summaryrefslogtreecommitdiff
path: root/macros/luatex/latex/piton/piton-french.tex
diff options
context:
space:
mode:
Diffstat (limited to 'macros/luatex/latex/piton/piton-french.tex')
-rw-r--r--macros/luatex/latex/piton/piton-french.tex42
1 files changed, 30 insertions, 12 deletions
diff --git a/macros/luatex/latex/piton/piton-french.tex b/macros/luatex/latex/piton/piton-french.tex
index 7f21b48ead..cd1c2745af 100644
--- a/macros/luatex/latex/piton/piton-french.tex
+++ b/macros/luatex/latex/piton/piton-french.tex
@@ -156,6 +156,10 @@ d'installer \pkg{piton} avec une distribution TeX comme MiKTeX, TeX~Live ou MacT
\section{Utilisation de l'extension}
+L'extension \pkg{piton} n'est utilisable qu'avec LuaLaTeX : si un autre moteur de compilation (comme |latex|,
+|pdflatex| ou |xelatex|) est utilisé, une erreur fatale sera levée.
+
+
\subsection{Choix du langage}
L'extension \pkg{piton} prend en charge quatre langages informatiques : Python, OCaml, SQL et C, ou plutôt \CC. Il
@@ -182,16 +186,13 @@ Dans la suite de ce document, on parlera de Python mais les fonctionnalités s'a
\subsection{Chargement de l'extension}
-L'extension \pkg{piton} se charge simplement avec la commande |\usepackage| : |\usepackage{piton}|.
-On a cependant deux remarques à formuler :
-\begin{itemize}
-\item l'extension \pkg{piton} utilise l'extension \pkg{xcolor} (mais \pkg{piton} ne charge pas \pkg{xcolor} : si
-\pkg{xcolor} n'est pas chargée avant le |\begin{document}|, une erreur fatale sera levée) ;
+L'extension \pkg{piton} se charge simplement avec |\usepackage{piton}|.
-\item l'extension \pkg{piton} n'est utilisable qu'avec LuaLaTeX : si un autre moteur de compilation (comme |latex|,
-|pdflatex| ou |xelatex|) est utilisé, une erreur fatale sera levée.
-\end{itemize}
+\smallskip
+Si, à la fin du prambule, l'extension \pkg{xcolor} n'a pas été chargée (par l'utilisateur ou par une extension
+chargée dans le préambule), \pkg{piton} charge l'extension \pkg{xcolor} avec |\usepackage{xcolor}|, c'est-à-dire
+sans aucune option. L'extension \pkg{piton} ne charge pas d'autre extension.
\subsection{Les commandes et environnements à la disposition de l'utilisateur}
@@ -217,9 +218,9 @@ environnements similaires à |{Piton}| en utilisant la commande |\NewPitonEnviro
\ref{NewPitonEnvironment} p.~\pageref{NewPitonEnvironment}.
\item La commande \colorbox{gray!20}{\ttfamily \textbackslash PitonInputFile} doit être utilisée pour insérer et
-composer un fichier extérieur.
+composer un fichier externe.
-Il est possible de n'insérer qu'une partie du fichier : cf. partie~\ref{part-of-a-file},
+Il est possible de n'insérer qu'une partie de ce fichier : cf. partie~\ref{part-of-a-file},
p.~\pageref{part-of-a-file}.
La clé |path| de la commande |\PitonOptions| permet de spécifier un chemin pour le fichier à inclure.
@@ -761,6 +762,23 @@ où la clé |splittable| est utilisée.\footnote{Avec la clé |splittable|, un e
que, en revanche, un environnement de \pkg{tcolorbox} inclus dans un autre environnement de \pkg{tcolorbox} n'est
pas sécable, même quand les deux utilisent la clé |breakable|.}
+
+\bigskip
+\index{split-on-empty-lines}
+\index{split-separation}
+\colorbox{yellow!50}{\textbf{Nouveau 2.7}}\enskip L'extension \pkg{piton} fournit une option
+\Definition{split-on-empty-lines}. Quand cette clé est active, les listings sont découpés en morceaux au niveau des
+lignes vides\footnote{Les lignes considérées comme vides sont celles qui ne comportent que des espaces.} du code et
+chaque morceau est traité par \pkg{piton} comme un listing autonome avant d'être envoyé à
+LaTeX. \textbf{De ce fait, LaTeX peut faire des sauts de page entre les morceaux}. Si la clé |splittable| est
+utilisée, elle reste active dans chaque morceau. Évidemment, l'utilisation conjointe de |split-on-empty-lines| et
+|splittable| n'a d'intérêt que si |splittable| est utilisée avec une valeur différente de $1$ (par example $4$), de
+manière à privilégier les coupures de pages au niveau des lignes vides du listing d'origine.
+
+\smallskip
+La clé \Definition{split-separation} permet de spécifier une liste de tokens LaTeX qui sera insérée entre les
+morceaux. Exemple : |\PitonOptions{split-speration = \hrule\goodbreak}|
+
\subsubsection{Coupure des lignes}
\label{line-breaks}
@@ -1557,7 +1575,7 @@ La variable L3 |\l_piton_language_str| contient le nom du langage courant (en mi
\colorbox{yellow!50}{\textbf{Nouveau 2.6}}\par\nobreak
-L'extension \pkg{piton} fournit une function Lua |piton.get_last_code| sans argument permettant de récupérer le
+L'extension \pkg{piton} fournit une fonction Lua |piton.get_last_code| sans argument permettant de récupérer le
code contenu dans le dernier environnement de \pkg{piton}.
\begin{itemize}
\item Les retours à la ligne (présents dans l'environnement de départ) apparaissent comme des caractères |\r|
@@ -1571,7 +1589,7 @@ p.~\pageref{gobble}).
partie~\ref{detected-commands}) et aux éléments insérés avec le mécanisme «|escape|» (cf. partie~\ref{escape}).
\item |piton.get_last_code| est une fonction Lua et non une chaîne de caractères : les traitements présentés
-précédemment son exécutés lorsque la fonction est appelée. De ce fait, il peut être judicieux de sotcker la valeur
+précédemment sont exécutés lorsque la fonction est appelée. De ce fait, il peut être judicieux de stocker la valeur
renvoyée par |piton.get_last_code()| dans une variable Lua si on doit l'utiliser plusieurs fois.
\end{itemize}