiers manquants entrainent la +terminaison de la tâche. Dans le mode nonstopmode, les messages de +diagnostic apparaissent sur le terminal mais comme dans le mode batch il +n&textrsquo;y as pas d&textrsquo;interaction avec l&textrsquo;utilisateur. Dans le mode +scrollmode, &tex; s&textrsquo;arrête en cas de fichiers manquants ou +d&textrsquo;entrée clavier, mais pour nulle autre raison. + +Par exemple, en démarrant &latex; avec cette ligne de commande : + + +
pdflatex -interaction=batchmode nomfichier
+
+ + +on élimine la plupart des sorties terminal. + +jobname +nom de fichier de la tâche courante +--jobname ligne de commande, option +
-jobname=chaîne +Règle la valeur du nom de tâche de &tex; à la chaîne de +caractères chaîne. Le fichier journal et le fichier de sortie +s&textrsquo;appeleront chaîne.log et chaîne.pdf. + +Quand vous exécutez pdflatex options +argument, si argument ne commence pas par une contr&textrsquo;oblique +alors &tex; considère que c&textrsquo;est le nom d&textrsquo;un fichier à lire en +entrée. Autrement il attend la première instruction \input et le +nom du fichier en entrée devient le nom de tâche +(\jobname). Celui-ci est utilisé pour nommer le fichier journal +et le fichier de sortie. L&textrsquo;option jobname l&textrsquo;emporte et spécifie +directement le nom. Command line input, pour un examples +d&textrsquo;usage. + +output directory +répertoire de sortie pour tous les fichiers externes +sortie, pour tous les fichiers externes, répertoire de +--output-directory ligne de commande, option +-output-directory=répertoire +Écrit les fichiers dans le répertoire répertoire. Il doit déjà +exister. Ceci s&textrsquo;applique à tous les fichiers externes créés par &tex; +ou &latex;, tels que le fichier .log de l&textrsquo;exécution, les +fichiers .aux, .toc, etc., créés par &latex;, de même que +le fichier de sortie principal .pdf ou .dvi lui-même. + +Lorsqu&textrsquo;il est spécifié, le répertoire de sortie répertoire est +aussi vérifié en premier automatiquement pour tout fichier lu en entrée, +de sorte que les fichiers externes peuvent être relus en entrée, si +désiré. Le vrai répertoire courant (dans lequel &latex; été lancé) +demeure inchangé, et est également vérifié pour trouver les fichiers en +entrée. + +shell escape +\write18, activation +--enable-write18 ligne de commande, option +--disable-write18 ligne de commande, option +--shell-escape ligne de commande, option +--no-shell-escape ligne de commande, option +--enable-write18 +--disable-write18 +--shell-escape +--no-shell-escape +Activation et desactivation \write18{commande_shell} +(\write18). Les deux premières options sont prises en charge à +la fois par &tex; Live et MiK&tex;, alors que les deux suivantes sont +des synonymes pris en charge par &tex; Live. + +Activer cette fonction a des implications lourdes de sécurité, puisque +cela permet à un fichier &latex; d&textrsquo;exécuter n&textrsquo;importe quelle commande. +Ainsi, par défaut, le \write18 non restreint n&textrsquo;est pas autorisé. +(Le réglage par défaut de &tex; Live, Mac&tex;, et MiK&tex; est +d&textrsquo;autoriser l&textrsquo;exécution d&textrsquo;un nombre limité de programmes en relation +avec &tex;, et qu&textrsquo;elles distribuent). + +Pa exemple, si vous invoquez &latex; avec l&textrsquo;option +no-shell-escape, et que dans votre document vous appelez +\write18{ls -l}, alors vous n&textrsquo;obtenez pas d&textrsquo;erreur mais votre +fichier journal dit runsystem(ls -l)...disabled. + +--halt-on-error ligne de commande, option +-halt-on-error +Arrête le traitement sur la première erreur. + +--file-line-error ligne de commande, option +--no-file-line-error ligne de commande, option +-file-line-error +-no-file-line-error +Active ou désactive le style +nomfichier:numéroligne:erreur des messages +d&textrsquo;erreur. Ces options ne sont disponibles qu&textrsquo;avec &tex; Live ou +Mac&tex;. +
+ + +
+Command line inputRecovering from errorsCommand line optionsCommand line +
Spécifier du code LaTeX sur la ligne de commande + +code entré sur la ligne de commande +entré, code sur la ligne de commande + +Au sein de l&textrsquo;invocation de ligne de commande pdflatex +options argument vous pouvez spécifier du code &latex; +arbitraire en entrée en commençant argument par une +contr&textrsquo;oblique. Ceci permet de faire certains effet spéciaux. + +paquetage hyperref +hyperref, paquetage + + +Par exemple, ce fichier (qui utilise le paquetage hyperref pour +les hyperliens) peut produire deux types de sortie, l&textrsquo;un pour +l&textrsquo;impression papier et l&textrsquo;autre pour une consultation PDF. + + +
\ifdefined\paperversion        % dans le préambule
+\newcommand{\urlcolor}{black}
+\else
+\newcommand{\urlcolor}{blue}
+\fi
+\usepackage[colorlinks=true,urlcolor=\urlcolor]{hyperref}
+  ...
+\href{https://www.ctan.org}{CTAN}  % dans le corps
+  ...
+
+ + +Lorsqu&textrsquo;on compile ce document book.tex avec la ligne de commande +pdflatex book le lien CTAN sera en bleu. Mais si on le +compile avec pdflatex "\def\paperversion{}\input book.tex", +alors le lien sera en noir. (Notez l&textrsquo;utilise des guillemets anglais +pour empécher l&textrsquo;interpretation des symboles par l&textrsquo;interpréteur de ligne +de commande ; votre système fait peut-être cela différemment). + +De même, à partir d&textrsquo;un seul fichier principal.tex vous pouvez +compiler deux versions distinctes. + + + +
pdflatex -jobname=etudiants "\def\etudiants{}\input{principal}"
+pdflatex -jobname=professeurs "\def\profs{}\input{principal}"
+
+ + +L&textrsquo;option jobname est là parce que sinon les deux fichiers en +sortie s&textrsquo;appeleraient principal.pdf et le second écraseraient le +premier. + +Dans ce dernier exemple on charge le paquetage graphicx avec l&textrsquo;option +draft + + + +
pdflatex -jobname=aa "\RequirePackage[draft]{graphicx}\input{aa.tex}"
+
+ + +de sorte que les fichiers graphiques ne sont lus que pour l&textrsquo;information +de dimension de boîte englobante, mais non incorporés dans le PDF. +(L&textrsquo;option jobname est la parce que sinon autrement le fichier de +sortie s&textrsquo;appelerait graphicx.pdf, comme \RequirePackage +fait lui-même un \input). + + +
+Recovering from errorsCommand line inputCommand line +
Quand quelque chose se passe mal + +Si &latex; trouve une erreur dans votre document alors il vous produit +un message d&textrsquo;erreur et vous invite à la saisie par un point +d&textrsquo;interrogation, ?. Par exemple, exécuter &latex; sur ce fichier + + +
\newcommand{\NP}{\ensuremath{\textbf{NP}}}
+Le problème \PN{} est mis à prix à un million de dollars.
+
-La spécification du fichier d&textrsquo;entrée indique le fichier à être formaté ; -&tex; utilise .tex comme extension de fichier par défaut. Si -vous omettez complètment le fichier d&textrsquo;entrée, &tex; accèpte en entrée -les caractères saisis à partir de la console. Vous spécifiez les -options de commande en fournissant une chaîne en paramètre de la -commande ; par ex. + +a pour effet qu&textrsquo;il affiche ceci, et attende une saisie : -
latex '\nonstopmode\input foo.tex'
+
! Undefined control sequence.
+l.5 Le problème \PN
+           {} est mis à prix à un million de dollars.
+? 
 
-Traitera foo.tex sans faire de pause après chaque erreur. +Le plus simple est de saisir x et RETURN et de corriger la +coquille. Alternativement vous pourriez saisir ? et RETURN +pour voir les autres options. + +*, invite +invite * +\stop +Il y a deux autres scénarios. Le premier est que vous ayez omis le +\end{document} ou fait une faute de frappe dessus. Dans ce cas +&latex; produit en invite *. Vous pouvez revenir à la ligne de +commande en tapant \stop et RETURN. -invite * -*, invite -\stop -Si &latex; s&textrsquo;arrête au milieu du document et vous fait une invite en -*, c&textrsquo;est qu&textrsquo;il attend que vous saisissiez quelque chose. Vous -pouvez taper \stop (et retour-chariot) et il terminera -prématurément le document. +Le dernier scénario est que vous ayez fait une faute de frappe sur le +nom de fichier. Par exemple, au lieu de pdflatex test vous +auriez tapé pdflatex tste. -&tex; engines, pour les autres commandes système invoquant &latex;. + +
! I can't find file `tste'.
+<*> tste
+        
+(Press Enter to retry, or Control-D to exit)
+Please type another input file name:
+
+ + +Le plus simple est de saisir CTRL D (en appuyant sur les touches +Control et d simultannément), et d&textrsquo;ensuite retaper la ligne de commande +correcte. + +
Document templatesLicense translationCommand lineTop Patrons de documents -patron de document -modèle de document +patron de document +modèle de document -Bien que ce ne soit pas un matériel de référence, peut-être que ces -patrons de document vous seront utiles. Davantage de resources de -patrons sont listé à http://tug.org/interest.html#latextemplates. +Bien qu&textrsquo;ils soient illustratifs, ces patrons de document vous seront +put-être utiles. Davantage de ressources de patrons sont listées à +https://tug.org/interest.html#latextemplates. patron beamerbeamer template
+
patron articlearticle template
 
patron bookbook template
-
patron tugboattugboat template
+
patron book plus élaboréLarger book template
 
-beamer templatebook templateDocument templates +beamer templatearticle templateDocument templates
Un patron beamer -beamer patron et classe -patron, beamer +beamer patron et classe +patron, beamer +paquetage beamer +beamer, paquetage + La classe beamer crée des présentations en diapositives. Elle a de très nombreuses possibilités, mais voici un patron de base : @@ -10982,7 +15945,7 @@ de très nombreuses possibilités, mais voici un patron de base : \title{Patron pour la classe Beamer} \author{Alex L'Auteur} -\date{31 juillet 2007} +\date{31 juillet 2020} \begin{document} @@ -11001,17 +15964,46 @@ de très nombreuses possibilités, mais voici un patron de base : \end{document} -Une ressource web pour cela : -http://robjhyndman.com/hyndsight/beamer/. +Le paquetage Beamer sur le CTAN : +https://ctan.org/pkg/beamer. + +
+article templatebook templatebeamer templateDocument templates +
Patron article + +patron (simple), article + +Un patron simple pour un article. + +\documentclass{article} +\title{Patron de la classe article} +\author{Alex Author} + +\begin{document} +\maketitle + +\section{Première section} +Du texte. + +\subsection{Première section, première sous-section} +Encore du texte. + +\section{Deuxième section} +Et du texte. + +\end{document} +
-book templatetugboat templatebeamer templateDocument templates +book templateLarger book templatearticle templateDocument templates
Un patron book -patron, book - +patron, book +Voici un patron simple pour un livre. Larger book template pour +un patron plus élaboré. + \documentclass{book} \title{Le Patron de la classe book} @@ -11028,102 +16020,74 @@ Et du texte. \section{Un sujet secondaire} La fin. + \end{document}
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Un patron tugboat +Larger book templatebook templateDocument templates +
Un patron book plus élaboré -patron, TUGboat -classe ltugboat +patron book -TUGboat est la revue du groupe des utilisateur de &tex; (&tex; -Users Group), http://tug.org/TUGboat. +Voici un patron quelque peu élaboré pour un livre. book template +pour un patron plus simple. + +Ce patron utilise un \frontmatter, \mainmatter, et +\backmatter pour contrôler la typographie des trois zones +principales d&textrsquo;un livre (\frontmatter & \mainmatter & +\backmatter). Le livre a une bibliographie et un index. + +Il est également à noter qu&textrsquo;il utilise \include et +\includeonly (Splitting the input). Lorsque vous +travaillez sur un chapitre vous pouvez ne pas compiler tous les autres +chapitres en mettant en commentaire les entrées correspondantes dans les +arguments de \includeonly. Ceci accélère la compilation sans +perdre aucune information telle que les renvois. (Le matériel qu&textrsquo;il +n&textrsquo;est pas nécessaire de mettre sur une nouvelle page est inclus avec +\input au lieu de \include ; mais ceci au dépens du +bénéfice de maintenir les valeurs de renvois). -\documentclass{ltugboat} -\usepackage{graphicx} -\usepackage{ifpdf} -\ifpdf -\usepackage[breaklinks,hidelinks]{hyperref} -\else -\usepackage{url} -\fi +\documentclass[titlepage]{book} +\usepackage{makeidx}\makeindex -\title{Exemple d'article \TUB} +\title{Book Class Template} +\author{Alex Author} -% répétez l'information pour chaque auteur. -\author{Prénom Nom} -\address{Voie\\ Ville, Code postal \\ Pays} -\netaddress{user (at) exemple dot org} -\personalURL{http://exemple.org/~user/} - - %%% Fin des métadonnées %%% +\includeonly{% + frontcover, + preface, + chap1, + ... + } \begin{document} +\frontmatter +\include{frontcover} + % maybe comment out while drafting: +\maketitle \input{dedication} \input{copyright} +\tableofcontents +\include{preface} -\maketitle - -\begin{abstract} -Ceci est un exemple d'article pour le \TUB{}. -Prière d'écrire un abrégé. -\end{abstract} - -\section{Introduction} - -Ceci est un exemple d'article pour le \TUB, à partir du lien -\url{http://tug.org/TUGboat/location.html}. - -Nous recommandons le paquetage graphicx pour les inclusionj d'iimage, et -le paquetage hyperref pour des adresses réticulaires (url) actives (dans -la sortie \acro{PDF}). De nos jour le \TUB\ est produit en utilisant -exclusivement des fichiers \acro{PDF}. - -La classe \texttt{ltugboat} fournit ces abréviations (et bien d'autres) : - -% verbatim blocks are often better in \small -\begin{verbatim}[\small] -\AllTeX \AMS \AmS \AmSLaTeX \AmSTeX \aw \AW -\BibTeX \CTAN \DTD \HTML -\ISBN \ISSN \LaTeXe -\mf \MFB -\plain \POBox \PS -\TUB \TUG \tug -\UNIX \XeT \WEB \WEAVE - -\, \bull \Dash \dash \hyph - -\acro{FRED} -> {\small[er] fred} % prière d'utiliser ! -\cs{fred} -> \fred -\meta{fred} -> <fred> -\nth{n} -> 1st, 2nd, ... -\sfrac{3/4} -> 3/4 -\booktitle{Book of Fred} -\end{verbatim} - -Pour faire référence à d'autre numéros du \TUB\, veuillez utiliser le -format \textsl{volno:issno}, par ex., ``\TUB\ 32:1'' pour notre numéro -\nth{100}. - -Ce fichier n'est qu'un patron. La documentation du style \TUB\ est dans -le document \texttt{ltubguid} se trouvant à -\url{http://ctan.org/pkg/tugboat}. (Pour les références au \CTAN\ nous -recommandons cette forme d'URL utilisant \texttt{/pkg/} quand cela fait -sens ; ou, si vous avez besoin de faire référence spécifiquement à une -localisation : \texttt{http://mirror.ctan.org/\textsl{chemin}}.) - -Écrivez par mél à \verb|tugboat@tug.org| en cas de problèmes ou -questions. - -\bibliographystyle{plain} % nous recommandons le style de bibliographie plain -\nocite{book-minimal} % pour forcer la bibliographie à ne pas être vide -\bibliography{xampl} % xampl.bib est compris dans BibTeX +\mainmatter +\include{chap1} +... +\appendix +\include{appena} +... -\makesignature +\backmatter +\bibliographystyle{apalike} +\addcontentsline{toc}{chapter}{Bibliography} +\bibliography +\addcontentsline{toc}{chapter}{Index} +\printindex +\include{backcover} \end{document} +
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